Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 170 J'aime
  • 8 Commentaires

Fabulation et Masturbation

Chapitre 1

Jouir au bureau

Hétéro
Il était une fois une jeune femme remplie d’envies. Dès le réveil, au coucher, et même parfois dans ses rêves, elle y pensait. Et quand elle y songeait, ses mains, tels des automates, glissaient sur ses seins et entre ses jambes. Elle imaginait qu’un homme la touchait, la léchait, la prenait. Et, à chaque fois, c’était délicieux. Elle avait d’abord juste un peu chaud, quelques vagues frissons, sa respiration s’accélérait légèrement. Puis, elle devenait tremblante, haletante, gémissante. Avoir un orgasme la détendait. Et Dieu sait qu’elle en avait. Il ne passait presque pas une seule journée sans qu’elle ne prenne le temps de se satisfaire. C’était devenu, en quelque sorte, sa drogue.
Un jour, en arrivant au travail avec beaucoup de retard, elle se fit fortement houspiller par son patron. Elle rougit, s’excusa en chuchotant et rejoignit son bureau. En s’asseyant sur sa chaise, elle réalisa qu’elle était toute mouillée, là, juste en bas. Elle sentait ses tétons tout durs frotter contre la dentelle de son soutien-gorge. Elle repensa à son supérieur et aux reproches qu’il avait formulés quelques instants auparavant. Une scène bien différente se dessina dans sa tête.
Elle imagina son patron l’appeler dans son bureau.
Il avait le regard dur. Il lui fit part de sa déception concernant ce retard. Sa voix était froide. Elle ne disait rien, les yeux baissés vers le sol. Il lui dit que cela ne pouvait rester impuni. Qu’elle devait comprendre. Il lui demanda de se pencher sur le bureau, face à lui, et de poser ses avant-bras dessus. La position était suggestive.
Tandis que son imagination dérivait doucement, sa main aussi. Sans vraiment s’en apercevoir, elle l’avait glissé sous sa robe, entre ses cuisses. Ses doigts caressaient légèrement son clitoris à travers son dessous. Elle se surprit à gémir discrètement.
Il se leva de sa chaise pour faire le tour du bureau. Elle sentit l’appréhension la gagner. Non, pas seulement l’appréhension. L’excitation aussi. Il était à présent juste derrière elle. Il remonta très doucement sa robe. Elle gigota, mais il la rappela à l’ordre en lui interdisant de bouger, sévèrement. Il lui caressa doucement les fesses, dénudées grâce au string qu’elle portait.
Sa main se fit plus pressante, et glissa sous son string. Elle se toucha plus clairement. Elle était là. Trempée de désir, dans son bureau. La main sur sa chatte, se caressant de plus en plus vite. Elle glissa un doigt en elle, appréciant de combler son sexe, moite de plaisir. Dans sa tête, les images se bousculaient, la scène se précisait.
Après avoir caressé la peau si tendre de ses fesses, il donna une claque sur son postérieur. Durement, fortement. Un cri de surprise/plaisir s’échappa de la bouche de la jeune femme. Elle mouilla de plus belle. Et il recommença. Encore et encore. En lui disant qu’elle n’était qu’une vilaine fille. Qu’elle méritait de se faire fesser ainsi. Et que bientôt, il lui prendrait sa petite chatte toute mouillée.
S’imaginant tout dans les moindres détails, elle ajouta un second doigt au premier et se mordit la lèvre pour retenir ses gémissements. C’était si bon, excitant, transcendant. Elle se rendit compte qu’elle pouvait être surprise à tout moment. Au lieu de la gêner, cela l’excita d’autant plus. Elle fit aller ses doigts plus fort, plus profondément en elle.
Il la fessa encore un moment, puis s’arrêta. Elle entendit son supérieur ouvrir sa braguette rapidement. Elle sentit qu’il lui écartait le bout de tissu trempé entre ses cuisses. Il lui ordonna de rester silencieuse et la pénétra profondément, d’un coup, sans plus de préliminaires. Elle mordit sa main pour ne pas crier. Comblée, étirée. Tout ce plaisir la rendait folle. Il commença à la baiser vivement.
De son autre main, elle toucha un de ses tétons à travers sa robe, cherchant à le tirer, le pincer. Ses doigts allant et venant toujours en elle, de plus en plus rapidement. Dieu que c’était bon. Elle avait terriblement envie de jouir. Ses jambes à présent bien écartées sur sa chaise, elle ne pouvait que se laisser transporter par ses propres attouchements.
Il saisit à pleines mains ses fesses, les serra, tandis qu’il continuait de la prendre sauvagement. Il se pencha sur elle et lui murmura doucement en grognant que ce n’était qu’une petite salope qui aimait être baisée. Il se releva et la fessa de nouveau. Il ralentit le rythme, la sentant proche de l’orgasme. Il sortit et rentra à nouveau en elle puissamment. Il recommença à plusieurs reprises.
Elle allait jouir. Elle le sentait. Ce fantasme en tête, son orgasme approchait. Elle sentait sa chatte se contracter autour de ses doigts, avide de venir enfin. Elle venait si fort avec ses doigts en elle que des bruits de clapotis se faisaient entendre. C’était si obscène, si excitant.
Il la prit ainsi encore un moment. Puis glissa une main entre ses cuisses pour saisir son bouton tout gonflé. Il le massa intensément en reprenant ses coups de bassin violemment. Alors, il lui ordonna de jouir, maintenant. Elle le fit. Fortement. Ses parois serrant la queue de son patron brutalement. Il sentit les spasmes le long de son sexe et fut sur le point de jouir. Mais il avait d’autres projets. Il voulait jouir dans sa bouche. Une fois qu’elle eut terminé de jouir autour de lui, il lui dit de se mettre à genoux devant lui. Lui demanda d’ouvrir sa bouche et de sortir sa langue pour lui. Il se branla en regardant son employée, les yeux vitreux de l’orgasme qu’elle venait d’avoir. Il avait envie de lui recouvrir le visage de son sperme, et de lui en mettre plein la bouche. Au moment où il allait jouir, il se rapprocha un peu, grognant plus fort et éjacula sur le visage de la jeune femme.
C’est à ce moment qu’elle jouit longuement sur ses doigts. Imaginant le sperme de son patron se déverser sur elle. Elle étouffa avec peine un cri, qui se transforma en un couinement plaintif. L’orgasme dura quelques secondes qui lui semblèrent une éternité. Elle était là, haletante, gémissante, les doigts encore dans son sexe. Elle eut du mal à reprendre sa respiration. Elle n’en revenait pas. Elle venait de jouir sur son lieu de travail. En pensant à son patron. Et Bon Dieu... Qu’est-ce que cela avait été bon...
Diffuse en direct !
Regarder son live