Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 85 J'aime
  • 3 Commentaires

Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 18

Maman est salope depuis très longtemps!

Trash
À 18 ans, je n’étais pas très délurée, j’étais assez timide et je n’avais pas de petit ami. Avec Jacques, j’étais en sécurité. Lui, de trois ans mon aîné, était presque aussi timide que moi et n’avait pas encore d’amoureuse. Donc, nous découvrions ensemble, à un âge assez « avancé » selon les standards des jeunes d’aujourd’hui, les choses du sexe.
Malgré notre timidité, je me déshabillais, sans gêne, complètement nue et je m’installais à côté de mon frère pour le branler. Ça lui permettait de toucher mon corps, ce que je n’empêchais pas, et en plus je commençais à trouver notre petit jeu secret très agréable.
J’adorais la sensation de cette queue dure dans ma main, et combien elle était douce. J’aimais voir son prépuce venir recouvrir le gland et ensuite se retirer pour le faire apparaître à nouveau à mesure que ma main montait et descendait sur son manche.
Il caressait mes cuisses, mes fesses rondes et mes gros nichons fermes. Il passait aussi sa main entre mes fesses et agaçait mon petit trou du cul avec un doigt pour ensuite se rendre à ma chatte dans laquelle il enfonçait la première phalange de son majeur. Ça me chauffait un peu, mais je n’osais pas lui dire de peur de gâcher son plaisir.
Plus il me touchait et plus il déchargeait rapidement. Parfois, je commençais à le branler et dès qu’il touchait à mon cul, à ma chatte ou à mes nichons, il éjaculait en moins d’une minute.
Plus les semaines passaient et plus je branlais la queue de mon frère, plus il me touchait et plus je commençais à trouver très agréable d’avoir son doigt qui pistonnait ma chatte. J’avais découvert un peu par hasard, (nous n’avions pas Internet à l’époque), qu’en mettant de la salive sur ce petit trou son doigt pouvait s’enfoncer plus tôt, plus facilement et de plus en plus loin en moi, et que ça ne me chauffait plus en attendant que la mouille fasse son apparition.
Je trouvais tout aussi agréable d’avoir son doigt dans mon trou du cul que je sentais serré. Il l’enfonçait tous les jours un peu plus profondément jusqu’à ce qu’il ait complètement disparu dans mon trou à merde, et il le faisait aller en va-et-vient, ce qui me faisait branler sa bite avec encore plus de plaisir.
Et puis un jour, enhardie par des sensations nouvelles que je découvrais pendant qu’il me doigtait, je me penchai et j’embrassai son gland. Mon frère fut surpris par ce baiser inattendu et me demanda de continuer de le lécher, ce que je fis tout en le branlant. Il commença à gémir d’une façon nouvelle. Il me demanda d’enfourner sa bite dans ma bouche et tout naturellement, je me mis à la sucer.
Je cessai de le branler, et m’appuyant sur mes deux mains je fis descendre ma bouche sur toute la longueur de sa bite, sans m’étouffer, jusqu’à ce que mon nez soit collé sur son ventre. J’accélérai mon mouvement et Jacques gémissait de plus en plus. Ça commençait drôlement à m’exciter.
Tout à coup, je vis son corps se raidir, l’entendis pousser un grognement et je sentis ma bouche se remplir d’un liquide chaud et épais... Avec la surprise et la quantité de foutre qui s’est retrouvé dans ma bouche, je m’étouffai et du sperme ressortit par mon nez, mais j’avalai le reste. Je toussai pendant quelques instants, les yeux dans l’eau. Mon frère se confondit en excuses.Je lui dis que ce n’était pas grave, mais j’aurais aimé qu’il me prévienne avant de lâcher la sauce !
Alors là, nous venions de découvrir quelque chose de nouveau ! Je me mis à le pomper tous les jours. Je me déshabillais, il faisait de même, je me mettais à genoux devant lui, je bouffais sa bite, et il déchargeait dans ma bouche à chaque fois. Je commençais à trouver assez agréable la sensation du foutre se répandant dans ma bouche et sur ma langue, qui devenaient de plus en plus expertes.
Un jour, pendant la pipe quotidienne, je me mis à frotter mes lèvres vaginales que j’écartai pour faire ouvrir mon vagin comme le faisait mon frère et j’éprouvai une agréable sensation. Je le suçai encore plus fort et il se vida dans ma bouche avec encore plus de conviction. J’avalai tout avec délice. Cette sensation que j’avais découverte en touchant ma chatte me fit penser à d’autres plans pour branler mon frère et par la même occasion, prendre un peu de plaisir.
Je le fis s’étendre sur le dos, nu, et après m’être déshabillée, je le chevauchai et je m’assis sur sa bite qui était allongée sur son ventre, je pris appui avec mes mains sur ses pectoraux et je commençai à valser du bassin d’avant en arrière. Ma chatte ne fut pas longue à s’humidifier ce qui lubrifia bien la bite que je branlais d’une nouvelle façon très agréable. Normalement, au bout de deux minutes de ce traitement, il expulsait de longs jets de foutre sur son ventre.
De temps à autre, je m’arrêtais et je me penchais pour sucer cette bite sur laquelle je me donnais à fond. Ensuite, je remontais en selle et repartais pour un rodéo endiablé. Tellement endiablé qu’à un certain moment, je ne sais par quel mouvement étrange et accidentel, la queue de mon frère s’est retrouvée enfoncée dans ma chatte serrée, toute chaude et humide.
Je fus surprise et éprouvai un peu de douleur et en remontant pour tenter de me séparer de cette queue indomptée, mon frère m’agrippa par les hanches pour me forcer à redescendre et m’empaler à nouveau. Nouvelle douleur, raisonnable toutefois et une nouvelle sensation plutôt agréable. Je recommençai. Même jeu de mon frère. Encore et encore.
Je commençai de moi-même à monter et descendre. Jacques, me tenant par les hanches, descendit ses mains sur mes jolies cuisses et les remonta ensuite à ma poitrine volumineuse, qu’il caressa avec un plaisir évident. Alors là, il gémit d’une façon inhabituelle et je commençai à gémir doucement.C’était la première fois que je gémissais, car quand mon frère jouait dans ma chatte avec ses doigts, c’était plutôt brutal, mais là, j’avais un peu plus le contrôle de la situation et en plus, je me faisais du bien. Mais mon va-et-vient ne dura pas longtemps. Le corps de Jacques se raidit, il reprit mes hanches et poussant mon bassin vers le bas, il poussa le sien vers le haut pour me fourrer le plus profondément possible et c’est là que je le sentis trembler et que ma chatte se remplit de foutre bien chaud et commença même à déborder.
Qu’est-ce qui allait arriver maintenant ? Nous n’avions pas Internet, mais nous savions d’où venaient les bébés. Je me retirai, un peu inquiète et une bonne dose de semence s’écoula de mon vagin et s’étala sur la queue de mon frère à bout de souffle. Que fallait-il donc faire ? Allais-je être enceinte ?
Suite bientôt...
Diffuse en direct !
Regarder son live