Je me masturbe en relisant ma conversation avec Graig. Mes écrits étaient chauds et provocants. Son fantasme de voyeurisme me donne des envies de baiser, je suis trempée de désir. J’ai envie de m’empaler sur une verge. Je suis exaltée par ce projet. Les vacances se rapprochent à toute vitesse. Graig et moi décidons de tout mettre en place d’ici la première semaine de juillet. Il nous met à disposition un appartement afin de ne pas être dérangés. Il m’invite à le visiter pour donner plus de crédibilité à notre scénario. Je tape à la porte, Graig est déjà sur place. — Salut Graig, ça va?— Salut Caroline, oui et toi ? Alors, que penses-tu de cet appartement?— Il est très joli. Je suis excitée en voyant ce logement. Notre projet se précise de plus en plus. L’enthousiasme me met dans un état coquin. Lorsque Graig me tourne le dos pour me présenter l’appartement, j’en profite pour me déshabiller. — Oh! Caroline, tu es incroyable ! Je ne vais pas réussir à te faire visiter toutes les pièces.— Garde ton sérieux Graig, j’ai chaud et je suis chaude ! Dis-je en rigolant. Graig continue sa visite tout en prenant un malin plaisir de regarder ma poitrine dénudée. Mes tétons sont contractés d’excitation, je sens un afflux de salive dans ma bouche. J’ai envie de sexe, mais je reste imperturbable devant Graig. Il y a deux chambres, une grande baie vitrée accueillant les rayons du soleil. La pièce est belle et très lumineuse. La cuisine est ouverte vers la salle à manger. La pièce est très chaleureuse. La salle de bain est grande, avec une douche à l’italienne. — J’ai apporté des plantes pour donner un semblant de vie. — Tu es malin— Alors qu’en penses-tu les amener?— Vendredi après- midi ?
— OK, super!— Où seras-tu caché? — Tu vois ce miroir. — Oui, il est immense.— C’est un miroir sans tain de forme cubique. Il offre une vue dans la salle à manger, dans la chambre et dans la salle de bain, si la porte est ouverte. Son accès est depuis la chambre principale. Viens, je te montre. Je suis Graig, tout excitée par cette découverte. Il retire le faux fond du placard et un passage étroit apparaît.
— Alors que penses-tu de ma cachette ? Je t’avais bien dit que ma présence serait indétectable. — Elle est superbe. Cet appartement a des secrets, c’est un lieu de perversion et de voyeurisme.— Tu en sauras plus la prochaine fois. Je garde le suspense pour cette fois-ci. Je n’arrive plus à contrôler mon désir sexuel. Je me rapproche de Graig et l’embrasse. Mon autre main vient vérifier l’état de son érection. J’ouvre son pantalon et j’extrais son pénis dur. Je le masturbe et l’embrasse en même temps. Sa main vient caresser mes seins, puis descend vers mon vagin et s’introduit entre mes lèvres. Il me pénètre avec son majeur, puis un second doigt vient accentuer mes gémissements de plaisir. — J’ai oublié de te dire. Cette pièce est insonorisée ! Tu peux crier de plaisir ! Cette phrase libère en moi des gémissements d’excitation de plus en plus fort. Des jets de jouissance jaillissent de ma vulve, des spasmes m’empêchent de garder l’équilibre, mes jambes se dérobent et je me retrouve à genoux devant sa verge. Je le prends en bouche et je réalise des mouvements de tête de plus en plus vite. Ses mains s’agrippent à ma tête et il accentue sa pénétration avec des mouvements de hanches. Sa verge me pénètre de plus en plus profond. Je continue de me masturber en sentant son plaisir devenir de plus en plus intense dans ma bouche. Il continue de m’enfoncer son dard pendant plusieurs minutes, puis il jouit sur mon visage et mes seins. Je reprends sa verge en bouche et avale les dernières gouttes sortant de son gland. — Putain Caroline, c’était très intense ! Je n’ai pas eu le temps de te baiser. — Ce n’est pas grave. Je préfère que l’on baise pour la première fois dans ta cachette lorsque ta fille sera là. Tu n’avais droit qu’à une pipe.— Tu es une diablesse— Merci pour la visite. À vendredi prochain ! dis-je me relevant et en étalant le sperme sur mon visage et mes seins.— Graig rigole et m’embrasse. Tu es incroyable ! Je m’arrête rapidement dans la salle de bain, puis je me rhabille et nous quittons l’appartement. J’explique la bonne nouvelle à Marion et Paul. Ils sont enchantés de savoir que nous pourrons nous retrouver dans un appartement loin des parents. Je présente ce logement comme un appartement, appartenant à une amie de ma mère, dont je dois m’occuper pendant son absence. Marion est la plus enthousiaste à cette idée. Elle nous encourage à passer la nuit sur place afin de profiter au maximum. J’informe Graig par message et il ne voit pas objection à cette super idée. Nous étions tous les quatre très excités à l’attente du jour J.
