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La face cachée de ma cousine

Chapitre 6

Le secret à nue

Hétéro
J’étais pétrifiée par son regard, je me sentais jugée dans mon intimité et dans ma propre chambre. Mon pire cauchemar était en train de se dérouler.

Marion était debout, impassible et froide. Le silence s’installa entre nous et rendit mes réponses plus difficiles à formuler. Un frisson me parcourut le corps, mes yeux s’humidifièrent de larmes.
Mes jambes tremblaient de peur, je m’asseyais sur le lit, en fuyant son regard. Mes premiers mots étaient à peine audibles. Petit à petit, mes pensées m’aidèrent à reprendre le dessus.
Marion était sur la défensive, ne comprenant pas mes envies et ma curiosité de me connaître. Elle était stupéfaite de la présence de mon gode anal au moment où nous révisions et pendant que nous discutions avec ma mère. Elle trouvait cela sale et irrespectueux.
Son jugement me faisait peur. Peur de voir mon secret révélé au lycée. Peur d’être mal comprise.
— Pourquoi penses-tu que je me fais du mal ? demandai-je.
Qui dit que c’est mal ? C’est mon corps, je reste libre de savoir ce que j’ai envie de faire avec. Je suis juste curieuse de me découvrir, de connaître les secrets de la chair, d’être plus à l’écoute de mon corps, de mon clitoris, de mes envies et de mes limites. Je ne veux pas baiser selon les idéologies masculines, dont les femmes resteraient passives, ou qu’elles ne se masturberaient pas.
L’absence de réponse de Marion me donnait satisfaction.
— Tu es toute seule ! Tu ne trouves pas ça triste de le faire seule, me demanda-t-elle. — Il faut bien commencer à un moment donné. Je suis seule dans ma chambre et personne ne me juge. Je peux m’amuser, selon mon imagination sans limites, pour prendre des positions sans avoir honte d’être jugée, ou d’essayer des vêtements qui pourraient être mal interprétés à l’extérieur de cette chambre. Personne n’est au courant ! Personne ne me force. Je pourrai comparer mes orgasmes lorsque je serai en couple ou pour aider mon partenaire à comprendre ce que j’aime et ce que je n’aime pas.
J’étais contente de mes réponses, elles étaient venues du fond du cœur. Marion changea de regard et d’attitude. C’était encore trop tôt pour lui parler de ma relation avec mon cousin.
Elle regardait de nouveau les différents objets et j’anticipai sa curiosité en les lui présentant. Bien évidemment leur utilisation n’était pas nécessaire à préciser.
— Ça, ce sont des boules de geisha, ceci c’est un vibromasseur...
— Il est long celui-là, m’interrompit-elle avec une pointe de curiosité.— Il fait 30 centimètres de long, de nombreuses femmes ont promu son efficacité... — Ah d’accord, il y a aussi des commentaires pour ces objets !— Oui, ça reste un produit comme les autres.
Ses yeux s’orientèrent vers le dernier sex-toy, à savoir : le gode anal. J’étais surprise de sa question. Elle voulait savoir son confort et mon ressenti.

Je lui avouais avec timidité qu’il était devenu mon préféré. Les sensations qu’il me procurait étaient divines.
Mes réponses développaient sa curiosité. Elle n’avait jamais vu de sex-toys d’aussi près et n’en avait jamais utilisé. Le sexe n’était pas abordé avec ses parents. Elle se sentait très ignorante dans ce domaine, ne sachant pas par où commencer son apprentissage.
— T’es-tu déjà masturbée ? lui demandais-je, avec une voix aussi naturelle que possible.— Pardon ? Euh...— Que penses-tu, si nous avions une conversation honnête sur le sexe ? Tu me poses des questions et je te réponds sans tabou. Ne t’inquiète pas, je ne te jugerais pas, d’autant plus que je suis la plus gênée en ce moment. Tu m’as vue dans une situation inappropriée, lui rappelais-je, avec un petit rire gêné. — D’accord, oui je me suis déjà masturbée, me répondit-elle, en rougissant.— C’était comment ?— Euh, c’était bon... Cette conversation est très bizarre !!— Allez ! Nous sommes entre filles, ma porte est fermée, personne ne peut nous attendre.— OK !— Tu devrais essayer avec un gode, peut-être que tu aurais plus de plaisir. Ça changerait de tes doigts !
Je voulais la tester en la poussant en arrière sur le lit. Une caresse vint effleurer son bras nu et mes lèvres s’approchèrent de son cou. Marion ne réagissait toujours pas. Sa peau sentait la fraîcheur, une nuance de vanille et d’orange. Mon souffle sur sa peau, lui déclencha une contraction de ses tétons et ses seins se raffermirent. Ma main glissait le long de son ventre et ouvrit le bouton de son pantalon.
Une main étrangère arrêta les projets de la mienne. Aucun son ne sortit de sa bouche, je continuai de défaire son pantalon, le fis glisser jusqu’à ses genoux. Je caressai avec délicatesse et avec sexualité le contour de son intimité à travers le tissu de sa culotte, déjà très humide.
— Marion, j’ai l’impression que tu apprécies ce moment, disais-je avec ma petite voix coquine.
Toujours sans réponse, je me mis à genoux devant elle et plongeai ma tête entre ses jambes.
Cette main étrangère revint m’arrêter une seconde fois dans mon élan. Je me redressai et vis Marion très gênée.
— Qu’est-ce que tu as ?— Rien, c’était bien, mais je ne pense pas pouvoir aller plus loin. Elle remit son pantalon et quitta ma chambre sans un mot.

