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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 20

Maman défoncée par son frère le jour de son mariage

Trash
Ça m’excitait terriblement de sucer la grosse queue de mon frère en cet instant et en cet endroit interdit.
— T’es vraiment une salope, tu sais ? Sucer ton frère juste avant de te marier et dans l’église en plus !! Cochonne !
Toujours en le suçant, sans les mains (Jacques adore ça) je sortis mes gros nichons de ma robe de mariée et je les massai en commençant à couiner. Retirant ma bouche de sa queue :
— C’est toi qui m’as rendue salope. Ta bite entre mes nichons... maintenant !
Il plia un peu ses genoux et enfila sa verge tendue entre mes obus fermes de jeune fille de 23 ans. Je serrai mes nichons l’un sur l’autre pour bien emprisonner sa belle bite et je commençai à le branler. Je crachai sur sa queue pour bien lubrifier l’assemblage. Je le regardai en me léchant les lèvres.
— Putain de cochonne, tu vas me faire venir ! T’aimerais que je vienne sur ton visage ?— Tu sais bien que j’adore ça !
Après un moment de va-et-vient, il retira sa bite, et me faisant lever, me tourna dos à lui.
— Je vais t’enculer ici, tout de suite. C’est ce que t’attends, hein petite chienne ?— Oui, défonce-moi une dernière fois, défonce mon cul de pute !— Ne sois pas si dramatique, ce ne sera pas la dernière fois... Je t’enculerai toujours quand tu le voudras, tu le sais bien !
Avec Jacques derrière moi, son visage dans mon cou, et sa langue léchant mon lobe d’oreille, il attrapa mes nichons aux tétons durcis et les mania et les claqua un moment en me disant des saloperies à l’oreille. Puis me poussant vers l’avant, il me fit prendre appui sur la balustrade devant moi. Il releva ma robe, palpa mes fesses, leur donna quelques bonnes claques, se mit à genoux, écarta mes rondeurs et entreprit de lécher mon trou de balle.
— Nom de Dieu Jacques... c’est bon... putain, ce que j’aime quand tu lèches mon trou à merde !— Je vais t’éclater le fion ! Quel putain de beau cul ! T’es vraiment bien foutue, petite sœur.
Il lécha avec ardeur toujours en claquant mes fesses. Je descendis une de mes mains vers ma chatte pour me branler. J’étais sur le point de jouir quand Jacques s’interrompit. Il se releva pour aller chercher quelque chose, pendant que je continuai de caresser ma fente dégoulinante.

