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Je te fais l'amour, mais je rêve de te baiser

Chapitre 1

Où tu m'invites à diner

Divers
J’étais énervé. Encore une journée qui ne s’était pas passée comme je l’aurais souhaitée. J’avais une profonde envie de frapper dans les murs, depuis des jours déjà.Quand mon téléphone a sonné, et que j’ai lu ces quelques mots : « Ça te dirais de passer manger avec moi, ce soir ? », je n’ai pu m’empêcher de t’imaginer à genoux, gémissant et suppliant pour que j’enfonce ma queue dans ta jolie gorge.Je sortis enfin du travail, pris une douche rapide, et fis en sorte d’être présentable. Je bouillais de colère et de frustration. Je m’enjoignais à rester calme, à me préparer à passer une soirée simple et agréable. Je me répétais d’être calme, doux et attentionné, comme toujours. C’était notre troisième rendez vous. Le premier avait eu lieu dans un café, nous avions discuté longtemps, nous avions ris, et nous nous étions embrassés en partant. Le deuxième, nous avions mangé au restaurant. Je t’avais fait monter chez moi, et nous avions fait l’amour tendrement. Rien de vraiment extravagant, nous nous étions longuement embrassés, puis tu avais insisté pour que nous éteignions la lumière, et je t’avais simplement prise en missionnaire pendant de longues minutes. J’essayais de m’en souvenir, de faire remonter ces sensations pour effacer la colère qui m’habitait. Je sonnai chez toi vers 19h. Tu m’embrassas doucement et je me sentis me détendre. Je te pris dans mes bras, et me fis plus insistant sur tes lèvres. Ma langue fouillait ta bouche avec ardeur, tandis que mes mains te gardaient serrée contre moi. Tu mis fin à ce baiser et me repoussas doucement.
— Mangeons d’abord, tout est chaud, je ne voudrais pas que ça refroidisse.
J’ai failli te répondre que je n’en avais rien à foutre de manger froid si cela me permettait de profiter de la sensation de ta bouche sur ma queue, mais j’estimai que c’était sûrement déplacé et que tu ne le prendrais pas bien. Je me contentai de te sourire et de te suivre, découvrant au passage ton appartement. Nous mangeâmes en discutant. J’essayais de me concentrer sur la conversation, d’oublier mon envie de violence. J’enfouissais mon envie de me lever, d’ouvrir ma braguette et de te coller ma queue sous le nez sous des sourires et quelques mots tendres. Nous nous rapprochions doucement l’un de l’autre et ma main se hasarda à caresser tes cheveux. Quelle erreur. Aussitôt, j’eus un flash. Je me vis empoigner tes cheveux pour te traîner dans ta chambre, te jeter sur le lit et m’enfoncer directement en toi, sans cérémonies. Tu posas timidement ta main sur ma cuisse, et je vins doucement saisir ton menton pour attirer tes lèvres près des miennes. Je me répétais de ne pas perdre le contrôle, de ne pas me laisser aller, de ne pas te brusquer. Tu n’avais pas à subir mon envie de violence. Tu étais si belle, si innocente. Tu aimais la tendresse, la douceur, la volupté. Tu voulais être caressée, cajolée, adorée, pas salie, baisée, maltraitée. Je repoussais le plus loin possible l’idée de faire de toi ma petite salope personnelle, de te rendre accro à mes coups de reins rapides et puissants. Pourtant, quand ta main chaude s’est glissée dans mon pantalon, c’est cette idée qui m’a fait bander. Je te chuchotai à l’oreille que nous serions plus à l’aise dans ta chambre, et tu acquiesças. Je te pris par la main, et tu me guidas jusqu’à une petite pièce dans laquelle trônait ton lit. Tu te collas à moi, posant tes lèvres sur les miennes. Tu éteignis la lumière, et me tira jusqu’à ton lit.
— Tu sais, me dis-tu, ce que j’aime chez toi, c’est ta douceur. Tu es toujours très délicat avec moi, ça me rassure.— Tu parles, pensai-je. Je n’ai qu’une envie, c’est de couvrir ta gueule de salope de foutre. 
