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D'exquises viennoises

Chapitre unique

Hétéro
Actuellement, je travaille sur un chantier de construction d’un quartier d’immeubles d’habitation. Tous les matins, j’ai pris l’habitude en arrivant d’aller à pied jusqu’à la boulangerie pour acheter son déjeuner ainsi que le petit déjeuné. Avant de retrouver mes collègues au camion sur le chantier pour le café.
Comme d’habitude, il est 7h20 environ quand j’arrive devant la boutique. J’attends tranquillement mon tour, après tout je ne suis pas pressé. Je ne commence qu’à 8h00. Maximum trois personnes dans le magasin, covid oblige. Les clients s’enchaînent, je rentre, attends que la boulangère finisse avec les deux clients devant moi.
Vient mon tour, je suis tout seul, comme presque tous les jours. Les habitués sont passés avant, et à cette heure-ci, pas grand monde ne va à la boulangerie en semaine.
-  Bonjour, comment allez-vous ? Comme d’habitude ? Un poulet crudités, un ice-tea, deux torsades chocolat ?— Exactement, vous êtes très belle aujourd’hui, cette combi vous va très bien.
Je vois bien que la boulangère rougit. Même avec le masque. Mais d’ailleurs, vous ne savez pas comme elle est belle.
C’est une femme d’environ d’un mètre soixante-dix, peut-être un peu plus, d’une quarantaine d’années je dirais, environ quarante-cinq je pense. Elle est brune, ses cheveux coiffés tous les jours en une petite queue de cheval lui arrivant dans la nuque. Elle a le teint légèrement hâlé, des origines du sud je suppose. Je n’en ai aucune idée, mais je dirais qu’elle est mère de famille, elle a les hanches larges. Madame fait un bonnet C je pense, et une taille trente-huit je suppose.
Elle me sert mon sandwich, mes viennoiseries, ma boisson. S’ensuit mon paiement.
— Passez une bonne journée, bon courage, et à demain.— Merci vous aussi
Demain ? Mais ? On est mardi pourtant, le mercredi est son jour de repos. Ah je suis content qu’elle soit là demain. Elle met du soleil dans ma journée, peu importe comment elle se passe. Dans tous les cas, elle commence plus que bien quand je la vois.Une journée lambda se passe, avec ses péripéties, ses problèmes et ses solutions. Un retour dans les bouchons, et encore j’évite le pire en finissant les journées tôt.
Le mercredi, je vais à la boulangerie, tout content de la voir, manque de bol, elle n’est pas là. Le jeudi, pareil toujours pas le soleil de ma journée.Je m’inquiète. Ça a beau être une inconnue, je m’inquiète quand même.
Nous sommes vendredi, est ce qu’elle sera là ?
J’arrive devant et OUI ! Elle est là, à son poste de vendeuse. Comme d’habitude vient mon tour :
— Bonjour, comme d’habitude ?— Bonjour, oui exactement. Et en plus je vais vous prendre six croissants et six pains au chocolat.
Pendant qu’elle me sert, je la regarde. Heureusement qu’il y a le masque, on pourrait voir que je bave d’envie.
