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La face cachée de ma cousine

Chapitre 22

La soirée de la luxure

Orgie / Partouze
L’absence de mes parents dans le bungalow n’est pas surprenante. Ils doivent terminer des derniers préparatifs pour la soirée. Je prends une douche et j’essaie différentes tenues.
J’opte pour une robe à dos nu dont la coupe s’arrête à ma cambrure, laissant apercevoir le début de mes fesses. Je mets des chaussures noires à paillettes, idéales pour cette tenue. 
Le reflet dans le miroir me donne l’impression d’être une allumeuse. L’excitation de la soirée commence déjà à se ressentir. Je décide de ne pas porter de sous-vêtements. Je prends mon masque à plume obligatoire pour la soirée. Je quitte le logement en enfilant ma veste pour cacher ma tenue.
J’arrive au salon vers 21 heures. Beaucoup de personnes font déjà la queue devant la porte d’entrée. Je me dirige vers l’accès VIP en prenant un agréable plaisir à ressentir les regards envieux des femmes et l’excitation des hommes. 
— Bonsoir, pourrais-je voir votre ticket d’entrée, me demande l’hôtesse, habillée en tailleur blanc. — Bonsoir, oui tenez. ! Je suis fière de lui tendre ce sésame, que j’avais tant mérité.— Connaissez-vous la soirée ?— Non, c’est la première fois !— Le plus important, c’est de prendre du plaisir, et de rencontrer nos différents membres. Ce bracelet vous donne un accès illimité dans les différentes pièces de l’établissement. Il y a des hôtesses présentes dans les zones réservées aux VIP. Êtes-vous en couple ?— Non, je suis seule— Très bien, vous allez avoir du succès, me dit-elle en me lançant un clin d’œil— Êtes plutôt hétéro, lesbienne ou bi ?— Bi— Très bien !
L’hôtesse me donne un autre bracelet de couleur rose fluorescent informant mon orientation sexuelle, puis m’ouvre la porte. J’entre dans un univers encore inconnu. La lumière est très tamisée. Chaque pièce est décorée de façon différente. Je les visite avec curiosité. L’atmosphère sexuelle est très palpable dans chaque pièce.
Je suis émerveillée par cet environnement. Comment mes parents ont-ils pu créer ce lieu de débauche ? Dans chaque pièce se tiennent des serveurs ou des serveuses nus, immobiles, offrant un plateau garni de flûtes de champagne.Les serveurs sont davantage sollicités, beaucoup de femmes touchent leur sexe en érection au moment de prendre un verre, d’autres le sucent pour le remercier.

C’est différent pour les serveuses. L’absence de chaine autour de la taille signifie qu’elles sont consentantes pour toute soumission et pénétration. En revanche, l’ensemble des femmes acceptent d’être effleurées et caressées par les mains des invités. Cette consigne est très bien respectée. L’hôtesse m’a averti de la tolérance zéro après avoir laissé mon manteau au vestiaire. Les clients peuvent rapidement être blacklistés.
Les femmes ne portant pas de chaîne sont beaucoup demandées. Beaucoup d’hommes s’amusent à les doigter en prenant une flûte de champagne ou d’autres sont à genoux en train de lécher leur sexe en récoltant la cyprine avec leur verre. 
L’atmosphère euphorique rend les femmes très excitées. Elles courent, rient et crient d’excitation. Certaines sont attachées par une laisse autour du cou, tenue par le partenaire homme ou femme. Il est facile de deviner le soumis ou la soumise.
Dans une pièce, il y a cinq hommes qui se font sucer par cinq femmes en fumant leur cigare. Les hommes imposent aux femmes leur mouvement en appliquant une pression sur la tête. 
C’est marrant de voir la synchronisation des cinq têtes à absorber les verges. Elles sont empalées sur un gode en même temps qu’elles s’occupent de ces hommes. Trois autres femmes sont assises sur la table basse devant ces hommes et se masturbent sous leurs regards excités.
De l’autre côté, se trouvent deux femmes, l’une est assise sur la bouche de l’autre. Cette dernière masturbe sa copine qui lui fait un cunnilingus. Son vagin est trempé de désir, je peux voir une abondance de cyprine couler de sa chatte. La femme assise me sourit et m’invite à les rejoindre. Je continue ma visite.
