Dès mon réveil, je repensais à mon comportement d’hier. Je m’étais sentie si libre, j’étais dans un état de transe si profond que j’avais oublié la présence de mon cousin. Ma jouissance n’a jamais été si puissante ! Est-ce dû au fait que j’avais un spectateur ? J’étais sûre que Paul m’observait pendant ma masturbation. J’étais très bruyante et il était impossible qu’il ne m’ait pas entendu. Cependant j’espérais que mes parents dormaient à ce moment-là ! Je m’étais réveillée quelques minutes plus tôt afin de retirer le drap qui couvrait mon corps nu. Je sentais son regard, mais je n’osais pas ouvrir les yeux ! Je ne savais pas comment répondre à ses questions ? Avait-il honte que je sois sa cousine ?Quelques minutes passèrent et mon cousin n’avait toujours pas réagi devant ma nudité. Je me suis sentie seule et j’ai rapidement eu honte de lui avoir exposé mon corps si facilement. [30 secondes plus tard] J’étais contente de sentir sa main chaude caresser mon corps. Il a commencé par mon ventre puis il est monté doucement vers mes seins. Je sentais que j’étais à sa merci et cela m’excitait ! Je voulais être traitée comme sa poupée dans son jardin des fantasmes. Mes seins et mes tétons sont devenus de plus en plus fermes. Une onde chaude m’a parcouru le corps et j’ai senti un plaisir de plus en plus puissant au niveau de mon vagin. « Elle » avait besoin de tendresse ! « Elle » voulait que l’on s’occupe d’« elle »! La respiration de Paul devenait de plus en plus forte. La situation était très sensuelle ; mon cœur cognait dans ma poitrine de plus en plus vite. J’avais l’impression d’étouffer, de manquer d’air. J’ai senti rapidement sa deuxième main descendre vers ma partie intime. Ma respiration s’accéléra, mais ses mouvements me paraissaient trop lents ! J’ai décidé de prendre sa main et de me caresser le vagin avec, puis j’ai pris un de ses doigts pour me l’introduire. Je me sentais si cochonne de me faire masturber par mon cousin dans la crasse de ma jouissance d’hier. Sa main était si douce et si hésitante à la fois ; m’a fait comprendre qu’il avait beaucoup à apprendre. Je commençais à gémir devant lui et j’ai décidé d’ouvrir les yeux à ce moment-là. — Bonjour, Paul, j’adore cette façon d’être réveillée. Je voyais qu’il était surpris et ne savait pas comment répondre. — Bonjour Caroline ! Tu es très belle !
Il commençait à être de plus en plus excité, mais je sentais qu’il n’était pas encore libre de lui-même. Il y avait encore des barrières entre nous.
— Tu as bien dormi ? (Il était toujours en train de me doigter)— Oui très bien — Tu t’es endormi rapidement hier soir. Je t’ai appelé, mais tu ne m’as pas répondu.— Désolé je devais dormir.— Vraiment... ? Ça te plaît de me doigter ? Tu aimes ?— Oui j’adore !! Ton vagin est si chaud et humide !
Je sentais qu’il ajouta un deuxième doigt puis un troisième rapidement. Mon vagin s’élargissait pour les accueillir avec plaisir.
— Continue !! C’est trop bon !! Ajoute un autre doigt ! Il n’a pas hésité et il a introduit petit à petit le reste de ses doigts ! Puis, je sentais qu’il forçait pour me pénétrer avec son poignet. — Pousse ! Tu ne me feras pas mal. — Tu es sure !? J’ai l’impression que s’est bloqué.— Enfonce !— «...... ».— « OOOOOHHH OUIIIII continue !! C’est toujours un peu douloureux pour rentrer ! Il continua à faire des va-et-vient de plus en plus vite avec son bras. Je sentais qu’il essayait d’ouvrir sa main en moi et cela me rendait folle ! Je sentais que j’étais sa soumise. Sa main était de bonne taille pour me satisfaire. Je pouvais la sentir en moi à travers ma peau. La sensation était incroyable !