— Vous m’avez fait un faux espoir mardi, j’étais triste.— Ah bon ? Comment ça ?— Vous m’avez dit "À demain". J’étais tout content de vous voir mercredi, mais vous n’étiez pas là, et jeudi non plus. Je me suis inquiété.— Ah oui excusez-moi, c’est par habitude. Mais il ne faut pas vous inquiétez.— Bah si quand même, vous voir le matin met du soleil dans ma journée, surtout qu’en ce moment, on enchaîne les surprises sur le chantier. — Vous êtes sur le chantier du quartier avec les nouveaux immeubles derrière l’école ?— Oui c’est ça.— Ah d’accord, il va être beau, je trouve que les immeubles sont très jolis, même s’ils ne sont pas finis. Et vous faites quoi ?— Je suis conducteur d’engin. Actuellement, je m’occupe de tout ce qui est canalisation d’eaux, et gaines pour l’électricité, pour la fibre, etc. Et en même temps, on construit et dessine les fondations pour les chemins du jardin qu’est entre les bâtiments. — Ah d’accord, j’aime bien passer me promener par la voie piétonne, je vous ferai coucou la prochaine fois en passant.— Ho non, il ne faut pas, après je vais avoir plein de questions de mes collègues, ils vont essayer de me gratter votre numéro, que je vous présente, etc… Ils peuvent être très lourds… Dans le BTP en général c’est très masculin, macho, et “en chien”.— Pourquoi ? Il n’y a pas de mal à connaître une femme ?— Oui c’est sûr, mais quand ils voient une belle femme, ils ne peuvent s’empêcher de baver et commenter de manière très lourde. Alors si cette belle femme fait coucou à un collègue forcément.— Une belle femme ? Vraiment, vous trouvez ?— Oui je trouve, mais d’ailleurs : James, enchanté de faire ta connaissance, je t’en prie, tutoie-moi.— Justine, enchantée également. D’accord, alors TU sais s’il reste des appartements non vendus ?— Euh je crois oui. Mais si tu es intéressée, il y en a un dans les immeubles déjà habités.
Nous continuons à parler de sa recherche d’un appartement. Actuellement elle vit avec son fils de 13 ans dans un petit deux pièces où elle dort sur le canapé, donc question intimité ce n’est pas ça, elle me confie qu’il lui est dur de ramener un homme. Ça arrive de temps en temps quand il est en cours, ou qu’il part chez des amis. Mais bien souvent, son plaisir se résume à utiliser son Rabbit.
Je suis un peu choqué de cette confidence, mais je comprends très bien sa frustration. J’ai une idée :
— Mais j’y pense, je peux te faire visiter ? Enfin le soir.— Ho c’est vrai ? De l’extérieur, les appartements ont l’air très spacieux. C’est très gentil de proposer, mais tu n’auras pas de problèmes ?— Ne t’inquiète pas, je te donnerai un déguisement. Et si on me le demande, je dirai que tu es du bureau de la boîte.— C’est avec plaisir que j’accepte. Je finis à 18h ma journée.— Je t’attendrai devant la porte de service de la boulangerie.— Très bien à tout à l’heure alors, passe une bonne journée.
La matinée se passe sans trop de problèmes et surprises, que des petites choses. Mon patron passe sur le chantier aujourd’hui, pendant la pause déjeuner. Il fait sa petite inspection, voit si tout se passe bien, si on respecte les consignes de sécurité et sanitaires. Il prend ensuite un café avec l’équipe complète où on discute de tout et rien. À un moment, je le prends à part et lui demande :
— Est ce que je peux te demander un service ?— Vas-y, dis-moi.— Bah j’ai une amie qui aimerait acheter un appartement. Elle s’est renseignée et il y en a encore à vendre ici. Elle aimerait voir à quoi ça ressemble. Je voulais savoir du coup s’il y avait moyen que je lui passe les EPI (Équipements de Protection Individuels) et de la faire passer pour quelqu’un du bureau qui vient faire une petite inspection ?— Houlà, tu m’en demandes beaucoup là, mais ça me va. Tu as intérêt à lui filer les équipements, ça fait plus pro donc moins de chance de se faire repérer.— Yes, j’ai tout dans la voiture. Merci en tout cas.— Si jamais on vient vous voir, fais-lui un speech. Dis qu’elle est nouvelle dans l’entreprise et elle vient inspecter un chantier. Par exemple pour voir comment ça fonctionne chez nous.— D’accord, encore merci.
Je suis trop content qu’il ait accepté, et j’avoue avoir hâte de lui faire visiter. Ne pas être obligé d’avoir ces distances professionnelles que demande la relation client/vendeuse.
La journée se termine sans souci. Je fais quelques fois le tour du chantier pour vérifier que les machines sont bien rangées, les barrières bien fermées, etc. Vient 18 heures, je suis devant la porte de service de la boulangerie, je l’attends avec un gilet orange et un casque de chantier. Elle sort avec un petit sac à la main et me fait un grand sourire. Je lui donne son déguisement qu’elle enfile. Durant la marche jusqu’au chantier, je la briefe sur qui elle est officiellement, pourquoi elle est là, etc, etc.
