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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 8

Trash
Pour le faire gémir encore plus, je décide de me coucher sur le dos, la tête entre ses cuisses ouvertes. Je peux voir de plus près sa grosse queue bien dure, buriner la chatte de tante Émilie. Elle gémit comme une chienne quand la grosse bite de tonton Jacques, frappe le fond de son vagin.
Il la baise sauvagement en lui tenant bien les fesses. Je peux l’entendre lui donner de bonnes claques, ce qui la fait crier plus fort.
Je sens ses grosses couilles frapper mon menton à chaque fois qu’il s’enfonce en elle. Je sors ma langue et les lèche, de même que toute la longueur de sa bite quand elle ressort du vagin humide et dégoulinant. Je peux goûter la mouille de ma tante sans qu’elle le sache. C’est génial!
Je peux voir son clitoris bien sorti de sa carapace de peau. J’aurais envie de le lécher, mais je dois me retenir. Tonton Jacques continue de lui défoncer la chatte, et le mot est faible! Tante Émilie crie de plus en plus fort. Elle va jouir!
Pendant qu’il lui ramone bien la moule, je sens couler sur mon menton un liquide chaud. La salope jouit sur mon visage! Je suis au comble de l’excitation. Je descend ma main vers ma chatte et je me doigte furieusement.
Tonton Jacques sort momentanément sa queue mouillée du jus de tante Émilie et la plante dans ma bouche ouverte. Je le suce quelques instants et il la remet bien au chaud dans la grotte de sa cochonne de femme, qui se remet aussitôt à gémir. Je remplis ma bouche avec ses couilles pendantes.
— Ah cochonne!!— C’est toi Jacques qui est cochon! Fourre-moi plus fort!
Il redouble la cadence. J’ai peine à garder son sac à foutre dans ma bouche. Je sens que tonton Jacques ne pourra tenir encore bien longtemps. Je l’entends grogner comme un porc et ça m’excite.
Je me relève et je me place debout près de lui et je lui enfonce ma langue dans la bouche et je suce sa langue comme s’il s’agissait d’une bite.
Je regarde du coin de l’œil les fesses ouvertes de tante Émilie et la grosse queue disparaître dans la chatte bouillante. Ma cochonne de tante se fait pistonner la moule et sans le savoir, sa salope de nièce la regarde de près, tout en bouffant la langue de son mari. Je suis vraiment une petite pute!
Je m’agenouille ensuite près du cul de ma tante et je regarde de plus près la bite s’enfoncer. Je peux sentir l’odeur de sa mouille et de son cul. Je peux voir son petit trou bien serré et encore vierge. J’aimerais bien y enfoncer ma langue pendant qu’elle se fait buriner.
Mon oncle me regarde m’exciter devant le cul de sa femme. En le regardant, je prend et malaxe mes gros nichons. Je lui dit sans émettre un son :
— Défonce-là. Je veux ton foutre dans ma bouche.
Il lit mes lèvre et me répond sans un son:
— Salope!
Sa respiration et ses grognements s’amplifient. Il va jouir. Il donne deux ou trois violents coups de bassin sur le cul de sa femme et retire sa bite de sa chatte et se branle pour faire sortir son foutre chaud.
En l’espace d’une fraction de seconde, je lâche mes nichons et je prends possession de son membres prêt à éclater et je le masturbe au dessus des fesses de tante Émilie qui lâche un dernier cri suite à la violence de la dernière attaque du gourdin qui est allé s’écraser au fond de son vagin.
Tonton Jacques pousse un long râle et un énorme jet de foutre atterrit entre les omoplates de sa femme et jusqu’à son cul toujours bien haut.
Je dirige le deuxième jet, tout aussi puissant, sur les fesses rondes de ma tante. Je dirige le troisième jet directement sur le trou du cul.
Les quatrième et cinquième jets, moins puissants, sont redirigés à part égales, entre les fesses et le trou du cul. Un peu de foutre coule sur la chatte mouillée et bien rosée et toujours ouverte.
À chaque jet, tonton Jacques a poussé de grands râles, tout en empoignant mes fesses et en les malaxant avec force.
Une fois les derniers jets évacués de cette fontaine à foutre, que je masturbe toujours, j’entreprends de caresser avec le gland, la chatte et le trou du cul couverts de foutre de ma tante. J’étends aussi sur les fesses de la "victime" tout le sperme qui s’y trouve et par le fait même, souille la queue que je tiens, du nectar de mon oncle.
Je le regarde d’un air cochon et j’enfonce sa queue dans ma bouche avide, mais seulement pendant quelques trop courtes secondes, pour ne pas que ma tante se demande pourquoi elle ne sent plus la queue de son mari sur son cul couvert de foutre. Tout doit paraître naturel.
Ma tante à bout de souffle :
— Oh Jacques, c’était merveilleux!
