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La face cachée de ma cousine

Chapitre 16

La soirée poker

Inceste
Nous sommes restées dans l’euphorie de notre dernière expérience pendant plusieurs jours. Marion a beaucoup changé, elle est plus joyeuse. Son style vestimentaire a subi des changements. Elle porte plus souvent des strings visibles sous ses vêtements.  En revanche, je ne suis pas surprise d’apprendre que sa relation avec son père a changé depuis quelques jours. Il est distant et rentre souvent tard à la maison. Heureusement qu’elle n’a pas fait le lien avec notre journée.  Je pars faire du camping avec mes parents dans trois jours. J’appelle Graig pour passer récupérer mes boules de geisha que j’avais oubliées chez lui. Paul, Marion et moi sommes déçus de nous séparer. 
Je trouve Graig à l’adresse envoyée par message. 
Le quartier est chic, très arboré. Je prends mon temps pour admirer ces vieux immeubles dont les façades ont été rafraîchies. Je m’arrête face au numéro 77 et pousse la porte d’entrée pour rejoindre l’appartement 34.Le hall d’entrée est très beau. Il y a une réception et des colonnes massives avec des décorations florales.  Je sonne à la porte, Graig ouvre. Il est content de me voir.— Salut Caroline, tu vas bien ?— Salut Graig, oui ça va et vous, c’est super comme endroit.— Merci, c’est pour un nouveau client. Je pense qu’il sera vite vendu. Je suis content que tu sois venue, Paul ne t’a pas accompagnée ?— Non, je voulais venir seule, je suis pressée, je passe rapidement— ok 
L’appartement est super. L’entrée donne sur un petit couloir qui amène vers une grande salle de séjour, regroupant un espace avec une télévision et un espace de détente. Il y a deux canapés, un en face de la télévision et l’autre en forme en de "U" avec une table basse au centre. La cuisine est moderne et spacieuse, avec des grosses lumières basses de couleur rouge au niveau du plan de travail. Cet appartement offre une magnifique vue sur la ville.  — Veux-tu boire quelque chose?— Non merci.— J’ai un cadeau pour toi.
— Ah bon? Dis-je, surprise.
— Attends, je reviens. Graig me donne un sac de couleur noir. Je suis très émue par son geste. Je l’ouvre et je déballe son contenu. Il y a une très belle lingerie rose, un string avec deux anses sur le côté, un soutien-gorge en dentelle offrant une vue plongeante. Le jeu de liane sur le haut des bonnets et le porte-jarretelles est magnifique. Sous la lingerie, il y a un gode anal. Le diamètre du gode anal a l’air plus gros que le mien. 
— C’est magnifique Graig, merci beaucoup. — C’est avec plaisir, tu m’as fait retrouver ma jeunesse. — Veux-tu un petit défilé personnalisé? Lui dis-je — Pourquoi pas.— Je te remercie pour ce beau cadeau. Il me plaît beaucoup— Je suis content qu’il te plaise. Je pense qu’il tira très bien. Je t’ai pris un gode anal plus gros. Peut-être ce plug te donnera plus de plaisir que celui que tu as actuellement. Je pense que tu t’es accoutumée à sa taille. Essaie-le.— D’accord, c’est gentil. Merci  Je m’approche de Graig et je l’embrasse en lui touchant son entrejambe. Il est déjà en érection. 
— À chaque fois que tu m’embrasses, tu touches mon sexe. Je commence à m’habituer de ce geste. Il ne me déplaît pas.— J’aime bien sentir ton sexe en érection. C’est une sorte de contrôle. Graig rit et je pars dans la chambre essayer cette nouvelle tenue. Cette lingerie est très sensuelle et le tissu est très élégant. J’adore son cadeau. 
Je rejoins Graig dans le salon. Son regard me rend très fière. Il est ébloui par ma tenue. J’opte pour une marche sensuelle en m’approchant de lui. 
Je commence à ressentir de l’excitation au niveau de mon bas-ventre. Je m’arrête à un mètre de lui. Je caresse mes seins, mon ventre, mes fesses, mon entrejambe puis mes cuisses en dansant. Graig reste immobile. Je domine la situation. Je m’approche de lui. J’ouvre son pantalon, et je sors sa verge dure de son caleçon. Je le masturbe tout l’embrassant. Je m’assois de face sur lui en écartant les jambes. Je continue à le masturber et je dirige son sexe vers le mien. Je frotte son gland contre ma vulve.