Nous arrivons au chantier, je lui montre où on en est. Je lui explique tout le pourquoi du comment, ce qu’elle écoute de manière attentive et me pose même des questions sur. "Pourquoi comme ça et pas comme ça ?", "C’est obligatoire ça ?", etc. Elle rentre vraiment bien dans le rôle.
Je lui propose de monter dans l’un des immeubles pour prendre de la hauteur, ce qu’elle accepte. Une fois à l’intérieur, nous ne sommes plus visibles. Je la guide et l’emmène vers les escaliers pour aller au dernier étage. Nous montons tranquillement en faisant connaissance, j’apprends qu’elle a quarante-deux ans, qu’elle adore son boulot. Même si la patronne est un peu casse-pieds me confit-elle. Je ne l’aime pas non plus de toute façon. Elle avoue aimer me voir tous les matins car je suis adorable.
C’est à mon tour de rougir de ces mots. Je la prends par la main et accélère un peu la vitesse de marche.
Nous arrivons au cinquième étage je la guide toujours. Je lui fais visiter un appartement en lui expliquant quelle pièce sera quoi (salle de bain, toilettes, cuisine, pièce à vivre). J’ai toujours sa main dans la mienne. J’adore sentir la chaleur de sa peau contre ma peau.
— Ho cette pièce serait parfaite comme chambre, avec cette baie vitrée donnant sur le balcon. Comme ça je me lève après une bonne nuit d’amour et vais me faire réveiller le corps par les rayons du soleil.— Hum, je pense que je vais aussi acheter un appartement juste pour profiter de la vue de la voisine sur son balcon alors.
Elle se retourne vers moi avec un petit air interrogateur.
— Comment ça ?— Bah, c’est un peu gênant, mais j’avoue que tu es une très belle femme et que tu ne me laisse pas indifférent.— Tu te moques de moi là ? Je pourrais être ta mère !— Tu m’aurais quand même eu jeune, j’ai vingt-sept ans. Certes, il y a une petite différence d’âge entre nous deux, mais excuses-moi de te trouver belle et désirable.— C’est un peu gênant, mais ça fait plaisir qu’un jeune comme toi me trouve désirable. Je ne sais pas si je dois être contente ou énervée de cette révélation.
Un blanc s’installe, quand Justine s’approche de moi, enlève son masque, me descend le mien, et m’embrasse. Ses lèvres se posent sur les miennes, nous échangeons un long baiser, quand elle a un mouvement de recul.
— Ho je suis désolée, je ne sais pas ce qu’il m’a pris.— Tu n’as pas à t’excuser. Je t’ai un peu bouleversé avec ma révélation on dirait.— Oui c’est ça. Mais je n’aurais pas dû t’embrasser.— Et pourquoi ? Tu en avais envie ?— J’avoue que oui, mais ce n’est pas une raison.— Et pourquoi ? T’inquiète je suis consentant. Dis-je en rigolant
Je relève mon casque, prends le sien et lui enlève. Je le laisse tomber pendant que je l’embrasse. Je la chope par son blouson orange, la plaque contre moi. Nos lèvres restent collées un long moment. Ma main caresse sa joue, la sienne me caresse les cheveux. Nos bouches s’entrouvrent, laissent passer nos langues qui se mettent à danser un slow langoureux.
Nous restons collés un long moment à nous embrasser. Elle recule légèrement, et commence à descendre la fermeture de mon blouson. J’en fais de même avec le sien. Elle dézippe mon pull, mes mains viennent glisser sur son t-shirt, la caresse au travers de ce tissu. Je passe sur son ventre, au-dessus des hanches, dans son dos. Mes mains passent en-dessous du vêtement. Je sens sa douce peau sous mes doigts qui courent dans son dos. Elles repassent devant, caressent son doux petit ventre plat, titillent son nombril. Je les remonte doucement vers ses seins, y arrive, les prends en main, les caresse, je joue avec ses tétons.
Je lâche sa bouche et lui dévore le cou. Elle prend ma tête et la garde contre elle en disant :
— Hum oui continue, dévore-moi.
