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Expérimentations et incongrus

Chapitre 1

Le début de quelque chose

Voyeur / Exhibition
Avec un ami, que nous appellerons Benoît, nous nous sommes un jour rendu compte par le plus grand des hasards que nous avions tous les deux un terrain commun en termes de sexualité. Je me reconnais volontiers comme bisexuel et lui comme hétéro, mais il n’est pas question ici d’une quelconque attirance.
Je ne me souviens plus comment on en est venu à mettre ce sujet sur la table, mais il était bel et bien là et parfaitement assumé : j’aimais l’exhibitionnisme et il aimait le voyeurisme. On a donc passé un certain moment à se raconter nos histoires et péripéties, moi avec mes masturbations dans des lieux risqués et lui ses parties de jambes en l’air dépassant le cadre de ce qui est communément admis comme "normal" dans ce pays.
À l’époque, j’aimais beaucoup prendre des photos de mes excursions que je lui partageais donc sans la moindre honte. Ici une promenade, nu dans des bois, là une éjaculation explosive en plein milieu d’un jardin public déserté, une averse récente ou encore mes expositions à risques comme les fois où j’ai parcouru les parties communes de mon immeuble, complètement nu avec un barreau lubrifié, celle où je me suis touché jusqu’à en jouir sur mes vitres face aux ouvriers du bâtiment qui refaisaient une toiture quelques mètres plus loin (qui, pour l’anecdote, ne m’ont pas une seule fois calculé alors qu’il avait juste à tourner la tête) ou encore cette soirée d’hiver enneigé où j’ai marché en ville pendant une bonne demie-heure, mon sexe irrigué prenant l’air à l’insu de tous sous mon trench-coat.
Il m’a également accompagné virtuellement durant toute l’époque où je me donnais en spectacle sur Internet, via des sites de cam. Sacrée époque, ça aussi. C’est vraiment une sensation particulière de savoir que deux cents personnes vous regardent vous astiquer le manche dans votre chambre d’hôtel et jouir à en recouvrir le carrelage, les fenêtres ouvertes donnant sur un vis-à-vis de tous les diables.
Bref, la confiance s’était installée et nous avions de moins en moins de gêne. Jusqu’à ce qu’un jour, on organise une rencontre dont le seul but serait de passer la journée, nus, ensemble, à regarder des pornos et à se masturber dans la joie et la bonne humeur. Je n’avais pas d’autre idée derrière la tête et lui non plus. Des règles avaient même été posées pour encadrer tout ça : on ne se touche pas et on ferme les volets. Chose que j’ai acceptée sans tergiverser. Nous voulions simplement expérimenter gentiment en brisant une nouvelle couche de glace et il n’avait pas mon expérience en exhibitionnisme.
Le jour J est arrivé et je l’ai reçu chez moi. Habillé, commençons doucement. C’était la première fois que nous allions nous voir dans le plus simple appareil tous les deux et bien que nous avions maintes fois aperçu nos corps respectifs via des photos et tchats vidéo, il restait quand même une certaine dose de stress. Nous étions jeunes, tout juste la vingtaine, rien d’anormal.
Nous avons commencé par boire un verre. Juste un, pour détendre les nerfs et faciliter le processus. Je n’aime pas l’alcool et se bourrer la gueule n’aurait rien donné d’intéressant. On a discuté, on s’est échangé des banalités, puis s’est installé le silence inévitable. Celui qui ne disait rien, mais qui était lourd de sens : "Bon. On y est. C’est le moment. On sait tous les deux pourquoi on est là alors comment on attaque ? Qui commence ? Que fait-on ?".
J’ai saisi au vol la poussée d’adrénaline qui venait de m’envahir et je me suis levé. J’ai dit quelque chose comme "Allez, de toute façon on va y venir" et j’ai entrepris de me déshabiller. J’ai retiré mon t-shirt que j’ai balancé sur le canapé non loin, aussitôt suivi par mon bermuda qui ne dissimulait aucun sous-vêtement. Mon grand corps mince, un brin musclé et imberbe était désormais complètement exposé et je sentais son regard le parcourir avant de s’arrêter sur mon sexe qui entra instantanément en érection, tirant la peau de mes testicules pleins qui pendaient tout de même en raison de la météo estivale. "Tu bandes vachement vite quand même". Il le savait déjà, bien entendu, mais il ne s’attendait pas à ce que je sois sensible à ce point.