J’entre dans une nouvelle pièce, il y a maintenant quatre hommes qui sont en train de manger sur le corps nu d’une femme. Chacun caresse son sexe, ses seins et sa bouche avec la nourriture avant de la manger. La femme est radieuse de se sentir si désirée. Un homme introduit un aliment dans son sexe et lui donne à manger. L’homme l’embrasse sur sa bouche et lui caresse les cheveux pour la féliciter. Cette scène me fait beaucoup d’effet.
Je suis très excitée par la vue de ces verges en érection. Mon sexe est trempé de désir, ma vulve est dans l’attente d’être pénétré par l’une d’entre elles. Je tourne la tête et je vois une femme à genoux en train de sucer un serveur. Il a beaucoup de mal à tenir son plateau. Cette scène me fait rire. 
Je m’approche de lui, je bois les deux dernières flutes de champagne d’un seul coup, je l’embrasse et je m’accroupis.
Je prends sa bite en la retirant de la bouche de la femme. Je la suce sans tenir compte de son regard furieux.
— Salope !— Je sais, on me l’a souvent dit aujourd’hui ! Lui dis-je, en ouvrant ma bouche remplie de sperme. Il a bon goût !
Cela me fait rire ! À peine, j’ai commencé à le sucer qu’il a joui dans ma bouche.
— Putain, c’est moi qui l’ai sucé en premier. Toi et moi ce n’est pas fini, pétasse ! dit-elle, agacée avant de nous quitter.— Je lui lance un clin d’œil me moquant d’elle délibérément.
Je me redresse.
— Je pense que je viens de me faire une ennemie à cause d’une histoire de bite. Moi, qui pensais venir vous aider.— Merci ! J’avais du mal à tenir le plateau, mais c’est le jeu. Beaucoup de femmes souhaitent nous sucer pour s’amuser à nous voir perdre le plateau des mains. C’est un divertissement pour certaines qui voient leur mari baiser une femme plus jeune.— Ah, je comprends. Vous la connaissez ?— Non, mais je pense que c’est une habituée. Je serais là, pour vous aider si vous avez besoin d’aide. Je garderais un œil sur vous ! Êtes-vous nouvelle ?— Merci ! Oui, je suis nouvelle. Je regarde les différentes pièces par curiosité. Voir ces hommes manger sur le corps nu de cette femme m’a fait des effets. Heureusement, que vous n’étiez pas loin !— Oui, heureusement, dit-il, en rigolant. Sinon c’est un de mes collègues qui aurait profité de ce moment. Les serveurs restent immobiles dans les pièces, seules les serveuses peuvent se déplacer entre les pièces. Il y a encore quatre pièces à voir. Je reste dans cette pièce toute la soirée, ça me ferait plaisir de vous revoir.— Merci, j’y penserai. Votre queue ne m’était pas désagréable. Votre sperme, agréable en bouche.— Nous avions comme consigne de ne plus nous masturber pendant 2 semaines avant cette soirée. Il nous a été imposé de manger énormément de fruits et de légumes pour satisfaire la clientèle.— C’est bon à savoir. La direction pense à tout ! Peut-on aussi aller à l’étage supérieur ?— Oui les managers sont super. En revanche, l’étage supérieur est réservé à la direction. — Ok, merci
Je dois trouver un moyen pour me rendre dans les bureaux. Je reprends ma visite.
J’entre dans une nouvelle salle, il y a maintenant plusieurs femmes sur des tables qui se masturbent sous le regard des hommes assis sur un sofa. Certains boivent du vin en regardant ce spectacle, d’autres insèrent une cuillère dans le sexe de la femme. Celle-ci utilise le mouvement de son bassin pour lui faire manger une glace. Je reste sans voix face à cette scène. Voir une femme nourrir un homme avec une cuillère dans son sexe est très curieux et amusant. L’idée n’est pas banale !
Ils sont tous dans l’euphorie sexuelle. Aucune barrière ou tabou ne peuvent arrêter leurs fantasmes.
Je continue ma visite. Je m’arrête sur la vision d’une queue énorme d’un homme noir. Je m’approche hypnotisée par la grosseur.
De nombreuses femmes sont autour de lui. Elles lui caressent son torse et son membre en érection. La taille doit correspondre à la longueur de mon avant-bras. C’est énorme. Je décide de jouer la femme provocante. Je m’approche de lui, je reste debout et immobile face à lui. Je maintiens son regard. Je laisse glisser ma robe à mes pieds lui offrant ma nudité.
