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La face cachée de ma cousine

Chapitre 23

La perte de mémoire

Hétéro
J’ouvre les yeux, je ne vois rien. Je laisse le temps à mes pupilles de s’habituer à l’obscurité. Je suis allongée sur un lit au centre d’une pièce. Je peux à peine bouger mon corps. Chaque petit mouvement est ressenti comme une déchirure musculaire. 
Je porte mes mains sur mon visage. Horreur ! Je ne ressens aucune sensation, ma bouche est anesthésiée. Je sens un objet dur entre mes lèvres, attaché à ma tête à l’aide d’une sangle. Mes doigts suivent leur orientation vers le crochet qui maintient une pression sur ma bouche. Je l’ouvre tant bien que mal et les défaits. J’extrais l’objet de ma bouche. C’est un gode de 20 cm. Une traînée de salive jaillit en sortant cette merde en plastique. Je crache à plusieurs reprises, essayant de faire disparaître ce goût de silicone prédominant sur ma langue. 
Je porte la main vers mon vagin, il est trempé. Je m’introduis mon majeur et du sperme se met à couler entre mes cuisses. Putain, dans quelle merde je me suis encore mise.Je n’arrive plus à me redresser. Mon corps est très affaibli. J’essaie de repenser à ce que j’ai fait. Mais, aucun souvenir me vient. Je ne sais plus le jour que nous sommes ? Quelle heure est-il ? Surtout où je suis ? Je suis pétrifiée ! Je pleure sans pouvoir me contrôler. 
Les heures passent, je reprends le contrôle. Je regarde de nouveau la pièce avec difficulté, essayant de percer l’obscurité. La pièce est spartiate. Les murs semblent vieux, construits en pierres. Une odeur de transpiration sexuelle flotte dans l’air. Putain qu’est-ce que j’ai fait ? Je ressens un courant froid me parcourir le corps. Est-ce la peur qui m’encourage à fuir ou est-ce un simple courant d’air ? Dans les deux cas, il m’est impossible de me lever. Je reste allongée sans savoir quoi faire.  Je me rassure en me disant que le corps trouve de l’énergie en situation de danger. Le fait de ne pas pouvoir me lever, est peut-être un signe rassurant. Peut-être une partie de moi sait que je suis dans un lieu sûr.  Plusieurs tentatives me sont nécessaires pour me redresser. Mes jambes tremblent de fatigue. Je marche en faisant des petits pas pour déverrouiller ma mécanique. Mes jambes perdent leur contrôle, et je me retrouve à quatre pattes.  Je rampe vers un mur de la chambre à la recherche d’une porte. Mes mains se perdent dans l’obscurité, toujours en contact sur les murs en pierres, pour me guider dans l’espoir de trouver une porte.  — Y a-t-il quelqu’un ! Vous m’entendez !!! Crie-je de toutes mes forces Aucun son vient briser le silence glacial de la chambre — Aidez-moi !! Continue-je de crier Je pleure de nouveau sans comprendre ce qui m’arrive. Un liquide chaud et abondant coule le long de mes jambes. Je descends ma main pour comprendre. C’est une grande quantité de sperme qui s’écoule. Le liquide coule sans interruption le long de mes jambes. Le stress m’envahit. J’ai l’impression qu’il est interminable. Je regarde ma main recouverte de ce liquide. La porte à mes narines. Putain comment puis-je avoir autant de sperme en moi ? Sans comprendre la raison, je porte mes doigts en bouche et les suce. Sentir ce liquide en bouche me fit devenir hystérique. Je renouvèle ce geste jusqu’à nettoyer mon sexe complètement comme une chatte faisant sa toilette. 
 Sucer mes doigts me fait revivre certains flashbacks de mes dernières heures. Je me vois en train d’être une tigresse assoiffée, à sucer plusieurs bites les unes après les autres. Ces flashes me font perdre l’équilibre. Je sens un mal de tête se préparer, j’ai l’impression que ma tête va exploser. Je m’évanouis en perdant mes repères aux murs. 
***
 