Mon érection était effectivement totale. Sèche, mais verticale, ma queue était habitée par des soubresauts causés par les afflux sanguins suivant le rythme de mon cœur. Je ne cherchais nullement à me retenir, mais j’avais un peu triché, je dois l’avouer. Aucune drogue ni quoi que ce soit du genre, je vous rassure. Voyez-vous, le rasage de mes parties génitales produit chez moi un effet aphrodisiaque qui s’accompagne généralement très bien avec le fait que je reste nu les deux jours qui suivent le passage du rasoir, afin que les crèmes hydratantes fassent leur office tout en évitant les frottements des vêtements. En ce temps, je retirais l’intégralité des poils de ma verge et de mes testicules, pour ne laisser qu’un trapèze parfaitement dessiné et entretenu sur mon bas-ventre. Vous l’avez donc compris, je m’étais rasé la veille.
Ce n’était donc pas surprenant que ma queue se dresse fièrement sous le regard insistant de Benoît qui vit mon prépuce s’enrouler doucement pour révéler un gland de plus en plus épais.
Mon objectif dans ce mouvement était de le mettre en confiance, certes, mais aussi de me la raconter un peu, je l’admets. C’est pourquoi j’ai attendu ce moment-là spécifiquement pour aller fermer les volets comme le stipulait notre règlement. En parcourant les quelques mètres qui me séparaient de ma place assise aux volets, je sentais ma queue rebondir parfois sur mon abdomen au rythme de mes pas, verge dure qui frappait mes poils taillés, sensation de tiraillement à la fois gênante et excitante. Pour situer, je vivais dans un immeuble de quatre niveaux et résidait au dernier. Je n’avais pas réellement de vis-à-vis à moins de s’installer sur les toits des immeubles d’en face, mais, si je me collais à la vitre, nul doute qu’un passant de la rue située une centaine de mètres plus loin n’aurait qu’à lever la tête pour admirer le spectacle à travers les baies vitrées et les barreaux du garde-corps. Autre détail important : les volets étaient roulants et partiellement automatisés.
J’entends par là qu’il fallait maintenir une pression sur le boîtier de contrôle fixé sur le mur à côté de chaque baie, et attendre bien trente voire quarante-cinq secondes pour que la fermeture soit complète. Trente secondes, nu et bandé, devant chaque baie vitrée. J’ignore ce que Benoît a pensé à ce moment-là, mais je réalise en écrivant ces lignes que mon fessier était encore parfaitement ferme et rebondi à l’époque. Il avait donc largement de quoi s’occuper les yeux, entre mon postérieur et mes quinze centimètres qui tremblaient toujours dans leur verticalité absolue et au bout desquels une goutte de fluide lubrifiant commençait à naître. Je ne me considère pas comme étant monté comme un âne, loin de là, mais ce morceau de plomberie irrigué fait le taf et j’en suis assez fier, même s’il penche un brin à gauche au repos. Et à cet instant précis, j’étais persuadé que mon chibre remplissait l’office que je lui demandais sans encombre et sans stimulation manuelle.
Le premier volet fermé, j’ai pris la direction du second. Mon sexe reprit sa danse et du bout du pouce, j’ai récolté la goutte de liquide pré séminal pour l’étendre sur toute la surface de mon gland à présent gorgé de sang. La membrane fine de mon organe soudain lustré refléta les éclats de la lumière du salon alors que je passais devant Benoît pour une nouvelle fois lui tourner le dos et lui présenter mon postérieur dansant lui aussi, avant de disparaître dans la pièce suivante.

