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En extérieur

Chapitre 1

Hétéro
En vacances dans le sud, je fais ma sieste/lecture du site Xstory, à l’ombre des arbres, sur un transat. Profitant de ma vue, sous la table où est installée ma femme, j’essaie de regarder sous sa robe légère. En effet malgré plusieurs demandes depuis le début du séjour, elle ne veut pas jouer les "exhib " pour moi. Il faut dire qu’elle est très pudique et se met difficilement nue même avec moi. Après quelques rêveries et une petite sieste, L (ma femme) vient me rejoindre sur le transat en s’asseyant entre mes jambes, le dos contre mon ventre, la tête sur mon torse. Tout en discutant de choses et d’autres, je commence à lui caresser les seins par-dessus sa robe. Après quelques instants L pousse mes mains et se redresse ; je râle de mécontentement mais la vois en même temps retirer les bretelles de sa robe, avant de se remettre en place, prendre ma main, et la glisser sous sa robe en ajoutant les mots "ce sera meilleur ". Je recommence donc à lui malaxer le sein gauche et tente, sans succès, de glisser la droite, le tissu tenant la robe au-dessus de ses seins est trop serré pour glisser deux mains.
Je prends plaisir à lui donner un max de plaisir, à lui masser les seins avec ou sans tissu.
Je la sens respirer de plus en plus fort et gigoter contre moi, ce qui fait grossir mon érection. Après quelques minutes de douceur, L remonte d’un cran pour poser ses petites fesses sur mon sexe ; elle prend ma main pour la mettre sur son string. Intérieurement je jubile, L qui "demande" à prendre du plaisir, et en plus en extérieur, alors qu’elle est très rarement demandeuse. En continuant de tripoter son sein gauche, qui est maintenant sorti de la robe, je glisse mes doigts sur le string avant de l’écarter, puis de fouiller entre ces lèvres déjà bien humides. Je lui introduis deux doigts sans forcer, et commence des va-et-vient qui lui procurent des gémissements et des mouvements, lesquels amplifient le frottement sur ma bite en pleine érection. Un bruit vient nous sortir de ce moment de plaisir, ce sont les enfants qui sortent de la maison. Dans l’excitation nous avons oublié qu’ils jouaient dans leurs chambres. Heureusement un buisson se trouve entre l’entrée de la maison et l’endroit de nos ébats.
Tout juste le temps de cacher la chatte luisante sous la robe bien tirée et de retirer la main, son sein à moitié caché par le tissu et sa main, que les voilà. Avec cette interruption et le risque d’être vus par les enfants, je pense que L va couper ce plaisir. Une fois les enfants "renvoyés " dans leurs chambres pour jouer, L reprend sa place, et le plus naturellement du monde me dit "bah t’attend quoi ?". Je reprends donc la chose là où je l’ai laissée (en gardant une oreille sur les bruits des enfants). Mes doigts s’occupent de caresser son bouton pendant de longues minutes, et s’introduisent au plus profond d’elle, ainsi que de caresser ses seins. Sa jouissance me fait exploser dans mon short tellement la pression et ses mouvements sont intenses. Après s’être réajustée L reste quelques instants en place, jusqu’à l´arrivée en trombe des enfants réclamant d’aller à la plage.
Le reste de la journée continue normalement jusqu’au soir après que les enfants dorment enfin. Excité par l’activité inhabituelle de l’après-midi, je commence à vouloir caresser L ; cependant elle ne semble pas vraiment d’accord.
"Arrête, il fait trop chaud
— Ce n’est pas grave, on retournera sous la douche
— Non
— La chaleur ne t’a pas gêné cette aprèm
— Ce n’est pas pareil, il y avait du vent."
Tout en pensant que ma proposition n’allait pas lui plaire je me lance quand même.
"On peut retourner dehors y a toujours un peu de vent
— Non on ne va quand même pas faire ça dehors, on peut nous voir

— C’est quand ça t’arrange, en plus les deux maisons qui pourraient nous voir sont loin, on risque rien."
Un silence s’installe, je continue à lui faire les petites caresses dans le bas du dos qu’elle affectionne, avant de reprendre.
"Alors, on fait quoi ? — Tu veux aller dehors ?
— Oh oui.
— On y va alors !"
Ne perdant pas un seconde je me lève pour ne pas qu’elle revienne sur sa décision. Avant de me suivre je la vois qui commence à se déshabiller ce qui m’étonne encore plus.
"Bah tu enlèves tout?
— Je ne vais pas mettre mon pyjama par terre dehors.
— Dans notre chambre, à la maison, j’ai du mal à te mettre nue et là ..."
Elle me coupe avec un "on y va", et la voilà qui se dirige vers la porte. Je la suis tout fier de ma victoire ma queue est déjà bien gorgée. Arrivé dehors je referme la porte derrière moi et éteint la lumière extérieure que L vient d’allumer en sortant, ce qui déclenche une réaction inattendue de L qui me coupe les jambes :
"Laisse allumé on va rien voir." Sur le moment je ne reconnais plus la L si pudique.
  "Avec la lune ça doit suffire."
L se réinstalle sur le transat, assise, je viens m’installer devant elle. L attrape ma queue pour y mettre un gros coup de langue de mes boules jusqu’au bout du gland, puis elle l’avale avant de commencer des va-et-vient en descendant un peu plus à chaque fois. Quand elle finit je m’accroupis à côté d’elle pour sucer ses seins et tripoter ses tétons tout durcis par le vent qui nous caresse la peau, et par l’excitation de la situation. Mes mains descendent doucement le long du corps pour passer entre ses cuisses, et aller m’occuper de ses fesses, en laissant mon pouce aller et venir entre ses lèvres.
J’introduis rapidement deux doigts dans sa grotte pour y faire des va-et-vient rapides. J’enfile un troisième doigt qui fait réagir L. Mon envie de lui goûter le jus devient irrésistible et je plonge la sucer et pénétrer avec la langue le plus profondément possible. Plus je m’active plus elle gémit fort. Un dernier coup de langue la fait jouir. L hurle de plaisir sans retenue, ne se souciant pas de qui peut l’entendre. L se place alors à quatre pattes me tendant le cul pour que je la prenne en levrette. Les coups de bassins claquent contre son cul. Notre jouissance conjuguée arrive pas longtemps après.
Nous restons quelques instants nus dehors à profiter de la fraîcheur de la nuit.
Les jours suivants j’espère pouvoir renouveler notre petite escapade nocturne mais les conditions climatiques ne nous sont pas favorables.
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