Je ne sais pas combien de temps, je suis restée allongée par terre. Je me redresse, touche mon visage, il est froid et les marques du sol sont imprimées sur ma peau. Je baigne dans une grande flasque d’eau. Est-ce le sperme qui s’est liquéfié ou ma transpiration ?  Un froid glacial vient fouetter mes orteils. Mon instinct de survie est en alerte. Je me mets à quatre pattes à la recherche d’une ouverture. Je trouve un passage d’air, je me redresse sur les genoux à la recherche d’une poignée. J’accède à une autre pièce légèrement plus éclairée. Il s’agit du hall d’entrée, je marche en direction de la porte principale de la bâtisse. Un froid glacial réveille tous mes sens ! Je tremble de froid et de peur.  La porte n’est pas fermée à clé, elle s’ouvre. Une forêt immense se dresse à perte de vue ! Je prends mon courage pour accepter de faire le tour de la maison à la recherche d’indice. Je suis nue sous cette température glaciale, mes seins et mes tétons se contractent. Une sensation bizarre se fait ressentir. J’ai envie de baiser ! La peur prend le dessus en comprenant que je ne connais pas les horizons.  Comment ai-je pu atterrir dans ce coin perd ?  Il n’y a aucune maison à l’horizon. La maison est isolée de toute vie aux alentours. Je retourne à l’intérieur. Je cherche dans chaque pièce, mais sans lumière, il m’est impossible de trouver quelques choses utiles. Je me précipite vers une chaise lorsque je vois des habits. C’est une veste noire courte qui s’arrête au niveau de mes fesses et des chaussures à talon. Un nouveau souvenir me revient en tête. Je me vois sortir d’un lieu avec beaucoup de musiques, peut-être une boite de nuit.   Ces souvenirs sont très perturbants. Pourquoi ai-je voulu venir ici ? Une fenêtre à l’étage me permet de découvrir un chemin en terre entre la maison et une route principale. Je me sens retrouver des forces. Je descends les escaliers en courant, enveloppée dans mon unique vêtement. 
***
 