Je ne m’étais pas touché le temps que mon volet se ferme et comme je guettais l’extérieur à la recherche d’un éventuel témoin, mon barreau était quelque peu redescendu. Je suis donc revenu dans la pièce principale avec mon membre à l’horizontale qui se secouait de droite à gauche en surplombant mes testicules rasés, une nouvelle goutte au bout de mon gland toujours exposé. J’y ai trouvé mon ami en caleçon, retirant la dernière jambe de son pantalon. Il était toujours aussi bien bâti, musclé par ses années de rugby et entretenu par sa coquetterie inhérente à son besoin d’être toujours présentable en cas de relation sexuelle impromptue. Son torse était partiellement recouvert de poils aux positions stratégiques et le renflement de son entrecuisse laissait deviner le volume de son paquet à travers le textile. Je savais que ces boules étaient plus grosses que les miennes, mais ce que je voyais là était clairement un début d’érection.
Fier de mon effet, j’ai laissé ma main descendre sur mon manche et l’explorer tout doucement, afin de le conserver dans sa position basse, ma préférée. Je me suis ainsi dirigé vers le PC allumé pour installer la position que nous allions occuper pendant les heures à venir. Dans mon dos, Benoît se caressait sous son caleçon et récupérait une clé USB chargée de films X glanés par-ci par-là. Peut-être ne se sentait-il pas encore prêt à se dévêtir complètement, ou peut-être profitait-il de l’instant ? Peu importait. Nous étions là pour nous faire plaisir et la journée commençait à peine.
Il s’est installé sur le fauteuil à côté de moi et m’a tendu la clé tout en posant sur le bureau une bouteille de lubrifiant. On en avait parlé : son sexe produisait naturellement une bonne quantité de liquide préséminal, mais pas moi. Si on voulait tenir la journée, j’allais avoir besoin d’aide. J’utilisais habituellement de l’huile d’olive : ça tient longtemps, ça sent bon, mais c’est pénible à nettoyer. C’était l’occasion de découvrir le lub’. Je lâchais donc mon pénis qui tomba lourdement sur mon ventre afin de brancher l’appareil à l’arrière de ma tour et nous étions partis, lui la main sous son dernier bout de tissu et moi le chibre à l’air qui vivait sa vie sous les regards occasionnels de mon ami.
Si la jouissance pouvait venir très très vite lorsque je me branlais seul, j’étais à l’inverse très endurant accompagné, et je savais que lui aussi. On allait donc passer un excellent moment à dévorer des heures de corps sublimes s’emboîter dans tous les sens dans les limites de la souplesse humaine, et la giclée allait être prodigieuse tant de son côté que du mien.
On a commencé avec un classique, un film de Clara Morgane. Je n’avais jamais vu de porno aussi "vieux" (bien qu’il reste très récent) et encore moins avec des actrices aussi connues, alors pourquoi pas. Je ne me souviens pas du tout du titre et le retrouver aujourd’hui dans mes participations cachées prendrait trop de temps, mais le film s’ouvrait sur Clara dans un poste de police, en plein interrogatoire durant lequel elle présentait les amies avec qui elle avait effectué un cambriolage de haute volée. Elles avaient toutes leur champ d’expertise, tant dans la cabriole que dans l’intimité et les démonstrations étaient suffisamment équivoques pour que je les crois sur parole.
Celle-ci adorait se couvrir le corps de glaçons lorsqu’elle chevauchait un homme, celle-là ne jurait que par l’anal, la troisième était diplômée en gorge profonde et la dernière hypnotisait n’importe qui avec sa merveilleuse vulve aux grandes lèvres humides et, à ma grande surprise pour l’époque, entièrement épilée.
Le film s’enchaînait. Les filles infiltraient maintenant le manoir qu’elles avaient pris pour cible et se faisaient repérer par deux gardiens. Ils les ont interpellés sans grande conviction et ont très vite fini par dégainer leurs verges. Elles étaient tout aussi sublimes que les filles qui les suçaient. Larges, longues, veineuses, rasées de près et munies de glands à la symétrie parfaite qui invitent par leurs seules présences quiconque les regardait à jouer avec encore et encore, que ça soit avec les mains ou la langue. Assumer mon orientation aujourd’hui n’est plus un problème et ça ne l’était pas non plus ce jour-là, aussi ai-je scruté ces engins aux dimensions d’armes blanches sans la moindre honte, tout en précisant verbalement que je le faisais.