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Nous nous retrouvons devant la porte d’entrée de l’immeuble. Chacun est venu avec un sac de voyage donnant l’impression de partir en vacances. C’est l’ironie de la situation, car il s’agit davantage d’un weekend sexuel. J’ouvre la porte de l’appartement et je leur fais visiter chaque pièce. — Caroline regarde, il y a ton string? Dit Paul en me montrant sa découverte — Qu’est-ce que tu racontes. Je rougis par cette remarque.— Regarde, il est noir comme celui que tu as. Est-ce que tu t’es déjà masturbée toute seule ici ?— Paul, les strings se ressemblent tous. Ce n’est pas le mien. C’est celui que j’avais donné à Graig. Cela doit être son signal pour m’indiquer sa présence. Le pervers est déjà installé dans sa cachette. Je souris lorsque je vois Marion se regarder dans le grand miroir de la salle à manger. Je m’approche d’elle et l’embrasse sur la joue. Elle se retourne et rend mon baiser sur les lèvres. — Marion tu viens avec moi dans la chambre ? dis-je— oui j’arrive Marion et moi avons pris des vêtements sexy pour cette occasion. Nous voulons avoir l’air de vraies cochonnes avec Paul. Je pense à Graig, qui ne doit rien rater de ce spectacle. Nous nous déshabillons devant le miroir et nous bavardons toutes nues sur la lingerie que nous avons achetée. L’ensemble est de couleur rouge comme nous le voulions. Nous nous habillons avec un soutien-gorge, un corset, un string, des collants et un porte-jarretelles. Nous n’arrêtons pas de nous admirer dans le miroir. Nous sommes très belles et sexy. La situation de savoir que je suis la seule à connaître la présence d’un voyeur dans cet appartement m’excite. — Je suis excitée mais j’ai un peu le trac Caroline. Heureusement que tu es là !— ça va bien se passer. Paul est super gentil et nous nous sommes entre nous. Nous allons bien nous amuser
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C’est très excitant de les voir devant moi à travers le miroir. Elles sont en train de se déshabiller. Je sens une excitation et une admiration à regarder ma fille nue. Elle est magnifique. Elle a de beaux seins, et avec bonheur je peux voir le pli de sa vulve entièrement épilé. Peut-être est-ce un conseil de Caroline ? Elles sont magnifiques dans cette tenue aphrodisiaque. J’enlève mon pantalon et mon caleçon. Je prends ma bite en main et commence une lente masturbation en les regardant s’habiller. Elles finissent de se préparer en ajustant une mini- jupe laissant apparaitre leurs plis fessiers. Elles sont très sexy. Je suis surpris de voir ma fille sortir un vibromasseur de son sac. Je n’aurais jamais cru qu’elle en utilise un. En revanche, Caroline a pris sa collection de jouets. Elle est incroyable et très gourmande comme fille. Je suis du regard leur entrée dans le salon. Paul est assis sur le canapé. Il les regarde avec admiration. Son regard est hypnotisé par ces deux déesses. Je peux sentir leur fierté face à cette réaction. Elles se sourient mutuellement d’un air complice. Elles me donnent l’impression de vouloir jouer le rôle de deux salopes avides de sexe. Paul se précipite à