L’homme se rapproche en écartant les femmes qui sont autour de lui. Elles me regardent avec jalousie. Certaines me lancent des regards noirs, prêtes à me tuer pour sucer cette queue.
Leur attitude me fait rire.
Il se rapproche, mon cœur bat de plus en plus fort. Il m’embrasse sans dire un mot. Je le regarde dans les yeux, je m’accroupis pour toucher son énorme sexe, je le caresse, je le sens, je le masturbe et j’ouvre ma bouche pour l’engloutir.
— Cette pétasse me fait chier ! C’est la deuxième fois qu’elle me vole une bite
Elle se rapproche de nous et m’attrape par les cheveux.
— J’espère que cette salope te suce bien !— Elle est excellente, laisse la tranquille, Béa, tu as d’autres queues à sucer ici !— C’est la tienne que je veux, dit-elle, en appuyant de plus en plus sur ma tête, forçant le passage de ce pieu dans ma gorge.
Elle s’accroupit à côté de moi et me chuchote à l’oreille
— J’espère que tu vas t’étouffer avec cette bite, mais sache qu’il va jouir en moi.
Elle m’appuie de plus en plus sur ma tête.
— Arrête Béa, ma bite ne passe pas
Je change de position, afin de l’orienter vers mon œsophage, le plus droit possible dans ma gorge. Son sexe s’enfonce avec une lente progression sans rencontrer d’obstacle. Mon nez finit par toucher son bas-ventre.
— OOh putain, c’est la première fois qu’une femme absorbe la totalité de ma queue. Tu fais de super gorges profondes.— ….— Putain, elle me fait chier cette fille. Fais partager bordel !
Je sors son sexe de ma bouche pour répondre à Béa.
— Désolé, va t’entrainer avec d’autres queues de ton niveau. Laisse-moi m’amuser. Tu risques de te décoapter la mâchoire avec celle-ci.— Elle est tarée cette pétasse !
L’homme rigole en entendant ma réponse.
— Béa, ta gueule ! Va sucer quelqu’un d’autre, sinon, va voir un serveur. Je veux continuer avec cette fille et je veux être seul avec elle.— Je lance un second clin d’œil à Béa.
Ce soir, une de nous deux risques de finir aux urgences. Je dois faire attention.
Il maintient ma tête et réalise des allers-retours avec son membre de plus en plus vite.
— Putain, je vais me vider dans ta bouche— Non, attends, je veux ta jouissance !— Putain Béa, arrête ! Va voir un autre mec !— Cette pétasse m’a volé la jouissance d’un autre homme— Arrête tes conneries, dit-il en rigolant
Il retire son imposant membre de ma bouche.
— J’ai envie de goûter tes deux autres orifices.— Ok, je suis curieuse de voir si ça passe.— Tu me plais toi, dit-il en rigolant.— Mais, en revanche, ta jouissance, c’est moi qui l’ai.— Béa ! Dégage sinon j’appelle un serveur pour te foutre à la porte ! Va sucer une autre queue. Je perds ma patience avec toi !!
Il prend une chaise et je m’assois. Je comprends son intention. Je dirige sa queue vers ma vulve. Mes lèvres s’écartent en accueillant son membre. 
Il me soulève du sol et me fait coulisser sur son membre. Putain, cet homme a une grosse tige, et il est suffisamment musclé pour me soulever. Je fais des allers-retours sur sa queue sans que j’utilise un seul de mes muscles. Je me sens comme un objet fragile entre ses mains. Je gémis de désir. Beaucoup de monde se rapprochent pour nous observer. Béa déçue du spectacle me lance des regards noirs. Je lui lance un sourire radieux pour l’allumer davantage.
Mon vagin s’habitue à l’imposante taille de ce pieu. Elle me possède dans sa totalité. Je la sens simultanément aux deux niveaux de ses extrémités, à la fois à sa base et à son sommet contre mon utérus. La sensation est extrêmement excitante
— Tu es bonne !— Comment t’appelles-tu ?— Lisa— Tu es une sacrée gourmande— Merci, j’aime le sexe !— Je veux te baiser le cul.— Ok— OK ? ta réponse est plus rapide des autres femmes que j’ai rencontrées. Tu ne crains pas que je te démantibule le cul.— Non, je n’y ai pas pensé.— On va le faire en douceur. Je m’allonge et tu t’assois sur ma queue. Lorsque tu es prête, je prends le contrôle et le rythme. Je vais demander du gel au serveur, attends ici.— Non, pas la peine. Je n’ai pas envie que Béa s’aperçoive de cette absence ! Faisons-le sans gel— Ça sera douloureux— Je me suis fait sodomiser ce matin. Je pense que ça doit passer— Tu t’es fait prendre le cul ce matin ! Putain tu me fais rire et bander à la fois ! Je ne t’ai jamais vue ici avant !— Je suis nouvelle, mais je maintiens le suspense sur mon identité.
