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La face cachée de ma cousine

Chapitre 20

Une surprenante vérité

Hétéro
Je suis toujours nue, immobile sur le canapé. Des bruits de pas viennent perturber le silence qui me berçait. Je tourne la tête avec paresse pour identifier la personne.
— Eh petite, tu dois partir, mais tu peux prendre une douche avant si tu veux, me dit le gérant du sex-shop en me jetant une serviette.— Pardon, je n’avais pas vu l’heure. Le manager me montre du doigt la pseudo douche dans la pièce. Un pauvre robinet démantibulé fixé au mur, avec une pomme de douche jaunâtre. L’espace n’offrant aucune intimité, sans vitre et sans rideau.
Ce porc reste fiché devant moi et prend un grand plaisir à m’observer me doucher.
— As-tu discuté avec le couple ?— Pourquoi ?— Ils jouissent d’une réputation. La femme est une nymphomane. Je ne l’aime pas. Il y a 2 ans, elle était à ta place.— Vous êtes sérieux ?— Bien sûr ! Qu’est-ce qu’ils t’ont proposé ?— Ça ne vous regarde pas !— Écoute petite, tu es dans mon magasin. Tu vas repartir avec plus de 200€ de produits. Tu t’es bien amusée alors j’attends de toi que tu répondes à mes questions.— Ils voulaient me proposer une soirée avec eux.— Je m’en suis douté dit le manager avec un petit sourire. C’est un couple qui est particulier ! La femme recherche des jeunes femmes pour pimenter leur sexualité avec son mari. L’un des clients a dû les prévenir de ta présence.— Ils viennent souvent ici ?— Ils sont propriétaires de deux salons de libertinage. Ils m’ont proposé de racheter le sex-shop, mais j’ai refusé. Ils organisent beaucoup de soirées sexuelles pendant l’été. C’est des gros fêtards et des gros baiseurs. Je reste sans voix sans oser montrer ma stupéfaction. Mes parents sont propriétaires de deux salons de libertinages. C’est énorme ! Graig m’avait prévenu que mes parents formaient un couple libre. Ces mots prennent une signification maintenant.
— Depuis combien de temps viennent-ils dans cette ville ?— Tu es curieuse petite !!

— Ils viennent de me proposer une soirée. Je ne sais pas du tout où ils veulent m’amener.— Ils viennent occasionnellement, au moins 4 à 5 fois par an. Ils ont plusieurs employés qui organisent les soirées pendant leur absence.— Comment les connaissez-vous ?— Tu es trop curieuse !— Oui, dis-je avec un petit sourire. Je me tiens nue face à lui, ruisselante d’eau. Son regard me fait comprendre qu’il est sous le charme.— Je les connais par leur proposition de rachat. Ils sont venus une ou deux fois ici et ils m’envoient de temps en temps des invitations à leurs soirées.— Êtes-vous déjà allé aux soirées ?— Pourquoi cet interrogatoire ? Gourmande comme tu es, je pense que l’on peut s’aider mutuellement. Reste nue et viens dans mon bureau, je serai plus confortable assis.
Le salaud ! Il abuse de la situation ! Une fellation en échange d’informations sur mes parents. Il m’a déjà baisée et le goût de sa bite est encore présente dans ma bouche.
— Sérieux ! Je vous ai déjà sucé et vous m’avez déjà baisée !— C’était un autre contexte. Tu m’as excitée en te douchant. Si tu veux des réponses, viens dans mon bureau.— Fait chier ! Je prends mes affaires et je le suis vers son bureau, énervée d’être si naïve.
Les lumières du magasin sont éteintes.
— Vous fermez à quelques heures ?— Normalement on ferme à deux heures du matin, mais je suis seul aujourd’hui. Mon employé a dû partir plus tôt. Je pense que c’était le premier à t’avoir joui dessus. Quel con, il aurait dû prendre son temps ! Son bureau est recouvert de posters de femme nue. Beaucoup de prospectus avec des numéros de téléphone de femmes dénudées traînent au sol et sur son bureau.Je suis dans le lieu de perversion de ce porc. Mes pieds nus se collent au sol à chaque nouveau pas. C’est dégueulasse.
— Approche-toi !
Il s’installe sur son fauteuil, clique sur un vieux clavier jaunâtre avec des auréoles douteuses.
Le mot de passe saisit, il clique sur plusieurs dossiers dont un avec le prénom de ma mère.
— Je te propose un jeu. Tu peux regarder toutes les informations que j’ai sur ce couple jusqu’à ce que je jouisse. Après tu perdras l’accès ! Es-tu d’accord ?
Quel connard !
— Oui dis-je avec une petite voix
Je me mets à genoux et j’entreprends avec ma bouche de redonner de la raideur à sa queue.
