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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 7

Trash
Tante Émilie, les yeux toujours bandés, gémit. Elle qui d’habitude est un brin réservée, ça m’excite beaucoup de l’entendre respirer très fort sous les coups de langue, que je sais habile, de tonton Jacques. Une pensée traverse mon esprit : c’est une chance que je ne me sois pas parfumée!
— Oui, c’est bon Jacques, continue.— Tu aimes quand je bouffe ta chatte? Lui demande-t-il en relevant la tête. Tante Émilie grogne de plaisir.
Et tonton Jacques se rend compte de ma présence.
De voir ses yeux écarquillés, m’a presque fait éclatée de rire. Je mets mon doigt sur mes lèvres pour lui signifier de ne pas faire de bruit.
Il s’agenouille entre les cuisses ouvertes de tante Émilie et lui caresse la chatte d’une main et de l’autre, il me fait de grands signes de foutre le camp! La situation est comique, mais tellement excitante!
Je m’agenouille derrière lui et je colle mes gros nichons dans son dos. Sa peau est très chaude. Mes mains caressent sa poitrine velue et je lui lèche le cou. Je sens ses mamelons pointés. Je crois que ça l’excite malgré tout. Moi, je suis vraiment excitée. Je murmure très doucement à son oreille.
— Je suis ta petite salope. Je veux que tu me baises maintenant…
Il ne peut répondre, mais je sens sa respiration s’accélérer lorsque je descend ma main à sa grosse queue bien bandée. Je le masturbe tout en faisant bien attention de ne pas toucher aux cuisses ouvertes de tante Émilie, qui sont tout près. Il continue toujours de doigter sa femme qui ne se doute d’absolument rien. C’est vraiment très très excitant!
Tout doucement, il se place à quatre pattes, les jambes bien écartées, pour bouffer sa chatte. Je vais me placer derrière lui, assise sur mes talons et rattrape sa grosse queue que je manie tel un pis de vache qui se fait traire.
Ses grosse couilles s’offrent à moi. Elles sont belles et bien douces. Je les lèche pendant que je le masturbe. Son cul valse sous mes caresses habiles. Je remonte ma langue jusqu’à son anus que je lèche doucement. Tout doucement, j’y enfonce ma langue et je l’encule littéralement tout en branlant sa grosse bite bien dure.
Après lui avoir bouffé le cul pendant un moment, j’approche un de mes gros nichons dont le téton est bien pointé et je caresse son trou du cul. Je suis si excitée que j’aurais envie de m’asseoir sur le visage de tante Émilie et de me faire bouffer la chatte et le cul.
Elle me sort de ma rêverie.

— Prends-moi Jacques, maintenant!! Je veux ta queue!— Place toi à quatre pattes, je veux encore bouffer ta chatte, ensuite, je te bourrerai.
Elle obéit. Son cul est bien haut, ses cuisses bien écartées, sa tête, dont les yeux sont toujours bandés, est bien au sol. Cette vision est très excitante. Le beau cul de ma tante en bien ouvert devant moi. Que j’aurais envie d’y enfoncer ma langue et de claquer ses grosses fesses bien rondes!
Tonton Jacques s’agenouille derrière sa femme et caresse et claque les fesses qui sont devant lui. Il agrippe par le bras en me forçant à m’agenouiller face à lui et il enfonce sa langue dans ma bouche. La mienne fouille sa bouche pendant qu’il caresse mes fesses de sa main libre.
Il me murmure très doucement à l’oreille :
— Tu n’es qu’une petite salope… Défonces-toi sur ma queue petite pute…
Disant cela, il se couche sur le dos, la tête entre les cuisses ouvertes de tante Émilie et son corps vers moi. Des ses pouces, il écarte bien la chatte dégoulinante et je vois sa langue lécher le clitoris et ensuite, s’enfoncer bien loin dans le vagin humide. Je m’imagine en train de lécher l’anus ouvert de ma tante pendant qu’il la fourre avec sa langue.
Mais j’ai d’autres projets. Il y a cette belle grosse queue qui m’appelle. Je l’ai toute à moi. Je suis déjà agenouillée tout près de cette bite qui m’a déjà ravagé tous les trous et je suis excitée par les saloperies qu’il vient de me dire.
Je l’empoigne avec ma petite main et je la branle vigoureusement. Je vois ses grosse couilles remonter, par la peau étirée quand ma main arrive près du gland pour ensuite redescendre et libérer nettement et complètement la tête de ce formidable manche.
