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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 6

Trash
Après cette petite sauterie, tonton Jacques et moi avons continué à nous parler régulièrement par Facebook et nous nous sommes revus à quelques occasions pour baiser.
Nous avons développée une étrange camaraderie qui consiste à faire des saloperies ensemble et parfois, des trucs bien dégueulasses qui nous excitent tous les deux. Des trucs qui vont bien au-delà de la baise entre lui et moi.
Nous avons impliqué d’autres personnes.
2 mois après m’être fait sautée et défoncée par mon oncle pour la première fois, j’ai accouché de mon bébé. Une belle petite fille que j’ai appelée Mia. L’accouchement par césarienne s’est bien déroulé.
Pour m’accompagner au baptême et servir de parrain pour ma fille, le père du bébé étant disparu, j’avais demandé à mon oncle Jacques, celui-là même qui m’a baisée sauvagement.
Sa femme m’a demandé : pourquoi lui? Mais après avoir passé un après-midi à discuter avec ma tante Émilie, où elle venue câliner la belle petite Mia, (nous sommes quand même assez proches) elle n’a vu aucune objection et a salué mon choix, me disant que son mari était doux et aimant.
Ça, pour être doux… Mais quand il défonce et encule, c’est une autre histoire. Mais j’ai adoré qu’il brusque mon cul…
Bref, le baptême s’est bien déroulé. Mon oncle était assis à côté de moi à l’église en tant que parrain et j’ai réussi à le faire bander dans ce lieu Saint. Je vous laisse imaginer quelle saloperie discrète j’ai pu faire…
Une fois rentrée chez-moi, je me précipite sur Facebook pour voir si tonton Jacques est en ligne. J’ai hâte de parler librement avec lui.
Il y a un moment déjà que j’ai des idées de saloperies en tête. Saloperies, c’est le nom qu’on a donné à nos « projets », et maintenant que le baptême est chose du passé, il est temps de commencer. Mon rôle de nouvelle maman avait pris le dessus, ce qui était normal, mais je sentais la salope en moi, tenter de se frayer un chemin à la surface.
Maintenant, elle allait renaître!
— Salut tonton!— Salut petite cochonne!
Je le taquine.
— Quel cochon tu es! Tu bandes à l’église?— Quand on a une petite salope assise près de soi… ça peut arriver!— Hihihi!!— J’aurais envie de te baiser, maintenant…— Je mouille déjà… Je veux ton manche dans ma fente et dans mon cul…— Tu es incontrôlable!— Oui et très cochonne… Tonton?— Oui…— J’aimerais te voir baiser ma tante…— Quoi?— J’aimerais la voir te sucer. J’aimerais voir ta queue s’enfoncer en elle…— Ma femme?— Oui…— Tu es vraiment une petite salope!!— Tu aimes la baiser?— Ben… oui, beaucoup.— Tu imagines que tu me baise quand tu la baise?— Non… je t’imagine avec nous deux…— C’est vrai?— Oh oui! J’adorerais te voir lui bouffer la moule pendant que je défonce ton joli cul.— Et tu crois que ce serait quelque chose de possible?— Non, aucune chance…— Pourquoi?— Je lui ai déjà proposé des baises à trois. Elle ne veut rien entendre. Alors, imagine avec sa nièce!— Zut! Mais je pourrais vous regarder au moins?— Comment tu veux faire? Je ne vais tout de même pas annoncer à Émilie : Oh! en passant, Sandrine va venir nous voir baiser ce soir!— Hahahaha!!— Oublies ça.— Et si tu la baisais au salon, chez-toi, je pourrais vous regarder par la porte vitrée du jardin!— Non!— Allez tonton!— Arrête!— Ça m’exciterait de vous regarder…— Tu sais que tu es la fille la plus dévergondée que je connaisse?— Oui… et ça t’excite, vieux cochon!— T’as raison, petite garce! Bon… d’accord…— Hihihi!! J’ai gagné?— Oui, gamine! Voilà ce qu’on va faire…
Et il m’expose son plan. Demain soir, il descendra baiser tante Émilie au salon, il lui bandera les yeux, prétextant un jeu, pour être certain qu’elle ne me voit pas à l’extérieur.
J’ai annoncée une "sortie entre filles qui me fera du bien" et ma mère, bien d’accord avec moi, gardera Mia avec elle ce soir là. Mamie pourra câliner à sa guise.
Le lendemain, je suis fébrile en attendant le signal. Vers 22h, il me contacte par Facebook.
