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Exquise déchéance

Chapitre 2

Trash
Mon cœur s’emballe immédiatement. Mon cerveau permute. Mode salope. Je lève les yeux et repère plusieurs camions à l’autre bout du parking. Près de l’un d’eux un homme fait les cent pas, une clope au bec. Mon sac en bandoulière, une cigarette à la main, je me lève et commence à traverser le parking, roulant outrageusement du cul, le plug agaçant mon sphincter. Une traînée de mouille commence à couler le long de l’intérieur de mes cuisses. Mes jambes flageolent un peu sur mes hauts talons, mes mains tremblent un peu plus. L’appréhension cède petit à petit à cette incurable envie de baise urgente tandis que je me rapproche de l’homme. Je peux commencer à le détailler. Grand, gros, les avant bras velus, brun, dégarni, une bonne cinquantaine. Il me remarque et me détaille, se rince l’œil. D’un geste calculé, je remonte mes lunettes sur mon front, lui sors un beau sourire et joue des hanches jusqu’à ce que j’arrive à un mètre de lui. D’un ton maniéré dont seules les pétasses comme moi ont le secret je m’adresse au type:
-Bonjour! Z’auriez du feu s’il vous plait?-Oui...Le ton est sec. Méfiant. Il trifouille dans les larges poches de son pantalon et en sort un Zippo qu’il me tend. Au lieu de l’atrapper je porte ma cigarette à mes lèvres et me penche vers lui. Vue imprenable sur mes nichons. Je crois qu’un téton est à la limite de sortir. L’homme plonge son regard dans mon décolleté tandis qu’il joue du pouce sur son briquet. Un regard libidineux et méprisant. J’adore. J’use de maladresse pour faire durer le moment. Ma clope allumée, je tire une grande bouffée. Nouveau sourire enjôleur.-Moi c’est Chloé... Et vous? Vous êtes en pause?-Franck... Ouais... Je suis en pose...-Vous allez loin?-Dans le sud...Pas bavard, le bonhomme. Je me mordille la lèvre inférieure avant de continuer, plus bas, et en esquissant un pas de plus vers lui:-Et... Elle va durer encore longtemps votre pose?Il jette un œil à sa montre avant de me jeter évasivement:-Quelques temps, oui...Je sais ce qui ce trame dans sa tête. Est-ce-que je me paie sa tête? Suis-je une allumeuse? Une pute? Ce n’est pas tous les jours qu’une créature comme moi doit l’aborder. Je décide de dissiper le doute assez brutalement. Ca passe ou ça casse.-Moi aussi j’ai un peu de temps, là... Ça vous dirait qu’on le passe ensemble?A cet instant je soulève furtivement ma robe, lui offrant une rapide vue sur ma moule luisante. Instant qui semble suspendu dans le temps pendant ce court silence. Puis il rit doucement:-Je crois pas que vous soyez dans mes moyens mademoiselle...-Dans vos... Eh! Vous me prenez pour une pute?Je glousse, et l’air de rien je viens coller mes seins à tout près de lui. J’attrape sa main libre et sans lui donner le choix la fais glisser sous ma jupe, la collant contre ma chatte visqueuse. Au creux de son oreille, je lui susurre:-Nan... Je suis pas une pute, moi... J’ai une dégaine de pute, ok... Moi j’suis une salope... Une grosse salope...Je lâche sa main. Il la laisse sur ma chatte, commence à la caresser... L’affaire est dans le sac.-Putain... Tu mouilles comme une chienne...Voilà qui est plus familier... Plus à mon goût... Il me tutoie, maintenant. C’est bien. J’en fais autant:-Je t’ai dit que je suis une grosse salope. Sûrement là plus grosse salope que t’aies rencontrée. J’te fais tout c’que tu veux. Tout. C’est ton jour de chance...Il enfonce un doigt dans ma chatte trempée. Je gémis. Je le vois jeter un regard à la ronde. Nous sommes assez isolés sur ce coin du parking, les autres personnes garées ou déambulant sont assez loin. Franck jette sa clope.
-On va monter dans mon camion salope.Son gros doigt s’enfonce un peu plus. Je me serre contre l’homme. Ma main passe sous sa bedaine, glisse derrière la ceinture pour y trouver une grosse queue déjà bien dure dont je me saisis fermement.-Viens plutôt faire ça dans les chiottes...-Elles sont dégueulasses ces chiottes!-Sans doute! Mais je suis une chienne dégueulasse qui aime se faire tirer dans des chiottes dégueulasses...-Ok. Mais j’te préviens ma cochonne. Tu vas morfler. J’suis pas un tendre avec les salopes dans ton genre.Je me lèche la lèvre supérieure.-Hmmm... Tout un programme. Rejoins moi dans la dernière cabine dans une minute. Y a pas trop de monde... Elle devrait être libre...