Je la vois qui retire le bandeau qui lui couvre les yeux depuis le début de cette baise. Elle est toujours à quatre pattes, ce qui me donne juste le temps de me cacher derrière le canapé.
— Tu as aimé que je te baise bien fort?— Oh oui! Mais qu’est-ce que tu as ce soir? Je ne t’ai jamais senti aussi cochon!— De te voir, le cul en l’air comme ça, ça m’a excité plus qu’à l’habitude, il faut croire.— Eh bien, il faudra recommencer. Je t’aime.
Je ne peux voir ce qui se passe, mais je les entends s’embrasser.
— Je vais à la douche. Tu viens avec moi?— Non, j’irai après. Je reprend mon souffle…— Très bien. À tout à l’heure alors…
Elle quitte en disant sa dernière phrase. Je monte mes yeux au dessus du dossier du canapé et je la regarde se diriger vers l’escalier. Ses grosse fesses rondes et appétissantes sont toutes luisantes du foutre de tonton Jacques. Elle disparaît en haut de l’escalier et j’entends la porte de la salle de bains se refermer.
Tonton Jacques s’assoit sur le canapé. Il me parle sans trop élever la voix pour ne pas se faire entendre par tante Émilie.
— Viens nettoyer ma queue petite salope.
Je m’approche à quatre pattes, comme une chienne et je me dirige entre ses cuisses ouvertes. Il m’attrappe par les cheveux de ses deux mains.
Sans les mains, je gobe sa grosse queue ramollie, pleine de foutre et de cyprine. Je la suce avec vigueur et après un moment, je la sens commencer à durcir à nouveau. J’adore le goût du sperme mélangé au jus de chatte de ma tante.
— Nettoie bien ma queue petite chienne. Tu es une petite salope, tu le sais ça?— Humm humm…— Fais-moi rebander et crois-moi, je vais te le défoncer ton joli cul, avant que tu ne retourne chez-toi.— Humm humm…— Tu suces bien. Pompe salope, pompe… Lèche tout…
Sa grosse queue est maintenant bien grosse et bien raide
— Encules-moi tonton. Défonce mon cul.— Tu n’en a jamais assez petite cochonne?— Non… Encules-moi… maintenant!
Il se relève en me relevant avec lui et il me dirige vers le bout du canapé. En poussant de sa main entre mes omoplates, il me fait pencher sur le bras du canapé, ce qui fait que mon cul est bien haut et ma tête bien basse. La position parfaite pour se faire enculer!
On entend l’eau de la douche couler à l’étage. Tante Émilie ne peut nous entendre.
— Écarte tes fesses, que je bouffe ton petit trou.
De mes deux mains, j’écarte au maximum mes fesses. J’imagine mon petit trou s’ouvrir. Il s’agenouille derrière moi et je sens sa langue agacer ma rosette. Il la pousse à l’intérieur de mon anus et je peux la sentir fouiller tous les recoins.
— Vite tonton. Tante Émilie va bientôt finir sa douche!
Pour toute réponse, il crache sur mon trou du cul, se relève et d’un coup sec, m’encule violemment. Il est excité au maximum et il commence déjà à grogner. Il adore enculer sa nièce, ce cochon.
— Ah petite salope, ton cul est bien serré…— Ta queue est grosse, elle me fait du bien tonton…
Tout en m’enculant avec force, il me donne de bonnes claques sur les fesses en me disant des saloperies, ce qui m’excite d’avantage.
— Tu n’es qu’une petite salope. Une petite pute qui aime se faire défoncer par son tonton. Tu aimes quand tonton te lime le cul?— Oui tonton… Je suis ta salope… Défonces-moi!
Je tente d’étouffer les sons que sa grosse queue me force presqu’à pousser. Je crois que jamais, il ne m’a enculée aussi brutalement. Son bassin frappe avec force mes fesses. Sa jouissance est proche, je le sens. La mienne aussi. Ma chatte coule.
— Ah… je viens… prends tout!
Je me retourne, à genoux, face à sa bite qui sort à peine de mon cul et il se branle pour m’envoyer son foutre au visage. Trois ou quatre jets moyens, quittent sa bite pour atterrir sur ma langue sortie.
— Ah petite salope!! Lèche tout…
Je suce bien sa queue qui commence déjà à ramollir et je la nettoie bien comme une bonne petite chienne. La douche s’arrête. Je me relève, j’embrasse tonton Jacques avec encore les restes de son foutre en bouche.
— Merci tonton. Je pars chez-moi. On se fera d’autres saloperies?— Tu peux en être sûre. Tu es vraiment une salope tu sais?
Je le regarde avec un sourire coquin. Je sors par la porte vitrée et je me rhabille.
Chez-moi cette nuit là, je me branle plusieurs fois avant de pouvoir trouver le sommeil. Cette aventure est la plus excitante qui m’ait été donnée de vivre.
Mais, j’ai d’autres idées de saloperies en tête…
À suivre…
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