Je sens ses mains faire glisser mon blouson. J’arrête mes caresses et laisse mes bras libres pour qu’elle me débarrasse de mon haut. Mon manteau est par terre, vite rejoint par mon pull. À mon tour de lui enlever le blouson. Tout en lui dévorant le cou, j’attrape le gilet par les épaules, l’écarte, et le fait glisser le long de ses bras.
Une fois au sol, mes mains retournent sous son t-shirt et le remonte pour lui enlever. Justine en fait de même. J’arrête de la manger et me redresse pour qu’on puisse enlever nos hauts.Chacun enlève le sien, avant de revenir se coller à l’autre et choper la braguette du pantalon du partenaire.
Les bas viennent vite rejoindre les hauts au sol. Je prends ses seins à pleines mains, les dévore. Justine pose une main à l’arrière de ma tête, une autre me caresse le dos. Pendant ce temps, sa tête est en arrière, elle gémit son plaisir
Je lui mords le téton un peu fort, ce qui lui fait pousser un petit cri. Je me redresse inquiet :
— Oh excuse-moi, je ne voulais pas te faire mal— Oh non au contraire continue, j’aime que tu me manges.
J’ai un regard et un sourire coquins qui se dessinent sur mon visage. Je lui réponds :
— Ça tombe bien, j’ai bien faim et j’adore dévorer une femme. Si je te dévore là ça te plaît ?
À la fin de ma phrase, je lui mords le cou
— Oui j’adore— Et si je te dévore là ?
Je prends le lobe de son oreille en bouche et le suce.
— Oh, oui c’est excitant— Et là ?
Je me penche, pince un bout de peau de son ventre avec ma main puis viens le mordre.
— Oui j’aime beaucoup. Plus tu descends plus c’est bon— Hum, dans ce cas je vais devoir descendre un peu plus.— Ho oui descends James, je veux te sentir me dévorer.
Je ne me fais pas prier. Je me pose à genoux devant elle, pose mes mains à l’arrière de ses cuisses, et la tire vers moi. Justine fait juste deux pas et se retrouve avec son entre-jambe au niveau de mon visage. Je prends une grande inspiration, miam son odeur est délicieuse, je ne me fais pas prier. J’embrasse son clitoris, embrasse ses lèvres, les prends en bouche, les suce. Je tire dessus en les coinçant entre mes dents, appuie un peu. Justine gémit de surprise quand je touche son clitoris, puis se détend et gémit de plaisir.
Ma langue s’immisce entre ses lèvres et lui caresse l’intérieur de son antre. Justine a le bassin qui vient accompagner mes mouvements en elle. Pendant que je la fouille, mes mains remontent sur ses fesses. Je les maintiens fermement, les caresse, les masse, les écarte. J’ai mes doigts qui ont tendance à aller entre ses fesses quand je les écarte. Je me mets à masser sa raie sur toute la longueur, puis son petit trou.
Justine se tord sous les assauts de ma langue et de mes doigts en jouissant dans un éclair de plaisir et une vague de mouille. Je la laisse se remettre de ses émotions. Je me redresse, encore son goût en bouche.
Elle est haletante. Je la regarde, elle est si belle quand elle est essoufflée d’avoir crié son plaisir.Nous nous embrassons langoureusement, nos langues dansant. Elle met fin à ce baiser et me dit en posant une main sur mon paquet déjà bien réveillé :
— A mon tour maintenant
Elle s’accroupit, prend mon sexe avec une main. Je sens son souffle chaud sur mon gland, bon dieu c’est divin.Justine pose délicatement ses lèvres sur le bout de mon gland, je suis sous le choc de ce simple contact.
Mon gland est aspiré, millimètre après millimètre, c’est délicieux. Mon gland est entièrement au chaud dans sa bouche, elle en fait le tour plusieurs fois avec sa langue avant de m’enfoncer plus loin.
Justine entame des va-et-vient sur mon chibre. Ils sont doux, lents. Elle me regarde dans les yeux durant ce contact. C’est tellement bon, ma tête bascule en arrière pendant que je râle mon plaisir.