— Putain Caroline, tu es trempée, je sens revivre mes vingt ans quand je suis avec toi. Tu me surprends à chaque fois.— Merci, dis-je en lui chuchotant à l’oreille. Vous avez oublié cet orifice lors de mon passage dans le placard.— Alors, il faut équilibrer les choses.   Je m’empale sur sa verge et je réalise des mouvements de bassin. Graig est aux anges. Il me pénètre de plus en plus rapidement. — Tu es trop belle avec cette tenue. Je n’arrive pas à te résister !— J’ai envie de te sucer Je me mets à genoux et j’engloutis son sexe en bouche.— Oh Caroline, j’adore sentir ma bite dans ta bouche Il prend ma tête et m’impose son mouvement. Sa verge me pénètre de plus en plus dans la gorge. Il se redresse, il me tourne et positionne ma tête entre ses jambes. Il guide sa verge dans ma bouche et je continue de le sucer de cette façon. Mon visage est sous ses testicules. C’est la première fois que j’essaie cette position. Je sens son excitation augmenter. J’ai l’impression qu’il me fore la bouche avec son pieu.
— Lève-toi, et mets-toi à quatre pattes contre le canapé, j’ai envie de te baiser Il ne me laisse pas le temps de descendre mon string et je sens sa bite me pénétrer. Je suis trempée.
— Prenez-moi Graig. J’aime sentir votre sexe en moi— OOh putain Caroline, tu me rends dingue Je sens mon orgasme arriver, je commence à être en transe. Notre moment est interrompu par le retentissement de la sonnette.
— Merde, ils sont déjà là— Quoi ?— Je t’avais dit que je n’avais pas beaucoup de temps pour te voir ce soir. Tu m’avais dit que tu étais aussi pressé. J’ai des amis qui viennent jouer au poker. Va dans la chambre, je te dirai quand tu pourras partir discrètement.— Fais-moi jouir Graig. J’ai envie d’un orgasme et ensuite je vais dans la chambre— Caroline, contrôle-toi! Mes amis attendent derrière la porte. On finira la prochaine fois.— Salaud
Je suis frustrée de sentir sa verge se retirer. Je reste sur ma faim, à la limite de l’orgasme. Je sens la nécessité de jouir. Je compte me masturber dans la chambre.  — Graig, putain, vous pourriez me donner un orgasme. Venez me doigter ! Il rigole et part ouvrir la porte. Je me précipite dans la chambre pour me cacher. J’entends seulement la voix d’un seul homme. Ils s’installent dans le salon. Ils discutent de boulot et de femmes. Je m’allonge sur le lit et je commence à me masturber. C’était la seule occupation possible en attendant le signal de Graig.  Je ne ressens plus de plaisir. Mon envie de jouir est partie. Je suis maintenant frustrée et j’ai encore plus envie de baiser, de sentir une bite en moi pour me détendre les nerfs. Je remets mon string correctement et je sors du lit.  J’ouvre les différents tiroirs et placard de la chambre afin d’oublier mon ennui. Une nouvelle voix retentit, une seconde personne vient d’arriver. Je continue mon inspection sans porter attention aux discussions.  Mon regard se dirige vers des boîtes en carton placées derrière une étagère. Je prends une chaise et j’attrape la première boite. Il y a seulement des vêtements de femmes. Ils ne sont pas à mon goût.  Un troisième homme vient d’arriver. Ils sont maintenant quatre. Ils sont joyeux de s’être retrouvés. Je prends une seconde boite et je découvre des habits de fête. Je vide la boîte sur le lit et découvre des écharpes, des masques et des plumes. Les déguisements sont très amusants.  Un masque noir en dentelle attire mon attention. Il est magnifique et il me va très bien.Je prends ensuite une perruque de couleur rose. C’est très amusant. J’essaie plusieurs assortiments, pendant plusieurs minutes. Les hommes jouent dans la pièce à côté. Je me sens vexée que Graig m’ait oublié. Je colle mon oreille au bord de la porte et je les entends parler. Mon envie de sexe se réveille. Je décide de prendre cette situation à mon avantage. Je mets le masque noir et une perruque rose. Je me regarde dans le miroir avant de faire mon apparition. Je me sens belle et sexy. J’ai un look d’escort j’ai une perruque rose et une lingerie rose. C’est en harmonie. Je prends mon courage à deux mains et je fais mon entrée dans le salon.

