Bonjour, après avoir lu vos histoires pendant quelque temps, il me semble qu’il est maintenant temps de vous livrer la mienne. Cela fait maintenant dix-sept ans que je suis marié à Joelle. D’une relation passionnée et pleine de fantaisie, nous sommes passés à des étreintes hebdomadaires plutôt plan-plan. En effet, la vie, la routine, les enfants et les épreuves ont eu raison de notre passion. C’en était au point ou même mes masturbations quasi quotidiennes ne me satisfaisaient plus et à force de lire des histoires et de regarder du porno, je commençais à m’imaginer ma femme dans des situations plus excitantes. D’ailleurs en parlant de ma femme, il est temps de nous présenter : Jo est une authentique mama africaine, une bonne grosse paire de seins et un bon gros cul !! Bref une BBW Black dans toute sa splendeur !! Quant à moi, je suis un quadra assez viril, pour ne pas dire poilu, avec le crâne rasé. Il me semble que je ne suis pas dénué d’un certain charisme. Quoi qu’il en soit, plus le temps passait, plus je m’imaginais ma femme dans des positions scabreuses lors de nos ébats... Je l’imaginais suçant la bite d’un inconnu alors qu’elle s’empalait sur la mienne, ou encore prise devant moi par un inconnu, ou enfin en chienne soumise totalement dévouée à mon plaisir. Et je dois dire que j’en bandais grave et je pense qu’elle le sentait... Une chose était sûre, il fallait que nous retrouvions cette osmose sexuelle que nous avions, avant que notre couple en souffre terriblement. Et j’avais terriblement envie de l’amener sur le chemin du libertinage, mais comment y parvenir ? C’est finalement pendant le confinement de mars-avril 2020 qu’une porte a semblé s’ouvrir. Nous avions avec Jo une de ces conversations qui soudent un couple, là sur le canapé du salon. Nous parlions de tout, de toutes nos vies, quand nous avons peu à peu dérivé sur les aventures que nous avions eues avant de nous connaître, avec quelques détails croustillants tant pour elle que pour moi. J’y ai vu une opportunité et lui racontais comment j’ai eu avec une de mes ex des expériences libertines. Je lui expliquais l’excitation mêlée de frustration et de jalousie de voir ma copine sucer la bite d’une autre homme, pendant que moi-même je me faisais sucer par sa compagne. Le plaisir que j’ai pris à baiser ma copine alors qu’elle avait la bite d’un parfait inconnu en bouche. Je lui parlais aussi de ces couples, légitimes ou non, qui baisaient partout. Les gémissement et les cris de jouissance, les corps qui se mêlent et cette ambiance de stupre. Cela nous a bien excités, et nous sommes finalement montés dans notre chambre pour enfin laisser libre cours à notre envie. A peine entrés, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre, nous embrassant fiévreusement. Une sorte de furie s’était emparée de nos corps, nos lèvres étaient soudées, nos langues se mélangeaient. Mes mains parcourent son corps, je la déshabille et libère ses seins lourds, mes doigts effleurent ses tétons qui durcissent à ce contact. — Putain tu m’excites ma chérie... ça faisait longtemps... — Moi aussi je suis excitée... ton histoire de club libertin m’a fait un petit effet... humm.— Tu m’en diras tant... coquine. Je descends rapidement en l’embrassant dans le cou, puis sa poitrine, ses seins et ses tétons... ses bons gros tétons bien durs. Je commence à les lécher. Elle adore qu’on s’occupe de ses seins, se les faire lécher, téter, sucer. Ca la fait partir. — Hummm continue, bouffe-moi les seins... j’adore !!— Tu aimes ça, cochonne... — Oui, je suis ta petite cochonne... Elle se libère enfin. Je l’allonge sur le lit et commence à faire descendre son pantalon le long de ses cuisses... Elle est devant moi, juste vêtue d’une petite culotte en coton sur laquelle on peut distinguer une petite trace humide. Elle mouille, je le sais. Ca m’excite d’autant plus. Je ne tiens plus, je fais glisser ce dernier rempart pour découvrir sa chatte ouverte et mouillée de ses sécrétions, ses lèvres gonflées et son clito bandé. Je ne résiste pas à l’envie de la lui lécher et fonds directement dessus. Je la bouffe littéralement. Je sens son jus couler dans ma bouche et ses gémissements me disent qu’elle apprécie. — Humm, j’adore... Oh, ooooh, lèche-moi bien mon salaud... — Mumf, Mumf, Mumf... — Hummm putain tu me bouffes bien, continue, tu me fais mouiller comme une chienne... Enfin... Elle est tellement excitée qu’elle en devient salope... Je sais qu’elle est vraiment excitée quand elle se met à avoir des mots crus... D’ailleurs je ne me gêne jamais pour lui embrayer le pas et lui lâcher des "mots doux". Encouragé par ses gémissements et ses commentaires, je redouble d’ardeur. Je lèche avec application sa chatte, du périnée jusqu’au clito... Elle me coule dans la bouche, j’aspire son clito gonflé et lui arrache des cris appuyés. — Putaaaaiiinnn, saaaalllaauuud tu me bouffes !!!! Tu vas me faire jouir... Hummm, je jouis presque... — Salope, tu aimes que je te bouffe la chatte... tu es trempée comme une vielle pute !!! — Ouiiiiii, je suis ta salope... — Sale pute, je vais bien te faire jouir... Je sors d’entre ses cuisses, la bouche luisante de mouille... Je m’allonge sur le lit, l’attrape par le cou et la guide vers ma bite tendue et lui enfonce dans la bouche. Je ne tiens pas et commence à lui baiser la bouche, violemment, presque jusqu’à l’étouffer. Ca fait tellement longtemps qu’elle ne m’a pas sucé que je m’en donne à cœur joie dans sa bouche de pute. Je sens sa salive couler sur mes couilles... Si cela continue, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Au bord de l’éjaculation, je retire ma queue de sa bouche, l’allonge sans douceur et pointe mon gland à l’entrée de sa chatte bien ouverte... Je m’introduis en elle d’une seule poussée, lui arrachant un cri rauque de plaisir... — Vas-y baise moi !!!! Oui, oui, hann, oui... déééééfonce-moi... — Je vais bien te démonter la chatte... t’es vraiment une bonne salope toi, tu m’excites... t’es ma pute !!! — Oh oui, oh oui, oh ouiiii... — Dis-le que t’es ma pute... — Oui je suuuuiiiiiis taaaa puuuuttteeee... ooooouuuuiiiiii... putain ça claque... tu vas... me... faire... Jouuuuuiiiiiir... Je la sens défaillir, elle jouit en hurlant son plaisir... comme elle n’a pas joui depuis des années... Et je la suis en lâchant tout mon foutre sur sa chatte naturelle... Une baise comme nous n’en avions pas eu depuis longtemps... Après avoir repris nos esprits, on se regarde et on se met à rire... un fou rire commun, comme si nous venions de nous réveiller d’un long sommeil. Et je me dis que mon envie de la guider sur le chemin du libertinage peut aboutir finalement.
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