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La face cachée de ma cousine

Chapitre 11

Chez Marion - Partie 1

Inceste
Ce petit mot dans ma poche avait fait ses effets. Je n’ai pas arrêté de repenser à Craig. 
Je ressentais une fierté d’avoir couché avec un père de famille. Surtout parce que c’était aussi le père de Marion. Je me sentais de plus en plus perverse dans mon rôle de femme libre.
Je pris mon téléphone et lui envoyai un message. 
— Bonjour, c’est Caroline. Merci pour le repas d’hier soir.— Bonjour Caroline. C’était un plaisir de vous avoir invités. J’espère que tu as aimé le dessert.— oui merci pour cette touche personnelle. Mais le goût ne m’était pas nouveau.— De rien, j’ai aimé te regarder le manger, notamment en présence de tes parents. Quand es-tu libre ? J’aimerais bien te revoir— Veux-tu me faire gouter un autre dessert ? Répondis-je— Oui, mais peut-être que nous pourrions en discuter ensemble autour d’un verre. — Ok pour un verre. Quand ?— Es-tu libre ce soir ?— Oui !— Au café les mystères ? Le connais-tu ?— Oui— OK, on se retrouve à 18h30 là-bas. Je te raccompagnerai chez toi.— Ok, merci
***
En fin de journée, je retrouvais Craig au café. 
Je le reconnus tout de suite habillé dans un élégant costume bleu. Il m’attendait à une table dans un endroit isolé. Il avait déjà pris l’initiative de commander deux boissons. J’aimais l’attention et l’assurance de cet homme.

Nous avons discuté une nouvelle fois de notre expérience d’hier. Il n’en revenait pas d’avoir baisé une des copines de sa fille. Il était encore tout excité
— Hier après-midi était extraordinaire. Je n’avais plus ressenti cette sensation charnelle depuis longtemps. Tu as réveillé mes fantasmes de jeune homme. — Euuh, je vois que tu as passé ta soirée à penser à moi Craig. J’ai l’impression que tu souhaites renouveler cette expérience. — oui, tu m’as donné beaucoup de plaisir. Tu étais si excitée que je me sentais jeune grâce à toi. Tu n’avais pas froid aux yeux et tu en demandais toujours plus. Je n’ai pas arrêté de penser à ton corps, tes seins, tes fesses et ta bouche toute la soirée d’hier et aujourd’hui. Tu m’as envouté.
Je répondis par un sourire. J’étais touchée par son compliment.
— A quoi penses-tu Craig ?— je ne sais pas ! Renouveler cet échange charnel avec toi— j’ai plutôt l’impression tu as une autre idée mais tu n’oses pas me le dire ?— Tu as raison, je suis gêné. J’ai un fantasme depuis un moment mais je n’ose pas en parler— je pense que tu peux tout me dire, maintenant que tu m’as prise avec un autre homme— J’aime ton coté provocateur. Connais-tu l’expression de « Cuckolding » me demandait-il ?— Non, qu’est-ce que ça veut dire ?— C’est un principe simple. Deux personnes baisent ensemble et le troisième les regarde.— Qu’est-ce que tu veux dire ? Je pensais que tu avais aimé notre après- midi et maintenant tu veux seulement me regarder me faire baiser par quelqu’un d’autre.