Mon érection avait de nouveau atteint ses plus hauts sommets et je me contraignais à rompre le contact avec mon gland pour préférer masser le corps de ma queue, faisant naviguer mes mains de mes testicules à la limite du prépuce, lentement. De temps en temps, quand elle se présentait, je jouais avec la goutte de mon lubrifiant, l’étirant en filaments avant de m’en recouvrir le gland, un téton ou même la langue. Je me souviens avoir placé mon bras gauche derrière ma tête pour pleinement exposer mon intimité, mon sexe tendu dans ma main droite qui le secouait tendrement. Je m’enquerrais de la situation de mon ami qui, je le voyais du coin de l’œil, alternait régulièrement entre le film, ma bite et la sienne. Il avait toujours son caleçon, mais celui-ci présentait une tache humide qui laissait entendre que l’affaire suivait son cours immuable.
Il l’a d’ailleurs retiré quelques minutes plus tard et j’ai détourné le regard pour lui accorder un moment, au cas il resterait encore un peu de gêne. Je vis tout de même dans ma vision périphérique que ses bourses charnues étaient regroupées en une masse compacte sous son membre tendu qui gesticulait au fil de ses gestes. Le long fil de liquide préséminal raccordant son gland partiellement caché par son prépuce au caleçon se brisa et pendouilla un moment avant de se coller à sa cuisse. J’ai profité de cette pause pour me lever à mon tour et aller chercher la bouteille de soda pour nous servir un verre.
On discutait toujours, soit du film soit d’autre chose et nous avons eu l’idée de faire un Petit Jean, cette pratique étrange qui consiste à se tremper le sexe dans le verre avant de le boire. Je le regardais donc guider son pénis dans son verre et le tremper allègrement, mélangeant son lubrifiant au liquide gazeux. Son membre tendu d’excitation était un brin plus court que le mien et ses veines moins visibles sous sa peau plus sombre, mais il me dépassait en largeur et surtout, détail qui allait avoir son importance dans les secondes à venir, en souplesse. Son prépuce s’est replié pour dévoiler complètement son large gland rougi par l’excitation au moment où il entrait en contact avec la boisson. Il a levé la tête et attendait que je fasse de même. Ce fut plus long, comme je le craignais. Ce spectacle était excitant et savoir que j’allais le faire moi aussi ajoutait une nouvelle couche à mon état.
Résultat, ma queue indiquait le plafond et une veine mal placée m’empêchait de la faire retomber à moins de me forcer mentalement à débander. Ce qui n’était franchement pas évident entre les gémissements de Clara, les corps s’entrechoquant, les pénétrations humides et Benoît qui touillait son verre avec son épais joystick. Mais j’y parvins tout de même. Tout doucement, mon outil piqua du gland jusqu’à toucher le bord du verre. Je sentais les bulles exploser à la surface du liquide et projeter leurs particules sucrées sur ma verge. Enfin, j’insérais mon sexe dans le verre et plongeais mon gland ainsi que ses sécrétions dans mon verre. Le froid m’a déclenché une vague de frissons, les bulles ont englobé ma queue, longeant mon gland ultra-sensible. C’était diablement agréable. J’ai voulu le plonger jusqu’à toucher le fond, mais mon érection reprit de plus belle et je sentais mon sexe se redresser, poussant le verre qui bloquait son essor.
Je n’eus donc d’autre choix que de le retirer et Benoît fit de même. On but ensemble une grande gorgée de nos propres verres, nos membres sucrés dressés fièrement l’un en face de l’autre, à un bon mètre de distance. Sa main vint étaler ses sécrétions et le soda sur toute la surface de sa virilité brillante. De mon côté, j’ai passé un doigt sur mon bout pour le recouvrir de lubrifiant et le porter à ma bouche, curieux de voir le mélange de saveur entre la boisson archi-sucrée et le sel de mon organisme et découvrir, déçu, qu’on ne sentait pas le soda.
