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La factrice a tout vu

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je suis marié depuis quatorze ans, ma vie sexuelle avec ma femme évolue, mais cette évolution est trop lente pour ma libido plutôt envahissante. Alors j’ai toujours recours à la masturbation intensive. Je me refuse à tromper mon épouse, je l’aime comme un fou. Il m’arrive fréquemment de me goder. Même si je suis un hétéro confirmé, j’y prends beaucoup de plaisir.
Depuis quelque temps je me rends sur un site de rencontre et oriente toutes mes discussions vers l’inversion des rôles. Autant certaines femmes me zappent instantanément d’autres sont très sensibles et les discussions deviennent très très chaudes. Et c’est avec plaisir que parfois je m’exhibe avec un gode pour un plaisir partagé...
Il y a quelques mois j’ai fait la connaissance de Sonia une très belle quinquagénaire qui habite l’autre bout de la France. Un corps superbe et voix grave et éraillée que je trouve très sexy. Nous avons vite pris l’habitude de petite récréation cochonne.

Après quelques semaines, elle me disait souvent qu’elle aimerait me voir baisé par un beau black à défaut de ne pouvoir me baiser avec un gros gode ceinture. J’avoue que ces idées exprimées ne cessaient de faire monter mon excitation. Parfois elle me demandait d’enfiler un string appartenant à ma femme, cela m’excitait beaucoup. Et puis parfois je lui faisais des surprises : je portais sous mon jogging des bas ou même de plus en plus souvent une guêpière blanche avec des bas assortis. Je me sentais très cochonne et sans trop de limites une fois habillé ainsi.

Elle me disait souvent qu’elle aimait mon corps, que je l’excitais. Elle voulait me voir souvent. Un jour elle m’a demandé d’acheter un gros gode noir, me disant que j’allais adorer. Je lui ai donc proposé de le choisir sur internet pour que je puisse l’acheter selon ses souhaits. En cinq minutes, elle m’envoyait un lien vers une page ou je découvrais un gros gode noir, long et épais, très veiné avec un gland très marqué de couleur différente. Il me plaisait beaucoup, mais il y avait en achat associé proposé une ceinture dans laquelle on pouvait glisser le gode qui restait bloqué grâce a la ventouse à la base. "Si cela ne fait pas trop cher, achète les deux s’il te plait !"

En moins de deux minutes l’achat des deux était validé, sans lui dire prétextant que cela faisait comme même un budget et que ma femme pourrait sûrement constater mon achat, sachant que c’est elle qui fait les comptes.

Quelques jours après je recevais mon colis. Très impatient dès que j’en ai eu l’occasion je me suis habillé comme à mon habitude avant de me connecter. Très vite j’ai retrouvé ma petite Sonia, qui me disait que je lui avais manqué.

Je me suis rapidement mis en tenue, et très vite je lui ai montré le gode qu’elle m’avait choisi. J’ai senti son timbre de voix changer. Elle était très excitée et m’a demandé de le sucer, ce qu’elle ne fait pas d’habitude. Je me suis exécuté. Il était vraiment gros et long par rapport à moi ou même par rapport à ce que j’utilisais d’habitude. Très vite j’ai fixé à sa demande le gode sur le bureau et lui tournant le dos elle avait une vue imprenable sur la pénétration que j’adorais d’ailleurs.

Habitant une maison isolée, ma femme bloquée au bureau et les enfants à l’école ou chez nounou, je n’avais aucune crainte et suivant ses instructions, je me godais souvent dans plein de position. Elle aimait constater l’ouverture de mon anus après nos séances et aussi me faire goûter mon sperme (que je n’aime pas trop mais que je le faisais avec plaisir pour la satisfaire). Elle me faisait aussi jouir sur le gode avant que je me l’enfonce à nouveau pour que je sente mon jus dans mon "cul de cochonne". J’adorais l’entendre jouir en me regardant.

