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Expériences universitaires

Chapitre unique

Hétéro
La journée s’annonçait très chaude, l’été était arrivé et la canicule le suivait de près. Heureusement que les cours universitaires touchaient à leur fin. Pour bien commencer ma dernière semaine de cours, j’enfilai une robe jaune pâle légère tombant jusqu’à mi-cuisse. Comme celle-ci maintenait suffisamment ma poitrine, déjà ferme et peu volumineuse, je décidai de ne pas mettre de soutien-gorge. Un dernier coup d’œil dans le miroir et je sortis de mon appartement.Une brise calme soufflait en cette matinée de juin, rafraichissant les passants et faisant voler les pans des robes et des jupes. Heureusement que je n’avais pas fait l’impasse sur la petite culotte. Je montai dans le bus et m’assis à l’arrière. Quelques arrêts plus tard, Mathieu, un camarade de classe avec qui je discutai de temps à autre, s’assit à mes côtés et nous commençâmes à parler de la pluie et du beau temps. Au fil des minutes qui s’écoulaient, je remarquai de plus en plus de détails auxquels je n’avais jamais prêté attention, comme son sourire, sa mèche tombante, ou la façon qu’avaient ses yeux de s’étirer et sa tête de se pencher légèrement sur la droite lorsque je disais une phrase amusante.Soudain, je remarquai que nous étions arrivés devant notre salle, je n’avais pas vu le temps passer. Il me salua et partit rejoindre son groupe d’amis. Je le regardai encore quelques secondes, puis secouai la tête pour me remettre les idées en place avant de m’assoir avec ma meilleure amie.Les cours arrivant à leur fin, la plupart des professeurs profitaient de ces journées pour nous apporter d’ultimes conseils pour les révisions avant les examens. La journée se poursuivit comme les autres, mais Mathieu restait quelque part dans le coin de ma tête. En sortant de la classe, je le cherchai des yeux mais ne le vis pas, il devait être pressé. Je me surpris à être un peu déçue. Le lendemain, je mis une culotte en dentelle noire, une jupe courte de la même couleur et un top rouge. Je mis également un peu de rouge à lèvre et de mascara, ce qui m’arrivait rarement pour une journée de cours. Je partis prendre mon bus et m’assis au même endroit que la veille. Lorsqu’arriva l’arrêt de Mathieu, je regardai attentivement s’il était présent, et souris quand je le vis monter. Il s’assit à nouveau à côté de moi. Il avait le même sourire et je pouvais distinguer sa musculature discrète mais bien présente sous son t-shirt blanc proche du corps. Une fois arrivés à l’école, les cours s’enchainèrent, la journée défila et la sonnerie annonça déjà la fin des cours. Cette fois-ci, je me dépêchai de sortir en espérant le voir, mais aujourd’hui il m’attendait dans le couloir. Je fis semblant de le voir sans l’avoir cherché et le rejoins. Il me demanda de le suivre car il voulait mon avis sur une maquette qu’il avait construite pour le cours de matériaux. Un peu étonnée, j’acceptai et il m’emmena dans une petite salle que personne n’utilisait à ma connaissance, et encore moins pour du maquettage. Au moment où je passai la porte, il la referma, se tourna vers moi et m’embrassa. Je fus surprise mais acceptai le baiser avec plaisir.Nos lèvres commencèrent à jouer ensemble, puis elles s’écartèrent et nos langues se trouvèrent. Elles s’emmêlaient dans un ballet de douceur et de salive partagée. Nos corps se rapprochaient et finirent par être collés l’un à l’autre. Sa main glissa lentement sous mon haut mais s’arrêta à mi-chemin. Je passai la mienne sous son t-shirt pour lui signifier qu’il pouvait continuer. Il ne se fit pas prier. Je remarquai un sourire sur ses lèvres lorsqu’il commença à ploter ma poitrine et qu’il remarqua que je ne portais pas de soutien-gorge aujourd’hui non plus. Mes tétons durcirent rapidement et ce fût le signal qui lui fit changer de direction et passer une main sous ma jupe. Après avoir écarté ma petite culotte, il trouva ma vulve bien humide. Il y mit un doigt qui rentra sans soucis. Pendant ce temps, j’avais caressé son torse musculeux et étais également descendue vers son sexe ; je le caressai à travers son jeans. J’entrepris de déboutonner son pantalon, le fis tomber sur ses chevilles et libérai la bête déjà bien dure. Après quelques caresses de ma part, il me plaqua contre le mur, enfila rapidement un préservatif et me souleva en me tenant sous les fesses. Ainsi, mon sexe était en face du sien malgré notre différence de taille. Il posa son gland sur ma vulve et me pénétra en douceur, centimètre par centimètre. Je fermai les yeux et posai ma