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Se faire enviander par huit jeunots

Chapitre unique

Gay
Vendredi dernier, n’ayant rien sur mon programme, je me décidai, vers 22 heures, à aller rejoindre des amis dans un bar de Montréal. Ce qui devait arriver arriva. Je ne sais pas pourquoi, mais on dirait que j’attire les situations bizarres.
Adorant danser, j’étais donc sur la piste de danse. Comme la plupart des mecs s’y trouvant, et comme il y avait une chaleur atroce, j’étais donc torse nu et, je dois l’avouer, mon bermuda tombant sur mes hanches donnait sûrement l’impression que j’étais en chaleur. Ne portant aucun sous-vêtement, on pouvait facilement entrevoir le début de mes fesses. Je sais, je suis une salope, mais je le vis très bien. J’adore qu’on me regarde et surtout, je me plais à provoquer les mecs autour de moi. Lorsque je perçois un regard qui glisse sur mon corps, je me dis que toutes ces années de musculation m’ont bien servi.
Je dansais donc en me trémoussant (ça fait partie des caractéristiques d’une salope) lorsque je sentis une pression contre mon cul. Je ne réagis point, ce genre de chose m’arrivant régulièrement. Alors, comme toujours, j’y pris plaisir et je savais fort bien que le mec prenait son pied, sentant parfaitement son sexe dur contre mon fessier. Je ne me retournai pas, cependant j’accélérai le mouvement de mon bassin. Il voulait que je l’excite, c’est ce que je fis. C’est lorsqu’il glissa son doigt le long de mes reins, atteignant le début de mon cul, que je demeurai surpris. Il ne se contentait plus de se frotter contre moi là, il tentait d’introduire son doigt sous mon bermuda. Sans réagir, sans rien dire, je quittai alors la piste de danse, sans même me retourner pour savoir qui était ce mec. De toute façon, j’avais envie d’une bouteille d’eau et d’une cigarette.
J’achetai donc cette bouteille d’eau et sortis à l’extérieur pour y griller ma cigarette. Il y a avait déjà quelques mecs, dont certains que je saluai en passant. J’allai m’appuyer contre un mur, seul, profitant de la fraîcheur de la soirée. Ce ne prit que quelques instants qu’un jeune vint se plaquer près de moi. Il ne dit rien, se contentant de fixer je ne savais trop quoi. Il devait avoir vingt ans, si ce n’était pas dix-huit. Il avait un joli visage, mais comme il portait des vêtements amples, je ne pouvais deviner quel genre de corps s’y cachait. Et soudain, je sentis sa main sur mon cul. Dieu du ciel, il pouvait être mon fils. Se cherchait-il un daddy ou quoi ? Au début, je ne réagis point, feignant de ne pas m’en rendre compte. C’est toujours flatteur d’être la proie d’un jeune mec, mais bon, il fallait tout de même que je sache réellement ce dont il désirait. Je tournai donc le visage pour le fixer et il me sourit, poursuivant toujours son tripotage.
— Désolé mon petit, mais je n’en suis pas encore à payer pour du sexe, lui dis-je assez sèchement. — Ça tombe bien, je n’en suis pas encore à faire la pute, me répondit-il du tac au tac. J’imagine que si tu es vêtu de la sorte, c’est que tu aimes plaire et bien voilà, c’est fait. Tu ne semblais pas détester cela tout à l’heure lorsque je me frottais contre toi sur la piste de danse.— C’était donc toi. Tu es audacieux pour un jeune. Tu sais que j’aurais pu me retourner et te flanquer une baffe. — Jamais voyons, me dit-il avec son large sourire qui démontrait parfaitement toute son assurance. Je t’ai déjà vu à l’œuvre, tu sais. Serais-tu capable de me dire le nombre de mecs qui se sont collés contre toi sur la piste de danse ? Tu es de ce genre qui apprécie qu’on le mate et tu fais tout pour y arriver. Avec le body que tu as, tu sais parfaitement très bien qu’il n’y pas grand mecs ici qui ne te désirent pas. Ne sachant quoi riposter, je gardai le silence tout en le fixant pour tenter de le déstabiliser, mais je vis très vite que je n’y parviendrais pas. Alors, on va chez moi ou chez toi ?— Pardon ? Et qu’est-ce qui te dit que tu me plais ? Sans doute te dis-tu qu’un vieux comme moi doit se sentir flatté qu’un jeune s’intéresse à lui ?— Pas du tout, et qui a dit que tu étais vieux ? Pas moi. Alors, est-ce que je te plais assez pour que tu daignes bien vouloir baiser avec moi ? Tu sais, si tu veux voir ma queue avant, aucun problème, dit-il en commençant à ouvrir son pantalon ample.— Tu es malade ou quoi ? dis-je à haute voix en me déplaçant pour le cacher face aux autres mecs. Je me fiche bien de la grosseur de ta queue.— Alors, qu’est-ce qui te tracasse ?— Tu as quel âge ?— Franchement. J’ai l’âge de voter si c’est ce que tu veux savoir. Alors, tu viens chez moi ?
