Le premier jour de vacances en famille débute par un long trajet en voiture. Nous devrions arriver vers 22 heures, soit 7 heures de route. Ma mère a changé d’avis en optant pour une location d’un bungalow. Le trajet en voiture est pénible. Je suis contente de partir avec mes parents. Nous avons prévu ces vacances depuis plusieurs semaines. Cela me semblait super, mais depuis mes expériences avec Paul, Marion et Craig, j’avais changé d’avis. J’avais envie de baiser tous les jours. Heureusement que j’aurai ma propre chambre dans le bungalow. J’ai pris mes sex-toys avec moi. Je n’ai pas eu le temps de me satisfaire ce matin. J’ai envie de voir et de sentir une queue en érection. Lors de la première pause sur une aire d’autoroute, j’ai voulu m’amuser en m’introduisant le plug anal de Craig. La sensation de sentir mon cul ouvert par un plug me rend folle de désir. Ma mère est surprise de me voir sans cesse gesticuler sur mon siège Mon sexe est trempé ! Ma culotte devient de plus en plus humide par l’absorption de ma cyprine. Des bouffées de chaleur envahissent mon corps. La frustration de ne pas pouvoir me masturber rend la situation de plus en plus incontrôlable. Ma mère, inquiète, s’est tournée plusieurs fois : -Ça va, ma chérie ?-Oui, maman, ça va. Dis-je, en prenant mon portable. [SMS]> Paul, j’ai besoin que tu me divertisses< Pourquoi ?> Pour m’amuser et patienter en voiture, je me suis introduit le plug anal et je suis trempée. Ma mère n’arrête pas de me regarder.< Tu es sérieuse ?> À ton avis ?> J’ai envie de me masturber< MDR< Ok Paul m’aide à me divertir pendant 20 minutes. Nous avons parlé de divers sujets, mais je transpire de plus en plus de désir. Je n’arrête pas de resserrer mes cuisses accentuant la pression sur le plug. [SMS]> Paul, je pense que je vais jouir !< Sérieux ?> Oui, je transpire de plus en plus. Mes parents sont à côté de moi. L’adrénaline fait augmenter mon plaisir.< Putain, mais qu’est-ce que tu as fait ?> Rien, je me suis introduit le plug anal dans les toilettes d’une aire d’autoroute, mais depuis que je suis retournée dans la voiture. Je me sens chaude de sexe.< Sérieux, je croyais que c’était une blague. Putain tu me fais bander. Tu l’as toujours en toi!> Paul soit sérieux mes parents sont dans la voiture. Je ne peux pas gémir. Je me dandine sur mon siège et ma mère ne me quitte pas du regard. Je crains d’une jouissance abondante. < Oh Caroline, je me masturbe en lisant tes messages> Putain Paul, je ne rigole pas. Je n’arrive pas à réfléchir. Arrête de penser avec ta bite et arrête de me faire penser à ta bite ! Salaud !
La situation devient critique. J’ai de plus en plus chaud. Mon clitoris me démange de plaisir. Mon envie de me doigter est de plus en plus forte. [SMS]< Caroline, je ne sais pas quoi te dire. Mâche un chewing-gum. Peut-être ça peut t’aider.> Merci, pour ce conseil de merdeJe suis dégoutée. Je me concentre de plus en plus pour ne pas m’exciter davantage, limitant mes mouvements sur le siège. Je reste immobile sur le siège. [SMS] < Salut Caroline, es-tu bien arrivée ?> Salut Craig, non je suis dans la voiture. J’ai besoin d’aide< Dis-moi> Je me suis introduit ton plug anal, mais je ne vais pas tarder à jouir. Je suis dans la voiture avec mes parents. Que me proposes-tu ?< Je ne suis pas surpris que tu sois dans cette situation.< As-tu une veste ou une couverture ? > Oui< Mets là. Couvre tes jambes et ouvre la fenêtre. Dis à tes parents que tu aimerais t’arrêter.> Tout simplement !< Oui, le plus simple est parfois le plus efficace. Je suis les consignes de Craig. Mon père comprend l’urgence et propose de s’arrêter à la prochaine aire d’autoroute. Mes parents souhaitent profiter de cette pause pour manger quelque chose avant d’arriver au camping.À peine arrivée, je pars aux toilettes, mais l’envie de jouir se dissipe avant même de m’asseoir sur la cuvette des WC. Je commence à me masturber mais l’envie avait disparu. Je suis très frustrée d’avoir perdu cette puissante sensation de jouissance. Je m’étais imaginée avoir un orgasme, inoubliable, mais je me retrouve comme une conne sur la cuvette des WC, ma culotte trempée baissée au niveau de mes chevilles, sans pouvoir jouir. Je me masturbe avec mon plug, puis j’accentue en me masturbant la chatte, mais rien ne se passe. L’envie a disparu.Je sors frustrée des toilettes. Je rejoins mes parents attablés au restaurant.