Très déçue de la situation, je l’appelais sur son téléphone, mais je n’obtenais aucune réponse. Je commençais à m’inquiéter sur ce qu’elle pouvait penser de moi. J’avais peur qu’elle en parle aux filles de l’école.
Un moment de panique me parcourut le corps. Je lui envoyai un message en m’excusant du malaise qu’elle a pu ressentir.
Je restais allongée un long moment dans le lit, perdue dans mes pires pensées qui pouvaient devenir réalités. J’entendis la voix de ma mère, mais ne lui portai pas attention.
Quelques minutes plus tard, je sentis un bisou sur ma joue. C’était Paul.
— Salut Caroline, ça va ? Je n’ai plus de tes nouvelles depuis quelques jours.— Salut Paul, je suis contente de te voir. Je suis dans mes pensées. Viens t’asseoir, lui dis- je.
Son regard se porta sur les godes en affichant un petit sourire coquin.
— Je vois que tu as reçu ton colis.— Oui, je vais les ranger. Il n’y a déjà beaucoup de personnes qui connaissent leur existence, répondis-je en me levant.
Je les ai cachés dans le tiroir de mon placard, sous mes sous-vêtements
— Explique ? Qui les a vus ? demanda-t-il ?
Paul me laissait parler, curieux de cette situation avec Marion. Il n’avait pas pensé que je pouvais également être attirée par les filles. Ses bras m’enlacèrent et me réconfortèrent. Nous cessions de parler pendant quelques minutes. Je restais blottie contre lui, me sentant en sécurité.
Ses mots doux étaient très réconfortants et apaisants. Il m’appréciait beaucoup et admirait mon courage dans ma quête sexuelle. Paul me parla d’un site internet recensant de nombreuses histoires érotiques basées sur des faits réels ou imaginaires : xstory. Il appréciait le côté respectueux et amical des membres du site. Beaucoup d’histoires avaient un très bon scénario. Curieuse, je lui demandai de m’en résumer une.
Quelques minutes plus tard, en plein récit, je sentis son sexe gonfler dans ma main droite. Je devais le masturber depuis quelques minutes. Ce geste était-il devenu si anodin que je m’en rendais plus compte ? Ma main était dans son caleçon et réalisait des mouvements de haut en bas. Ce contact si intime avec sa verge me détendait.
Je sortis son sexe de son pantalon tout en maintenant la cadence du mouvement. Ma tête sur son torse était aux premières loges pour admirer cette verge tendue vers le ciel. L’image du gland rouge vif était hypnotisante. Paul avait de plus en plus de mal à raconter son histoire.
La vision de ce gland me déclencha une envie gourmande de le sucer. Je descendis ma tête, léchai la colonne et le gland, puis j’introduisis la totalité dans ma bouche. Cette sensation de chaleur et de douceur sur ma langue me donnait à chaque fois des frissons de bonheur. C’était l’un de mes moments préférés de la fellation. Je changeai de position sans perdre ce contact charnel et m’allongeai en face de lui. Je voulais le regarder prendre du plaisir et fantasmer sur moi.
Les mouvements de tête de Caroline sur mon sexe offraient une scène hallucinante, elle me suçait, léchait mon sexe, mon gland et mes testicules comme une friandise. Ce moment était trop beau, mettant en valeur sa beauté et son assurance. Elle s’amusait à se donner des gifles avec ma bite tout en gardant le sourire. C’était exquis !J’arrêtai de parler pour profiter de cet instant, mais Caroline me posait des questions sur ma journée, tout en gardant la bouche pleine. C’était incroyable d’avoir une conversation banale dans cette situation. Quelques secondes étaient nécessaires pour reconnecter mon cerveau.
Paul me faisait rire lorsqu’il essayait d’articuler sans gémir pour me raconter sa journée. Sa voix était devenue normale lorsqu’il avait réussi à contrôler les différents paramètres. J’étais curieuse de connaître son ressenti face à la tournure de la situation avec le proviseur et le surveillant.