— Oh petite ! Tu suces très bien ! Tu as du talent ! Dit-il avec mépris— ….— Sacré talent ! Répète-t-il en éclatant de rire— ….— Beaucoup de femmes m’ont sucé et aussi Nina. Je peux t’assurer que personne ne pouvait atteindre sa dextérité de langue. Je t’assure, tu es au même niveau qu’elle ! Connard. Je ne comprends plus rien. Je baise avec mes parents et j’apprends dans la même journée qu’ils ont une autre vie. Je compte les amener à leurs aveux sans qu’ils n’apprennent rien sur ma double vie. Sacrée famille !
Sa queue retrouve son érection. Je me redresse, la dirige pour l’insérer dans mon sexe. Je prends la souris des mains et j’ouvre le dossier concerné.
Je reste conne devant la pauvreté des informations du dossier. J’étais énervé envers moi même.
— Désolé petite, j’ai peu d’informations sur ces personnes dans mon ordi, mais si tu me poses les bonnes questions, je répondrais. Par contre, tu ne bouges pas, j’adore sentir te pénétrer, dit-il en rigolant.
Je viens de me faire avoir par ce porc. Je garde mon sang-froid, ouvre le premier fichier.
Il s’agit d’un fichier regroupant plusieurs photos. Chaque photo à ses légendes et les personnes sont identifiées. Mes parents sont pris en photo devant une boutique. 
— Qu’est-ce que c’est ?
— Il s’agit du premier salon de libertinage ouvert dans la ville. Ça a fait les gros titres. J’ai engagé un détective privé, mais il était con ! Voici son travail ! C’est minable, j’aurais pu le faire moi-même.  La plage naturiste attire beaucoup de monde en été. Mais il manquait un salon pour les rencontres. Ce couple a eu beaucoup de flair. Le succès a été immédiat, mais leur présence était rare. Pourtant, un deuxième salon s’est créé huit mois après. Je me suis demandé s’ils ne blanchissaient pas de l’argent. C’est bizarre pour moi. Quand tu as un business, tu dois être tous les jours sur place. 
Je lis en diagonale l’article. Il s’agit du salon "La liberté du plaisir" et le deuxième s’appelle "Le romantisme de la luxure". La différence se trouve au niveau du prix et des pratiques sexuelles. Le deuxième serait plus trash.
— Oh petite, tu es une sacrée cochonne. Je suis prête à d’employer en CDI si tu viens me voir tous les jours après ton travail ou avant de commencer tes heures ! Dit-il en éclatant de rire.— C’est hors de question ! dis-je en ne perdant pas ma concentration.— Ok, je ne vais pas tarder à jouir
J’ai besoin de plus de temps.
— Non chérie, tu ne peux pas ralentir. C’est le jeu. Tik Tak, Tik Tak, je vais jouir— Écoutez, je vous propose mon cul si vous me donnez cinq minutes de plus— Mmm, toi, tu sais négocier. OK je reste immobile dans ton cul. Au bout de cinq minutes j’accélère mon mouvement et je lâche la sauce Quel connard, grossier, aucun respect envers les femmes. En me relevant, je clique sur le deuxième dossier. Il s’agit d’une photo dans laquelle ma mère est habillée en tenue très sexy.
— C’est quoi cette photo ?— C’est l’un des jours, où ils sont venus au sex-shop. Madame est arrivée comme ça. Elle a allumé tous les clients. Le magasin était devenu un lieu d’orgie. Tous les clients en ont gardé un très bon souvenir. — Pervers ! Dis-je en m’empalant sa bite dans mon cul— Tu as de l’originalité ! dit-il en rigolant. Je n’ai jamais rencontré une femme m’insulter de pervers à se mettant ma bite dans mon cul— Avez-vous d’autres photos ou vidéos ?— Oui, regarde dans le dossier "extra"
Je clique, il s’agit d’un article scanné. L’article est en anglais. Je ne comprends rien. Je regarde la photo, il y a un homme en blouse blanche et ma mère se tient à ses côtés. — Qu’est-ce que c’est ?— Un article à l’époque où madame était une étudiante. Je n’ai pas compris l’article malgré la traduction automatique. C’est une histoire d’ingénierie chimique. Quelque chose d’incompréhensible. Inutile à mon goût. — Ma mère n’a jamais étudié la chimie ou n’a vécu à l’étranger. Ce mec essaye de m’embrouiller.— Avez- vous des photos ou vidéos ?— Non, tout ce qui se passe dans la chambre noire reste dans la chambre noire. C’est pour ça que je l’appelle la chambre noire. Il n’y a pas assez de lumière pour filmer.— Vous m’avez parlé de deux salons. Qu’a-t-il de spécial ?  Selon l’article le second salon est plus hard dans les pratiques sexuelles.— Oh oui, selon les rumeurs, c’est beaucoup de hard et trash. Il a plus de succès que le premier, à croire que les gens aiment ça. Je ne suis jamais allé, je ne pourrais pas te le confirmer.
Vivement que je me casse.
— Pourquoi vous dites que vous ne les aimez pas ?— C’est personnel ! J’ai perdu beaucoup d’argent depuis leur présence dans la ville.