Je lâche sa queue et tourne les talons. Passant près de la voiture de Michel je le vois qui me regarde. Il va être fier de sa petite pute. Très fier. J’ai la chatte en feu et une envie crasse d’en prendre par tous les trous. J’approche des toilettes, passe devant le lavabo , les urinoirs et me dirige vers la dernière cabine, ne croisant personne. Bingo! Elle est libre. Quand j’ouvre la vieille porte métallique je tombe sur des chiottes à la turque cradingues que même un chien aurait du mal à supporter. Et l’odeur! Cette odeur crasse et familière qui m’enivre, me fait me sentir plus bas que terre. Une salope sordide dans des chiottes sordides. Je ferme la porte sans la verrouiller. Un SMS de Michel:-Sors tes loches. Mets toi accroupie jambes bien écartées face à la porte, mains dans le dos. Ouvre GRAND la bouche en tirant la langue. Quoiqu’il arrive: pas un mot, et ne bouge pas.
Mon cœur doit maintenant battre à cent-quatre-vingt pulsations minute. Le sang me cogne les tempes. Ma cramouille dégouline tant que j’ai l’impression de m’être pissée dessus. Je range mon téléphone dans mon sac et pose ce dernier à l’endroit qui me semble le moins sale. Je m’exécute et fais glisser ma robe sur mes hanches, et prends la position demandée.Et j’attends. Encore... La minute est largement dépassée. N’importe qui pourrait arriver, et me tomber dessus dans cette plus qu’obscène posture. Cela décuple mon excitation. Mes yeux sont rivés sur la poignée. J’entends les bruits étouffés du parking à l’extérieur. Qu’est-ce qu’il fout? S’est-il débiné? Ce n’est pas normal. Soudain, des bruits de pas. La poignée tourne. Moment de vérité. Un rai de lumière. Ma respiration s’accélère. Je vois la silhouette massive de Franck. Je suis soulagée. Je vais avoir ma ration de bite avec cet inconnu. Mais juste derrière lui il y a quelqu’un et il me faut une fraction de seconde pour deviner que c’est Michel. Je ne bouge pas. Les deux hommes sont maintenant à l’intérieur et mon mari a fermé le loquet. L’endroit est étroit, oppressant. Michel prend la parole:-J’ai préféré intercepter... Franck, c’est bien ça? L’homme hoche la tête ans un mot.-Bref, j’ai préféré l’accompagner pour m’assurer que tu serais à la hauteur... Je lui ai expliqué brièvement notre style de relation. Et quel genre de truie tu étais.Il sourit sort son téléphone et continue:-Vas-y Franck. Elle est à toi. Fais-lui ce que tu veux.-Tout c’que j’veux?-Tout!
Michel, téléphone en main commence à prendre des photos. Franck baisse son froc aux chevilles et sous son ventre velu m’apparaît une grosse et longue queue déjà en érection. Une belle queue parcourue de veines épaisses, au gland décalotté. J’en ai pris de plus grosses, mais celle-ci est plus que correcte. Le routier s’approche de moi:-Alors gobe, salope!Gloutonnement, les mains toujours dans le dos, j’avale cette queue raide qui sent bon le mâle. Franck s’enfonce dans ma bouche, puis ma gorge. Ma langue toujours sortie vient au contact de ses couilles, mon nez dans ses poils pubiens, tandis que mon regard est rivé au sien.-Michel. Quelle chance vous avez d’avoir une chienne pareille!-Euh... Je pense qu’on peut se tutoyer vu la situation non?Franck ricane tout bas puis commence à faire de lents allers-retours. Voilà. Nous sommes dans le vif du sujet. C’est dont ce genre de moments dont je ne puis plus me passer. Bouffer de la queue comme la pire des traînées, m’en régaler par tous les trous. Sa bite s’enfonce toujours lentement mais toujours plus profond. Je commence à saliver. De la bave coule à la commissure des mes lèvres. C’est si bon d’être une abjecte suceuse de bites. Je lâche totalement prise, le temps semble suspendu, je suis dans mon élément. -Attends Franck... Je vais te montrer comment je lui baise la bouche. Comme ça j’te trouve un peu timide... Tiens! Prends le téléphone... Et prends des photos si tu veux! Et toi...Michel déboucle sa ceinture. Lui aussi bande comme un porc. Il aime me voir utilisée par des inconnus. Des vieux, des gros, des moches. Il me gifle sèchement, sans trop appuyer.-Ouvre plus grand ta gueule de chienne. Voilà... Comme çà...Il atrappe fermement ma queue de cheval et penche ma tête en arrière, avant de mollarder directement dans mon bec. Une autre gifle part, sur l’autre joue, puis un autre crachat, celui-là en plein milieu du front.-Qu’est-ce-qu’on dit pétasse?-M... Merci mon amour...