Je ne lui avais pas dit la vérité. Il pensait que j’avais eu une longue conversation avec le proviseur mettant en avant ma qualité d’élève modèle.
Ce moment était très agréable. Je voulais le prolonger, mais je sentis les limites de son excitation.
— Paul, ta bite devient molle ! Tu n’arrives pas à faire deux choses en même temps, disais-je avec un air coquin. Arrête de parler, je veux sentir une verge dure en bouche.— D’accord, désolé. C’est toi qui décides !
Lorsque j’entendis taper à la porte de ma chambre, je sursautai et lâchai sa verge de ma bouche. Paul se précipita à mettre son pantalon et s’allongea sur le ventre.
— Coucou, les enfants, que faites-vous ? demanda ma mère, en entrant.— Nous discutions, disais-je, en essayant de cacher les palpitations de ma voix.— Paul, veux-tu manger avec nous ce soir ? Nous te raccompagnerons chez toi après le dîner.— Oui, volontiers, c’est très gentil, merci, répondit-il.
Ma mère inspectait du regard ma chambre. Elle devait se douter de quelque chose. J’étais contente d’avoir rangé mes jouets, sinon cette journée aurait été épouvantable !
Je fermai la porte de ma chambre une fois ma mère partie. Paul et moi étions debout à nous regarder, nos regards étaient suffisants pour comprendre que nous venions d’éviter la catastrophe. Paul préférait s’asseoir à mon bureau pour s’éloigner du lit. Il me montra le site internet dont il m’avait parlé. Il était riche en histoires de différentes sortes. Nous cliquions sur une d’entre elles, puis sur une autre jusqu’à tomber sur une histoire comprenant plusieurs chapitres. La lecture de ces récits développa mon imagination et le désir d’être prise.
Je me mis à genoux devant Paul, descendis son pantalon et lui demandai de continuer de lire l’histoire à haute voix. C’était très excitant d’écouter une histoire érotique tout en suçant le sexe d’un homme.
J’étais assis, devant l’ordinateur en train de lire une histoire érotique pendant que Caroline me suçait. Elle était devant moi, je voyais uniquement le mouvement de sa tête et son nez touchait mon ventre. C’était trop bon, surtout lorsque je lisais les passages où la femme était en train de faire une fellation. Je pouvais ressentir les sensations décrites dans l’histoire. Depuis mon entrée dans sa chambre, elle devait me sucer depuis plus de 40 minutes je n’en revenais pas. C’était ma plus longue fellation ! Son endurance était incroyable, elle n’était jamais fatiguée. Elle me connaissait maintenant très bien, car elle arrivait à gérer les différentes pressions à exercer mon pénis pour éviter le point non-retour.
Paul s’arrêta de lire l’histoire lorsqu’il vit une notification apparaître sur l’écran de mon ordinateur. Je venais de revoir un message de Marion.
Je me redressai et le lus. Je partis chercher mon téléphone afin de lui répondre plus facilement.
— J’ai envie que tu me fasses un cunni. Je m’installe sur le lit. Ma bouche a besoin d’une pause. — Euh OK pas de problème.
À mon tour de faire du bien à Caroline. C’était la moindre des choses. Son sexe était trempé de désir, ma langue se perdait dans sa cyprine, une main caressait son clitoris et l’autre ses seins de manière alternée. Je voulais lui rendre tout le plaisir qu’elle me procurait.Elle était en train d’échanger des messages avec Marion pendant que je lui faisais un cunni. Mon orgueil était un peu blessé, pensant que je le faisais maladroitement. Mais sentir ses petites lèvres intimes sur les miennes était un moyen suffisant pour me consoler. Caroline me toucha la tête, puis me signala d’arrêter et de venir sur le lit.
— Allonge-toi sur le lit et ne parle pas, je dois téléphoner.
Je respectais ses consignes.
En attendant que son interlocutrice réponde, Caroline me pratiqua une rapide petite fellation. C’était divin. Je fus surpris de son aisance à parler au téléphone et en me masturbant en même temps. Je la regardais faire avec un air complice face à cette situation amusante. Néanmoins, je n’avais pas anticipé qu’elle allait s’empaler sur mon sexe. Elle guidait ma verge vers son anus. Elle parlait à sa copine Marion et réalisait des petits mouvements de bassin. Je devais à plusieurs reprises lui signaler de ne pas continuer au risque de jouir. Elle faisait des petites pauses afin de conserver la raideur mon sexe dans son anus pendant la conversation.
J’étais contente de parler à Marion. Je comprenais qu’elle avait été très intimidée. Cependant, mes arguments ne l’avaient pas laissée indifférente.

Elle souhaitait me voir demain. J’étais soulagée. Elle allait garder mon secret. J’ai bavardé avec elle pendant 10 minutes tout en savourant une douce et lente sodomie.
J’attendis ma mère nous appeler une seconde fois. Il fallait descendre la rejoindre.
— Paul combien de temps te faut-il pour jouir ? Nous devons descendre.— Euh quand tu veux ? Je suis au bord de l’explosion !! — Continuons dans cette position, je sens ma jouissance venir.
Nos mouvements de hanches synchronisés s’accélérèrent. Je cambrais mon dos, maintenais mon corps avec mes bras en arrière, afin d’accentuer la sensation de mouvement de son sexe dans mon anus. Nos corps bougeaient en harmonie pendant plusieurs minutes, puis son sexe s’enfonça profondément, se raidit et libéra sa jouissance. Ce qui déclencha la mienne par la même occasion.
Nous rangeâmes rapidement la chambre et partîmes manger lorsque ma mère nous appela, énervée, une troisième fois.
Avant de me coucher, j’ai regardé de nouveau le site Xstory dont Paul m’avait parlé. Il me plaisait et je décidai de m’y inscrire pour faciliter l’enregistrement de mes histoires.
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