défaire son pantalon, mais Caroline l’en empêche. — Non c’est trop tôt, nous avons tout notre temps dit-elle. Je vois Marion perdre son assurance. Sa timidité reprend le dessus. Caroline lui prend sa main et l’embrasse pour l’encourager à continuer. Leur baiser est très sensuel. Je suis conquis pour la première fois à regarder ma fille en lingerie embrasser une autre fille. Je jouis rapidement. — Nous sommes entre nous Marion, laisse-moi te guider. Allons-nous asseoir près de Paul, chacune de son côté. Elles s’assoient et caressent le torse de Paul, puis elles l’aident en rigolant, à enlever son t-shirt. Caroline embrasse Paul, puis Paul embrasse Marion. Je deviens en transe dans ma cachette. Je sens ma deuxième jouissance venir. Je vais partir de cet appartement avec une bite irritée, tellement que je me serais masturbé. Caroline pose sa main sur l’entrejambe de Paul. Elle réalise de petites caresses pour l’exciter. Marion la regarde faire — Fais-le aussi Marion. Détends-toi !— Euh, d’accord Je regarde ma fille reproduire le geste de Caroline. Elle caresse délicatement le sexe de Paul. — Il bande déjà ! Dit-elle— Oui, Il n’en faut pas beaucoup à Paul.— Maintenant sort sa bite de son caleçon. Je n’en reviens pas, Marion sort la verge raide de Paul. Elle maintient sa bite entre ses mains et commence à faire de lents mouvements de haut en bas en regardant Caroline, puis Paul. — Alors Marion ? Comment trouves-tu ce premier contact avec son sexe— Très bien ! Tu as une jolie bite Paul. J’aime bien? Dit-elle en rougissant.— Qu’est-ce qui te bloque lorsque tu es avec un homme à ce niveau-là, demande Caroline— J’ai des doutes sur la façon dont je m’y prends. Mes ex m’interrompaient de les masturber au bout de 5 minutes. Ils ne me disaient rien, mais j’étais à chaque fois frustrée. J’avais l’impression de mal faire. — Qu’en penses- tu Paul ? Demande Caroline— Marion, tu devrais serrer un peu plus ta main. Fais des mouvements lents, mais aussi des mouvements plus rapides. Tu dois alterner— OK, comme ça — Oui, c’est mieux. N’aies pas peur de serrer davantage ton poignet. Tu ne me feras pas mal. Tu devrais humidifier mon gland. Tu vois, il est un peu sec. Tu pourrais cracher dessus. En plus, ça va accentuer mon plaisir. — Sinon, tu peux aussi le sucer dit Caroline. — Euh, je vais commencer par cracher dessus. Réponds Marion Marion crache et continue à le masturber sous la supervision de Caroline. — Regarde Marion, son gland est rouge sang, rouge de plaisir. Tu devrais le prendre en bouche maintenant.— Euh, ok. Mais je n’aime pas trop ça. Mes ex n’aimaient pas mes fellations. Ils m’arrêtaient rapidement— Ok pas de souci. Commence par faire des bisous sur sa verge. J’apprends que ma fille a déjà sucé une queue et maintenant je la vois se pencher vers ce gland. C’est hallucinant. Elle dépose de nombreux bisous le long de la verge. Elle embrasse plusieurs fois le gland, puis ouvre sa bouche pour l’engloutir. Je porte mes deux mains au visage. Putain ma fille est en train de sucer un mec. C’est dingue comme elle a grandi. Elle est devenue une femme. Je me masturbe de plus en plus vite.