Le chemin est plus long que prévu. Je marche sur une route depuis une heure sans vraiment savoir où je vais. Je n’ai croisé qu’un seul panneau de direction, indiquant le plus proche village à 25km. Je dois encore avoir deux bonnes heures de marche. Les larmes se font ressentir lorsque je vois les toitures des maisons du village. Je suis sauvée ! Je rentre dans le premier bar que je rencontre. Toutes les têtes se tournent vers moi. Je ressens une nouvelle fois cette envie de baiser en voyant uniquement des hommes attablés en face de leur bière. La salive s’accentue dans ma bouche me confirmant mon désir de sucer. Ma tenue aguicheuse ne doit pas laisser ces hommes indifférents. Je ressens l’énergie de chaque érection. Je me sens chaude. Je m’approche du barman.
— Bonjour Monsieur, est-ce-que je peux utiliser votre téléphone, s’il-vous-plait ? J’ai perdu mes affaires. — Vous avez de quoi payer— Malheureusement non, j’ai perdu toutes mes affaires— Désolé, il faut payer ou consommer pour utiliser le téléphone-S’il vous plaît, c’est très important. L’homme part voir un autre client sans porter plus d’attention à ma détresse. Quel connard ! Je m’installe à une table pour reprendre le contrôle de mes pensées. J’ai faim et je ne sais pas où je suis !   J’adresse un sourire au barman venant dans ma direction. J’espère qu’il peut m’aider. 
— Vous devez consommer pour rester ici, sinon il faut partir.
Il est sérieux ! Je suis en plein désespoir. Je suis nue sous cette veste cachant à peine mon intimité. Ce gars n’a pas d’empathie. Je sens des larmes envahir mes yeux.
— Est-ce qu’il y a un commissariat dans la ville ?— Non, pas ici, le prochain est à 60 km d’ici. Nous sommes un petit village. Nous nous connaissons tous ici. Il n’y a pas besoin de police. Vous êtes la première étrangère à venir ici depuis 2 mois. 
Je ne trouve plus mes mots.  
— 2 mois !— Oui Madame, bon ! Vous voulez quoi ?— Je n’ai pas d’argent Il me sourit en me regardant. Je pense que nous pouvons, nous arranger.
— Suivez-moi Madame, je vous amène dans mon bureau pour téléphoner— Merci Tous les clients nous regardent avec un petit sourire. Ils me dévorent du regard. Le barman m’emmène dans un bureau miteux. Il y a une table et une chaise cassée. Le parquet est faiblement perceptible à travers la couche épaisse de poussière. Personne n’a nettoyé ce lieu depuis très longtemps.
— Voici le téléphone, mais comme j’ai dit tout à l’heure. Il faut payer— Mais vous m’avez dit de vous suivre dans votre bureau. Je vous ai dit plusieurs fois que je n’ai pas d’argent.— Je sais me dit-il,en caressant mon visage.  Son doigt vient frôler mes lèvres. Je comprends ce que veut ce porc. Je parle avant même de réfléchir aux conséquences de mes mots. — Je vous suce pour utiliser le téléphone ?— Tu as très bien compris mon intention. Tu ne dois pas être timide pour te balader à poil sous ta veste.Il retire ma veste d’un seul geste. Je suis nue sous son regard pervers.— A genoux et suce-moi si tu veux utiliser le téléphone.  L’homme s’assoit sur une chaise en baissant son pantalon et son caleçon. Sa verge est molle.  Je m’approche, je me mets à genoux et je commence à le masturber. Mon regard se porte sur cette verge devenir raide sous les impulsions de ma main. Son gland commence à rougir. Ma bouche se met en appétit en voyant ce sexe gonfler. Je me sens soumise entre ses jambes, je ne ressens pas la peur mais l’excitation de goûter cette queue. Le contact avec sa bite me fait revivre des souvenirs. Je suis nue (encore une fois) à genoux, en train de sucer un homme assis sur un canapé. J’engloutis la totalité de sa verge espérant me rappeler quelques choses d’autres.— Oh putain, tu sais sucer toi ? D’où tu viens Il a raison ! Je comprends que ce n’est pas ma première fellation. Ma bouche a déjà accueilli des verges. Aucun autre souvenir me revient en tête. Je ne connais toujours pas la raison de ma présence ici. La frustration d’être impuissante face cette situation m’énerve. J’accélère le mouvement de ma tête pour sucer cette bite comme une punition. — Ne diminue pas ton rythme ! Tu as une excellente bouche ! Continue de me sucer aussi vite ! C’est trop bon !— Je commence à fatiguer ! J’ai besoin de manger !— Ta bouche n’a pas d’endurance, me dit-il en me prenant ma tête.  Il m’enfonce son dard dans ma gorge. Ce connard se fait plaisir en me baisant la bouche. Je suis surprise de pouvoir toucher son ventre avec le bout de mon nez. Suis-je adepte de cette pratique ? Sucer une queue me plait ! Je déduis que j’ai déjà pratiqué la gorge profonde à de nombreuses reprises. 
Un nouveau souvenir m’apparait. Je suis allongée sur une table d’opération, les membres sont attachés, un tuyau est enfoncé dans la bouche où coule un liquide blanchâtre. Une perfusion à chaque bras.  Il y a des hommes en blouse blanche autour de moi qui contrôlent les indicateurs affichés sur un tableau de contrôle Sa pression sur ma tête me faire revenir à la réalité. Il me bloque la tête avec sa verge dans la gorge, pour éjaculer en moi. Un liquide chaud coule le long de mon œsophage. Un nouveau flash apparait. Je suis en train d’avaler le sperme d’un jeune homme à plusieurs reprises dans la même journée. J’ai l’impression de me nourrir au sperme.  Le barman retire sa verge.
— Tu sais sucer et tu sais avaler. Tu n’as pas eu de mouvements de dégoût quand je me suis vidé en toi. Il a encore raison. J’ai déjà avalé du sperme à plusieurs fois ! Un de mes flashs venait de me le confirmer ! Sentir une verge en érection dans ma bouche m’excite. Putain ! Mais qui je suis ?  Je ne lui réponds pas et le laisse retourner à ses occupations.  Je m’assois sur la chaise du bureau. Mon regard s’arrête sur la première page d’un journal. Aujourd’hui, c’est jeudi 25 novembre 2020. Putain ce ne sont pas les dernières heures dont je ne me rappelle plus, mais les trois dernières semaines. Mon dernier souvenir concerne mes vacances dans un camping en août. Est-ce que j’étais seule ? Qu’est-ce qui m’arrive. Je ne comprends pas ! Je cherche sur le bureau un autre journal pour confirmer la date. Je trouve seulement des magazines pornos.  Je pleure de nouveau sans comprendre ce qui m’arrive. Je prends le téléphone, mais aucun numéro me vient en tête. Ce n’est pas possible ! Je n’ai pas tout oublié ! Je suis tétanisée par la situation. Je décide d’appeler la police.  Je compose le 17. Aucune tonalité, rien !! Le stress parcourt tout mon corps ! Putain, où suis-je ? Si ce numéro ne fonctionne pas, cela veut dire qu’une seule chose. Je ne suis pas en France. Je reprends le journal, je le relis de nouveau sans comprendre. Comment je peux comprendre ce que je lis? Je ne parle normalement qu’une seule langue, le français, mais maintenant je comprends l’anglais. Le nom de deux villes m’interpelle : London et Manchester. Je décompose chaque lettre des mots que je lis. Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je parle normalement une nouvelle langue. Je suis devenu bilingue en moins de 3 semaines. Ce n’est pas possible ? C’est un cauchemar. J’appelle le Barman.
— Qu’est-ce que tu veux ? me dit-il en anglais, maintenant que je porte plus attention à la prononciation des mots— J’ai besoin de savoir comment s’appelle cette ville ?— Pardon, tu es bizarre, d’où viens-tu ? — Je viens de France— Tu parles très bien l’anglais pour une Française. As-tu appelé ton ami ?— Non, je n’ai pas réussi. Il répond par un rire
— Avez-vous internet ?— Regarde autour de toi. Nous sommes dans un village dans la montagne Pennines. Nous sommes contre la technologie. Le seul endroit pour capter internet est dans une station-service isolée à 5 km d’ici. Tu vas te plaire ici, ta bouche va faire des heureux. Ici, le village s’appelle SexityLand ! Bienvenue chez nous !
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