Avec ma copine, on a souvent aimé pimenter nos ébats en nous menottant au lit et en se bandant les yeux. La personne attachée devient « l’objet » des désirs de l’autre, elle doit endurer le supplice de ne pas pouvoir bouger et participer tandis que son partenaire profite pour jouer avec et l’utiliser à sa guise (toujours dans le respect de chacun).Cela m’excite de la voir nue devant moi sans pouvoir voir ce qu’il l’attend et de la titiller et la rendre folle, car elle ne peut pas se toucher pendant que j’introduis ma queue dans sa bouche. Mais le sujet de ce chapitre ne se centre pas sur ma copine attachée, mais l’inverse.Il est jeudi soir, 20h et je rentre enfin du travail. Ma journée au travail a été très stressante et longue et je me sens épuisé et brisé. Je veux juste me poser et ne plus penser. Ma copine m’attend tranquillement sur le canapé devant une de ses séries et me salue. — Hello mon chat, ça va ?— Salut, ouais ça va. Je suis claqué...— Je vois ça, tu veux venir te poser près de moi ? J’acquiesce et viens me coucher sur ses genoux et elle commence à me caresser la tête amoureusement. Je ferme les yeux et apprécie le moment.Elle continue un bon quart d’heure comme ça puis je sens sa main descendre vers ma poitrine et me caresser gentiment, puis elle commence à me caresser uniquement avec ses ongles, acte qu’elle sait que j’aime énormément et qui a le don de me réveiller.Ses ongles se baladent allégrement sur mon torse en venant tourner vers mes tétons, les rendant durs et me faisant mordre la lèvre inférieure de plaisir tout en lâchant un petit soupir. Elle s’arrête d’un coup et me dit : — Viens, on va dans la chambre, j’ai une idée. Je la suis sans broncher et obéis quand elle m’indique de me coucher sur le lit. Elle se dirige ensuite vers la commode et en sort des menottes et des ligatures (attache-câbles) et s’approche de moi avec un air coquin. Elle me passe les menottes aux poignets et les relie aux lattes du lit avec les ligatures m’empêchant tout mouvement. Elle retire lentement mon boxer, laissant sortir mon pénis qui apparaissait relativement pas mal sous le tissu dû à une érection déjà bien entamée par la situation. Puis elle m’écarte les jambes et les attaches elles aussi aux lattes. Je me retrouve totalement nu et ligoté sur le lit. Totalement exposé. Elle sort ensuite un bandeau et le balade sur mon corps tout en remontant vers mon visage et me le met. Je ne vois plus rien et je suis de plus en plus excité par la situation. Tous mes autres sens sont en éveil et je sens son souffle chaud dans ma nuque. Je sens sa respiration chaude se rapprocher de mon oreille, elle profite pour ensuite me mordiller les lobes et gémir de manière très érotique. En même temps, sa main descend le long de mon corps afin de reprendre les caresses débutées sur le canapé auparavant. Ses doigts viennent pincer mes tétons, m’arrachant de petits gémissements de plaisir avant de continuer son chemin vers mon nombril autour duquel elle prend un malin plaisir à tourner tout en frôlant mon bas-ventre, lançant des décharges dans tout mon corps. Puis sa main empoigne d’un coup ma queue dure pointant tel un building vers le plafond, formant un parfait angle droit avec mon corps et elle me susurre dans l’oreille : — Mmmmmmmmhh, qu’elle est bien dure et chaude ta belle grosse queue... Je veux l’avoir en moi.
Puis elle me lâche et s’éloigne pendant un bref instant pour revenir avec un casque qu’elle connecte à une de mes playlists Spotify afin de supprimer un autre sens. Je suis à présent sourd et aveugle. Je sens à nouveau ses mains sur mon corps transits par l’excitation, sur mes pieds qu’elle commence à masser et sur mes jambes. Je ne peux m’empêcher de l’imaginer en face de moi, à fixer mes parties sur lesquelles elle doit avoir une vue parfaite. Elle remonte petit à petit mes jambes avec ses doigts, se rapprochant dangereusement de mes testicules et commence à les caresser. Elle les prend entre ses mains et les malaxe gentiment tout en faisant glisser ses ongles sur ma verge en passant sur l’aine, les cuisses et s’aventurant même plus derrière vers ma prostate. Sa langue douce et chaude vient remplacer ses doigts et remonte ma hampe jusqu’à mon gland totalement décalotté. Mon cœur bat dans mon sexe qui se meut sous ces coups de langue divins avant que sa