— Ça va Caroline ?— Oui, ça va. Dis-je, énervée d’avoir perdu mon envie de jouir.— Que veux-tu manger ?— Je ne sais pas, je n’ai pas trop faim. Je pense pendre un plat de pâtes. Je mange avec mes parents, puis je pars marcher pour m’évader l’esprit. Je préfère oublier mon passage aux toilettes. L’aire d’autoroute est grande, elle est composée de nombreux magasins et de restaurants. Je continue de marcher en prenant la direction d’une pinède à l’horizon. Un petit cabanon isolé encerclé de pins, attire mon attention. Je m’approche, ouvre la porte et regarde l’intérieur. Il y a un fauteuil au centre, les murs sont tagués avec différents prénoms, seulement des prénoms féminins. Je franchis le seuil de la porte pour observer de plus près, mais la porte se referme automatiquement sur moi aussitôt rentrée. J’essaie de sortir, mais la porte est fermée. Le stress m’envahit ! Je suis enfermée dans ce minuscule espace ! Je prends mon portable pour contacter mes parents. Une voix féminine retentit à travers des haut-parleurs. "Bonjour, veuillez prendre place. Vous venez d’activer la cabine pour une durée de 10 minutes. Vous pouvez soit vous détendre sur le fauteuil, soit profiter de ce moment pour vous satisfaire". "La séance commence dans 10 secondes, la lumière verte vient d’être activée". — Euhhh, il y a quelqu’un ? C’est une erreur, je souhaite sortir, je ne comprends pas le but de cet endroit.Aucune réponse, je regarde mon portable. Je n’ai pas de réseau. Mes parents m’ont donné 20 minutes et je suis enfermée ici pendant 10 minutes. L’horreur !J’essaie de forcer l’ouverture de la porte sans aucun succès. J’attends un bruit provenant du mur. Je comprends immédiatement ! Je suis dans une cabine de Glory Hole. Je prends peur, mes parents ne sont pas loin. Ils peuvent me chercher à tout moment. Je remarque l’écran indiquant le chronomètre, il me reste 9 minutes avant que la porte s’ouvre. Je regarde cette queue raide sans voir son propriétaire. Je m’approche, je la regarde attentivement. Je la sens. Son odeur est agréable. Je la caresse avec le bout de mes doigts. Elle est douce est grosse.Une augmentation de salive se ressent dans ma bouche. L’adrénaline parcourt mon corps ! Ma vulve me communique son envie d’être pénétrée par une verge. J’hésite ! Je regarde de nouveau l’écran, puis de nouveau cette verge. C’est plus fort que moi, j’appuie sur le bouton vert et je masturbe cette queue. J’attends des bruits de gémissements de l’homme de l’autre côté du mur. Un nouveau pénis apparaît, je le prends en main et le masturbe. J’entends ces deux hommes gémir simultanément. Je suis de plus en plus excitée. Une troisième queue fait son apparition.Je suis dépassée par le moment. J’ai un compte à rebours et trois verges qui attendent de rugir. Je ne sais pas comment m’organiser. Je prends la première bite en bouche. Je la suce avec acharnement en continuant de masturber les deux autres. Je sens l’excitation de l’homme monter, sa verge se contracte et je reçois avec surprise son éjaculation sur mon visage. Je me suis mal préparée. — Putain, tu suces bien toi ! Profitez bien les gars, cette salope suce très bien.L’écran émet un son et affiche une nouvelle information. Le chiffre un apparaît en dessous du chronomètre. Surprise, je comprends que chaque éjaculation est comptabilisée. La compétition m’excite. J’accélère le mouvement de tête. J’engloutis la totalité la verge au plus profond de ma gorge. Cette technique doit me faire gagner du temps. Une nouvelle queue vient remplacer la première. Je me sens débordée par la situation. Le deuxième homme jouit directement dans ma gorge. C’est la solution la plus simple pour éviter toute trace de sperme sur mes vêtements et mes cheveux. La première éjaculation a été une leçon. Je me précipite vers la troisième verge et la suce immédiatement. Je