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Expérience zoophile

Chapitre 1

Zoophilie
Je m’appelle Margaux et j’ai 42 ans. Pour me décrire, je suis de taille moyenne dans un corps proportionné, cheveux blonds tombant sur mes épaules et des yeux bleus, le cliché, mais je née ainsi. Je suis mariée à Mathieu mon ainé de 8 ans, et ce qu’il a tout de suite aimé en moi, comme beaucoup d’hommes qui se retournent sur mon passage, c’est ma poitrine, je porte des bonnets D pour contenir mes seins lourds et laiteux, je dis lourd et non pas retombant, j’y tiens ! Après avoir eu du plaisir dit contre nature avec mon chien Bugger un beauceron de 4 ans, nous passions nos vacances sur la cote vendéenne près de Saint Gilles Croix de Vie dans un mobile home que nous avions loué pour deux semaines. Sans cesse je me remémorais la relation que j’avais eue avec notre compagnon à quatre pattes. J’étais allée sur internet glaner des informations, et ce qui me rassurait, c’est que jamais je n’y ai vu de remarques concernant les chiens, sinon que leur instinct les menait à saillir sans autre forme de procès à savoir s’ils montaient une chienne ou un être humain. D’autre part, le fait d’être contaminée par une maladie n’existait pas non plus. Les seules recommandations, étaient de se protéger des griffures et surtout de faire attention que le nœud de l’animal ne vous pénètre pas, au risque de restée collée à lui un bon moment. Bref, aucun site ne culpabilisait cet accouplement, et même certains philosophes ne le considéraient pas comme immoral ! De plus d’après un rapport, 4 à 7% de la population américaine aurait eu une relation avec un animal. Je n’étais donc pas seule, et au fur et à mesure de mes lectures je me déculpabilisais, sans pour autant en parler à mon mari. Le troisième jour après notre arrivée, après avoir déjeuné, Mathieu partit à La Roche-sur-Yon pour s’acheter des batteries pour son caméscope, me laissant seule pour l’après midi. Le soleil était au zénith et la température par manque de vent devenait étouffante en ce début de juillet caniculaire. Je décidais de rester au camping pour prendre un bain de soleil dans un transat à bouquiner. J’enfilais un maillot deux pièces et je prenais place dans la chaise longue près d’une haie de laurier à l’abri de regards indiscrets. Bugger était allongé à l’ombre, haletant sans cesse pour se rafraichir. Pour parfaire mon bronzage, je lovais le haut de ma culotte jusqu’à l’orée de mon pubis et j’ôtais les bretelles de mon soutien gorge que je fis glisser jusqu’à la naissance de mes mamelons, puis je me mis à lire. Je me redressais de temps à autre pour prendre une gorgée d’eau de ma bouteille et je reprenais place. Je ne me rendis pas compte qu’en faisant ce petit manège, ma culotte s’insinuait peu à peu entre mes lèvres jusqu’à s’éclipser entre mes chairs, laissant apparaître une partie de mon bas ventre dénué de toute pilosité. Je posais mon livre sur le sol et fermant les paupières je me laissais aller à une sieste. Mes cuisses commençaient à se coller de moiteur tant la chaleur était intense, aussi, je disposais mes pieds de chaque côtés du transat, n’imaginant pas que notre voisin, un homme d’une soixantaine d’années que je croyais être parti à la plage avec sa femme, reluquait les lèvres de mon sexe étalées à son regard vicieux. Les prunelles de ses yeux ne s’intéressaient pas qu’à cette partie de mon anatomie, elles lorgnaient vers ma poitrine où mon sein gauche s’était dérobé de son bonnet. Malgré qu’il se soit approché de mon emplacement en longeant la haie, Bugger, assommé par la chaleur ne broncha pas, ce qui me complaisait dans la torpeur où je m’étais plongée. Cette parenthèse du papy voyeur me fut relaté par mon mari, dont le vieux pervers s’en était vanté. Le bien être d’être caressée par les rayons du soleil, me fit divaguer vers des songes lubriques, et comme souvent je me remémorais la scène d’il y a quelques semaines où la langue de Bugger m’avait fait jouir. A ce souvenir, je posais ma main sur mon ventre et mes doigts se mirent à effleurer le haut de mon pubis, mais l’appel impudique de ma matrice en quémandant davantage me