bouche vienne gober cet organe gorgé de sang. Elle entame un long et doux va-et-vient avec sa bouche. Sa bouche si chaude et douce, si soyeuse, enveloppant mon bout d’un drap de satin me faisant gémir intensément. — Mmmmhhhh Jessica, ta bouche est si bonne put... Et avant que je puisse finir ma phrase, un sein vient me faire taire. Pris sur le fait, je ne réfléchis pas plus et profite de cette opportunité pour le sucer avidement avec beaucoup de plaisir. Cependant, je finis par me rendre compte que ma bite est toujours sous les coups de langue avisés de ma chérie et que de ce fait, je ne peux pas avoir son sein dans la bouche. Mais la situation, même surprenante et inconnue, m’excite tellement que je ne pousse pas la réflexion plus loin et continue à profiter de ce gros sein sous ma langue. J’en étudie, avec beaucoup de plaisir, toutes les aspérités. Passant de son téton dur comme du béton à son aréole tout en en profitant pour en aspirer le plus de surface possible et goûter chaque parcelle de peau douce de cette poitrine si goûtue. Durant ce temps, ma copine dévore toujours avec appétit mon dard tout en me branlant bien et faisant jouer sa langue sous mon gland, vers mon frein, me titillant énormément.Je sens qu’une main déplace le sein afin de faire passer ma langue dans d’autres endroits. Je lèche avec bonheur le dessous du sein, sachant quel plaisir intense cela peu créer, et me refait diriger sur le creux de la poitrine avant d’aller m’attaquer à son jumeau laissé pour compte jusqu’à maintenant. Je mordille avec ardeur et envie ce mamelon laissé en retrait laissant échapper un cri de plaisir de sa propriétaire (tombé au bon moment entre deux chansons). Suite à ça, ma bouche est prise d’assaut par une langue agile passant de mes lèvres à l’intérieur de ma bouche en s’entremêlant à ma langue. Je me délecte de cet échange de salive pendant que Jessica remonte avec sa langue sur mon ventre et mon torse et vient la rajouter au ballet se passant dans ma bouche. Nos lèvres se cherchent et se touchent, s’embrassent. Nos langues viennent s’entremêler. Je sens une langue me lécher les lèvres pendant qu’une autre passe sur la mienne. Je sens une bouche happer ma langue pendant qu’une autre essaie de me mordre la lèvre inférieure. Le casque de musique m’est enlevé et je peux entendre des bruits de bouches qui s’embrassent, des langues qui se sucent. Ce bruit mouillé d’un baiser langoureux. Puis le bruit s’arrête et je sens du mouvement. Je sens un corps se positionner au-dessus de mon bas-ventre puis un contact chaud et humide sur ma queue qui est poussée à plat en arrière. Je sens une chatte dégoulinante de mouille commencer à se frotter sur ma bite. Emprisonnée entre ces grandes lèvres qui me branlent, lubrifiée par cette cyprine me faisant saliver. Et comme pour répondre à cette pensée, je sens un vagin se poser sur mon visage. Je sens toute la moiteur de cette vulve rayonner sur moi et je me précipite pour laper le délicieux liquide coulant de ce sexe. Je commence à farfouiller l’intérieur de cette chatte opérant des va-et-vient afin de pénétrer cette petite grotte humide. Des mains agrippent ma tête sous l’effet de cette action, mais une certaine maîtrise empêche les gémissements et je ne peux donc toujours pas savoir qui est la seconde personne et à qui je bouffe la chatte. Néanmoins, cela ne m’empêche aucunement de pleinement apprécier le fait d’avoir un bon minou suintant de jus onctueux sur mon visage et dans ma bouche et d’avoir un autre vagin se frottant frénétiquement sur mon pénis. N’y tenant plus, ma partenaire s’occupant de jouer avec ma verge décide de finalement s’y empaler et laissant échapper un râle plus qu’éloquent sur le plaisir que la grosseur de mon engin lui procure. Sur ce cri, le bandeau m’est arraché et je peux pleinement admirer au-dessus de moi une belle paire de seins se faisant malaxer allégrement et le visage de ma copine rouge d’excitation.Elle profite de cette occasion pour pimenter encore plus la scène et se met dos à moi, me permettant d’admirer la chatte de Claudia tout comme ses seins ainsi que de savoir qui je tétais pendant que Jessica me prenait divinement en bouche, et commence à lécher les seins de ma voisine. J’entends les gémissements de Claudia se mélangeant au bruit de succion de la bouche de Jessica sur ses