— Oh Marion, c’est trop bon. En revanche, continue de me masturber tout en me suçant. Aussi, fais attention à tes cheveux. Le pénis est très sensible.— C’est très bien Marion. Continue de le sucer. Sens la raideur de cette verge dans ta bouche. Laisse ta langue savourer sa peau douce et sentir son excitation en toi. Caroline l’encourage en caressant ses cheveux. Je sens ma deuxième jouissance arriver. Putain de journée. Je vais être à sec avant qu’ils finissent. — Alors Paul aimes-tu ? demande Caroline en l’embrassant— J’adore, c’est super Marion. Tu suces très bien. Je ne comprends pas tes ex. Caroline se baisse et prend la verge avec l’une de ses mains pour la mettre dans sa bouche. Marion surprise de ce mouvement, se redresse et embrasse Paul. Caroline continue de masturber Paul et vient embrasser Marion à son tour. — Suçons sa bite toutes les deux— D’accord Je n’en reviens pas de regarder ma fille partager une fellation avec Caroline. Leurs langues lèchent chaque côté de ce dard et se mélangent entre elles. Elles englobent la verge au bord de leurs lèvres et continuent à faire des mouvements de haut en bas avec leur tête. Cette scène est incroyable. Je jouis pour la deuxième fois. Je suis tellement excité que je maintiens mon érection en continuant à me masturber. — Maintenant continue toute seule Marion. J’avais envie de sucer en voyant sa bite. Je ne te dérange plus Marion continue à sucer sans répondre. J’ai l’impression qu’elle prend goût à la fellation. Caroline et Paul savent très bien l’encourager et la mettre en confiance. C’est trop dur de continuer à rester passif. Je prends mon téléphone et j’envoie un message à Caroline lui demandant de me rejoindre dans la chambre. J’ai besoin de la prendre et de libérer mes frustrations. Je suis déçu de remarquer qu’elle n’a pas fait attention à la sonnerie de son téléphone. Je reste immobile en regardant Marion à quatre pattes, une vue magnifique sur ses fesses. Voir ma fille sucer une queue en string et mini- jupe me met dans tous mes états. Je me masturbe de plus en plus vite. — Marion, tu suces très bien, continue! Continue de me masturber et de sucer seulement mon gland. Demande Paul Marion suit les instructions. — caresse son gland avec ta langue et sens sa douceur. Maintenant engloutis-la, en bouche au maximum que tu le peux. Dit caroline Je vois ma fille essayer plusieurs fois de faire des gorges profondes. Le bruit de ses fellations me rend fou. J’ai besoin de baiser Caroline. Je sens venir ma troisième jouissance. Paul est au bord de la jouissance. Il se tord dans tous les sens essayant de retenir son orgasme. — Arrête Marion, je ne vais pas tarder à jouir.— Ah bon, déjà?— Tu suces très bien et tu le fais depuis un moment, au moins 20 minutes— Ça fait déjà 20 minutes. Whao le temps passe vite. C’est la première fois que je suce si longtemps.— Tu suces très bien ! Je t’assure !— Ok, faisons autre chose, Marion assieds-toi sur le canapé et Paul va venir s’occuper de toi, dit Caroline en regardant son portable. Je regarde Paul se positionner entre ses cuisses. Il lui écarte les jambes et il commence à faire un cunni. C’est trop beau de voir ma fille les jambes ouvertes avec la tête d’un homme au centre. Elle ferme les yeux et elle gémit de plaisir. Caroline tend à Paul son vibromasseur qu’il utilise aussitôt. Je n’ai pas une vue sur son vagin, mais je peux imaginer le mouvement de pénétration en suivant l’action de l’avant-bras. Marion savoure en abandonnant son corps. Caroline, se redresse et me fait un clin d’œil en direction du miroir. Je comprends son signal, elle vient.Je lui ouvre le faux fond du placard pour l’accueillir. — Comment se passe l’espionnage ? — Je ne suis pas déçu !