L’homme rit et s’allonge par terre. Je m’accroupis en dirigeant sa queue vers mon petit trou. Je suis frustrée de constater que son gland a du mal à s’insérer par ce dernier orifice.
— Mets-toi à quatre pattes, on va essayer une autre position.— OK !
J’obéis. Il crache dans mon cul, puis me doigte avec un doigt, deux doigts et termine avec trois doigts. Il m’attrape par les hanches et son dard s’enfonce petit à petit en moi
— Ahhhhh !— Ça va ?— Oui, continue ! Dis-je, en me cambrant au sol. C’est trop bon !— Putain, tu es une fille incroyable !— Merci.
Je sens l’avancement de sa queue. C’est une expérience nouvelle. 
— J’ai envie de changer de position. Je veux m’accroupir sur toi— Ok, mais je ne vais pas tarder à jouir— Ok !
Je m’accroupis sur sa queue. Sa nouvelle introduction est facilitée par mon anus béant face à l’assaut des précédentes pénétrations. Je m’emballe sur la totalité de ce mat, absorbé dans mon colon. Je le sens bouger dans mon ventre. C’est une sensation très excitante.   
Je fais plusieurs allers-retours, je caresse mon ventre, en sentant sa queue durcir dans mon colon. Je suis en transe. Je crie de plaisir. Des jets jaillissent de mon sexe, je perds contrôle de mon corps.
L’homme se retire et me fait reprendre ma position de départ. Il m’enfonce sa verge dans ma gorge et libère sa jouissance.
— OOh putain !
Il maintient ma tête et j’avale sa jouissance en abondance.
L’homme relâche la pression. Je m’écroule par terre. Il s’accroupit et il me prend dans ses bras.
— Tu es une sacrée fille— Merci, dis-je, en caressant sa queue
Je penche ma tête et je frotte mon visage contre son sexe. Elle est douce et je la reprends en bouche.
— Tu as encore envie de la sucer— Oui ! Juste quelques secondes— OK fais-toi plaisir.
Je suce ce gland, je le nettoie des dernières gouttes de sperme. C’est trop bon ! Je me lève et embrasse l’homme
— Merci— Merci à toi
Les spectateurs s’écartent sur mon chemin. Ils ont tous le sourire en me regardant. Je me dirige vers les toilettes. J’ouvre la porte et j’assiste à la baise d’une femme qui se fait prendre par trois hommes. L’ensemble de ses orifices est pris d’assaut par une queue.Je suis surprise de constater qu’il n’y a pas de porte dans les toilettes, je m’assois sur la cuvette et je fais pipi sous le regard de ces hommes. Ils deviennent plus agressifs envers la femme en m’observant uriner. Merde, il n’y a pas de papier
— Si tu cherches du papier, vient te faire lécher la chatte, elle va te nettoyer— Euh, non ça va aller merci— Viens ! Insiste l’homme.
Je m’approche, il retire sa queue de la bouche de la femme
— Nettoie-lui sa chatte
La femme obéit
— Ma queue ne va pas rester à regarder. Occupe-toi d’elle en échange
Je le regarde, change de position pour faire passer la tête de la femme entre mes jambes.  Elle continue de me lécher et je commence à sucer l’homme. La scène est hallucinante, la femme se fait baiser par deux hommes, elle me lèche et je suce la troisième verge.
Je dois sortir d’ici. Je dois obtenir des informations avant de partir d’ici. L’homme me relève, me soulève et m’assoit sur le lavabo pour me pénétrer. C’est reparti pour un tour. J’ai déjà tout donné avec mon précédent partenaire. Je le laisse me prendre passivement.
— As-tu bientôt fini ? demandais-je— Pourquoi es-tu pressée ?— Oui, prends mon cul, si tu veux aller plus vite, mais je dois partir.— Ok, ça marche petite— Putain, mais ton cul a été super utilisé. Il est encore grand ouvert, je m’insère sans aucune résistance !— Sinon, je te suce pour te finir
L’homme ne répond pas et continue de me donner des coups de hanche.