Je soupirai légèrement, ne sachant réellement ce que je voulais jusqu’à ce qu’il me prenne la main pour m’entraîner sur le trottoir et moi, je le laissai faire, le suivant derrière en me disant qu’après tout, ce ne serait qu’une baise parmi tant d’autres.
— Tu as une voiture ou on prend le métro ?— Ma voiture est stationnée tout près. Tu demeures où?— Près du stade olympique.
Nous nous rendîmes donc à la voiture et aussitôt assis, il ouvrit son pantalon pour en sortir une queue énorme, me demandant si elle ferait l’affaire. Je lui souris, m’imaginant déjà la sentir entre mes fesses. Je démarrai pour rouler quelques minutes, me stationnant à l’endroit désigné par le jeune. Nous débarquâmes et je le suivis, gravissant quatre escaliers avant d’arriver à son appartement. Lorsqu’il ouvrit la porte, je fus bouche bée d’y voir sept jeunes qui jouaient à des jeux vidéo. Ils avaient à peu près tous le même âge et il s’empressa de m’expliquer qu’ils étaient ses colocs. L’appartement avait beau être très grand, ils vivaient huit dans un six pièces et demie. Je compris alors qu’il était étudiant.
— Ne t’en fais pas pour eux, ils sont habitués et j’ai ma propre chambre. On ne baisera pas dans le salon, me dit-il pour me rassurer en m’entraînant au bout du couloir où j’y trouvai une minuscule pièce avec, comme mobilier, un matelas par terre et une petite table sur laquelle on y trouvait une lampe qu’il alluma aussitôt.
Il ferma la porte après mon passage et se mit aussitôt à se déshabiller et je fus agréablement surpris d’y voir un petit body musclé. Ce genre de corps de nageur. Et en plus, il y avait cette queue énorme qui allait me servir.
— Tu n’enlèves pas ton bermuda ? Allez, depuis le temps que j’attends de te voir nu.
Je m’exécutai, n’oubliant pas qu’il y avait tous ces jeunes dans le salon. J’avais beau être une salope, ces présences me dérangeaient quelque peu. Le jeune se mit à marcher autour de moi en me scrutant, comme s’il étudiait la marchandise.
— Wow... Tu as un body d’enfer, dit-il en me caressant. Tous ces muscles et ce cul si dur. Je sais que je vais avoir un plaisir fou à te baiser. Et il me poussa pour que je tombe sur le matelas avant de m’y rejoindre, plaquant tout son petit corps contre le mien avant de joindre ses lèvres contre les miennes. Cette peau si lisse, si jeune sur laquelle je glissais mes mains m’excitait tellement que j’en oubliais totalement les colocs jusqu’à...
