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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 9

Trash
Le lendemain de ma première vraie saloperie avec mon oncle, vous vous souvenez, saloperies, c’est le nom qu’on a donné à nos « projets » sexuels, tonton et moi. Donc, de "l’aider" à baiser se femme, donc ma tante, est devenu la saloperie #1, bien que rien n’avait été planifié comme tel.
Au lendemain de la saloperie #1 donc, je suis allée voir tante Émilie. Ça m’excitait d’aller la voir et de lui parler comme si rien ne s’était passé. Bien sûr, pour elle, rien de spécial n’était arrivé pendant cette baise avec son mari.
Mais pour moi c’était différent. J’avais vue la grosse queue de tonton Jacques s’enfoncer dans sa chatte, j’avais goûté à son jus, je l’avais entendu jouir et ça m’excitait encore de m’imaginer, la tête entre les cuisses de tonton pendant qu’il lui labourait violemment la chatte, ses couilles dans ma bouche, et en entendant la peau des grosses fesses rondes de tante Émilie, claquer sous la puissance des coups de bassin.
J’avais aussi nettoyée avec ma bouche la grosse bite souillée de foutre qu’elle avait provoqué et je m’étais faite enculer pendant qu’elle était à la douche. Bref, comme vous le savez déjà, je suis une salope. Mais j’aimerais passer au niveau supérieur.
Tout cela me revenait en tête pendant que je lui parlais en essayant de na pas trop fixer mon regard sur ses gros nichons, bien mis en valeur grâce à un t-shirt ajusté, à col en V, qui laissait voir une bonne raie bien profonde.
Ma chatte s’humidifait de plus en plus en revoyant dans mon souvenir, sa grosse poitrine se balançant d’avant en arrière alors que tonton Jacques la prenait avec force en levrette juste devant moi.
— Et toi, ça va?
Elle me sortit de ma rêverie.
— Oui! Ça va bien.— Tu semble absente.— Oh, j’ai toute sorte de trucs en tête…— Rien de grave j’espère?— Non, des trucs plutôt agréables, mais qui m’obsèdent un peu cependant…— Tu m’en parle?— Non, pas maintenant. Un jour peut-être.— Quel mystère! Comme tu veux. Tu sais que tu peux tout me dire.— Oui je sais. Merci tante Émilie.

Je change de sujet pour ne pas lui révéler quoi que ce soit par inadvertance et surtout, je veux être en contrôle de la conversation.
— Et toi, ça va? Tu sembles toute heureuse aujourd’hui, tante Émilie!— Oui, ça va plutôt bien! — C’est fou ce que ça peut faire une bonne nuit de sommeil!— Oui!
Elle me répond avec un large sourire.
— Quelque chose de spécial, ma tante?— Non non… c’est juste que ton oncle est…— Est quoi?— Eh bien, il est gentil, attentionné…
Oui, c’est ça. Il est attentionné quand il te bourre la chatte et que sa salope de nièce lui bouffe les couilles!
— An bon! Il a fait quelque chose de spécial?— Eh bien…— Eh bien, parle!— Tu sais… on s’est collés hier soir et…
Ils se sont "collés"? Je n’avais jamais vu une chatte se faire défoncer comme hier soir! Je veux la faire parler, ça m’excite de plus en plus.
— Vous vous êtes collés? Tu veux dire, vous avez baisé?— Sandrine! — Ben quoi? Je ne suis plus une gamine. Et on est entre femmes.— Mais tu es ma nièce!— Oh, si tu savais…— Quoi?— Oh, rien. Et alors? Tu me racontes?— Bon… d’accord…
Et elle commence à me raconter sa nuit. Au début, du bout des lèvres, mais plus son histoire avance, plus elle est volubile et plus je suis mouillée de l’entendre raconter, avec moults détails, ce qu’elle ressentait au même moment que je la regardais se faire sauter et même, défoncer par tonton Jacques. Je vois même ses tétons pointer pendant qu’elle raconte.
Par chance, je porte une jupe, car si j’avais porté un pantalon, on aurait pu voir une tache sombre à mon entrecuisse. La cochonne m’excite vraiment. Je n’ai qu’une envie : la baiser et bouffer son cul et sa chatte que je devine tout aussi mouillée que la mienne, à cause de son récit.