— Bonsoir Messieurs, désirez-vous boire quelque chose ? — Graig resta sans voix, les trois autres hommes me regardent de la tête aux pieds.— Vous avez perdu votre langue messieurs ?— Non, dit l’un d’eux, je prendrais une bière.— Moi-aussi, disent les deux autres hommes.Je pars dans la cuisine et leurs regards s’orientent à l’unisson vers mon cul.

— Graig, c’est qui cette fille ?Je suis surprise de sa réaction. Il blêmit et ne sait pas quoi répondre à leurs questions. Je reviens avoir les quatre bières— Je suis une amie de Graig. Que voulez-vous savoir sur moi ?— Graig ne nous a jamais parlé de toi— Je ne suis pas surprise. Notre relation est récente. Nous aimons passer du temps ensemble. Il y a à peine vingt minutes, il était en train de me baiser. L’un d’entre vous a tapé à la porte et nous a interrompus. Je suis très frustrée de ne pas avoir joui.— Peut-être que nous pourrions nous excuser de vous avoir dérangée en reprenant là où vous vous êtes arrêtés avec Graig.— Pourquoi pas, je sens que je suis encore chaude. En revanche, il y a trois règles !— Dites-les-nous— La première, je n’enlèverai pas mon masque et vous n’essaierez pas de me l’enlever. La deuxième, la perruque reste sur ma tête, personne ne touche ma tête et la dernière, vous me respectez.— OK et comment t’appelles-tu ?— Appelez-moi Lisa Une puissante énergie incontrôlable m’encourage à continuer mon jeu. Je suis désireuse de sexe. Je m’accroupis, je marche à genoux sous la table.  Je me dirige vers Graig. Je sors sa bite de son caleçon et je reprends ma fellation. Je ne comprends pas pourquoi il ne parle plus. Son regard avait changé, il était différent. 

— N’oublie pas de t’occuper de nous Lisa

Je ne prête pas attention aux autres hommes. Je suce Graig de plus en plus vite, je suis en transe de sentir sa bite dans ma bouche. Je ressens l’impatience des autres hommes à expérimenter ma bouche. 

— Graig, j’ai l’impression que tu n’arrives plus à te concentrer. Tu viens de perdre beaucoup d’argent— Vous ne la connaissez pas les gars. C’est une déesse cette fille. — Je suis impatient de juger ses compétences. Je sens la jouissance de Graig se libérer dans ma bouche. Je nettoie sa bite, je la remets dans son caleçon et je pars à la conquête d’une autre verge. 

Je ne sais pas qui je suce, je la prends en bouche et je commence à sortir la queue du caleçon de son voisin avec ma seconde main. Je suce une queue tout en masturbant une autre. Quelques minutes sont nécessaires pour me synchroniser aux deux mouvements.

— Tu as raison, cette fille est une déesse. Elle est si jeune ! Quel âge a-t-elle.— Vous pouvez me poser vos questions messieurs. Je ne pense pas être loin de vous pour ne pas vous entendre. J’ai 19 ans— Nous pensions que tu ne pouvais pas nous répondre avec la bouche pleine dit un homme. Sa remarque fait rire l’ensemble des hommes.— Putain, elle est jeune. — Ça vous dérange qu’une fille aussi jeune vous suce ?— Euh non, continue de me sucer dit l’homme en rigolant J’accélère mes mouvements de tête. Je veux qu’il jouisse rapidement. Il me reste encore deux queues à sucer avant de rentrer chez moi. J’entends l’homme crier de plaisir quelques secondes avant sa jouissance. Je maintiens sa bite en bouche et avale toute sa semence. 

— Putain, cette fille est une bonne suceuse et elle avale en plus— Je n’ai pas d’essuie- tout avec moi. Restons économe ! Dis-je en faisant rire ces hommes. Je ne perds pas de temps et je suce la troisième bite dressée. Elle est déjà bien dure au bord de l’explosion. Cet homme jouit dans ma bouche sans laisser apparaitre un son ou un signe de plaisir. Sa réaction me perturbe. D’habitude j’aime entendre leur plaisir. Ça me satisfait ! 

Je continue de me déplacer sous la table et je prends la dernière bite en bouche. Je perturbe beaucoup leur soirée. Les hommes ont arrêté de jouer au poker. Je continue à sucer sans faire attention au mouvement au-dessus de la table. Je suis concentrée à sucer ces pieux d’inconnu. Mon sexe est trempé de désir, j’ai envie d’être prise par l’une d’elles. Je me doigte en continuant mes fellations.  Cet homme finit par se libérer dans ma bouche. 

J’exerce une légère pression sur sa verge en sentant ma jouissance se libérer entre mes doigts.