On s’est réinstallé et on a repris notre séance de cinéma. La suite du film s’est déroulée de la même manière. Clara et ses amies se faisaient combler les orifices par des gars montés comme des dieux et nous nous astiquions de concert en commentant ce que l’on voyait. Nous nous observions aussi parfois, laissant nos regards détailler le moindre de nos gestes. Lui, il observait mon membre gagner en volume au gré des sollicitations, utilisant parfois mes deux mains pour varier les plaisirs. Moi, je découvrais sa routine, ses gestes rapides, ses pauses pendant lesquelles il secouait sa large matraque trempée et ces moments où il empoignait son gland à pleine main pour étaler le lubrifiant qu’il n’avait de cesse de produire, mouillant ses cuisses régulièrement et y laissant des longs fils transparents. Tout cela était très, très excitant, mais aucun de nous n’avait dit son dernier mot.
Le film s’est achevé et on en a démarré un nouveau, une parodie X de Star Wars Épisode IV. Un film qui devient très perturbant lorsque l’on connaît la franchise d’origine, car on y voit Luke salement envahir l’utérus grand ouvert de Leia ainsi que notre chère princesse gober à pleine bouche le dard ébène monumental de Darth Vador. Mais passons. Nous étions toujours nus comme des vers, parlant des similitudes entre les deux œuvres, comme si nous n’étions pas en même temps en train de se lustrer nos manches tendues et gorgées de plaisir. Je ne sentais plus ses regards sur mon intimité, mais je savais qu’il ne se gênait pas pour détailler ma verge tout comme je prenais parfois de longues secondes pour observer sa main jouer avec son morceau épais et dégoulinant.
La scène de la cantina, aujourd’hui toujours gravé dans mon esprit bien qu’elle n’ait rien de particulier, s’est lancé pour révéler deux femmes déguisées en Twi’leks qui s’exploraient sensuellement de leur langue respective devant toute la clientèle de la salle. Leurs corps étaient somptueux et les voir se débarrasser lentement des bouts de tissus les masquant à peine était un délice. Les langues s’attardèrent longuement sur les seins dont les tétons se gonflèrent progressivement puis une main se glissa sous la lingerie pour en ressortir humide quelques secondes plus tard. Cette même main qui ensuite tira le textile pour permettre à la tendresse de peu à peu se muer en de grands coups de langue que venaient accompagner quelques doigts directement insérés dans les profondeurs interdites.
Les deux déesses gémissaient et le signal était donné : elles se bouffèrent la chatte goulûment dans des longs plans serrés dévoilant des clitoris gorgés de désir et luisant de salive mélangée à d’importantes quantités de cyprine. C’était du sexe lesbien mis en scène et filmé par un homme cis, mais ça faisait l’affaire et nos triques le prouvaient.
J’ai informé Benoît de la sécheresse dévorant mon gland et mon prépuce et il m’a tendu la bouteille de lubrifiant. Je lui ai aussitôt présenté ma queue pour lui permettre d’y verser une bonne dose de gel, recouvrant mon membre rougi par les va-et-vient et ma main qui le maintenait en position. Le produit sur mon sexe torride m’a donné l’impression d’être un glaçon fraîchement sorti du réfrigérateur, mais j’ai pris le temps de m’en recouvrir le manche intégralement, testicules compris. Ma main glissait toute seule et c’est sous le regard insistant de mon ami que j’ai entamé d’amples mouvements, me masturbant depuis la base des couilles jusqu’au sommet. Je l’ai regardé s’appliquer la même dose sur son engin tout aussi torride que le mien et nous avons travaillé le gel ensemble. Cela n’a duré que quelques secondes, car j’ai senti que mon gland avait atteint son point de rupture.
Chaque effleurement me provoquait des décharges électriques qui me parcouraient le corps et me forçaient à me cambrer de plaisir. Je lui ai fait remarquer en rigolant et j’ai laissé mon sexe se reposer un peu sur mon bas-ventre. Il était hors de question que je jouisse maintenant. J’étais de nouveau au sommet de mon excitation, ma bite tremblait sur mon ventre et je contractais un peu pour la forcer à se lever et se laisser tomber, produisant ainsi un bruit très suggestif. De son côté, son membre luisait autant que s’il s’était badigeonné d’huile et il avait aussi ralenti les mouvements, se caressant les boules distraitement, ce qui conduisait son gland à laisser de longues traînées de liquide préséminal sur ses cuisses.