— Tu es trop bonne !— Mets-toi à genoux ! Suce-moi— OK Il finit par jouir sur mes seins. Je me lève et je quitte les toilettes en laissant continuer les deux hommes baiser la femme.
Je ne retrouve plus mes affaires. Je me dirige nue vers l’accès des employés. Je profite de l’occasion qu’un employé ait ouvert la porte pour m’engouffrer dans le couloir. Ma nudité facilite mon accès dans la zone des employés. Tout le monde est nu ! 
Je recherche l’accès me permettant de rejoindre le second étage. J’ouvre une porte et je monte les premiers escaliers. J’ai le cœur qui bat de plus en plus vite. J’ai peur d’être surprise par un employé. J’ouvre une seconde porte et je cours toute nue dans un couloir éteint. Je lis rapidement les différents écriteaux des portes. Je m’arrête face à la porte où il est écrit « Direction ». Je tends l’oreille contre la porte, mais j’entends uniquement mon cœur battre très rapidement. J’essaie de me contrôler, je prends une grande respiration et je tourne la poignée. La porte est ouverte.
J’entre dans la pièce. Je n’allume pas pour ne pas éveiller l’attention. J’utilise mes bras pour me déplacer en détectant les obstacles. Je m’approche du bureau et j’allume une petite veilleuse. 
Trois ordinateurs sont installés sur le bureau, deux laptops et un pc.  Je m’approche des placards, ils étaient remplis de vêtements de femme très sexy, des robes longues, des jupes courtes et des mini-shorts. L’ensemble des vêtements est très élégant. J’ouvre les tiroirs de la commode. Les deux premiers tiroirs sont remplis de sextoys, ils sont tous rangés dans leur empreinte. Le second tiroir regroupe une collection importante de plug anal, une empreinte est vide. Il doit surement être porté actuellement.
Je retourne au bureau, je m’assois sur le fauteuil. La sensation est bizarre, je suis toute nue dans le bureau de mes parents. Ma vulve est en contact avec le cuir du fauteuil où mon père et ma mère s’assoient. J’ouvre les deux ordinateurs. L’accès est protégé par un mot de passe.
Je tape des idées de mots qui me passent par la tête, mais sans aucun résultat. Je décide d’écrire mon prénom. Je suis émue d’avoir mon prénom utilisé comme mot de passe.
Je regarde les fichiers du premier ordinateur. Je constate que les deux ordinateurs partagent des fichiers en commun via un cloud. Je clique dessus. Je lis différents documents, mais je ne comprends rien. Je clique sur leur agenda. Le nom d’un docteur est récurrent : Dr Lovington. Mes parents ont des réunions avec lui régulièrement toutes les semaines ou toutes les deux semaines à Cambridge. J’ai déjà vu ce nom dans les fichiers de la clé USB.
Je retourne sur les fichiers. Je continue à chercher, il y a beaucoup de documents comptables qui sont incompréhensibles. Un fichier en particulier attire mon attention. L’intitulé : « composition chimique ». Est-ce le composant du parfum dont Graig m’a parlé ? Je l’ouvre, je clique sur le premier fichier.  Il est aussi incompréhensible. Il est rempli de formule chimique sans aucune explication.
Des bruits dans le couloir me font sursauter. Je ferme les dossiers, je rabats l’écran de l’ordinateur et j’éteins la veilleuse. Je me précipite pour me cacher dans le placard.
— La soirée se déroule très bien, dit ma mère, en entrant dans la pièce.
Je regarde à travers les persiennes du placard. Ils sont là, s’ils ouvrent ce placard, je suis foutue. Comment expliquer ma nudité ? La peur me fait transpirer et me donne le tournis !
— Oui, tu as raison ! la soirée est une réussite. J’espère que tout se déroulera bien jusqu’à demain 14 heures.— Évidemment ! Dit ma mère, qui s’assoit sur le bureau en écartant les jambes.— Hum, tu me chauffes chérie ?— Peut-être ! J’ai entendu Marco me parler d’une jeune fille qu’il aurait baisée. Il m’a expliqué en détail la scène.— Raconte ! Dit mon père en se rapprochant d’elle.
Il descend son pantalon, il sort sa queue en écoutant les paroles de ma mère.
