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Expérimentations et incongrus

Chapitre 6

Réveil en deux temps

Gay
    Le lendemain matin, j’ai découvert mon sexe gonflé d’irritation après l’avoir ainsi maltraité durant toute la journée de la veille. Je me suis levé en premier, incapable de dormir plus. Après m’être soigné, j’ai pris la direction du salon dans lequel je suis entré sans faire de bruit. Benoît dormait à poings fermés sur le canapé-lit, à quelques mètres de là, un drap recouvrant à peine son corps. J’ai hésité à repartir mais la faim me tenaillait alors j’ai décidé de préparer un semblant de petit-déjeuner. Il était déjà presque onze heures, alors j’ai improvisé un sucré-salé avec ce qu’il me restait dans le frigo. J’étais toujours nu, inutile de le préciser. L’irritation et la crème hydratante que je venais d’appliquer avaient besoin de respirer.    Mes mains s’activaient, en essayant de minimiser le bruit autant que possible. Dans mon dos, j’ai entendu mon ami bouger dans son sommeil. Alors j’ai laissé mon esprit dériver. Notre journée de la veille, nos caresses, nos puissants orgasmes, nos prises de risques follement excitantes… Aïe. L’érection venait d’arriver et mon prépuce n’appréciait pas ce regain d’activité sanguine. Je ne me suis pas touché, pour ne rien aggraver.Un puissant flashback du pénis de Benoît dans ma bouche m’a assailli. Son sperme sur ma langue. Les soubresauts de son gros gland contre mon palais. J’ai rappelé ma main qui venait de descendre vers mes testicules sans mon accord. En parlant de pénis, je me suis tourné pour observer l’homme endormi en face de moi. Il était désormais sur le dos… et était nu, lui aussi. Je voyais son torse s’élever en rythme, son ventre gagner et perdre en volume et, juste en dessous, posée contre son aine, son épais phallus. Il était au repos mais s’il restait dans cette position, je savais que l’érection matinale n’allait pas tarder à arriver. Problème biologique que nous avons tous. Là, comme ça, j’avais envie de jouer avec.J’ai secoué la tête et je suis retourné à mes préparatifs, toujours douloureusement bandé. Mon imagination est restée bloqué un moment sur le sexe nu dans mon dos puis a glissé vers Noémie, qui devait probablement avoir répondu depuis le temps. Dire qu’il avait envoyé une photo de ma queue à sa meuf… Ça me choquait toujours autant, même après une nuit de sommeil. Je me suis arrêté. Mon index suivait la courbe de ma verge. Elle semblait adorer les photos, cette fille. Et si je lui en prenait de son homme nu et vulnérable ? Au pire je les supprimerais si Benoît manifestait son désaccord. Je me suis retourné. L’épais pénis était toujours aussi appétissant.
    J’ai tout posé.
    Mon téléphone s’est approché et a photographié le corps inerte, plusieurs fois, sous divers angles. Plans larges, plans serrés, gros plans. Le testicule gauche était resté collé à la cuisse et donnait un effet particulier à l’appareil que j’eu bien du mal à immortaliser. Au bout d’un moment, je me suis décidé à le déplacer, doucement. La main de Benoît est aussitôt arrivée pour gratter la zone. Je me suis figé. Il dormait toujours. Nouvelles photos jusqu’à ce que je finisse par regretter l’absence de raideur de mon sujet. J’ai effleuré la verge du bout d’un doigt, et ai observé le résultat. Le sang a afflué par à-coups, doucement mais sûrement. La peau s’est étirée progressivement alors que le diamètre augmentait. Je voyais ses testicules se serrer au fur et à mesure, fournissant la matière nécessaire à un tel gain de volume. Puis le prépuce s’est enroulé, libérant un gland pas encore tout à fait rouge. La membrane ainsi mise à nue s’est collée à l’abdomen, arquant le pénis alors qu’il continuait de grandir, imperturbable. Le tout s’est immobilisé en l’état, alors que la main de Benoît venait une nouvelle fois soigner ses démangeaisons, décollant le gland dans le processus.J’ai fortement regretté de ne pas avoir filmé le spectacle, mais