La situation prenait une tournure que je n’avais pas anticipée. Sentir le poignet de mon cousin dans mon sexe à mon réveil était extraordinaire ! Ma production de cyprine était de plus en plus abondante. Je sentais mon vagin devenir de plus en plus chaud comme un volcan en éruption ! Je me tordais de plaisir, c’était trop bon ! — Donne-moi tes doigts qui sont en moi. Je veux les sucer. J’adore mon jus !!— D’accord !! Mais, je ne te connaissais pas comme ça ! Il me donna sa main et j’ai gobé chacun de ses doigts avec gourmandise tout en mettant son regard. Je voulais le rendre fou. — As-tu déjà goûté ?— Non ?— Remets ta main et ensuite tu goûteras ! Il remit son poignet avec beaucoup plus de facilité. Mon vagin était grand ouvert et complètement trempé. Je sentais mes draps devenir de plus en plus humides sous mes fesses. — Aimes-tu ? — Ça va ? Je ne suis pas accro ?— Pas pour l’instant !! Continue ! Ne t’arrête pas ! J’aime cette sensation ! Paul prend mon gode et utilise-le ! Fais-moi jouir ! J’aime me masturber le matin avant de commencer la journée ! Paul ne revenait pas de ce que je venais de lui demander. Il doit penser que j’étais très cochonne ! Il trouva rapidement mon gode au pied du lit et il me pénétra avec. Je sentais les allers-retours de plus en plus rapides. Une nouvelle vague de chaleur parcourut mon corps.
— Il est super ce gode ! En as-tu d’autres ? — Ouuii !! je devrais les recevoir demain ! Je vais les chercher dans un point de vente !— Qu’est-ce que tu as commandé ? — S’il te plaît, allume-le ? Je veux sentir les vibrations ? Mets-le au maximum.— OK.— Tu verras, c’est une surprise ! J’aimerais que tu sois là quand je les essayerais ! — Super ! J’attends avec impatience ! — C’est trop bon ! Continue !!! Je n’arrivais plus à contrôler les mouvements de plaisir de mon bassin. Je sentis une nouvelle sensation me parcourir mon bas-ventre. Paul était à genoux sur le lit en train de me lécher. — Continue, c’est trop bon !! J’adore sentir ta langue lécher mon vagin ! J’ai pris sa tête et je l’ai maintenue enfoncée entre mes jambes. Sa langue est entrée en moi, j’avais du mal à me retenir. Je commençais à avoir de plus en plus de spasmes et je gémissais de plus en plus fort. — Arrête de gémir si fort ! Tes parents vont d’entendre ! — Je n’arrive pas à me contrôler ! C’est trop bon ! Continue !!!!! — Suce ! Il m’a introduit sans m’avertir mon gode dans ma bouche ! — Je ne veux pas t’entendre crier ! Contrôle-toi ! Tes parents ne sont pas loin ! J’adorais la manière dont il me traitait. Je me sentais si soumise. Le gode m’aida à garder ma bouche occupée. Il était complètement recouvert par ma cyprine et cela m’excitait d’avaler mon propre jus. Je me suis sentie frustrée lorsqu’il l’a retiré brusquement pour me le remettre en moi. Je devenais folle ! Les va-et-vient sont de plus en plus rapides et brutaux, sa langue exerçait des pressions divines sur mon clitoris et son autre main me caressait ma poitrine et me pinçait mes tétons. Je n’en pouvais plus. Je sentais que j’allais bientôt jouir. Nous sursautions quand mon père tapa à la porte pour rentrer. Nous nous regardions dans les yeux et nous ne savions pas quoi faire. Je voyais Paul entre mes jambes, la bouche baveuse et le gode qui continuait de vibrer dans mon vagin. Que penserait mon père s’il nous voyait dans cet état ? — Ne rentre pas, nous rangeons la chambre. Nous avons posé le matelas par terre contre la porte et il pourrait tomber. — Bonjour Caroline et Paul ! Vous avez bien dormi ? — Bonjour, oui très bien !— Donne-nous quelques minutes, nous descendons bientôt. Paul reprit le contrôle du gode pour accélérer le mouvement tout en me regardant. Cette situation l’excitait tout autant que moi.