— Oh putain, la petite dernière pression sur ma queue était exquise !   Je tourne la tête, la chaise de Graig est vide. Je porte attention aux discussions. Je ne comprends pas ce qui se passe. Les chaises bougent et une cinquième chaise apparaît avec une nouvelle paire de jambes. Un cinquième homme vient d’arriver. Je n’ai pas encore fini, encore une autre queue à sucer.

Graig passe sa main sous la table et essaie de me dire quelque chose. Je me dirige vers la cinquième personne et déboutonne son pantalon.
— Qu’est-ce ?— Détends-toi, dit son voisin— C’est une fille qui nous a tous sucés sous la table. Laisse-toi faire. C’est une amie de Graig dit un second homme. — Ne rate pas cette occasion, elle est très douée. Mets-toi à l’aise, dit un troisième homme. Je suis contente d’entendre tant de compliment à mon égard. Ils encouragent cet homme à se laisser faire, mais Graig essaye de calmer l’euphorie de ses hommes. C’est surprenant de sa part, moi qui pensais qu’il aurait profité de moi devant ses amis. Le cinquième homme est hésitant. Je saisis l’opportunité de son indécision pour ouvrir sa braguette. Je sors rapidement sa verge toute molle et l’avale dans ma bouche. Sa queue ne tarde pas à se durcir. Je suce de plus en plus vite.

— Putain, les gars, c’est qui cette fille ?— Laisse-toi faire, dit un autre homme.— Oh putain, les gars, c’est une experte, elle suce super bien. Je ne vais pas tarder à jouir.— Ne t’inquiète pas mon gars, elle avale aussi. Ta femme ne trouvera pas une marque de sperme dans ton caleçon. Elle est formidable cette Lisa. Elle nous a tous nettoyés les dernière gouttes de nos glands. Au fait, suce-t-elle mieux que ta femme ?— Ta gueule ! ça je ne te le dirais pas. Ohh putain, qu’est ce qu’elle est douée! L’homme libère sa jouissance dans ma bouche et je l’avale en immobilisant sa queue entre mes lèvres. Je venais de sucer cinq queues différentes d’hommes plus âgés que moi. Cette pensée me met en appétit. Mon sexe est en feu, je sens le besoin d’être posséder une queue.  Des applaudissements surgissent au-dessus de la table. Je tourne ma tête et je vois la main tendue de Graig. Je prends sa main pour m’aider à sortir de dessous la table. Il se penche et chuchote dans mon oreille.

— Tu continues de me surprendre de plus en plus Caroline. Je te laisse le choix. Mes amis ont déjà une deuxième érection et ils veulent continuer. Soit tu restes avec nous, soit je t’accompagne à la porte. Que choisis-tu ?— C’est la première fois que je suce cinq différentes bites. J’ai encore envie de sexe. Ma chatte est trempée d’impatience de les recevoir. Je préfère rester.— Je ne suis pas surpris par ta réponse, cependant il y a un autre détail que tu ne connais pas. Je te laisse le découvrir. La lumière est tamisée pour pimenter la situation. Ton identité est conservée. Je te conseille de garder ton masque et ta perruque.— D’accord ! Je suis très excitée de la situation, je porte peu attention aux paroles de Graig ? Graig me prend les épaules avec ses deux mains et me retourne face à ces cinq hommes.

Je distingue cinq queues en érection, cinq différentes silhouettes. Leurs verges pointent vers ma direction comme la flèche d’une boussole qui indique le Nord. Ma bouche, mon vagin, mon cul est le centre de leur attention. Graig parle sans que je porte attention à ses paroles, je suis en lingerie devant ces cinq hommes qui n’attendent qu’une chose : me baiser. Je sens les mains de Graig m’encourager à marcher vers la table de poker, une nouvelle pression sur mon dos me fait me pencher en avant. Il se positionne derrière, je sens son sexe se frotter contre mes lèvres vaginales. Sa verge s’introduit en moi avec une légère pression. Il me baise devant ses amis. Je suis passive pendant plusieurs minutes. Sucer ces hommes sous la table était beaucoup moins intimidant que de me faire baiser devant eux. La table me cachait de leur regard. Graig comprend mon inconfort. Il caresse mon dos et m’embrasse dans le cou pour me rassurer.