Je descend ma main une dernière fois et je maintiens la tension vers le bas et de mes deux mains, je serre autant que je peux le bas de la queue pour faire rougir le gland et faire ressortir les veines tout le long du manche.
J’approche ma bouche ouverte et je force le méat du bout de ma langue. Je lèche le petit trou et tente d’y faire pénétrer mon organe. Je caresse le pourtour du gland avec ma langue habile et je sais que ça l’excite beaucoup et combien il doit se retenir pour ne pas gémir. Je lèche tout la longueur de la bite en laissant beaucoup de salive.
J’enfonce sa queue dans ma bouche et je suce comme une déchaînée. Tonton Jacques bouffe toujours la moule ouverte de sa femme et je regarde tout en suçant. Ça m’excite.
Je lâche l’emprise sur la grosse bite toute rougie et je m’installe à genoux au dessus d’elle. Je la prend et dirigée par ma main, j’en frotte le gland sur ma chatte qui coule littéralement.
Tonton Jacques donne un coup de bassin vers le haut pour m’encourager à m’empaler. On ne me la fait pas deux fois! Je laisse glisser le gros membre brûlant dans ma chatte en feu et je me fais aller.
Je connais déjà la sensation d’avoir cette bite en moi, mais de l’avoir bien profond, en ce moment interdit et en le voyant bouffer une chatte, c’est la chose la plus excitante que j’ai jamais faite. Ma main descend instinctivement à mon clitoris et je le maltraite en me mordant les lèvres pour ne pas laisser échapper un seul petit son.
Tonton aussi est excité, car la chatte de tante Émilie passe un mauvais quart d’heure! Sa longue langue la fouille de fond en comble. La mouille coule sur son menton.
— Oh oui Jacques!! C’est bon! Comme tu es cochon ce soir! Bouffe moi encore!
Je sors la queue de ma chatte et je la laisse glisser à mon trou du cul qui est déjà bien humidifié par ma mouille qui a coulé. Je pousse doucement et une fois le gland engagé, j’y vais franchement. Je m’encule en me caressant la chatte.
Tonton Jacques écarte les fesses de sa femme pour que je puisse voir son trou du cul qui s’ouvre. Le cochon, il sait que j’aimerais y enfoncer ma langue.
— Je veux ta queue Jacques! Tout de suite! — Oh oui, salope!
Le "salope" s’adresse plus à moi qu’à sa femme, du fait qu’il m’a regardé en le disant. Et moi, je l’ai regardé en passant la langue sur mes lèvres en faisant oui de la tête. Je descend de ma monture pour le laisser se placer pour baiser ma tante. C’est elle qui dirige, qu’on le veuille ou non!
Il s’agenouille derrière ce cul ouvert et m’indique d’aller derrière lui. Il prend mon bras et le descend entre ses cuisses par derrière. Je sais ce qu’il veut!
En passant ma tête sur le côté de sa hanche, je peux voir ma main qui empoigne la grosse bite et avec le gland, je caresse de haut en bas, les lèvres ouvertes de la chatte de ma tante. Je donne même quelques bons coups de gland sur son trou du cul. Ma tante est excitée. Son cul bouge en tous sens.
— Fourre moi!! Fourre ta cochonne!
Je retire ma main de la queue et elle s’enfonce dans la grotte bouillante. Tonton Jacques gémit. Tante Émilie croit que c’est seulement la chaleur et l’étroitesse de sa chatte qui fait cet effet à son mari. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que sa petite salope de nièce malaxe vigoureusement les couilles de son fouteur! Je ne me suis jamais sentie aussi salope que maintenant!
Tonton Jacque baise sa femme de plus en plus fort. Il grogne comme quand il m’encule. Je me lève et avec ma langue, je lèche la mouille de ma tante sur le menton de mon oncle. Quoi de plus excitant?
Je lui offre mes gros nichons à bouffer. Il s’en donne à cœur joie. Sa main descend à mes fesses qu’il écarte de ses doigts pour caresser mon anus et y en enfoncer un.
J’aimerais me pencher devant lui pour qu’il me bouffe le cul, mais c’est trop risqué de tomber ou de toucher ma tante Émilie par inadvertance et ainsi, dévoiler ma présence.
Il bouffe mes nichons, m’encule d’un doigt, il défonce une chatte et donne de bonnes claques sur le cul de ma tante, qui couine comme une truie. Il est au comble du bonheur. Je peux l’entendre par ses grognements de mâle en rut.
Suite bientôt...
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