Je me contentai d’un petit sourire et d’un nouveau baiser. Je te déshabillais lentement, légèrement frustré par l’absence de lumière qui me cachait un corps que je rêvais d’exhiber. Au bout d’une dizaine de minutes, je te tins nue dans mes bras, et concentrai mes baisers sur ta poitrine. Je sentais tes tétons durs et gonflés, et je me fis un plaisir d’en jouer pour t’écouter soupirer. J’en profitai pour glisser une main entre tes cuisses, découvrant avec délice ta chatte humide et ton clitoris gonflé. Couvrant ton ventre de baisers, je descendis la goûter. Une de tes mains se plaqua dans mes cheveux, et en levant les yeux je devinai que la deuxième caressait l’un de tes seins. Je jouais de ma langue contre ton clitoris, le lapant, le suçant, le mordillant parfois. Je me fiais à l’intensité de tes soupirs pour m’engager dans une voie ou une autre.Petit à petit, je perdais le contrôle sur mon être, me laissant aller à dévorer sauvagement cette chatte que tu m’offrais. Petit à petit, tandis que tes soupirs devenaient des gémissements, ton plaisir devenait secondaire pour moi face à mon envie de faire de toi ma chose dévouée, ma salope à baiser, mon sac à foutre, ma chienne fidèle et servile. Je me perdais dans ces pensées en enfouissant mon visage entre tes jambes, tes deux mains maintenant agrippées à mes cheveux. Je t’enfonçai presque sans y penser deux doigts, qui glissèrent sans effort, et les synchronisai avec les mouvements de ma langue. Cela te fis visiblement beaucoup d’effet, car je senti bientôt tes cuisses se serrer contre ma tête, tes ongles se planter superficiellement dans la peau de mon crâne. Je t’entendis pousser un gémissement à la limite de la supplication, et je sentis couler sur mon visage le jus de ta chatte qui coulait de plaisir. Alors, toujours bouillant, je m’arrêtai un instant. Je me plaquai contre toi pour t’embrasser passionnément, t’écrasant du poids du désir qui était monté en moi pendant que je te léchais.
Tu me rendis faiblement ce baiser, encore étourdie par le plaisir qui venait d’étreindre ton corps.Tu me repoussas tendrement pour me remercier. Je t’entendais haleter et te devinais encore rougissante. Je caressais tes joues, réprimant mon envie de te pénétrer sauvagement, de te baiser brutalement, jusqu’à me faire jouir des litres de sperme que je viendrais chercher avec mes doigts pour les étaler sur ton visage. Ces idées me faisaient bander à m’en faire mal, et ma queue restait gonflée mais sage contre ta cuisse. Tout en m’embrassant, tu me poussas, me manœuvrant tendrement jusqu’à ce que je sois allongé sur le dos. Tu t’installas alors sur moi, et présentas l’entrée de ta chatte devant ma bite tendue. Tu t’empalas doucement sur elle, et je sentis chaque centimètre entrer petit à petit. Je respirais doucement, essayant de me consacrer totalement aux sensations qui m’envahissait plutôt qu’à mon envie débordante d’agripper tes hanches et de te traiter comme la traînée que j’aurais voulu que tu sois.
Tu bougeais doucement sur moi, t’agitant tout en sensualité et en tendresse. Ces stimulations douces frustraient encore plus ma queue avide de trous à défoncer. Tes légers soupirs vexaient mes oreilles  gourmande de suppliques essoufflées. Et surtout… le noir quasi complet empêchait mes yeux, assoiffés de désirs, de voir ton corps nu s’activer. Si mes soupirs s’intensifièrent, ce ne fut pas tant du plaisir que je pris, mais surtout de l’effort que je fis pour maîtriser mes pulsions violentes. Tu te penchas sur moi, et brusquement je me redressai pour assaillir une nouvelle fois tes tétons de ma bouche. Je les trouvai dressés, prêts à accueillir les caresses de ma langue. Mon bassin jusqu’à lors immobile accompagna tes mouvement, et ces deux actions conjuguées provoquèrent chez toi une nouvelle transformation  de tes soupirs en petits gémissements. Tu chuchotas à mon oreille que tu allais jouir, et je t’imaginai prononcer la même phrase, dos à moi, les mains plaquées dans ton dos, ma queue enfoncée dans la chatte.
Quand tu te crispas autour de ma queue, je laissai mon imagination faire son œuvre avec toi, et je déchargeais ma jouissance dans un long gémissement. Tu m’embrassas délicatement dans le cou, et je passais tendrement les mains dans ton dos. Tu te blottis contre moi, et me souhaitas une bonne nuit avant de déposer un baiser léger sur mes lèvres. Je serrais longuement ton corps chaud contre le mien, écoutant ta respiration calme et détendue, me demandant quelle aurait été ta réaction si tu avais su la moitié des choses que j’avais pensées ce soir là.
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