Cette réponse me fait sourire.
— Tu vois comme tu es une belle salope ! Je pense que tu pourrais facilement détrôner la réputation de Nina— C’est quoi sa réputation— C’est la reine du sexe ! Elle peut envouter n’importe quel homme et le faire jouir en moins d’une minute.— En moins d’une minute, vous me prenez pour une conne!— C’est sa réputation ! Les queues ne pas tiennent longtemps dans sa bouche ! Si tu veux la preuve ! Va la voir dans un de ses salons. Elle est très active lorsqu’elle est là.— Comment fait-elle ça ?— Aucune idée, c’est un secret ! Sûrement l’expérience ! dit-il en rigolant— …— Il te reste plus que deux minutes avant que je me vide en toi. 
Je regarde de nouveau cet article. Je pensais obtenir des informations, mais au contraire je repars avec autant de questions.
La bite de ce porc se remet à bouger. Le timing est écoulé ! Son cri de jouissance fait penser à une truie que l’on égorge. Il sert fort mes hanches et me pénètre le plus fort possible pour se libérer dans l’abysse de mon cul. Je ferme les yeux en sentant son liquide se déverser en moi. Il me dégoûte.
— Ohhh putain !!  Tu es une sacrée cochonne ! Je te donne un accès libre à la chambre noire comme Nina. Si tu cherches un job d’été, appelle-moi. Je pense pouvoir te trouver un boulot.
Touche plus à l’ordinateur. Tu viens de perdre l’accès me dit-il en appuyant sur une touche verrouillant l’ordinateur. Par contre, vient me nettoyer le gland !
Je me redresse. Je me penche et je suce son gland.
— Oh putain !! Je serai capable de bander une nouvelle fois !! Ta bouche est si divine !!— Ce n’est même pas la peine d’y penser.
Je m’accroupis pour faire sortir ce liquide en moi. Ce porc rigole de son exploit d’avoir joui deux fois aujourd’hui.
Il se rapproche et frotte son sexe mou contre mon visage.
— Tu as été super petite ! Maintenant casse-toi ! Je dois rentrer chez moi— Je pensais que vous viviez dans ce dépotoir— Ta gueule me dit-il en me giflant avec sa bite
Je perds l’équilibre et je tombe en arrière. L’homme continue de rigoler en me regardant en difficulté.
— Je ne pensais pas que ma bite était si forte pour faire trébucher une femme.
Il me prend par les cheveux et me soulève. Une fois debout, il me doigte avec deux de ses doigts difformes.
— Tu as deux minutes pour te casser ! Sinon je t’enferme dans le bureau et je te baise demain matin. Me dit-il en me doigtant.
Sans aucune hésitation, je prends mes affaires. Je quitte le bureau en courant en essayant de mettre rapidement mon débardeur avant de quitter le magasin.
Je claque violemment la porte. Des passants me regardent avec surprise. Je porte uniquement un débardeur qui m’arrive à peine en dessous du fessier. Mon jeans sous mon bras gauche et le sachet rempli de sex-toys dans l’autre main. Je me sens conne sous le regard des passants. Je me précipite dans une petite allée, je finis de m’habiller, puis je réorganise le sachet pour dissimuler les jouets.
Je viens d’apprendre que mes parents sont propriétaires de deux salons de libertinage et qu’ils sont accros au sexe. Je ne sais plus quoi penser. Je m’accroupis dans la ruelle.
Je prends mon téléphone et je recherche les deux différents salons libertins : le salon Liberté du plaisir et le salon Le romantisme de la luxure.
Je décide d’utilise ma tenue actuelle pour passer inaperçue si je croise mes parents. J’ai plus l’apparence d’une sans-abri que d’une étudiante modèle en vacances. Je marche pendant quinze minutes pour rejoindre le premier salon. Il est fermé, mais il y a du monde dans la partie restauration. Je regarde avec attention, mais mes parents ne sont pas là. Un élément dans le logo attire mon attention. Une colombe blanche au-dessous les mots « Liberté du plaisir ».
C’est l’oiseau préféré de ma mère. Deux dessins en noir et blanc sont encadrés dans le bureau à la maison.
Chacun présente des mots écrits au-dessus de la colombe. L’un est mentionné « liberté » et l’autre « romantisme ».
Je prends mon portable pour consulter le deuxième salon. Il est plus grand que celui-ci. Le logo est identique seul le nom de l’établissement change "Le romantisme de la luxure". Je suis surprise par sa superficie. Je regarde le site internet, je constate qu’il y a une soirée masquée demain soir. Je dois y aller !
J’ouvre mon carnet et j’écris toutes les informations que j’ai apprises sur mes parents. J’ai l’impression d’être une détective. Je termine d’écrire en enregistrant 9 nouvelles verges soit un total de 26 verges sucées. Je rigole de mes exploits ! Je vais bientôt dépasser les trente. Certains cherchent des likes et moi des verges à comptabiliser.
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