— Cette fille l’a sucé d’une façon inoubliable. Elle a réussi à engloutir toute sa grosse queue dans sa gorge. 
Il aide ma mère à se redresser et la baise sur le bureau. 
— Humm chérie ! Voir tous ces gens baiser m’excite beaucoup.— Je sais ! Moi aussi !— Cette jeune fille s’est ensuite assise sur sa grosse verge. L’ensemble des invités pouvait voir la progression de sa queue dans son ventre. Tu imagines la scène. C’est une vision qui m’aurait rendu hystérique. Oh chéri ! j’ai envie de te sucer !Elle se met à genoux et le suce ardemment. - Oh chérie ! C’est trop bon !! Penses-tu que cette fille pourrait être Lisa ?
Mon cœur s’emballe en entendant ce prénom.
— Pourquoi ?— Béa, m’a parlé d’une pétasse qui lui aurait volé deux jouissances. Elle m’a parlé d’une Lisa.  L’histoire que tu me racontes me fait penser à Lisa que nous avons rencontrée au sex-shop.  Cette fille a un gros appétit sexuel ! Elle est douée ! — Hmmm, je suis chaude, je ne pourrais jamais me lasser de ta queue, mon chéri !— Et moi de ta bouche !
Mes parents sont dérangés par une personne qui tape à la porte. Ma mère imperturbable, continue de pomper mon père.
— Pardon monsieur et euhh... madame. Vous êtes attendus !— Nous arrivons, disent mon père et ma mère à l’unisson.
C’est incroyable de la voir indifférente à cette interruption. L’employé la regarde à genoux, sa bouche à quelques centimètres de la verge de mon père. Ce ne doit pas être la première fois.
L’employé repart et ma mère reprend sa fellation jusqu’à la jouissance. Elle maintient sa bouche fermée pendant la délivrance du nectar. Elle avale, nettoie le gland et se redresse.
— J’avais besoin de sentir ta bite, chéri. Je suis très excitée ce soir ! Qu’en penses-tu ? Demande-t-elle ?— J’ai regardé les registres, il y a bien une Lisa enregistrée.— Ah bon !— Oui, mais en tant que VIP. Penses-tu qu’elle connaisse quelqu’un qui aurait pu lui donner le ticket d’entrée. — D’accord ? L’as-tu cherchée dans les différents salons !— Oui, mais je ne l’ai pas trouvée !— J’aimerais bien la revoir ! Lors de notre dernière rencontre au sex-shop, j’ai senti une harmonie entre nous ! C’était très agréable et très excitant ! 
Une sorte de complicité !
— Oui, j’ai ressenti la même chose !— En parlant de complicité. As-tu parlé à Caroline aujourd’hui ?— Oui, elle est avec des amis au camping. Elle s’amuse.— Elle grandit vite, en septembre, elle commence l’université. Elle n’a pas eu de copain jusqu’à présent, mais je pense que nous devrions lui parler.— Pourquoi ! Elle est très bien notre fille.— Bien sûr, elle est superbe ! Mais j’aimerais garder un œil sur elle.
Les derniers mots de mon père me surprennent ! Que veut-il dire ?
— Pourquoi ? Il n’y a pas eu de complication lors de ma grossesse ? Demande ma mère— Je n’en ai aucune idée. Elle n’a jamais ramené de garçon à la maison. Elle est très studieuse, mais tu sais à la fac, les jeunes expérimentent beaucoup de choses.
Mais putain ! Ils parlent de quoi, là ?
Ma mère ouvre un mini frigo installé à côté de la commode
— Si notre fille présente des symptômes, ce n’est pas un problème. Nous savons comment faire ! Je ne pense pas important de lui parler de ce sujet, si tout va bien !— Bien sûr, mon amour.
Ma mère prend une fiole et elle boit le contenu.
— Tu as encore besoin de ta dose. Tu viens déjà d’en prendre une à la source. — Je viens de te dire que je suis très excitée !— Viens, nous sommes attendus, dit mon père.
Je sors de ma cachette, quelques minutes après leur départ. Je repense aux dernières paroles de mes parents. Une peur se réveille en moi ? Que me cachent-ils ? 