Patience, ça viendra en temps et lieu. Je finirai par la baiser, avec tonton Jacques. C’est moi qui écarterai ses fesses pour qu’il l’encule pour la première fois. Et quand il giclera sur son trou du cul, je lécherai tout ce foutre chaud en enfonçant ma langue dans le trou élargi par la grosse bite de mon tonton adoré.
Mais pour le moment, je dois partir. Je prétexte des courses à faire. Si je reste, j’ai peur de ma réaction. Je pourrais lui sauter dessus, arracher son t-shirt pour pouvoir lécher ses gros tétons ou bien, baisser son jean ajusté et lui bouffer le cul. Quoi qu’il en soit, elle jouirait sous mes coups de langue la salope!
Cette cochonne ne se rend pas compte à quel point elle m’excite avec ses airs innocents.
On se fait la bise, un petit câlin, pendant lequel je sens sa grosse poitrine s’écraser contre la mienne. Mon sang bouillonne. Il faut que je parte!
— Mais qu’est-ce que tu as ma chérie, tu es toute rouge…— Rien, une chaleur passagère. Au revoir tante Émilie.— Au revoir ma belle Sandrine.
Ma belle Sandrine? Elle me cherche ou quoi?
Et si, elle me voulait elle aussi?
Et si, elle rêvait de me brouter la fente?
Peut-être qu’elle n’a qu’une envie : m’enculer avec sa langue? Ou que moi, je l’encule avec ma langue… Peut-être qu’elle se masturbe en pensant à moi? En tout cas, moi, je me branlerai en pensant à elle. C’est déjà commencé d’ailleurs, depuis hier soir…
Je reprends mes esprits et je me parle à moi-même : Sandrine, tu n’es vraiment qu’une salope!! Le sexe et les saloperies occupent toutes tes pensées, toute la journée. Tu n’en a jamais assez?
Non!
Pour le moment, j’ai hâte d’arriver chez-moi, de me caresser la chatte et de me goder le cul et de discuter sur Facebook avec tonton Jacques, pour lui transmettre la nouvelle saloperie que j’ai en tête. Je passe mes journées à échafauder des plans pour baiser de façon spéciale et surtout, avec le moins de moralité possible.
C’est comme ça qu’une salope de mon calibre pense. La baise ordinaire n’a plus sa place dans mon esprit pervers. Même, la baise avec mon oncle est devenu presque routinière.
Bien que cette « union » choquerait sûrement le sens moral de bien des gens, pour moi, c’est du menu fretin. J’ai besoin de trucs bien sales, bien dégueulasses et immoraux. Des choses qui choquent normalement le citoyen ordinaire, dans sa vie misérablement morne et sans couleur.
Après m’être fait jouir trois ou quatre fois de suite en pensant à tante Émilie, je me rend à mon ordi pour me connecter à Facebook. Tonton n’est pas en ligne. Je lui laisse tout de même un message.
« Salut vieux cochon! J’ai été voir tante Émilie aujourd’hui. Je voulais la revoir pour encore me l’imaginer à quatre pattes en train de se faire défoncer la chatte par ta grosse bite. Elle m’excite ta cochonne de femme. Elle m’excite vraiment et je te jure, qu’un jour je vais me la faire et tu seras là pour me voir lui bouffer la chatte pendant qu’elle te suce. Tu me verras enfoncer ma langue dans son trou du cul pendant que tu défonces le mien.
Tu imagines? Tu encules ta salope de nièce pendant qu’elle bouffe le cul de sa tante… Et ensuite, je t’aiderai à l’enculer et elle jouiras la cochonne pendant que je boufferai sa chatte. Putain, je suis excitée… Ma chatte est toute mouillée pendant que je t’écris…
J’ai une autre saloperie à réaliser. Un truc bien cochon et bien immoral.
Je veux me faire sauter par le curé de la paroisse, en pleine église, pendant que tu regarde. Tu peux m’aider?
Ta salope de nièce qui t’aime xxxx
À suivre…
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