J’étais étendu sur le dos pendant qu’il me suçait lorsque je vis que la porte s’entrouvrait, laissant apparaître des visages sur lesquels je pouvais facilement percevoir la joie de nous regarder. Ma première réaction fut d’en aviser le jeune, mais je me rétractai ; en fin de compte, s’ils voulaient nous regarder, je n’avais rien contre. Ce ne serait pas la première fois que je me donnerais en spectacle. Et le jeune me mangeait le moineau avec tant de fougue que j’aurais été fou de l’en empêcher juste parce que sept autres mecs étaient entrés dans la chambre. Ils étaient tous là, leurs regards braqués sur nous, et ils se tripotaient la queue par-dessus leur jeans. C’est là que je compris que cette baise ne se passerait pas seulement entre le jeune et moi, mais bien que je me retrouvais dans une orgie future, surtout lorsque l’un d’eux sortit sa bite de son jeans et se plaça de sorte à me la rentrer bien à fond dans la bouche. J’étais fait...
Je me devais maintenant de jouer avec ces huit étudiants, car de toute façon, que pouvais-je y faire ? Ils étaient plus nombreux que moi. En l’espace de quelques secondes, ils se retrouvèrent tous nus et mon jeune continuait à me sucer la bite comme si tout était normal. Eh oui, tout était normal, car c’était dans la normalité des choses que le mec qu’on amenait à l’appartement soit offert à tous. Il savait fort bien que ses colocs seraient là, attendant qu’il revienne avec de la viande à se mettre sous la dent. Déjà, certains se faisaient fourrer, l’un debout, appuyé contre la porte et un autre, à quatre pattes sur le matelas, près de moi qui avais toujours cette bonne queue dans la bouche. C’est alors que l’un d’eux s’approcha de mon visage et me chuchota :
— Je suis certain qu’avec le cul que tu as, tu espères qu’on y passera tous.
Et voilà, le menu de la soirée m’avait été annoncé. Huit jeunes espéraient me péter la rondelle et, grande chance pour eux, je n’allais pas refuser. C’était plutôt amusant de penser que toute cette jeunesse s’excitait juste à la pensée de fourrer un vieux comme moi, et comme mon cul est un habitacle naturel pour des queues bien en forme, je me demandais pourquoi personne ne commençait. Ils attendaient quoi ? Mon troufignon était tout mouillé d’excitation. Et ce jeune qui me suçait sans arrêt ne pouvait-il pas me fourrer son énorme machin entre les fesses, car ayant jeté un œil à toutes les bites, c’est lui qui était agrémenté de la plus grosse. Les autres n’étaient pas mal non plus, mais elles ressemblaient à beaucoup d’autres. Soudain, je me sentis tiré, comme pour m’inciter à me lever. On changeait de pièce. Tous, on marcha jusqu’à la cuisine, m’incitant à m’agenouiller sur la table tandis que les autres se postèrent tous autour, de sorte à ce que je sois le point central.
On m’écarta les cuisses et l’un d’eux se mit à me lécher le cul avidement de sa chaude langue. J’entendais des bruits, comme si on fouillait dans le réfrigérateur, et je pus constater sans trop attendre qu’effectivement, l’un d’eux y sortait des choses. Soudain, on plaqua quelque chose de froid contre ma rosette. On tentait de percer ma rondelle de cette chose froide que je savais être un légume, comme une carotte selon la grosseur et en quelques coups, cette chose s’introduisit dans mon cul que l’un des jeunes se plaisait à lui faire faire du va-et-vient. C’est alors que je me retrouvai avec une queue au visage, remplie de crème fouettée et de caramel. Par chance, je ne suis pas diabétique, car j’ouvris grandement les lèvres pour savourer cette bite sucrée. Et l’on délaissa la carotte pour un concombre anglais, selon la longueur qui me fourrait bien à fond jusqu’aux entrailles.
J’entendais rire les jeunes qui se plaisaient à jouer, tandis que moi, je profitais d’eux sans qu’ils le sachent réellement. Ils se croyaient bien forts, mais au fond, c’était moi qui avais le plus de plaisir. Ils étaient tous là, pour moi. Que pouvais-je demander de plus ? Ils pouvaient bien m’introduire ce qu’ils désiraient et garnir leurs queues de crème et de caramel, tant et aussi longtemps qu’ils s’occupaient de moi. Et ils m’incitèrent à me coucher sur le dos, et deux d’entre eux prirent mes jambes qu’ils soulevèrent pour mettre bien à vue mon trou de balle. Maintenant, je pouvais voir tout ce qui se passait, même la batte de baseball que l’un d’eux tenait.