— D’accord ! Aujourd’hui, je dois partir plus tôt au travail ! Soyez prêt dans 20 minutes !
Je sens subitement Paul essayer de m’introduire un doigt dans l’anus. — Non, non pas par ici, je n’ai jamais fait. (Chuchotement)— Ah bon ! Pourtant cela ne t’a pas gênée à le faire hier soir ! (Chuchotement) Sa réponse me glaça. Je ne savais pas comment répondre ! Mon cousin m’a donc vue me masturber hier soir. Mon père continuait de nous parler, mais je ne n’écoutais plus. Le plaisir était de plus en plus fort. Je suis revenue à la réalité lorsque je sentis son doigt forcer l’entrée de mon anus. La douleur laissa rapidement la place au plaisir, puis il introduit deux doigts. Je ne l’avais jamais fait jusqu’à présent. Lorsqu’il m’introduit trois doigts, je sentis une explosion dans mon ventre. — Ouuuui pappaaaa ! Nouuuus arrivvoons biiienntoot.— Tu vas bien Caroline !— Ouuuii, je viens juste de me taper le pied contre le lit. Je sentais Paul prendre de plus en plus d’assurance et de plaisir dans cette situation. Il masturbait mon anus à l’aide de trois doigts et ma chatte à l’aide de mon gode. C’est trop bon. Je sentais un second orgasme venir. — Ouuuuiiii paaaapaaaaa ! Nous serons prêts !!
Je n’en revenais pas de continuer à parler à mon père avec mes deux orifices occupés ! Je sentais que j’adorais me sentir cochonne !Paul prit un bout du drap et me l’enfonça dans la bouche. J’étais à lui, j’étais sa chose. Je sentais le plaisir devenir de plus en plus puissant. Tout à coup, mon corps se contracta et un long jet jaillit de mon vagin. Paul était forcé par surprise de tout avaler. — Continuuueee ! Lèche ! Ne t’arrête pas !! Plusieurs jets continuèrent de gicler de mon vagin. Paul n’a pas bougé, je vois qu’il aime boire ma cyprine. Son visage était trempé de mon jus ! Cette vision me rendait folle !
— Approche-toi, j’ai envie de t’embrasser ! Je veux goûter ! Je me suis sentie si cochonne de sentir la langue de mon cousin dans la bouche. Nous étions dans l’interdit. Dans une situation dangereuse que nous ne devrions pas explorer. Il me rendait folle. J’ai ensuite sucé ses doigts qu’il a introduits en moi. Je voulais lui faire une petite démonstration de ce que je pouvais faire avec ma bouche. J’étais aux anges ! Je ne bougeais plus sur le lit. Je vois mon cousin descendre son pantalon. Son sexe était en érection. J’étais très satisfaite par sa taille ! « Il » était beau ! — A ton tour de t’occuper de moi ! Je prends son sexe entre mes mains et je commence à faire des va-et-vient. J’aimais sentir son sexe se contracter sous l’emprise de mes mains, de sentir mon pouvoir de le rendre fou, de le faire jouir. — Suce-moi.— Non ! Pas maintenant ! J’ai maintenu mon regard avec un sourire très coquin ! Je sentais son sexe se gonfler dans ma main et je décidais d’arrêter de le masturber.