tétons. — Huuummmm, oui c’est bon Jessica, lèche-moi les seins... Mmmmmmhh oh oui, cette belle queue qui me remplit, je sais plus où donner de la tête. Et ma copine qui double d’ardeur sur ses beaux mamelons pendant que je lui dévore sa petite chatte au goût enivrant. Je rêve, ma voisine si désirable et qui paraissait cependant si inaccessible est empalée sur ma verge et me baise fort pendant que je baise le vagin de ma copine avec ma langue pendant que ma chérie, elle, bouffe les seins de ma voisine. Je n’y tiens plus et je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer. Le sentant, les deux s’arrêtent et se mettent de façon que je puisse bien voir tout ce qui va se passer.Claudia, la tête entre les cuisses de Jessica, commence à y faire jouer de sa langue reprenant là où j’ai été obligé de m’arrêter. Je vois cette belle petite langue s’agiter sur les lèvres et le clito de ma chérie, elle la lèche de haut en bas et vient aspirer son clito avant de redescendre s’abreuver dans son puits débordant de liquide. Elle embrasse ensuite l’intérieur de ses cuisses, les mordille et commence à malaxer ses seins en même temps. Puis elle monte en faisant aller sa langue sur le corps de Jessica et vient lécher ses tétons pointant bien durs. Excitée par tout ça, Claudia ne peut pas s’empêcher de jouer avec sa chatte et de se masturber. Je regarde ces actions avec envie et frustration de ne pouvoir ni participer ni me toucher. Claudia ayant pitié abandonne la poitrine de Jessica et vient vers moi et agrippe ma queue afin de commencer à la branler de plus en plus fort et vite avant de me prendre en bouche. Ma voisine commence à me sucer avec envie en prenant soin de bien le montrer. — Mmmmhhhh *slurp* mmhh, si bonne et si dure *slurp* Ces gémissements et ces bruits de pipe bien baveuse me rendent fou et j’observe ma copine nous regardant tout en se touchant. — Huuuummm cette belle bite, tu es chanceuse Jessica *slurp*... Mmmhh je la veux à nouveau en moi. Je la veux en moi pendant que lèche ta copine. Suite à ces mots, elle me détache et repositionne sa tête entre les jambes de Jessica, présentant bien sa croupe pour que je la prenne en levrette. Je ne me fais pas attendre et viens présenter mon gland à l’entrée de sa vulve et la caresse ainsi, enduisant ma queue de sa mouille. — Mmmhhh vas-y Lars, prends-moi ! Baise-moi pendant que je bouffe la chatte de ta copine ! Je m’enfonce d’un coup en elle et commence mes va-et-vient. Elle lâche un cri de surprise puis gémit de plus en plus fort à mesure que j’accélère le rythme. Je vois ma copine les yeux révulsés par le plaisir qui agrippe la tête de Claudia pour la tenir contre sa chatte. Je continue ma pénétration effrénée dans la chatte de ma voisine. Je me sens plus vraiment loin de l’orgasme et tente de mon mieux de me gérer pour ne pas jouir en elle (elle ne prend pas la pilule, mais le plaisir de mon gland nu contre les parois chaudes et humides d’une bonne petite chatte est incomparable). Je ralentis le rythme et Claudia en profite, comprenant ce qu’il se passe, pour se concentrer plus sur ma copine afin de la faire jouir. De son pouce, elle caresse son clito et avec le majeur de son autre main la pénètre. Les va-et-vient de ce doigt, le frottement de l’autre sur son clito ainsi que la situation ont raison d’elle et elle est prise de spasme et convulsion sous l’effet de cet orgasme. Le temps de se remettre de ses émotions, elle nous rejoint et vient se placer en 69 sous Claudia. Je reprends gentiment mes coups de reins et Jessica alterne sa langue entre le clito de ma voisine et ma queue. Cette langue habile et mes mouvements amènent rapidement Claudia à l’orgasme elle aussi. Mes deux partenaires ayant joui comme il se doit, je peux totalement me lâcher et commencer à prendre férocement ma voisine. Je lui donne des coups de queue de plus en plus intense et rapide et je lui agrippe un sein pendant que je la pilonne. Bien entendu, mon tour de jouir ne tarde pas à arriver et avant de lâcher toute ma sauce, je me retire prestement de ce doux vagin et viens tout décharger sur les seins de ma copine restée en dessous. Je m’écroule à mon tour, épuisé et vidé d’un côté et saisis un mouchoir pour essuyer les seins de ma copine pendant que ma voisine se laisse tomber de l’autre côté et nous nous assoupissons comme ça.