— On va maintenant voir ce que tu es capable de prendre, dit le mec à la batte en me la plaquant avant de pousser cependant, à leur grande surprise, elle entra sans difficulté. Wowww. — Tu es vraiment une vraie salope, entendis-je à travers les rires.— Vous croyez ? Et quand penserez-vous utiliser vos queues pour me fourrer comme des vrais mecs doivent le faire ?
La batte me fut retirée, et enfin, mon jeune à grosse queue s’approcha. D’un seul coup brusque, il me pénétra, y allant de grands coups à toute vitesse. C’était grisant. Je capotais et mes râlements l’incitaient à aller toujours plus vite. Je sentais cette belle grosse bite qui glissait en moi. Les autres regardaient, excités comme des jeunes dans la vingtaine remplis de testostérone. L’un d’eux monta sur la table et s’assied sur mon visage que je bouffai avec appétit pendant qu’un autre me suçait. C’était la folie furieuse dans cette cuisine. Tous me touchaient, sans doute parce qu’ils étaient habitués à se toucher entre eux et que moi, j’étais de la nouveauté. C’est alors que je me demandai si cette pratique d’amener un inconnu à l’appartement pour tous le baiser était courante chez eux ? Leur arrivait-il de baiser entre eux sans étranger ? C’était un vrai terrain de jeu ce lieu pour des mecs à la recherche de plaisir.
Et mon cul changea de bite, mon jeune laissant la place à un autre qui ne se fit pas prier. Peu m’importait maintenant qui me fourrait, du moment qu’on me remplissait bien à fond et avec fougue. Et moi, je mangeais les culs qui changeaient à tour de rôle, tous aussi appétissants les uns que les autres. On me suçait, on m’enculait et on m’apportait de quoi me mettre sous la dent, alors j’étais aux anges. Il y avait un petit bout de temps que je n’avais vécu un tel trip de cul, et je remerciais mon jeune de m’avoir tripoté le derrière sur la piste de danse, et surtout, de ne pas avoir refusé de le suivre chez lui.
Soudain, l’un d’eux empoigna la bombe de crème fouettée et, plaquant l’embout sur ma rosette, se mit à me remplir le cul avant d’y entrer sa queue. Ouf... c’était capotant. Et il n’y avait pas été de mains mortes, croyez-moi. J’avais le popotin bien plein de cette crème qui dégoulinait à chaque va-et-vient exécuté par la bite bien dure.
— Que diriez-vous d’un banana-split ? dit l’un d’eux en empoignant une banane tandis qu’un autre fouillait dans le réfrigérateur.
Je les regardais, sachant bien ce qui allait se passer. Le mec retira sa queue de mon cul et, épluchant la banane, le jeune me lançait des regards avec un petit sourire aux coins des lèvres. On m’écarta bien grand les jambes, de sorte à me soulever le derrière, et là, banane en main, le mec se mit tranquillement à me la rentrer, jusqu’à ce qu’elle y soit bien au complet. En plus de la crème fouettée, je me ramassais avec une banane dans le cul, jusqu’à ce que s’ensuivirent des cerises de marasquin. À ce point, j’espérais juste qu’ils ne sortiraient pas la crème glacée, car là, je n’étais plus certain d’être en mesure d’endurer un tel froid.
— Il faut maintenant brasser le tout et ça prend ta grosse queue mon cher Samuel.
Voilà, je connaissais maintenant le prénom du jeune tripoteur qui m’enfila à nouveau. Cette bite énorme qui allait à une vitesse folle brassait bien les aliments que je sentais parfaitement. C’était fou de se faire fourrer à plein régime alors que j’étais déjà bien rempli. Jamais je n’avais connu une telle sensation de plaisir, et dieu m’est témoin que des trips, j’en ai vécu des centaines. Et Samuel se retira, empoignant la tête d’un de ses colocs pour l’obliger à me lécher ce qui coulait entre mes fesses.