On profitait de notre accalmie quand quelqu’un frappa à la porte. On s’est regardé tous les deux alors que je coupais le son du porno. "Tu attends quelqu’un ?" me demanda-t-il soudain stressé. "Bah non" ai-je répondu en tendant l’oreille. On frappa une nouvelle fois et je me suis levé, mon sexe en phase descendante, mais entièrement lubrifié gigotant et se cognant à ce que je pensais être le dossier du fauteuil de Benoît. Je me suis approché de la porte, toujours vulnérable, et ai demandé au visiteur de s’identifier. Le voisin, dont le ton de la voix laissait entendre que ce n’était pas une visite de courtoisie. Je l’ai fait patienter et je me suis rhabillé en vitesse. T-shirt, bermuda sans caleçon, un coup d’essuie-tout pour retirer le lubrifiant de mes mains et j’ai ouvert la porte après avoir enfermé mon ami dans le salon. Le problème de l’indésirable était effectivement épineux, mais ne nous concernait nullement.
Je l’ai aiguillé comme j’ai pu en priant pour que l’odeur du gel ne soit pas trop importante pour l’interpeller puis il a fini par partir. En revenant dans le salon pour rassurer mon ami qui était prêt à se rhabiller, j’ai remarqué que je n’avais pas fermé ma braguette. On s’est regardé et il m’a dit : "y a plus qu’à espérer qu’il n’a rien vu ni senti".
Comme on était tous les deux mous, on en a profité pour étendre la pause. J’ai donc saisi l’occasion pour aller uriner, n’ayant pas à me battre avec mon érection. J’y ai passé un moment, préférant être certain d’avoir tout évacué avant de sortir de nouveau nu. En revenant dans le salon, j’ai trouvé Benoît devant la baie vitrée avec le volet rouvert jusqu’aux genoux et fumant tranquillement. Surprenant, mais cela prouvait que l’ambiance était bien posée. J’ai profité du regain de luminosité pour inspecter mon gland qui était, comme je le pensais, en proie à un début d’irritation. Il fallait que je prenne soin de conserver une bonne dose de lubrifiant. "Tu ne bandes plus" me fit-il remarquer en braquant son regard sur mon entrejambe. Effectivement, j’étais tout juste en demi-molle, mais il s’est avéré que lui aussi était dans le même état, bien que sa main parcourait tendrement sa verge épaisse en faisant bouger ses filaments de lubrifiants qui commençait à revenir.
Le temps qu’il finisse sa cigarette, je suis allé remonter le volet de la chambre de la même hauteur, afin de faire redescendre la température qui s’était envolée pendant nos branlettes, comme pouvaient en témoigner nos torses et fessiers moites de sueur. Le courant d’air s’engouffra dans l’appartement, caressant mes cuisses et remontant vivement le long de mes jambes pour fouetter mon sexe encore humidifié par les restes de lubrifiant. Cette sensation me stimula et ma queue remonta tout doucement, à son rythme. Je me suis étiré en pénétrant une nouvelle fois dans le salon, ma queue de nouveau gorgée pleinement exhibée à mon ami. L’air me chatouillait toujours les testicules et je le sentais tout particulièrement sur mes fesses et mon torse, là où la transpiration avait laissé son emprunte. "Ah, bah voilà !" me dit Benoît alors que je voyais sa verge gonfler petit à petit.
Lorsqu’il s’est penché pour évacuer les cendres à l’extérieur de l’appartement, j’ai pu la voir sauter, se cambrer, s’agiter en de larges cercles. C’était exactement le spectacle que j’espérais voir dans cette journée. Une queue luisante d’excitation bougeant seule au gré des torsions du corps. Il est revenu s’asseoir sans se toucher, me laissant admirer ce charmant spectacle plus longtemps.
