Note de l’auteur : Ce texte est le début d’une série de petites histoires que je compte écrire, suivant mes fantasmes, envies et autres joies. J’en écrirai peut-être un par jour, peut-être toutes les semaines, l’avenir nous le dira. J’essayerai juste de garder un minimum de qualité pour le plaisir de vos yeux. Je ne souhaite pas faire un scénario élaboré comme je le fais dans Inceste Dévorante (Et hop le coup de pub) mais plutôt des histoires légères, sans prise de tête, ils couchent ensemble et puis c’est tout. Il y a quand même une très faible histoire que je rappellerai au début de chaque récit. Voila voila, bonne lecture à tous :) Un jeune lycéen s’est vu offrir des pouvoirs par un esprit ancien. Désormais il peut figer, une fois par jour et uniquement pendant une heure, le temps. Il est une faille dans ce mécanisme et résiste à cette heure gelée. Il compte bien profiter un maximum de son pouvoir pour assouvir ses fantasmes. Chapitre 1, Morgane. Le temps se figea autour de lui. Bloquées dans leur mouvement ses proies semblaient… Sans défense. Il poussa Antoine, doucement, il ne voulait pas le déplacer. Debout dans une salle immobile il regarda autour de lui. Laquelle allait-il choisir ? Il ne fallait pas commencer trop fort, prendre un plat frais mais pas trop exquis, autant garder le plaisir. Son dévolu se jeta sur Morgane. Il dégagea lentement la chaise d’Alice et les tables alentours. La jeune fille était immobile. Il la toucha, cela semblait si irréaliste… Il caressa ses cheveux distraitement, ils étaient doux, exhalant un parfum de menthe. Il la regarda un moment, ses complexes étaient brisés, il pouvait enfin la regarder dans les yeux, sans avoir honte ou peur. Il posa un doigt sur les lèvres de la petite blonde avant d’y joindre les siennes. Le contact entre les deux langues était chaud, agréable. De nouveau il se sépara d’elle. Il la prit par les bras et la releva se mettant à la mater, à apprécier du regard sa tenue. Un pull troué, laissant transparaitre quelques faibles éclats de soutien-gorge accompagné d’une jupe noire et de collants. Noirs également, comme il les aimait. Il la reposa sur la chaise, pas de sexe pour cette fois, pas maintenant et pas avec elle, il allait d’abord jouer. Il changea toute la disposition de la classe, mimant le professeur et installant Morgane devant son bureau. Alors folie et plaisir se mêlèrent, comme un enfant jouant avec des poupées il inventa un scénario… Il lisait son cours, seul dans le silence, jetant des coups d’œil à la salle. Soudain il se retourna vers une Morgane figée, dans une position telle qu’on aurait dit qu’elle discutait. — Morgane ! Je t’ennuie peut-être ? S’imaginant les réponses, il se lança dans un monologue, reluquant à chaque instant son « élève ». — Viens au tableau tiens, ça t’apprendra. La prenant par le bras il la traina vers le tableau en question avant de lui glisser une craie entre ses doigts paralysés. — Allez, fait moi l’exercice si tu es si intelligente. Alors ? On n’y arrive pas ? Incapable ! Il se leva dans une colère feinte et prit le bout de craie, tout en glissant sa main sur les fesses d’Morgane. Il caressa le cul, appréciant le tissu de sa paume. Il se colla à elle, frottant son corps à celui de la jeune fille. Celle-ci, inanimée, était écrasée contre le tableau, tachant son pull de craie rouge. Il la retourna et se mit à pétrir ses seins, feignant essuyer la couleur de son pull. Lassé il reposa son « jouet » sur sa chaise. Un doute le parcourra, que pouvait-il encore faire ? Et s’il assouvissait son rêve de voyeurisme ? Il disposa Morgane dans plusieurs positions : Assise sur sa chaise, les jambes assez écartées pour qu’il puisse apprécier sa culotte blanche ; Affalée sur sa table de façon à ce que ces seins lourds se dévoilent au moindre coup d’œil ; Penchée, comme écrivant au bas du tableau, afin qu’il puisse admirer ses fesses moulées par son étroite jupe. Il décida de finir en beauté, la fin du temps approchait. Il déshabilla Morgane, prit un peu de recul et l’admira. Un corps finalement plus fin qu’il l’eut cru, bien qu’assez carrée se dévoila à lui. De gros seins, de mignons tétons, à croquer, ce qu’il s’empressa de faire tout en laissant glisser son regard vers le bas. Un fin duvet blond couvrait une partie de sa chatte. Il y passa la main, caressant le poil ras, avant de toucher les lèvres humides de Morgane. Un filet de mouille resta collé à ses doigts, intéressant. En ayant fini avec le corps de sa victime et ne souhaitant ne pas aller plus loin pour le moment, il la rhabilla et remis la classe dans sa position initiale. Le temps dégela, les discutions reprirent, les cris du prof de même. Seule celle de Morgane et Alice s’arrêta. Du coin de l’œil il les observait, chuchotant entre elles, la petite blonde l’air complètement perdue. Celle-ci ne cessait de montrer ses seins et sa jupe du doigt à son amie. Un grand sourire au visage, Il admirait encore les seins de Morgane, cachés en partie par son pull. Enfin lorsque la sonnerie retentit, Il caressa une dernière fois les sous-vêtements de la jeune fille dans a poche, avant de se diriger vers la sortie. D’autres surprises attendaient Morgane…