— Allez, pousse pour lui donner ton banana-split, me dit-il en tenant bien en place la tête du jeune pour s’assurer qu’il goberait tout ce qui allait en sortir.
Et je poussai lentement tandis que le jeune ouvrit grandement la bouche pour tout avaler. C’était cochon au max et j’aimais ça et le bouffeur semblait, lui, aussi, apprécier. Je l’entendais gémir tandis que le tout lui remplissait la bouche, et une fois terminé, sa langue y allait à toute allure comme s’il ne voulait en aucun cas en perdre une goutte. Samuel, lui, me regardait en riant pendant qu’un autre le suçait. C’était vraiment une orgie du tonnerre. Les mecs entre eux se mangeaient le bambou ou écartaient les fesses pour y recevoir une queue jusqu’à ce que Samuel les invite à tout arrêter. C’est là que je compris qu’il était le chef de la gang et qu’il décidait de tout. Il fit signe à deux de ses copains de me lever de table et il prit ma place, sans toutefois lever les jambes. Je compris qu’il désirait que je prenne place sur son membre et, bien entendu, je ne me fis pas prier.
De sa main droite, il désigna l’un d’eux pour se placer derrière moi et, me prenant par le cou, m’incita à me rapprocher de lui. Je savais qu’il voulait que le mec me fourre par-derrière, et je n’étais nullement contre une double pénétration que je sentis aussitôt. Et en quelques coups bien sonnés, le mec jouit, laissant évacuer son yaourt qui se collait sur la queue de Samuel qui, de son côté, opérait de légers mouvements du bassin. Et un autre fut invité à y faire de même. En quelques minutes, les sept colocs m’avaient agrémenté de leurs queues bien pleines qu’ils laissèrent tous couler en moi, mais il restait encore Samuel qui ne semblait pas du tout vouloir jouir immédiatement. Il aimait beaucoup trop mon cul pour le quitter comme cela, et il savait surtout que son membre me rendait fou de plaisir.
— Bon c’est beau. Vous avez eu ce que vous vouliez maintenant, retournez au salon, dicta-t-il aux autres, qui, la mine bien basse, s’exécutèrent sans mot dire.
Sans nul doute qu’ils espéraient pouvoir recommencer, car, à vingt ans, ça ne prend pas beaucoup de temps pour que le moineau retrouve son énergie. Je me retrouvais donc seul avec Samuel, sa queue toujours dans le cul, mais il ne bougeait plus, pas plus que moi. J’étais assis sur lui, sa bite entrée bien profondément, mais nous demeurions là, à se regarder, sans poser aucun geste. Lentement, il se mit à me caresser le torse avant de me dire de le suivre dans sa chambre. Une fois la porte refermée, il s’approcha de moi et plaqua son corps contre le mien et m’embrassa passionnément.
— Ils ont eu droit à ton superbe body, mais ta tendresse, je la veux pour moi tout seul, me chuchota-t-il en me mordillant le lobe.
Je fronçai les sourcils, surpris qu’il me dise cela, mais encore plus surpris par le ton employé. Depuis la rencontre au bar qu’il agissait comme un vrai chasseur, et là, il daignait me montrer que je n’étais pas seulement un body, mais un être qu’il désirait ardemment.
— Je ne comprends pas très bien ce revirement, lui dis-je en m’en éloignant un peu. — Eh bien quoi ? Maintenant que l’entente a été tenue, je peux tout de même profiter de toi un peu.— L’entente ? Quelle entente ?— Avec mes colocs, me répondit-il en baissant les yeux comme s’il ressentait une certaine gêne. Chaque fois que l’un de nous apporte un mec à l’appartement, on peut tous en profiter. Et ne me dis pas que tu n’as pas apprécié, s’empressa-t-il de dire avant que je puisse riposter. Tu as joui comme une petite chienne en chaleur avec toutes ces queues que pour toi. Je sais que tu aimes être le centre d’attention alors, je t’ai donné ce que tu voulais.— Peut-être, mais...— Mais quoi ? Maintenant, tu vas te placer face à la fenêtre et tu vas lever la jambe. Allez, place ton pied contre le cadre que je puisse encore te fourrer au max. Ton cul me fait bander et je sais que ma queue te remplit bien.