j’ai tout de même pris de nouvelles photos. Mon érection était totale, et totalement douloureuse. Me retenir de me masturber après une telle scène allait être complexe.L’irrigation s’est dissipée un tantinet, m’obligeant à renouveler mon assaut. Toujours du bout des doigts, j’ai caressé les bourses pour remonter le long du tronc. J’ai senti les palpitations s’infiltrer et la raideur revenir, docile à mes flatteries. L’érection s’est glorifiée lorsque j’ai atteint le gland, mais ce bout rond tardait à prendre sa couleur cramoisie. Même son diamètre n’était pas encore au stade que je souhaitais immortaliser. Je connaissais ce genre de mât. Gonflé par les stimulations ou la pression prostatique mais manquant d’excitation pour être impressionnant. Par contre, c’était tout à fait exploitable si on y mettait du cœur… ou de la malice.Saisissant le membre entre le pouce et l’index, je l’ai redressé de quelques degrés, juste ce qu’il fallait pour pouvoir enrouler le reste de ma main. Je sentais la chaleur se répandre sur ma peau et entre mes doigts alors que l’érection continuait son office, demi-millimètre par demi-millimètre. Avec une prudence toute relative, j’ai approché ma tête. Du bout de ma langue, j’ai titillé le sommet du cône qui s’offrait à moi. Je n’ai pas insisté, apeuré par sa réaction s’il s’éveillait en découvrant son sexe dans ma bouche.La verge se voulait récalcitrante. Elle manquait de motivation et demeurait, de fait, complètement sèche. Aucune perle salée à l’horizon. Alors j’ai resserré ma prise et j’ai ajouté de l’huile de coude à l’ouvrage. Toutefois, il était important de maîtriser ses gestes.Mes stimulations étaient lentes, mesurées. Je voulais certes sentir le membre emplir ma main mais surtout il aurait été dommage que je rate une occasion de tirer une belle photo de tout cela. Parler de caresses serait d’ailleurs plus juste, dans cette situation. Je tirais à peine sur la peau, laissant au prépuce le soin de se déplier de lui-même. Lorsque mon index et mon pouce arrivaient à la base de l’attirail, je remontais doucement, serrant à peine.C’est au troisième voyage que la perle est apparue. Je l’ai recueilli du pouce et je l’ai étalé sur le bout de gland qui s’offrait à moi, l’effleurant à peine. Celui-ci s’est enfin décidé à gonfler, tirant la peau qui est allé se ranger dans son coin, docile. Le fruit était entièrement disponible, prêt à être recouvert de lubrifiant. La respiration de ma victime avait changé, signe qu’il n’allait pas tarder à émerger. Ou que ses rêves venaient de prendre une tournure plus tellement catholique. Surement les deux.Quoi qu’il en était, c’est le moment que j’ai choisi pour basculer vers une masturbation digne de ce nom. Plus de chichis, plus de tergiversation, ce pénis allait atteindre le sommet de sa gloire dans ma main et sous mon objectif. L’accélération de la cadence eut l’effet escompté et je me suis très vite retrouvé à secouer une verge raide et juteuse à souhait. Des clichés venaient mitrailler la scène alors que mes doigts se laissaient recouvrir d’un lubrifiant chaud. La glisse était désormais optimale.
_ Ah mais je me disais bien…!
J’ai levé les yeux vers lui. Il ne m’avait pas arrêté.
_ Ta queue était là, je me suis permis._ Je vois._ Je peux arrêter mais vu comme tu bandes, je pense pas que ça te dérange._ Je rêvais d’une colombienne…_ Ah oui non, on en est loin.
_ Effectivement.
Ma main s’activait toujours, déterminée à faire jaillir une nouvelle fois la sève de son jouet du moment. Au-dessus de moi, Benoît avait empoigné son téléphone.
_ Elle t’as répondu ?_ Ouais. Elle a aimé. Regarde.
Je ne me souviens pas du texte précis, seulement du ton qui se voulait enjoué et coquin. Ce dernier point était franchement souligné par une chatte charnue grande ouverte de laquelle sortait la base d’un sextoy d’un gabarit impressionnant. Je venais donc de voir l’intimité de sa copine avant de la rencontrer ou même de croiser son visage. Très bien.