— Que fais-tu ? Continue ? Je vais jouir !— Si tu veux m’utiliser comme ta chose ! Je ne veux pas que tu éjacules maintenant !— Mais nous allons à l’école dans peu de temps ! — Je sais ! J’ai une idée. Je vais me doucher ! Range la chambre pendant ce temps ! Je fais vite. Il était très déçu et très énervé de ma réponse. Il profita de ma position allongée sur le ventre pour m’enfoncer par surprise le gode dans mon anus. La surprise de son geste amplifia la douleur et des larmes coulèrent de mes yeux. — Que fais-tu ? Tu m’as fait mal !— C’est ta punition de ne pas t’être occupé de moi alors que tu as eu plusieurs orgasmes depuis hier soir ! Essayer d’aller à la salle de bain en gardant le gode dans ton cul ! Que penseraient tes parents, s’il tombait ? — D’accord ! (J’étais très excitée de faire ce défi)
J’ai quitté la chambre avec difficulté et j’ai gardé mon anus contracté ! Je voulais réussir ce défi ! Je ne revenais pas du geste de mon cousin. Lorsque je suis arrivée dans salle de bain, je décontractais mes fesses et cela libéra le gode qui tomba et rebondit par terre. Je me suis écroulée à genoux. J’avais mal à mon cul. Je n’avais jamais utilisé ce gode pour cet orifice. J’ai toujours utilisé seulement un de mes doigts. J’étais contente d’avoir réussi, mais je ne sentais plus mon bassin qui a été très sollicité ! Je n’osais pas me relever. J’ai retiré la serviette qui me couvrait et j’ai marché à quatre pattes vers la douche. Je ne pouvais pas voir l’ouverture de mon anus, mais il devait être important. J’ai pris ma douche à genoux afin d’éviter la douleur. Il m’a fallu du temps pour me redresser, la douleur était encore présente. J’ai rejoint Paul dix minutes plus tard dans ma chambre ! A peine arrivée, je laissais tomber ma serviette afin de lui exposer mon corps nu. Il n’en revenait pas.
— Tu es superbe !— Merci ! Je me suis m’approchée de lui, j’ai maintenu son regard. Je pouvais voir qu’il avait une érection. Il était très excité. Je touchais son sexe à travers le pantalon, puis je glissais ma main dans son caleçon pour le masturber tout en le regardant dans les yeux. Je portais ensuite cette main en bouche pour goûter le goût de son sexe. Je me suis mis à genoux en ouvrant la bouche pour l’accueillir. — Finalement, je ne peux pas attendre ! Je veux te sucer ! Je suis très gourmande ! Je descendis son pantalon, je sortis son sexe de son caleçon puis je l’ai masturbé avec des mouvements lents et j’ai caressé mon visage avec. « Il » était si dur, si chaud et si doux. Au moment où j’allais l’introduire dans ma bouche, nous sommes encore dérangés par la voie de mon père. Il tapa à la porte. — Nous devons partir ! Vous n’avez pas pris votre petit-déjeuner ! Je regardais Paul avec un air désolé depuis ma position. — Dommage, nous ne pouvons pas continuer ! J’aurais aimé avoir ton sexe comme petit-déjeuner !— Tu es une sacrée coquine !— Tu n’as encore rien vu. Je me suis redressée précipitamment ! Je me suis rapidement habillée devant lui ! J’ai mis un string rose et une robe marron clair ! Je ne voulais pas porter de soutien-gorge. — Que penses-tu de ma tenue ? — Tu es très belle ! Je vais avoir du mal à rester concentrer aujourd’hui ! D’autant plus que je sais que tu portes ce string et que tu n’as pas de soutien-gorge.— Très bien ! C’est ce que je cherchais. Je te dois un orgasme et j’aurais bientôt faim sans mon petit-déjeuner ! Paul avait l’air surpris de ma façon naturelle de lui répondre. Nous quittons rapidement ma chambre pour rejoindre mon père. Cependant, je me suis aperçu que la porte de ma chambre était entrebâillée. Mon père m’a-t-il vu à genoux devant Paul ? Dans la voiture, je me suis maquillée ! Paul me regardait d’un air coquin et pervers ! Il devait se souvenir que je m’étais caressé mon visage avec son sexe il y a 10 minutes.