Craig resta silencieux. Il ne savait pas comment continuer son explication. Il devenait de plus en plus rouge. Des petites gouttelettes de transpiration apparaissaient au-dessus de son front. J’ai laissé le silence s’installer rendant la situation encore plus inconfortable.
— Oui mais en fait…. Je ne sais pas comment te dire ça… c’est très gênant… Tu risques de me prendre pour un… pervers… Écoute c’était une erreur de t’avoir dit ça. Revoyons-nous dans une chambre d’hôtel cette semaine.— Non Craig, tant que tu n’auras pas dit ton fantasme.— Euuh écoute, ce n’est pas évident pour moi. Je ne peux pas !!— Non, disais-je avec un large sourire. Je ne juge personne sur leur fantasme. Personne ne le saura, ça sera entre nous. Tu souhaites mettre en place un jeu de rôle sexuel ?— Non ce n’est pas ça— Dites-le-moi sinon je rentre chez moi sans te laisser une chance de me revoir
Il était pris au dépourvu. Il avoua subitement
-  Marion…. En fait, je ne sais pas comment te le dire. Je vois ma fille grandir et devenir une femme. J’aimerais la voir nue et l’observer en pleine action avec un homme.
Son fantasme me surpris. Vous voulez coucher avec votre fille ?
— Non, seulement l’observer. Je sais, c’est particulier comme demande, mais je souhaiterais la regarder toute nue. — Marion est ma meilleure amie, je ne suis pas prête à faire ça. Désolée— Écoute-moi. Organise une après-midi avec Marion, Paul et toi. Amusez-vous et je me cacherai pour vous observer. Personne ne le saura, ça restera entre toi et moi.— Non désolée, je ne peux pas. 
J’ai été sauvée par un message de Paul me demandant où j’étais. J’en profitai pour quitter Craig.
Je n’arrêtais pas de repenser à la demande de Craig. Il y avait un côté de voyeurisme qui ne me déplaisait pas. Mais j’avais l’impression de trahir Marion si je l’aidais à répondre à son fantasme. Je me doutais que Paul et Marion ne voudraient pas être observés pendant leurs échanges. 
Je n’ai plus reçu de nouvelles de Craig pendant plusieurs jours mais il avait planté la graine dans mon esprit. Je ne cessais de repenser à sa demande à chaque fois que je voyais Marion. J’essayais de découvrir comment était sa relation avec son père. Elle était normale, ils s’entendaient très bien.  ****
Après les cours, j’étais partie chez Marion travailler sur un devoir en commun. J’étais surprise de voir Craig chez eux. Je suivis Marion dans sa chambre sans lui laisser le temps de me parler. 
Nous travaillions sans interruption jusqu’à l’appel du dîner par son père. Je redoutais ce moment. Je craignais qu’il m’eût encore réservé quelque chose de spécial. Mais ce n’était pas le cas. Je sentis qu’il était distant. Il devait être gêné depuis notre derrière discussion.
Nous étions moins studieuses dans la deuxième partie de la soirée. Je partis dans la cuisine chercher un verre d’eau et je vis Craig se préparer un thé.
— Tu veux quelque chose Caroline ?— Oui, je viens prendre des verres et la carafe d’eau, nous avons soif.— Ok, 