— Vous ne vous êtes pas donné la peine de vous rhabiller ! Me dit-elle en rigolant. Merde, j’ai oublié. Je lui ai ouvert l’accès en gardant ma bite à la main avec la chemise ouverte. Je dois ressembler à un pervers en manque de sexe. — J’ai bien reçu votre message— J’ai aussi besoin d’une attention, Caroline.— Je vois, je pense que je vais avoir une double dose de sperme aujourd’hui. Cependant à chaque fois que nous sommes ensemble, vous devez jouir dans ma bouche. Je n’ai pas envie d’avoir du sperme dans l’un de mes orifices ou sur mon corps. Paul s’en rendrait compte aussitôt.— D’accord Caroline prend ma bite en bouche et me suce avec aisance. Je ne suis pas loin de ma troisième jouissance. — Arrête! Je ne vais pas tarder à jouir.— Je vous ai à peine sucé. Est-ce le fait de voir votre fille se faire baiser sous vos yeux qui vous met dans cet état ? — Peut-être. Mets-toi face au miroir, je veux te prendre par le cul.— Hum, vous n’êtes pas patient Craig Caroline se positionne devant le miroir en prenant appui en écartant ses bras et ses jambes. Elle cambre son dos pour m’offrir son cul. J’ai trop de frustration et je la pénètre d’un coup sec. Un petit cri de surprise de sa part. Je la sodomise avec de grands coups de hanche en pensant seulement à mon excitation. Je suis devenu égoïste en voyant ma fille recevoir un cunni. Elle est trop belle. Je ne sens aucun scrupule d’utiliser Caroline comme un trou. J’ai besoin d’un orifice pour me soulager. Je suis surpris d’entendre les gémissements de Caroline. Elle prend du plaisir à être brutalement sodomisée. Je suis tellement excité que je lui tire les cheveux et plaque sa poitrine contre le miroir pour la pénétrer de plus en plus profondément. Je sens que je suis en train de perdre contrôle de la situation. Caroline reste immobile, elle ne bouge pas et continue de gémir de plaisir. Je descends ma main et introduis mon majeur dans son vagin. Elle est en transe. Elle est trempée, mon doigt est recouvert de sa cyprine que je lui donne à sucer. Sa position de soumise lui procure beaucoup de plaisir.Je suis déchainé à la sodomiser comme un objet sexuel. Je regarde de nouveau Marion. Ils ont changé de position. Paul est en train de baiser ma fille, assise sur le canapé avec les jambes écartées. Je suis de plus en plus déchainé ! — Arrêtez Graig, vous allez jouir dans mon cul— C’est trop bon, ma fille se fait baiser devant moi et je baise sa meilleure copine. — Craig vous venez de jouir dans mon cul.— Pardon, je n’ai pas pu me contrôler. Viens me sucer maintenant. Caroline se tourne et prend mon sexe en bouche tout en continuant de se plaindre — Comment vais-je expliquer à Paul ou Marion la présence de sperme dans mon cul.— Nettoie bien ma bite, avale chaque goutte de sperme. Tu n’as qu’à te nettoyer ton cul avec tes doigts en les suçant à chaque fois que tu te pénètres. — Putain, vous faites chier !— Tu me fais rire. Je te connais maintenant. Tu aimes te sentir soumise Caroline ne fait plus attention. Elle s’accroupit et se nettoie le cul en écartant son sphincter avec les doigts pour laisser couler le sperme. — Je t’ai dit d’avaler, pas de le laisser couler sur le sol. Caroline me regarde furieusement, mais elle continue de jouer le rôle de soumise. Elle met ses doigts en bouche pour les nettoyer à chaque fois qu’elle se doigte le cul. — Je suis sûr que tu trouveras une excuse. Tu devrais aller les rejoindre sinon ils font se demander où tu es passée. Je laisse Caroline partir. Elle fait une pause dans la salle de bain en me laissant la porte ouverte. Je la vois continuer à se nettoyer son orifice anal.Je suis vidé et ma bite n’est plus en érection. C’est la première fois que je perds le contrôle. La situation est devenue très chaude.