Il fallut que le film se termine pour que nos triques turgescentes se retrouvent une nouvelle fois pleines à ras bord d’excitation et de sperme ne demandant qu’à être éjecté avec force. Pour se finir, on a pris la décision d’écumer les sites de cam afin de trouver un spectacle intéressant. On tomba sur un plan à trois qui nous mit d’accord. La femme aux airs latino était encadrée par deux mâles à la carrure menue, mais avec des phallus n’ayant rien à envier aux acteurs professionnels que nous regardions quelques minutes plus tôt. Celui de gauche avait des mensurations de dingue. Son dard était si long et mince que la douce avait besoin de ses deux mains pour le besogner efficacement, alors que sa bouche était occupée à pomper avec passion le deuxième, dont la bite était plus courte, mais circoncise et dotée d’une courbure parfaitement adaptée aux gorges profondes dans lesquelles elle disparaissait régulièrement.
Les donations allaient bon train et nous pouvions constater, lorsque la dame se faisait prendre en levrette par le long dard, que son ohmibod dont la tige dépassait de son anus avait fait son effet. Sa vulve était trempée, la cyprine dégoulinant sur ses cuisses et laissant des traces blanches sur le pénis qui la pénétrait encore et encore. Nous ne savions pas depuis combien de temps ils y étaient, mais ça devait faire un moment.
À nous deux, la bouteille de lubrifiant descendait à vue d’œil. Son sexe était désormais bloqué verticalement, tout comme moi. Son fluide naturel perlait depuis son urètre écarté, prêt à exploser. Ses testicules brillaient, pleinement mis en évidence alors qu’il était affalé sur son fauteuil. Je voyais que ses reins répondaient aux mouvements de ses mains, et je constatais aussi qu’il dosait ses gestes avec précaution. Malgré les fenêtres ouvertes, sa poitrine était recouverte de transpiration et sa respiration se faisait courte. Quand il me regarda, il vit la même chose. Je ne touchais plus mon extrémité, préférant polir le corps de mon pénis gonflé par mes veines apparentes. Mes poils pubiens étaient recouverts du lubrifiant qui avait aussi coulé le long de mon aine, faisant briller toute la zone jusqu’à la naissance de mes fesses. Moi aussi, je sentais mes reins s’arquer dès que j’effleurais mon gland. Sous ses yeux, je m’étirais une nouvelle fois, laissant ma queue respirer.
Je la sentais toujours battre selon mon rythme cardiaque, chaude, bouillante. Je me suis levé et j’ai étiré mes lombaires, les plaquant de mes mains alors que je pointais mon pénis le plus possible devant moi et donc, devant mon ami.
Je profitais de la situation. Cette journée était une excellente idée. J’étais là, entièrement mis à nu devant un ami en qui j’avais confiance et qui était dans la même situation, j’étais dévoré par l’excitation, mon sexe était hors de contrôle et sentir un regard extérieur le détailler sous toutes ses coutures me faisait un bien fou. C’était ça, le frisson de l’exhibe. Ce frisson qui me faisait vibrer et qui donnait lieu à des jouissances incomparables. Quand j’ai rouvert les yeux, il s’était levé et s’étirait aussi. J’ai pris le temps de détailler son corps musculeux, son fessier charnu et son membre qui avait repris sa danse qui m’avait fait tant d’effet un peu plus tôt. Puis, les mains sur les hanches, nos queues se pointant du gland l’une en face de l’autre, nous avons fait un point sur la situation. Oui nous avions envie de jouir, mais le désir de continuer était plus puissant encore.
Alors nous avons continué d’écumer les cams pendant une heure supplémentaire. Maîtrisant nos gestes pour ne pas jouir par accident, se regardant l’un l’autre, mâtant les modèles qui défilaient à l’écran et en parlant avec certains. Puis on s’est détaillé une dernière fois, scrutant nos sexes respectifs comme on les connaissait désormais presque par cœur. On était prêt à gicler, et repousser plus longtemps n’était pas une bonne idée pour notre santé. Nos queues étaient au dernier point de rupture, il fallait évacuer. Il fallait laisser nos engins dégonfler, se reposer. Laisser nos couilles se vider. Restait à savoir comment.