Craig rempli la carafe d’eau et il me donna deux verres. Au moment de partir rejoindre Marion, Craig attrapa mon poignet.
— Caroline, attend !— Oui qu’est-ce qu’il y a ?— Je n’arrête pas de repenser à notre discussion. Tu es une amie de ma fille, oublie ce que je t’ai dit. Je préfère que nous gardions une relation amicale pour Marion.
Je m’approchai de lui 
— Qui dit que je ne pourrais pas gérer les deux ? Être l’amie de votre fille et votre maitresse en même temps répondis-je en lui caressa son sexe par-dessus le pantalon. 
Sans aucune surprise, son sexe était déjà en érection. Je le regardais dans les yeux et ouvrit sa barquette, plongeai ma main dans son caleçon et sortis sa verge. Je me mis à genoux devant lui et le pris en bouche avec appétit. Je le masturbais tout en faisant des mouvements de tête de plus en plus vite. 
— Arrête, Marion risque de nous entendre. Tu es bruyante !!
Je continuais sans réfléchir jusqu’à sentir son pré-sperme couler dans ma bouche. Je m’arrêtai. Je me redressai et je pris un des verres. Je le remplis d’eau puis je dirigeai vers son sexe pour le tremper. 
— Qu’est-ce que tu fais Caroline ?
Je maintins son sexe dans le verre, puis j’agenouillai de nouveau pour l’essuyer. 
Je me redressai et bu le verre d’eau devant lui.
— Merci, j’avais très soif. Je vais garder ce verre toute la soirée pour repenser à ce moment. A chaque fois que je poserai mes lèvres sur le verre, je penserai à votre bite dans ma bouche dis-je en sortant ma langue comme si c’était une gourmandise. Craig, nous n’avons pas encore terminé, j’espère que vous trouverez un moment pour vous occuper de moi.
Je laissai Craig avec la braguette ouverte et son sexe toujours en érection. Je partis rejoindre Marion avec les verres et la carafe d’eau dans sa chambre. 
J’adorais le laisser sans voix! Craig était si prévisible qu’il était rapidement déboussolé lorsqu’une femme le perturbait dans sa routine.  Marion était assise à son bureau lorsque je rentrai dans sa chambre. 
— J’ai apporté de l’eau— Merci
Je la servis et nous reprîmes le travail
— Caroline, penses-tu que nous pourrions refaire ce que nous avons fait ensemble ? Me demanda-t-elle subitement.— Quand tu veux, lui répondis-je avec un clin d’œil en posant ma main sur sa cuisse.
Elle me sourit, se pencha et m’embrassa. C’était un baiser si discret qu’il me fit frissonner de plaisir. Marion était belle et radieuse.
— J’aimerais acheter un sextoy mais je ne sais pas comment faire. Je n’ai pas envie d’aller dans un sex-shop.— Je les ai achetés sur internet et je suis allée les chercher dans un point relai. Tu peux faire la même chose si tu veux. Je vais te montrer le site.
Marion voulait voir tous les produits. Mon téléphone sonna à la réception d’un nouveau message. 
C’était le père de Marion, qui me demandait de descendre.
— Marion, je te laisse, je vais vite au toilette. Mets dans ton panier les objets qui te plaisent on regardera ensemble à mon retour.— OK
Je partis rejoindre son père dans la cuisine mais il n’y était pas. J’entrouvris plusieurs portes avant de le trouver dans son bureau. Il était debout avec un sourire coquin.
— Je suis maintenant en retard dans mon travail. J’ai besoin que tu m’aides à jouir. Tu ne peux pas me laisser comme ça. — Je comprends, lui répondis-je avec le même sourire. Mais je pense que vous pouvez vous masturber tout seul.  
Il était surpris de ma réponse. J’avançai d’un air déterminé.
— Votre fille est en haut ! Vous ne craignez pas qu’elle nous surprenne. — Alors, nous devrions faire vite. J’avais oublié cette sensation d’être surpris en train de se faire sucer. Tu es une sacré coquine Caroline.— Merci lui répondis-je en m’asseyant sur son bureau tout en écartant les cuisses. 
Il posa ses mains sur mes cuisses. Il avança très lentement ses doigts vers mon vagin tout en maintenant son regard séducteur.
Je sentais que j’étais trempée. Ce petit jeu de cache-cache me mettait dans tous mes états. Je ne voulais pas lui avouer car il pourrait le renouveler à chaque fois que je viendrais chez lui. 
J’écartai de plus en plus mes jambes pour l’aider à déplacer mon string sur le côté. Son autre main me poussa vers lui. Deux doigts me pénétrèrent.
— Caroline tu es trempée, tu es très gourmande de sexe.
Il s’agenouilla, retira mon string et il me fit un cunni.
— J’adore lécher ton vagin, il est si doux et humide. 
Il savait très bien si prendre, sa langue avait dû pratiquer sur plusieurs femmes. 
— Marion m’attend dans sa chambre, je ne peux pas rester ici trop longtemps.
Il se redressa, ouvrit son pantalon et sortit son sexe de son caleçon. Il s’approcha de ma vulve et me pénétra. J’étais trempé de désir. Sentir son sexe s’engouffrer en moi me fit libérer un cri de satisfaction. C’était trop bon. Il continua par embrasser mon cou, puis il me pencha en arrière pour me sucer les tétons. 
— Nous n’avions pas beaucoup de temps— Non, imagine qu’elle nous surprenne dans ton bureau.— ça serait un problème me dit- il. Je sentais qu’il jubilait de connaître cette situation. — J’ai envie de t’enculer Caroline comme la dernière fois. Penses-tu que ton anus est aussi dilaté que ta chatte. — Je constate que l’homme en vous s’est réveillé, il n’y a plus de douceur dans vos phrases, plus de réserve.— Tu commences à me connaitre Caroline.
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