Je regarde le contenu du frigo. Il s’agit de plusieurs fioles remplies d’un contenu curieux. J’ouvre l’une d’entre elles. Le contenu est très aromatisé, d’une odeur enivrante. Je verse le liquide sur ma main. Son aspect est visqueux, je l’approche de mes lèvres et je le lèche.  C’est du sperme. Le goût me séduit immédiatement. Je décide de boire l’ensemble de la fiole. C’est très bon ! Je consulte de nouveau les documents de l’ordinateur. Certains documents sont devenus compréhensibles. La formule chimique doit sûrement correspondre au contenu de cette fiole. Il y a un secret de famille que je dois découvrir. Pourquoi sont-ils si secrets ? Pourquoi ne veulent-ils pas m’en parler ? Qui est ce docteur mentionné sur les documents ? Je ne trouve rien de plus intéressant. Je ferme les ordinateurs ! Je prends une autre fiole dans le frigo et la bois avant de partir. Putain que c’est bon ce mélange à base de sperme !
Je quitte le bureau, les couloirs sont plongés dans l’obscurité. Je cours vers l’escalier en direction du rez-de-chaussée.  J’ouvre la porte, je me retrouve dans le couloir des employés. Personne ne fait attention à ma présence. Je retourne dans le salon. Je dois retrouver mes vêtements pour quitter ce lieu.
J’accède un autre salon, je vois mon père retirer le plateau d’une serveuse. Elle comprend son intention. Elle se met à genoux et ouvre la bouche. Mon père prend sa tête et lui donne des puissants et profonds mouvements de hanches. Elle reste immobile sous son assaut. Ma mère regarde mon père avec beaucoup d’excitation. Elle l’embrasse, puis caresse la tête de la serveuse. 
Je m’approche discrètement d’eux. Je les entends parler
— Lève-tôt ! Tourne-toi, dit mon père !
La serveuse obéit, se retourne et se cambre. Elle sursaute en sentant l’introduction du gland dans son cul.  Il l’attrape par le cou et la baise de plus en plus fort ! La fille gémit de plaisir ! Voir cette fille soumise par mon père m’excite énormément ! Ma mère reste à leurs côtés, et encourage mon père. Elle embrasse la serveuse en caressant ses seins. Il la retourne, plaque son dos contre le mur et reprend sa sodomie en embrassant sa poitrine avec passion. Putain, il sait s’y prendre !
Je suis trempée, j’ai envie d’être prise de cette manière.
— Jouis dans son cul !— Oh putain chérie, elle en a un joli de cul !— Vous pouvez jouir en moi, monsieur ! J’ai déjà joui lorsque vous m’avez serré le cou ! — Hum, Madame aime les sensations fortes, dit ma mère— Un peu, lui répond la serveuse
Mon père accélère ses mouvements de hanches. Il caresse ses seins, puis la doigte en maintenant le rythme.
— Attends chéri, j’ai une idée. Maintiens ton gland dans son cul.— OK— Ma mère masturbe la bite de mon père en faisant attention de ne pas sortir le gland de l’orifice de la fille.— Oh putain ! C’est trop bon !— Arrête ! Je vais jouir maintenant !
Il entreprend de profonds mouvements et se vide en elle. La serveuse est aux anges.
Ma mère s’accroupit et bouffe la chatte de la fille. Elle avale le sperme coulant depuis son orifice.
Trois hommes se rapprochent de ma mère. Elle s’éloigne de la serveuse et touche leur bite en érection. Mon père va s’asseoir sur une chaise et regarde ma mère. Elle s’accroupit et les suce à tour de rôle en maintenant le regard de mon père.
— Maintenant, baisez-la !
Les trois hommes font un signe d’approbation. Ils commencent par lui baiser la bouche brutalement à tour de rôle.
— Arrêtez ! J’ai dit : baisez-la ! répète mon père.
Ma mère s’écroule à quatre pattes, essoufflée par cet assaut. Les trois hommes s’organisent. Un s’allonge sur le sol pour s’insérer dans son cul, le second pénètre sa chatte et le troisième, sa bouche.
Je perds conscience de la situation. Mes parents sont accros au sexe. Je ne me sens pas bien face à cette scène. Je dois partir. Cette scène est violente ! Deux questions me viennent en tête. Comment ma mère est-elle tombée enceinte de moi ? Suis-je la fille de mon père ?
Je pars au vestiaire. Je récupère mon manteau qui couvre à peine mes fesses. Je quitte le salon. La fraicheur de la nuit me fait du bien.
Je me sens observer. La tête me tourne, je ne comprends pas ce qui se passe. Je perds l’équilibre, mes yeux se ferment.
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