garde le même rythme de fellation : rapide et profonde ! C’est une sensation amusante et jouissive !Le troisième homme éjacule dans ma bouche. J’avale leurs spermes au même rythme que j’avale ma salive. Je passe à la quatrième queue. Un son retentit. Je regarde l’écran, il me reste seulement 1 minute. Le temps est passé très vite. J’accélère le mouvement de ma tête, je fais des gorges profondes de plus en plus fortes. Les gémissements de plaisir de cet inconnu accentuent mon excitation et ma détermination à le faire jouir. Un nouveau son retentit annonçant le décompte des 30 dernières secondes. J’accélère de plus en plus ma fellation. Je veux comptabiliser cette queue dans mon score. Les 10 dernières secondes retentissent. J’accélère de plus en plus. Je ressens une forte poussée d’adrénaline. Je veux comptabiliser cette putain de verge !! Je la suce, j’avale, je la branle ! La situation devient énervante et obsessionnelle ! Pourquoi, ce con n’éjacule pas ! Je l’engloutis au plus profond de ma gorge ! Sa jouissance se libère en moi à 3 secondes avant la fin du compte à rebours. Son sperme coule dans ma gorge me donne un sentiment de satisfaction. J’attends la sonnerie finale. Je prends la bite et la sors de ma bouche. Je suis essoufflée, je n’ai pas sucé autant de verges en si peu de temps. J’étais contente d’avoir fait jouir 4 queues et de les avoir comptabilisés en 10 minutes. Je suis très excitée, mon sexe est en feu. « Félicitations, vous venez de faire jouir 4 hommes en 10 minutes ! Souhaitez-vous continuer ? » Le déclic de la porte retentit ! Mon instinct me fait cliquer sur le bouton vert pour refermer la porte sans réfléchir aux conséquences. Je porte seulement un débardeur. J’ai retiré mon pantalon et ma culotte dans cette action euphorique.« Vous venez de réactiver votre dernière session de 10 minutes. Soyez conquise ! » Je vois une nouvelle queue se présenter. Je me redresse. Je m’accroupis devant. Je la prends en bouche tout en me masturbant. Je n’ai toujours pas joui. Ça m’énerve ! La première session était amusante mais maintenant je veux jouir ! Cette fois-ci, je veux profiter de ce moment pour moi. Une deuxième queue se présente. Je suis surprise de la popularité de ce lieu. Je gémis de plaisir en me masturbant et en suçant une queue en même temps. L’inconnu ne tarde pas à jouir. Je m’amuse en prenant une position perverse avec la bouche ouverte, la verge au-dessus ma langue. Personne ne peut me voir ! La position est marrante. Mais j’ai mal orienté le pénis. La jouissance se libère sur mon visage, mon débardeur et mes cuisses. Je n’y porte pas attention, l’excitation de la situation me rend folle. Je m’occupe de la deuxième bite. La troisième ne tarde pas à apparaitre.Je me sens créative. Je me mets debout, oriente la deuxième queue vers mon cul et je masturbe la troisième. Je suis en état de transe. Je décide d’alterner entre ces deux bites. Je change de position pour que chacun me sodomise à tour de rôle.Je transpire une nouvelle fois en abondance. Je suis contente de ressentir cette sensation que j’avais connue dans la voiture. Je maintiens mon rythme entre ces deux queues. Ma température corporelle augmente. Je sens l’ensemble de mon corps se crisper, puis une puissante vague de plaisir jouit de mon ventre. Ma jouissance est si forte que je m’écroule sur mes jambes. Des jets jaillissent en abondance de mon sexe. Je tremble de plaisir. Je suis aux anges. Mon regard se perd dans le vide du plafond. Je ressens des éclaboussures sur mon corps. Les deux hommes viennent de jouir sur moi, l’un sur mon visage et l’autre sur mes jambes.Quelques minutes passent avant d’entendre une nouvelle fois la voix. « Félicitations, vous venez de faire jouir 3 hommes en 10 minutes. Votre session est terminée ! Vous avez fait jouir 7 hommes en 20 minutes. Le code affiché sur l’écran vous permettra d’enregistrer vos scores lors de votre inscription. Nous vous invitons à vous inscrire sur notre site. Vous pourriez retrouver l’ensemble de nos SexBlow Box en France sur notre carte. Une nouvelle mise à jour permet d’identifier la SexBlow Bow