Dans notre état, nous savions que jouir produirait des jets colossaux qui viendraient nous recouvrir le torse, voire plus. C’était d’autant plus un problème pour moi, car on le savait, mes éjaculations pouvaient avoir une sacrée force lorsqu’elles survenaient après plusieurs heures de masturbation. Alors si je ne voulais pas m’en mettre dans l’œil ou repeindre la porte à l’autre bout de la pièce, il fallait trouver une solution. Une amusante, tant qu’à faire. J’ai donc eu l’idée d’aller chercher deux verres doseurs afin de comparer notre volume de sperme. Une idée à la con, certes. Mais une idée qui sauvait mon parquet.
Nous nous sommes donc mis face à face, et on s’est regardé se branler en se présentant nos queues. Pour Benoît, la délivrance fut rapide. Il orienta sa verge dégoulinante de plaisir vers le verre et largua une énorme quantité de sperme qui heurta de plein fouet le fond du récipient. Je vis ses muscles se contracter sous l’effort, ses yeux se fermer et sa respiration se retenir alors que son gland crachait son sésame blanc et épais. Il eut besoin d’une bonne dizaine de secondes pour arriver au bout de son orgasme, après quoi il s’astiqua lentement pour essorer sa queue tout en reprenant son souffle. Il laissa son bout dans le verre pour recueillir les dernières gouttes et me regarda lutter. Car malgré tout mon désir, je n’avais pas joui.
Toujours bloqué par mon érection verticale, j’ai dû faire un ultime effort de volonté pour parvenir à débander suffisamment alors qu’en face de moi se vidait le membre viril de mon ami. Lorsque j’y suis parvenu, il était en train de se caresser les testicules tendrement en me regardant. Bloquant mon poignet et ma verge, j’entrepris de me branler sans aucune retenue. Ma main remontait et descendait avec fureur le long de mon engin, triturant mon gland devenu énorme. Des décharges électriques parcouraient mon corps, me forçant à gémir. Mais comme je le disais, dans ces situations, je suis vraiment très endurant. Ça a donc duré un certain temps que je serais incapable de quantifier. Les secondes s’étiraient alors que je faisais mon possible pour me traire sous le regard attentif et curieux de mon ami dont la queue en demi-molle échappait toujours du sperme épars. Ma main venait frapper mes couilles en un rythme sonore qu’exacerbait le lubrifiant que je venais de remettre. Puis elle arriva.
La contraction m’a pris du bassin et m’a forcé à me plier en deux alors que ma main s’activait toujours. J’ai senti le sperme sortir de mes glandes et remonter le long de ma verge, puis mon gland a explosé. L’orgasme m’a obligé à fermer les yeux et à me cambrer à chaque décharge, mais Benoît m’apprit après coup qu’il avait vu deux jets bien distincts sortir et venir heurter le fond du verre avec tant de violence que ma semence avait rebondi et sensiblement arrosé mes cuisses. Mon doux supplice dura lui aussi un certain moment, j’ignore combien. Mon sexe se vidait, je sentais le liquide chaud quitter mon corps, son odeur distinctive se mêler à celle de Benoît et emplir l’appartement. C’est le corps en nage et les pieds contractés que je me redressais pour reprendre mon souffle, essorant moi aussi mon engin dans mon verre.
Le gland était tellement sensible que je n’ai pu utiliser ni mon prépuce ni les parois du verre, alors je me suis contenté de le secouer doucement en sentant mes muscles se détendre.On s’est souri et on a comparé, laissant retomber nos queues flasques qui pendaient mollement après un tel effort. J’avais perdu, mais je m’en fichais éperdument. Je venais de vivre un de mes meilleurs orgasmes.
Nous avons enfilé des sous-vêtements le temps de faire la vaisselle, pour éviter que nos parties ne finissent de se vider par terre. Mais nous nous sommes tout de même remis nus pour finir la journée. Nous avons tranquillement regardé Starship Trooper et ne nous sommes plus excités sûr que quoi ce soit, bien que Benoît se sentait prêt pour un deuxième round et surveillait régulièrement la courbe de mon pénis au cas où il déciderait de le suivre. Mais pour moi, il s’agissait simplement du plaisir d’être nu et scruté par un regard étranger. Après tout, il ne m’avait jamais vu au repos et j’ai toujours trouvé les pénis tout aussi intéressants dans cette position.
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