-Bien...Un troisième mollard, puis d’autres suivent. Sa main droite est toujours agripée à ma tignasse, et la gauche commence à jouer avec les anneaux qui percent mes pis. Sans douleur puis plus brutalement. Il tourne, tiraille, avant de se mettre à baffer mes loches l’une après l’autre. J’ai toujours la bouche ouverte, langue pendante, disponible, ridicule. Quant il arrête cette torture de mes mamelles, je sens l’exquise douleur diffuser. Michel met alors fermement ses grandes paluches de chaque côté de ma tête, et sans précaution vient enfoncer sa tige dans mon gosier. La curée commence. Directement, il se met à baiser ma gorge à un rythme effréné, s’enfonçant comme un salaud dans mon œsophage, donnant de grands coups de reins, comme il baiserait ma chatte ou mon cul. J’émets des borborygmes gluants tandis que son braquemard me déboîte les mâchoires. Des glaires viennent saloper sa queue, et dégoulinent sur mes nibards. Oui mon chéri. Fais toi du bien avec ta salope de femme. C’est mon rôle, mon but dans la vie, soulager ta queue et toutes celles auxquelles tu me livreras en pâture. C’est difficile parfois, mais toujours si bon... J’étouffe, je suis à deux doigt de dégueuler, quand il me laisse respirer.-Allez... à toi Franck... Tu vois... Tu peux te lâcher... Comme un enculé, vas-y.Les deux hommes me massacrent la gorge à tour de rôle, se repassant le téléphone pour filmer. Insultes, crachats, claques sur mes seins. Douleur, haut-le-cœur, jouissance. Je fous de la bave partout. Mais de la mouille aussi. J’ai dû déjà bien maculer le sol cradingue de mes sécrétions et je suis à deux doigts de jouir sans avoir été pénétrée. Aucune idée du temps que cela dure avant que le routier ne fasse:-Putain, je vais pas tarder à larguer la purée!-Attends... Pas comme ça, lui répond Franck, avant d’ajouter à mon intention: toi, debout, et retourne-toi! Les mains contre le mur. Penche-toi. Encore! Plus bas salope. Voilà... Et écarte les jambes.Mon cul bombé empli du plug est tendu vers les deux hommes, mes nichons pendants. Franck fait un commentaire salace sur le plug et sur la quantité de mouille qui dégouline jusqu’à mes chevilles. Michel retire l’objet de métal d’un coup sec, m’arrachant un cri qui ne peut que s’entendre du dehors, laissant mon trou de balle béant.-Allez Franck. Pète lui le cul, elle attend que ça.Oui, je n’attends que ça. Me faire ramoner en profondeur et en largeur, bien à fond, me faire remplir à coups de bite. Franck ne se fait pas prier et c’est violemment qu’il s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Il en est même étonné. Mon cul en a vu d’autres. Il aspire la large bite jusqu’aux couilles.-Merde, fait Franck, ça rentre comme dans du beurre! Elle a dû en voir des kilomètres de bite!Puis il commence à me bourrer. A vraiment me bourrer. Je sens qu’il ne va pas tenir longtemps à ce rythme et je contracte mon trou de balle pour le sentir au maximum. Même en faisant cela, mon cul a tellement été régulièrement pilonné que j’ai du mal à sentir sa queue comme je l’aimerais. Les godes monstrueux dont Michel me fourre depuis deux ans on fait leur effet et seuls des gros calibres vigoureux me procurent ce plaisir dont je raffole. La défonce anale sans pitié, c’est le truc qui me fait vraiment jouir comme une dingue. A force de me ramoner cependant, je sens enfin monter cette sensation exquise dont je suis si gourmande.-Putain, salope... J’vais tout larguer dans ton gros fion!Encore deux ou trois coups de reins et le routier s’immobilise bien au fond, et je sens des jets de foutre épais me remplir. C’est si bon. Je lâche un autre cri, et soudain un gros flot de cyprine gicle de ma chatte. Je me retiens de ne pas meugler comme une vache. Mes jambes flageolent.-Attends, fait Michel. Te retire pas trop vite. Et toi, ma petite pute, serre bien les fesses. Voilà...A peine Franck s’est il retiré que Michel m’enfonce directement le plug dans le cul.-Tu vas garder ça un moment. Fourrée de foutre... T’aimes ça hein?-Oui mon chéri.Tandis que Franck remballe déjà sa queue, Michel me fait remettre accroupie devant lui, sa bite à la main. J’ouvre instinctivement la bouche, reconnaissante.-Nan. Ferme-là. C’est ta gueule que je vais repeindre...Franck a repris le téléphone et continue de filmer. Au bout de quelques secondes un premier jet de sperme vient se mêler à mes cheveux. Le second me ruine le visage, et le reste vient s’écraser sur mes loches. Michel remballe lui aussi sa bite.-Bon. Je t’attends dans la voiture... Magne toi-Oui... Je me dépêche mon amour... Merci...
Il se penche une dernière fois pour m’asséner un dernier mollard en plein visage, puis, je me retrouve seule face à la porte métallique. Un sourire béat sur le visage, comblée mais pas vraiment rassasiée, je récupère un maximum de semence et l’avale. J’étale le reste sur mes seins, mon cou et mon visage. Je repasse les bretelles de ma robe et sors luisante des toilettes, roulant du cul sous les regards intrigués. Un vieux me dévisage. Il a dû tout entendre. Je lui fais un doigt d’honneur avec un joli sourire. Me dirigeant vers la voiture je vois que Michel est derrière le volant. Le moteur tourne. Le routier n’est plus sur le parking. Il a dû remonter dans son camion.
Les vacances commencent vraiment bien.
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