la plus près de chez vous en fonction de votre localisation GPS ». Je regarde avec surprise l’encart informant la présence de 3 000 SexBlow Box en France. Ils sont essentiellement localisés sur les autoroutes. Une petite phrase me fait rire. « SexBlow Box vous encourage de vous arrêter toutes les deux heures. Un confort et une déconnexion totale vous sont garantis dans chacune de nos box ». Je regarde mon portable. Merde, j’ai oublié mes parents. Je prends un mouchoir d’un distributeur mural à disposition. J’essuie le sperme de mon visage, de ma poitrine et de mes cuisses. Je photographie le QR code de la box avec mon portable afin de m’inscrire plus tard sur le site.Je sors du cabanon. Mon téléphone affiche trois appels manqués de ma mère. Je la rappelle immédiatement. Ils sont dans la voiture en train de m’attendre. Je cours vite aux toilettes des femmes pour vérifier ma tenue. C’est la panique ! Mon débardeur est trempé de transpiration et de sperme ! Je me mets en soutien-gorge dans les toilettes et utilise le sèche-main mural pour sécher rapidement mon haut. Des femmes entrent avec un air surpris. Quelles connes !Je rentre dans la voiture avec mon attitude d’enfant modèle, sage et discipliné. Mon attitude me fait rire intérieurement. -Ça va ma chérie? demande ma mère-Oui, ça va beaucoup mieux-On peut reprendre la route ou préfères-tu rester plus longtemps ?-Non, c’est bon ! J’avais mal au ventre. Je me sens beaucoup mieux maintenant !Nous reprenons la route. Je m’endors rapidement dans la voiture. Je suis satisfaite de cette expérience. Je souris en sentant ma bouche lourde et engourdie ! Nous arrivons au camping vers 23 heures. Le réceptionniste du camping nous accompagne au bungalow réservé.Je prends mes affaires et je m’installe dans l’une des chambres. Je prends mon portable. Je fais mon inscription sur le site internet. Mon prénom sera Lisablow7. J’entre le code qui m’a été donné ! Un message s’affiche : « aujourd’hui vous avez satisfait 7 verges en 20 minutes ». Je clique sur OK, puis un autre message s’affiche « combien de fois avez-vous avalé ? ». C’est amusant de lire ces questions très intrusives : je réponds 5 fois. Un second message apparaît : « Avez-vous baisé ? » Trois réponses sont proposées : « non » ou « oui, pénétration vaginale » et/ ou « oui pénétration anale ». Puis j’enregistre le nombre d’hommes qui m’ont sodomisée : 2 hommes. L’application est marante et agréable à utiliser ! Il y a même un agenda qui permet d’enregistrer quotidiennement ma fréquence sexuelle. Je clique sur le bouton « résumé de la journée » : 7 jouissances dont 5 avalées et 2 sodomies ! Quelle journée ! »
Un autre bouton attire ma curiosité : « challenge ». Je vois une liste de pseudonymes avec plusieurs indicateurs chiffrés.Je regarde les trois premiers noms Laroseimpatiente : 42 utilisations de SexBlow Box et 150 verges et 95 jouissances avalées, soit un total de 420 minutes représentant 7 heures de fellations. L’autostoppeuse : 54 utilisations de SexBlow Box, 199 verges et 140 jouissances avalées, soit un total de 540 minutes représentant 9 heures de fellations. Nymphoauto : 144 utilisations de de SexBlow Box et 650 verges et 580 jouissances avalées, soit un totale de 720 minutes représentant 24 heures de fellationsJe n’en reviens pas de ces chiffres. C’est écœurant de les lire, mais à la fois amusant. Le nom « homme » n’est pas mentionné, mais seulement le mot « verge » comme un jeu ! Une gourmandise à sucer et l’on comptabilise le nombre de sucettes. La majorité des utilisatrices enregistre un total de 1 à 2 heures d’utilisation de SexBlow Box. Je suis contente lorsque je vois mon pseudo Lisablow7. Je fais partie des dernières.Ces calculs m’amusent. Je réfléchis à mes différentes expériences : Paul, le proviseur, Craig, les quatre hommes de la soirée poker, soit 7 verges, soit un total final de 14 verges sucées. Ce n’est pas trop mal ! Je prends mon petit carnet dans mon sac et je comptabilise ce total. Mon inspiration m’inspire à dessiner des formes érotiques avant de m’endormir.
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