_ Et elle te dit aussi que ta queue est belle, bien qu’un peu courte._ Aïe._ Oui boh, j’ai la même taille et ça ne l’empêche pas de jouer avec régulièrement._ Je lui ai fait d’autres photos, d’ailleurs._ De ta bite ?_ Non de la tienne. Sans déconner, t’as beau me dire que ça la dérange pas, je me vois pas envoyer des dick picks à ta meuf._ Tu sais, la connaissant, je n’aurais pas à beaucoup discuter pour organiser un plan à trois.
Je me suis arrêté, l’esprit violemment frappé par une image de ce vagin avalant mon sexe sans ménagement. Heureusement, je bandais déjà. La perspective me plaisait et me stressait tout autant. À un point tel que j’ai senti quelques tremblements gagner mon genoux gauche que je me suis empressé de poser sur le matelas.
_ On verra, ai-je répondu en reprenant ma besogne. Tu veux voir les photos ?_ Ah oui, tiens, dit-il en s’emparant du téléphone que je lui tendais._ Je… je peux te sucer ?_ Noémie a dit “pas de suceries”._ Ah oui mince. Avec ce qu’il s’est passé hier soir, j’avais oublié._ Justement, on est plus à ça près. Et tu as besoin de t’entraîner alors tu sais quoi ? Vas-y._ Sérieux ?_ Fais le avant que je change d’avis, par contre.
Je ne me suis pas fait prier. Comme un assoiffé devant un oasis, je me suis jeté la tête la première sur ce bonbon rougeot et brillant. Le sel a inondé mes papilles, la chaleur s’est diffusée sur mes muqueuses et mes lèvres se sont refermées sur cette raideur appétissante. J’y ai mis tout mon cœur, activant ma langue et jouant avec les testicules ronds qui n’attendaient que ça. J’ai peu à peu fait abstraction de ce qui m’entourait pour me dédier à un objectif unique : sentir son sperme sur mes gencives. Avaler, recracher, pourlécher, récurer, aspirer, tourner, secouer, astiquer, branler, caresser, pas forcément dans cet ordre. C’était bon. Très bon. D’autant plus que Benoît semblait bien plus apprécier mon traitement que la veille au soir.Un temps inquantifiable plus tard, j’ai senti les premiers soubresauts. Le gland est venu heurter mon palais, les fesses se sont serrées, les reins se sont soulevés. C’était infime, mais bel et bien là. J’ai donc bien entendu redoublé d’efforts. J’ai laissé ma bouche bien en place autour du sommet, formant une prison hermétique pour cet organe devenu énorme de plaisir. Ma main droite s’employait à lustrer le mât avec vigueur, tandis que la gauche triturait les sacoches, tirant parfois dessus avec malice.À l’approche de l’échéance, une voix distante s’est exprimée. Je ne sais pas ce qu’elle a dit, j’étais trop occupé. Elle a répété plus ou moins la même chose quelques secondes plus tard mais je n’en ai pas fait plus cas. Les spasmes sont alors arrivés, le membre s’est encore plus tendu. J’ai senti un petit surplus de sel sur ma langue puis une marée épaisse m’a emplit la bouche, s’insinuant partout où elle le pouvait. Ma langue s’agitait dans cette mélasse chaude, expédiant quelques bribes au fond de ma gorge, me forçant à tousser. La prison hermétique s’est alors brisée et des longs filets de spermes s’en sont échappés, souillant abdomen et testicules de sillons blancs bien que translucides.
Là maintenant, à froid, je me dis que ce n’était pas la meilleure des idées. Cette histoire m’a obligé à me laver les dents avant d’avaler mon petit déjeuné qui a tout de même eu un goût étrangement salé pour des fruits. Mais sur le moment, j’en aurais presque joui sans le moindre contact.
_ Euh ok…, a soufflé Benoît. Ça, je m’y attendais pas…_ J’avais pas prévu, à la base. Puis une fois que j’y étais… je sais pas._ Je… Je sais pas quoi en penser…_ Je t’ai fait jouir, au moins._ Ça me surprend autant que le reste._ Tu permets, je vais me laver._ Oui. S’il te plaît, oui.
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