fit glisser mes phalanges sous le bourrelet de ma culotte à la recherche de mon bouton lascif. Collé au tissu, je dégageais l’entrejambe de ma culotte et je me mis à lustrer parcimonieusement le capuchon de chair d’où pointa mon clitoris avide de dévergondage. Je me perdais dans mes folles pensées en laissant mes doigts me donner du plaisir. Ils s’humectèrent de mon stupre de débauche, lorsque je sentis la truffe de Bugger venir renifler mes cuisses. Je sursautais. Réveillée si brusquement je vérifiais rapidement les alentours de mon isolement, et sans réfléchir je me levais et me dirigeais vers le mobile home suivit de mon chien. Obsédée par mes rêves impurs, la chaleur et mon désir de jouissance, je poussais la porte de la chambre pour m’étaler sur le dos jambes écartées, n’attendant dans un état hypnotique que Bugger réitère sa bonne complaisance envers moi. Je n’eus rien à lui dire, aussitôt avachie sur la couette, sa langue vint me lécher le sexe. Yeux clos, je goutais l’instant doucereux, mais en désirant davantage, je me mis à écarter mes lèvres, sa langue s’insinua dans ma vulve à la recherche de ma sève de débauchée. Mon ventre se contractait de plaisir, j’étais en sueur dans cette chambre étouffante de chaleur, j’eus une jouissance explosive qui secoua tout mon corps comme une décharge électrique. Hystérique de cette impudique jouissance, je me retournais sur le ventre contre la couette, et genoux au sol, j’écartais mes cuisses moites pour me masturber. Je ne me rendis pas immédiatement compte que Bugger avait posé ses pattes antérieurs de chaque côté de mon buste. Sa langue se mit à me lécher le visage et son sexe raidi s’affairait énergiquement sur mes fesses qui ruisselait déjà de son liquide bestial. Je pris sans trop réfléchir ce sexe tendu et poisseux dans ma main et le guidait entre mes lèvres. Son pénis renflé prit possession de ma vulve à assauts rythmés et sans trêve. Dans son ardeur il lui arrivait de se retirer, mais c’était pour me reconquérir davantage. Je sanglotais et gémissais de bonheur. Je m’abandonnais à son déchainement de fauve en rut tout en me délectant de ce sexe qui me sillonnait sans répits. J’étais en eau, la sueur ruisselait de partout et coula dans mes yeux, la brulure du sel me fit voir trouble, j’étais dans un autre monde. Puis je sentis son sexe se dilater dans ma vulve, cette sensation de lui appartenir renouvela mon ivresse de luxure sans que je ne cherche à savoir ce qui se passait, je jouissais, j’étais ailleurs. Son sperme chaud envahit mon vagin, j’étais dévastée de convulsions et de tremblements. Souillée de sueur, de bave et de sperme j’étais au bord de l’évanouissement. Bugger se calma, son sexe resta planté dans mes chairs, et ce n’est qu’au bout de quelques secondes que je réalisais qu’en sentant son nœud dilater mon vagin, que nous étions collés. Mon amant, après m’avoir sailli et procurer une jouissance bien différente qu’avec un homme, me gardait sa prisonnière sexuelle. Le temps passait, et pour poursuivre ce plaisir, je me remis à me masturber. Lorsque calmé Bugger se retira, un flot de sperme ruissela de ma vulve et détrempa mes cuisses. Après cette dilatation imposée, je sentais mes lèvres restées béantes. Je restais allongée, cuisses ouvertes à reprendre peu à peu mes esprits et essayer de réaliser ce que j’avais fait. Je portais ma main à mon sexe maculé de sa semence et me caressais un instant avant de porter mes doigts à ma bouche pour apprécier son odeur. Je me sentais sale, avilie, mais heureuse. Je pensais à mes amies, mes collègues… Pouvaient-ils s’imaginer que sous mon air de bourge, comme souvent ils me surnomment, j’étais une dévergondée addict de sexe et que dans cette addiction je me déshonorais à me faire baiser par mon chien et y prendre du plaisir. Je mis plus d’un quart d’heure avant de retrouver mes esprits et me décider de me lever. J’étais dans une telle béatitude que je ne voyais pas les souillures sur la couette ni celles de mon maillot que je jetais dans la corbeille à linge. Je m’enroulais dans une serviette de plage pour aller prendre une douche.
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