tête contre le mur. Il continua à enfoncer son engin en moi, cette position lui permettant d’aller jusqu’au fond de mon vagin. Il fit ensuite de timides allers-retours avant d’accélérer la cadence. Son souffle puissant se joignait à mes gémissements que j’essayai de rendre le plus discrets possible.Lorsque ses bras commencèrent à fatiguer, il me porta sans sortir sa bite de mon trou et me coucha sur une table de la petite salle. Il continua ses va-et-vient en les accélérant, ses boules venant taper mes lèvres à chaque pénétration. Soudain, je sentis son sexe devenir plus dur encore et sa respiration se faire plus rauque. Mon orgasme approchait en même temps et mon jus dégoulinait sur le sol tant j’étais excitée. Quand il éjacula, ce fût le déclencheur d’un magnifique orgasme me traversant de part en part. Tout mon corps se contracta et mes jambes tremblèrent de manière incontrôlée. Il fit encore quelques va-et-vient lents avant de se retirer et de me laisser souffler, couchée sur la table de classe. Je remis ma culotte et me levai. Je trouvai un peu de papier pour essuyer toute la cyprine qui avait coulé le long de mes jambes et sur le sol. Nous nous embrassâmes ensuite une dernière fois, avant de sortir discrètement puis de partir prendre notre bus.Nous discutâmes encore durant tout le trajet du retour de choses et d’autres, comme si ce qui venait de se passer était tout à fait normal. Le lendemain matin, je pris mon bus avec un sourire qui trahissait mon envie de revoir Mathieu. Je m’assis à la même place. Cependant, lorsque passa son arrêt, je ne le vis pas monter, et personne ne vint s’asseoir à côté de moi. Je fus déçue. Ma peine ne dura heureusement pas longtemps, car je le vis m’attendre à l’entrée de la salle de classe. Nous nous embrassâmes discrètement et entrâmes en cours. La journée se passa comme les précédentes, et j’écoutai avec ennui les professeurs résumer les cours du semestre et répondre aux dernières questions. Lorsque la fin du cours sonna, je me levai sans attendre et sortis de la classe. Mathieu me rejoignit et me proposa de m’emmener en voiture au bord du lac se trouvant non loin de l’université. J’acceptai avec grand plaisir et nous montâmes dans son bolide, qui se trouvait être la voiture de ses parents qu’ils lui avaient prêtée. Après une vingtaine de minutes de trajet, il quitta la route et emprunta un chemin en gravier s’enfonçant dans la forêt. Depuis un petit moment déjà, je m’amusai à le titiller gentiment. Je caressai sa cuisse et me dirigeai vers son paquet, en passant un doigt ou deux sur la bosse grandissante de son pantalon. Il dû en avoir assez car il s’arrêta brusquement sur une place au bord du chemin forestier. Je crus d’abord qu’il allait me demander de me calmer, mais il recula son siège au maximum et me fit monter sur lui. Le siège était assez large pour que je puisse poser mes genoux à côté de ses hanches et m’asseoir à califourchon sur ses cuisses. Nous nous embrassâmes langoureusement pendant un long moment.Il me demanda ensuite de me relever et il profita de l’espace pour ouvrir son pantalon et le baisser jusqu’aux genoux ce qui eut pour effet de faire sortir son sexe en érection comme un ressort. Il libéra ma chatte en écartant mon string rouge, enfila un préservatif et je m’assis sur son bâton bien droit. Je sentis son sexe me pénétrer bien profond et commençai des va-et-vient à bonne allure. J’avais tellement envie de lui, que j’étais déjà bien assez mouillée. Il se laissa aller au fond du siège et profita pleinement des mouvements de mon corps gracile. Après un moment, il retira mon t-shirt et mon soutien-gorge sans difficulté et s’attaqua à ma poitrine. Il plota mes seins puis s’attarda sur mes tétons qu’il caressa, pinça et fit rouler entre ses doigts. Je ralentis un peu mes va-et-vient pour profiter, mais cela m’excita énormément et je sentis que je ne tarderai plus à jouir. Je repris donc de plus amples et rapides mouvements pour le plus grand plaisir de mon amant.Après à peine une minute, je jouis intensément et mes cuisses se contractèrent autour de ses jambes. Je continuai malgré tout mes mouvements et il éjacula une dizaine de secondes plus tard. Quand je sentis son liquide chaud au fond de mon vagin, cela finit de m’achever et je me laissai retomber contre son torse, son sexe toujours en moi. Nous respirâmes un moment pour nous remettre de nos émotions, puis nous nous séparâmes, nous rhabillâmes et reprîmes tranquillement la route en direction du lac pour une belle balade main dans la main.
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