— Laisse-toi aller, sois toi-même, une femme coquine et gourmande.— C’est la première fois que je suis devant autant d’hommes— Oublie-les et penses que nous sommes seulement ensemble. — J’étais sous la table, personne ne pouvait voir mon regard, j’étais cachée.— Tu l’es toujours, tu as une perruque et un masque. Personne ne te connaît ici. Ses paroles me détendent. Je me laisse aller. Mes gémissements sont de plus en plus forts en accord avec les mouvements de ses hanches. Il me baise de plus en plus fort. Il s’engouffre de plus en plus profond en moi. Je reste immobile aux assauts de sa queue par l’emprise qu’il a sur ma tête.  Ses amis se rapprochent autour de moi. 

— Caroline, veux-tu être prise par-derrière ? Chuchote Graig à mon oreille— Pas maintenant, c’est la première fois que je baise avec autant d’hommes— Ok, les gars, je vous laisse mon amie, prenez soin d’elle. Par contre, aucune pénétration dans son joli petit cul. Je sais c’est très tentant et frustrant. Mais donnons-lui le plaisir de vouloir revenir nous voir.  Les hommes rient et acceptent la consigne. Ils sont hystériques. Graig est remplacé aussitôt par un autre homme. Il s’agrippe à mes hanches et me donne plusieurs coups de bassin. Cette nouvelle queue accentue mon plaisir. Graig se met en face de moi, attrape mes poignets et m’encourage en me murmurant à mes oreilles.

— C’est bien Lisa. Prends ton plaisir avec ces hommes. Ils sont tous pour toi ! Dévore-les ! Je sens une nouvelle sensation, les hommes se succèdent pour me baiser un par un. Mes gémissements sont de plus en plus forts. Je suis au bord d’un puissant orgasme, je sens mes jambes fébriles à leurs puissants assauts. Mon vagin est complément dilaté et trempé de plaisir. Ils s’engouffrent avec facilité dans cet orifice un par un. J’ai l’impression qu’ils sont des dizaines à me baiser. Ces hommes prennent le plaisir de se relayer sans interruption. Les assauts sont de plus en plus intense. Je sens du liquide couler le long de mes jambes, c’est l’abondance de ma cyprine face à ce plaisir. Je me sens devenir une nymphomane, accro au sexe. Graig encourage une personne à venir. C’était le retardataire il observe la scène depuis un fauteuil du salon. 

— Allez viens, mon vieux, il ne reste plus que toi ! Personne n’a encore joui, mais je pense que ça ne devrait pas tarder.— J’admire la scène Graig, j’ai une femme tu sais. — Je sais, mais vous n’avez pas une relation ouverte. Elle n’en saura rien. C’est un secret que l’on gardera entre nous

Les quatre hommes l’encouragent pour me baiser. Je reste immobile dans ma position : penchée sur la table avec les jambes écartées. L’homme s’approche, me caresse le dos, mes fesses et ma vulve. Je sens son gland se frotter entre mes globes fessiers, puis je sens deux doigts me pénétrer.  Sa douceur me surprend. Sa verge s’enfonce en moi avec douceur. Graig me prend de nouveau les mains. Il a un sourire que je ne connaissais pas. 

— C’est bien Lisa, continue. Il prend beaucoup de plaisir ! Dit-il en chuchotant à mon oreille.— C’est trop bon Graig. J’aime être prise lorsque tu immobilises mes bras. — J’ai une idée. Expérimentons autre chose.— D’accord, je suis d’humeur coquine. Lui réponds-je, en chuchotant à mon tour. Graig me présente sa bite devant mon visage. Son intention est claire. J’ouvre ma bouche et je l’accueille. Je suis maintenant pénétrée par deux hommes, un de chaque côté.

— Alors Fred, comment trouves-tu mon amie ?— Elle est superbe ! Elle est gourmande. Elle me fait penser à ma jeunesse.— Parlant de jeunesse, comment va ta fille Caroline ?— Oh Graig, tu ne veux pas que l’on parle de ma fille plus tard. Ces dernières phrases me font sursauter. Graig maintient fermement ma tête pour atténuer la surprise. Le salaud ! Il avait encouragé mon père à venir me baiser. Il se venge de notre week-end avec sa fille. Je ne sais pas comment réagir. La situation devient dingue. C’est la cinquième verge que j’accueille en moi et la cerise sur le gâteau c’est celle de mon père.

— Tu veux la sodomiser Fred ? Tu sais, elle a de l’expérience dans ce domaine.— Pourquoi pas ? mais, tu ne nous avais pas dit le contraire ?— C’est pour toi mon ami.— Est-elle d’accord ?