Sans rien dire, je me tournai vers la fenêtre pour y placer mon pied droit contre le cadre et sans attendre, Samuel me pénétra, mais cette fois-ci lentement, très lentement. C’était divin. Il me chuchotait des obscénités. A croire que ce mec me connaissait depuis des années. Il n’augmentait pas la cadence, ses mouvements de va-et-vient me faisant sentir à fond sa bite qui glissait en moi. Je savais que c’était une façon pour lui de ne pas jouir trop vite, mais moi, là, je n’en pouvais plus. Tout mon corps réagissait, et la sueur qui perlait sur mon front démontrait bien que j’étais sur le point de me laisser aller, et il le sut, car il écarta ma main de mon membre, de sorte à ce que je ne puisse plus y toucher.
— Profite seulement du moment, dit-il. Rien ne sert de nous presser, car ce cul m’appartient, et je compte bien en profiter encore longtemps. Je ne l’ai pas tripoté pour rien au bar. Dès que je t’ai vu sur la piste de danse, je me suis dit que je ne pouvais pas passer à côté de cela.
Et pendant qui parlait, il poursuivait ses mouvements du bassin. J’avais chaud et ma respiration devenait de plus en plus forte. De légers cris sortaient de ma bouche sans que je puisse les retenir. Comment un jeune de cet âge pouvait-il posséder cette expérience au point tel que tout ce que je désirais, c’était de le sentir en moi sans que jamais ça ne s’arrête ?
— J’aime t’entendre gémir, car ça me prouve que je t’apporte du plaisir. J’aime que tu en redemandes sans cesse et surtout, j’aime te plaire, car je sais que je te plais. Depuis que tu as goûté à ma queue, tu ne peux plus t’en passer et cela, j’adore, car de cette façon, tu voudras me revoir et moi, je veux que tu m’appartiennes. Je te veux pour moi tout seul. Jure-moi que plus aucun mec ne te touchera.
Et je jurai, prêt à tout à ce moment même, sachant bien pourtant qu’une fois terminé, je retournerais chez moi en attendant le prochain mec. Mais cette possession envers moi l’excitait, et de la lui donner augmentait la cadence de ses mouvements jusqu’à ce qu’il se retire tout d’un coup. Je me tournai vers lui avec, dans les yeux, une interrogation dont il répondit en me demandant de m’étendre sur le lit. Une fois fait, il s’assied sur moi et prit ma bite en main avant de la porter à son cul. Il prit place dessus et se laissa descendre lentement, de sorte à la prendre en entier, accélérant le mouvement une fois qu’il la sentit bien à fond.
— Allez, viens en moi, dit-il entre deux respirations. Je veux que tu me remplisses de ton jus bien chaud.
Et il accéléra encore la cadence de sorte à ce que je ne puisse plus me retenir, lui giclant mon foutre bien au fond de son petit cul de jeunot. Et il se mit à se masturber, gardant toujours ma queue en lui jusqu’à ce que je sente qu’il allait venir. Il s’approcha de mon visage et plaqua sa queue entre mes lèvres avant de me cracher son yaourt dans la bouche que j’avalai sans y laisser aucune goutte. Ensuite, il s’assied sur mon visage et poussant légèrement, je mangeai mon sperme qui coulait de sa rosette. Son cul avait un léger goût sucré. Il se pencha, approchant son visage de ma bite, et à son tour, lécha tout le foutre sur ma queue. Ouf...
Je dois avouer que cette soirée fut des plus palpitantes et jouissives. Moi qui étais sorti pour rencontrer des amis dans un bar, m’étais retrouvé dans cet appartement rempli de jeunes mecs en chaleur, et j’avais, par pur bonheur, été le centre d’intérêt. Maintenant, rien ne sert de vous dire qu’une fois ayant quitté ce lieu, la première chose que je me suis dite fut que ce jeune Samuel était un peu trop attentionné pour moi. Comme si je pouvais jurer à un mec que je lui appartiendrais, alors que le Québec entier regorge de superbes mâles en rut.
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