Un jour pendant que je suçais le gode face à la caméra, elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes à même le sol, le cul cambré et de sucer encore plus fort. J’avais le cul dans son écrin de dentelle tendu vers le ciel et je m’efforçais d’engloutir ce gros membre le plus possible. Elle me traitait de belle salope, chose qu’elle faisait d’habitude mais plus tard dans nos échanges, avec l’excitation. Cela m’a rendu fou et elle l’avait remarqué.
Elle m’a alors dit "crache bien dessus parce qu’aujourd’hui je veux que tu te le plantes dans ton cul de salope en une fois sans lubrifiant" que j’utilisais abondamment en temps normal." Là maintenant je veux que tu restes comme ça face à la caméra, je veux pour une fois voir ton visage quand cette grosse queue noire va t’enculer bien à fond !" Elle n’était normalement pas aussi directive ni vulgaire, mais cela faisait malgré tout monter ma tension d’un cran.
" Aller regarde bien ta cam en face et encule-toi en une fois jusqu’à la garde comme une jolie petite pute que tu es ! Tu n’es même pas une pute : je te baise gratuitement" Je n’en pouvais plus et je m’exécutais sans broncher. J’y parvenais sans soucis malgré un peu de douleur.
" Tu m’excites cochon, baise toi fort, de grands allers-retours". La position n’était pas des plus pratiques mais la chaleur dans mon ventre me donner toute la force et l’envie nécessaire.
" Enfonce le à fond puis ressors-le vite, je veux entendre ton cul le sucer" Je le faisais aussitôt et mon cul grand ouvert faisait le bruit d’une chatte ouverte et trempée, cela m’excitait encore plus je n’en pouvais plus...
"Tu es ma traînée, sors ta langue pour me bouffer la chatte et imagine que deux ou trois beaux blacks te baisent à tour de rôle ! Et surtout dis-moi quand tu es sur le point jouir..."
La voix étranglée par le plaisir je lui ai dit que je venais vite...
"Alors met toi sur le dos et pose tes pieds sur le sol à côté de ta tête ainsi je verrai ce gros membre te défoncer le cul et tu vas pouvoir recevoir le jus des autres mecs sur ta petite gueule de chienne et laisse la grosse queue dans ton cul pour changer de position !"
En changeant de position, par ma fenêtre, j’ai eu, à un moment, l’impression de voir une silhouette ; impossible, car j’ai un Saint-Bernard de80 kg qui monte la garde dans la cour, la maison est isolée et je n’attends personne.
J’ai donc continué à exaucer les souhaits de ma maîtresse virtuelle. Sur le dos je me défonçais le cul avec entrain en me branlant. Mes yeux se fermaient le plaisir montant.
"Garde les yeux ouverts et regarde-moi ! Je veux que tu vises ta bouche et que tu boives ton foutre pendant que cette grosse bite te finit !"
Elle n’utilisait jamais le mot bite et, je ne sais pas pourquoi mais cela m’a fait jouir instantanément. Les deux premiers jets ont trouvé ma langue et mon palais, le troisième est venu s’écraser sur ma joue. Je ne pus tenir la position plus longtemps je me suis écroulé sur le côté.Ma correspondante ajoutait à ma satisfaction en me félicitant de l’entrain exprimé : " Et bien bravo ma petite salope ! On peut dire que tu m’as bien fait jouir. Tu aimes t’exhiber comme une petite cochonne avec les sous-vêtements de ta femme, hein"J’ai ouvert la bouche pleine de sperme, puis j’ai avalé pour répondre un petit oui, le gros engin toujours planté en moi, en chien de fusil à même le carrelage froid.Tout à coup, on a frappé à la porte...
Surpris j’ai regardé la cam, sans trop savoir quoi faire, quand Sonia en riant aux éclats a crié dans son micro " Entrez c’est ouvert !"
J’ai gardé mes bas. Arracher le gode de mon cul avant de le jeter sous le bureau. Enfilé un pantalon de jogging par-dessus. Passé un vieux T-shirt. Puis je suis allé ouvrir : C’était une jeune factrice, une remplaçante.
Elle a bafouillé qu’elle s’était permis d’entrer, vu que la barrière n’était pas fermée et qu’elle ne voyait pas le chien annoncé par le panneau. Elle avait les joues rouges et le regard fuyant. Elle baissait les yeux, et n’a pu s’empêcher de sursauter en voyant mes pieds gainés de blanc.

Situation troublante, de meRetrouver ainsi devant cette jeune factrice d’à peine 25 ans, avec mon anus certes caché mais encore palpitant. J’ai signé, pris le recommandé, et elle est partie en vitesse. Amusé, je me disais : « Si elle savait...?
Je suis revenu au PC, ma complice avait quitté la conversation en me laissant pour seul message : « Cette salope te mate depuis un bon quart d’heure par la fenêtre du fond... LOL !

Longtemps, je suis resté honteux de cette expérience, mais j’y repense souvent. Et aujourd’hui, sachez, Madame la factrice, que, si vous le souhaitez, je vous prête un gode-ceinture et je m’offre à vous ! Si vous êtes lectrice, vous vous reconnaîtrez !
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