Graig continue de maintenir ma tête en m’imposant le rythme de la fellation. Je suis devenue un automate entre ces deux hommes. J’expérimente la sensation d’être soumise. 

— Si tu n’es pas d’accord, tu tapes sur la table avec ta main. Je ne compte pas sortir ma queue de ta bouche. — Tu vois, elle est d’accord Je fais un mouvement de tête d’approbation. Graig me caresse les cheveux comme signe d’encouragement. Je sens le gland de mon père forcer l’ouverture de mon sphincter anal.

— Oh son cul est trop bon !!— Je t’ais prévenu— Et nous, on peut la sodomiser ? Demande un autre homme.— Peut-être la prochaine fois les gars, seulement Fred, ce soir. Laisser à mon ami le plaisir de la soirée. Elle a besoin de reprendre ses forces, nous la baisons depuis plus de une heure sans lui donner un moment de répit. Le tapis de la table de poker est trempé de sa transpiration. Les mouvements de hanches de mon père s’accentuent de plus en plus. Il se mobilise en moi et sa jouissance se libère dans mon cul. Graig jouit dans ma bouche quelques secondes après. Ces deux jouissances me font perdre l’équilibre. Je libère un puissant cri de plaisir, mes jambes se dérobent et je tombe au sol. Je suis conquise par cette soirée.  Graig s’accroupit et vérifie si tout va bien. 

— Ça va ? Je ne t’ai jamais entendu crier si fort.— Oui, ça va, c’était le plaisir, l’exaltation de la soirée. — Et Lisa, nous n’avons pas encore joui, nous— Eh les gars, s’il vous plaît. Elle est fatiguée. Branlez-vous, mais laissez-la tranquille. Dit Graig— Ok, désolé Lisa, tu es tellement incroyable. Nous sommes encore très excités.— OK les gars, jouissez sur moi. Je n’ai plus de force pour vous sucer. — Es-tu sûre ? Me demande Graig.— Oui, tant que je reste allongée, ça ne me dérange pas. C’est marrant de voir ces trois hommes se rapprocher. Leurs queues sont dressés au dessus de mes yeux et se masturber avec rapidité. J’observe cette scène  avec amusement! Des jets jaillissent de leur gland et s’écrasent sur mes seins et mon visage. J’ai un sourire radieux à sentir ce sperme chaud atterrir sur moi. Je me caresse le corps avec ce sperme, sur ma gorge, mes seins et mon ventre. Les hommes continuent de ma regarder avec émerveillement. 

Graig me prend dans ses bras et m’amène dans la salle de bain. Il m’aide à m’installer dans la baignoire et tourne le robinet. 

— Prends un bain chaud, ça te fera du bien. — Merci Graig.  J’entends ses amis partir. Tous me remercient joyeusement à travers la porte. Ils ont beaucoup apprécié la soirée. Je reste une bonne demi-heure dans le bain. J’ai besoin de reprendre mes esprits. Je sors de la salle de bain avec une serviette autour de la taille. Je vois Graig assis sur le canapé.— Tiens Caroline, j’ai un t-shirt et un short pour toi. Ce n’est pas à ta taille mais c’est mieux que rien. Mets-les, je vais te raccompagner chez toi. Je m’habille devant lui sans aucun complexe. 

— Tu es magnifique Caroline.— Merci— Comment as-tu trouvé la soirée.— Très bien mais j’aurais aimé être prévenue de la présence de mon père. Tu te rends compte que je l’ai sucé et il m’a baisée et sodomisée. Pour finir, il a joui dans mon cul et moi, j’ai joui après avoir ressenti vos deux jouissances. Ça me fait bizarre. — Je sais. Je suis désolé. Il est venu à la dernière minute. Il m’a envoyé un message qu’il venait lorsque nous nous sommes installés. Tu es ensuite venue dans ta tenue sexy, à ce moment-là, j’ai compris que c’était trop tard pour te prévenir. J’ai essayé de t’aider, mais ça n’a pas marché. Comment te sens-tu à propos de ça?— Je ne sais pas ! C’est bizarre. J’ai déjà fantasmé sur mon père. Je mouille lorsque je pense à coucher avec un homme âgé. Que dois-je penser pour ma mère?— Ne t’en fais pas, c’est un secret entre nous. Ta mère et ton père ont eu une relation ouverte. Si tu as besoin d’en parler, appelle-moi.— Ah oui, tu es sérieux. Merci pour ton aide.  Graig me raccompagne chez moi et je pars directement dans ma chambre, sans parler à mes parents.
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