— Ça y est, nous montons à la chambre. Si tout se passe bien, nous redescendrons dans environ 30 minutes, elle aura les yeux bandés.— Je suis excitée!— Moi aussi, ça m’excite beaucoup! Tu vas te toucher en nous regardant?— Je ne pourrai pas m’en empêcher! Tante Émilie est cochonne?— Tu t’en rendras compte par toi-même…— J’ai hâte de la voir se faire baiser! Tu l’encules?— Non. C’est toi que j’encule…— Cochon!— Bon allez, je monte. On se reparle demain?— Oui, je te conterai comment j’ai vécu ça. Xxxx— Xxxx
Parfait. 30 minutes, ça me donne amplement le temps de me rendre chez-lui et de m’installer derrière la porte vitrée du jardin.
Je choisis comme vêtement, une camisole foncée et une courte jupe noire, que je porte sans petite culotte. Comme la soirée est douce, je serai bien à l’aise et comme j’aurai sûrement envie de me toucher en les regardant, j’aime mieux ne pas être empêtrée avec un pantalon. On passe la main sous la jupe, et voilà!
J’arrive vers 21 :50 et je m’installe à l’endroit prévu. Un bout de papier est collé au mur de la maison. C’est un message :
— Cochonne!! Signé, tonton Jacques. Xxxx
Je souris, toute heureuse de cette petite note.
Cinq minutes plus tard, tante Émilie, les yeux cachés par un bandeau et dirigée par tonton Jacques, descend l’escalier. Elle est nue. Je peux voir ses gros seins lourds rebondir à chaque marche qu’elle descend. Ses fesses sont bien en chair et je vois que sa chatte est bien épilée. Elle est bien à la mode pour une femme de 45 ans! Sûrement une demande de tonton Jacques.
Il me regarde à travers la vitre et me fait un clin d’œil. Il est nu lui aussi et sa bite est en semi érection. Ils se rendent au salon et il place sa femme et lui-même de manière à ce que je ne manque rien de l’action. Ils sont à environ 5 mètres de moi. Je peux très bien tout voir.
Ils sont debout et s’embrassent. Je peux voir leurs langues se chamailler hors de leur bouches. D’une main experte, tonton Jacques pétrit les fesses de tante Émilie et de l’autre, empoigne un de ses gros nichons et le malaxe vigoureusement.
Jusque là, rien de bien excitant. Je sais bien que ce sont des préliminaires, mais pour moi, tous ces minauderies sont une perte de temps. J’aime être baisée sauvagement sans toutes ces cérémonies. J’aime qu’on me prépare et qu’on me fasse mouiller en me disant des cochonneries. Mais enfin bref…
La main de tante Émilie rejoint finalement le morceau de chair de tonton Jacques et le caresse doucement. Son pieu commence à prendre forme. Je le vois s’allonger et se dresser doucement et là, elle le branle franchement. On voit que sa main est expérimentée. Ce n’est pas la première fois qu’elle masturbe cette grosse queue. Enfin! Un peu d’action!!
Elle s’agenouille et tout de suite commence à lécher la bite de mon oncle, cette bite qui m’a déjà fait jouir, cette bite qui m’a remué et défoncé la chatte et le cul. Si elle savait par où cette grosse queue est passée…
Tonton Jacques me regarde, les yeux mi-clos. Je relève ma jupe pour lui exposer ma chatte qui commence à s’humecter. Je lèche mes doigts et les descend à ma vulve pour la caresser doucement, en me léchant les lèvres pour l’exciter.
Je vois sa queue disparaître presque entièrement dans la bouche de tante Émilie. Elle le pompe maintenant avec force en le masturbant. Elle le suce bien, la cochonne. Ça m’excite de voir quelque chose qui normalement, m’est interdit.
Après un bon moment de fellation, tonton Jacques couche sa femme sur le tapis du salon, lui écarte les cuisses et entreprend de lui bouffer la chatte. La mienne de chatte, est maintenant bien mouillée et je me doigte franchement.
Finalement, je ne vois pas grand-chose. Seulement le corps de ma tante, sur le dos, ses gros nichons déportés sur le côté de son corps, ses cuisses relevées, mais je ne vois pas ce que j’aimerais voir, c’est-à-dire : la longue langue de tonton Jacques lécher de haut en bas la fente humide, jusqu’au trou du cul de ma tante et la voir s’introduire dans son vagin ou dans son anus, que l’un et l’autre j’imagine brûlants.
Il me prend une soudaine envie. Une envie qui ne peut prendre naissance que dans l’esprit d’un vicieuse comme moi. Je veux voir de plus près!
Je vérifie et par bonheur, la porte n’est pas verrouillée! Je me déshabille entièrement, et je laisse mes fringues à l’extérieur.
Avec toutes les précautions du monde, j’ouvre la porte et je m’introduis à l’intérieur de la maison. Je referme doucement et sans faire de bruit, je m’approche du couple.
Suite bientôt...
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