Je l’arrête très vite dans sa lancée, la fais se relever. Je l’embrasse intensément, puis la chope par les épaules et la retourne. Justine est dos à moi, nos corps serrés l’un à l’autre. Je lui dévore encore le cou et le lobe de l’oreille avant de la pousser en avant.
Justine est penchée en avant, appuyée contre le mur. Je me rapproche d’elle, viens frotter mon gland contre ses lèvres avant de la pénétrer.
— Hum oui James, vas-y, glisse-toi en moi, je veux sentir ta chaleur m’écarter.— Ma chaleur ? Tu es déjà bien chaude aussi petite cochonne.— Oui je suis chaude de toi.
Je ne me fais pas prier et me glisse en elle. Je suis tout au fond, en butée de mon pubis contre ses fesses. Je sens son antre s’adapter à mon engin, ses parois s’écartent sous mon passage.Je reste au fond d’elle quelques secondes, puis commence à faire des allers-retours doucement, un rythme régulier s’installe.
— Si tu continues comme ça je vais finir par m’endormir, mets-y un peu d’énergie.— Ah bon tu veux de l’énergique ? Comme ça ?
Je lui mets une grosse claque sur la fesse. Une fessée bien bruyante.
— Oui ce genre d’énergie, vas-y prends moi et baise moi !
Je sais ce qu’il me reste à faire et accélère jusqu’à jouer du marteau-piqueur en elle. Mes coups de butoir sont ponctués par ses gémissements et cris qui accompagnent également le bruit des fessées que je lui donne.
— Oui vas-y défonce-moi, fais de-moi ton jouet, je suis ton vide couilles.— Oh oui tu es mon jouet, ma bonne petite salope.
Je ponctue ma phrase avec une autre fessée toujours aussi bruyante.
Je sens que Justine va partir, elle est proche de l’extase. Je prends ses poignets et lui tire les bras vers l’arrière pour la retenir tout en m’accrochant pour mettre plus de forces dans l’action.
Justine crie sa jouissance en la gémissant [soit elle crie, soit elle gémit…]. Heureusement que je la retiens car je sens son corps la lâcher.Je sors de son intimité, la retourne et l’accompagne s’assoir sur un empilement de matériaux. Je pose ma veste dessus juste avant qu’elle ne s’assoie pour éviter la texture et la température désagréable.
Justine se remet doucement, haletante.
— Tu n’as pas joui en moi quand même ?— Non, non, ne t’inquiète pas pour ça. Tu n’auras pas un deuxième enfant, dis-je en rigolant— Mais où as-tu juté ?— Nulle part, je n’ai pas lâché la sauce— Ah, bah alors dans ce cas.
Ni une ni deux, voilà Justine à genoux devant moi avec déjà mon pénis dans la main et mon gland dans sa bouche.C’est reparti pour une pipe d’enfer que j’avais dû arrêter avant pour laisser la pression redescendre. Pas beaucoup de temps à attendre pour elle avant que je me décharge dans son gosier.
Elle me regarde la bouche grande ouverte toute fière de me montrer qu’elle a tout pris, ferme, avale, et rouvre la bouche.Je lui caresse la joue en lui disant :
— T’es une bonne cochonne et une bonne petite salope.— Oh, oui alors, j’adore le jus d’homme. Je suis une vraie chienne avec son nonosse quand il s’agit d’une queue.— Intéressant tout ça. Il faudra qu’on se revoie hors travail plus souvent alors, que je satisfasse l’appétit de bite de la petite traînée que tu es.— Oh oui. Si tu me parles comme ça, je risque de te ressauter dessus. Mais il faut que je rentre, mon fils va s’inquiéter.— Tu as raison, l’heure tourne.
J’embrasse Justine, puis nous nous rhabillons. Nous échangeons un dernier baiser langoureux avant de sortir de l’appartement et descendre l’escalier. Nous sortons du chantier et rejoignons ma voiture pour déposer son déguisement. On s’embrasse une dernière fois avant de nous quitter en nous souhaitant une bonne soirée et bonne nuit.
J’aimerai remercier les personnes qui suivent mes histoires et m’encouragent. C’est grâce à vous que je continu. Je tenais également à remercier une personne sans qui toutes ces histoires ne seraient pas ici: Emilie ma correcteur.
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