Il revint avec le ciboire contenant les hosties. Puis le mettant dans ma main entre mes cuisses, me dit de le tenir là, près de ma chatte. Il s’agenouilla de nouveau, son visage près de mon cul, et se remit à me lécher le trou de balle. Deux de ses doigts coulissèrent dans ma chatte déjà bien trempée et il entreprit de stimuler mon point G en bouffant mon cul.
Ses doigts allaient et venaient de plus en plus vite sur le point sensible à l’intérieur de mon vagin huileux. Je dus me mordre les lèvres pour ne pas pousser un grand cri pendant un des orgasmes les plus puissants que j’ai eus de ma vie. Je sentais la mouille sortir de mon trou et mon frère ajusta la position du ciboire pour en perdre le moins possible et ainsi arroser les hosties de ma liqueur, puis il reprit la coupe sainte.
— Écarte bien tes fesses...
J’obéis en me penchant encore plus vers l’avant, présentant mon trou béant à mon frangin qui commença à le remplir d’hosties détrempées de ma mouille.
— Putain, ce que tu seras bonne à enculer quand ton cul sera rempli... Enfonces-en le plus possible dans ta chatte.
Il m’offrit le vase à moitié rempli d’hosties devenues pâteuses. J’en pris une pleine main, et tentai de me fourrer le tout dans la chatte. Il en tombait la moitié sur le plancher. Après deux autres tentatives, mon vagin était bien rempli et je commençai à jouer avec mon clitoris.
— Jacques, tu es vraiment un dépravé! — Je sais. Fous-toi à quatre pattes et continue de te branler. Nom de Dieu, ça va être génial !
J’obtempérai en mettant mon visage de côté contre le sol et en montant mon cul bien haut, les cuisses bien écartées. Jacques continua de me remplir le cul jusqu’à ce qu’il ait vidé tout le récipient. Je me sentais gonflée et très excitée. Tout ce que j’espérais, c’est que personne n’arrive avant qu’il m’encule. Je voulais trop être défoncée en ce moment. Mes doigts continuaient à maltraiter mon bouton ultra-sensible et je bouffais sur le plancher, les hosties qui n’étaient pas entrées dans ma chatte.
— Ah, salope, je vais t’enculer maintenant... Oh oui, petite garce, je vais te défoncer ton joli cul de chienne !
Je me mis à pincer mon clitoris pendant que je sentais la bite de Jacques commencer à forcer mon trou de balle. Son pieu s’enfonçait doucement, tentant de se frayer un chemin dans mon rectum bien rempli.
— Putain, Jacques, j’ai le cul qui va déborder ! T’es sûr que tu réussiras à m’enculer ?— T’occupe ! Ah salope... la voilà ma queue qui entre ! Tu la sens ma bite ? Tu la sens s’enfoncer dans ton trou à merde ? — Oh oui... pousse... pousse ! Nom de Dieu, ce que j’ai le cul plein !
Une fois sa queue enfoncée dans mon cul jusqu’aux couilles, il m’agrippa solidement par les hanches et se mit à m’enculer franchement. Je sentais les hosties se désintégrer sous les puissants coups de bite de mon frère.
— Oui Jacques... oui !!! Défonce ta petite pute de sœur ! Éclate-lui le cul à cette salope !
Il me défonçait littéralement, en grognant comme un porc.
— Tu aimes te faire éclater le fion, hein, petite sœur ?— Oh oui... Putain de nom de Dieu que c’est bon !
Jacques passa sa main sous mon ventre et rejoignit ma chatte. J’enlevai ma main pour le laisser me claquer le clitoris, ce qu’il fit pendant un moment pour me faire pâmer davantage. Il enfonça ensuite deux doigts dans ma chatte et en ressortit une pâte visqueuse composée de cyprine et d’hosties qu’il porta à ma bouche. Je léchai ses doigts avec délice et il les replongea aussitôt pour en reprendre une autre portion, cette fois plus grosse, qu’il me fit manger, toujours en me limant le cul.Après cette deuxième ration, il me reprit par les hanches pour finir de m’éclater le fion toujours plus fort. Je rejoignis ma chatte avec ma main pour finir de la vider et de tout bouffer comme une truie. Je me remis ensuite à caresser mon clitoris et mes lèvres dégoulinantes de mouille.Un puissant orgasme me fit trembler des pieds à la tête. Tout ce que nous faisions était tellement sale et immoral. Jamais je n’avais joui aussi fort deux fois de suite.
— Tu es bonne à enculer quand tu jouis petite pute... Tu aimes quand ton frère t’éclate la rondelle ? dis-le-moi !— Oui... j’adore quand mon frère m’éclate ma petite rondelle... Oh oui ! Continue ! T’arrête pas. Je suis ta pute et je le serai toujours ! Déchire mon cul !
Il devenait de plus en plus enragé et je payais cher ! J’entendais sa peau claquer contre mes fesses.
— Tiens, prends ça petite chienne ! Tu veux de la bite hein ? Tiens, prends encore ça !— C’est bon... merde... continue ! Nom de Dieu, ce que je peux aimer me faire enculer !
Je me remis à frotter mon clitoris à pleine main, jouissant encore deux fois de suite. Cette queue dans mon cul rempli d’hosties me faisait me rendre compte à quel point j’étais une salope et ça m’excitait tellement !
— J’aimerais que tu sois là pour ma nuit de noces. Je pourrais te défoncer pendant que tu bouffes la moule de ma femme... Putain, ton cul se resserre ! Tu vas jouir, salope ?— Ouiiiiiiii !!!! Ahhhhh... merde ! Putain de nom de Dieu !!! Ouiiiii !!
Et je laissai partir un bon jet de cyprine qui éclaboussa ma main, laquelle je portai immédiatement à ma bouche pour la lécher.
— Je vais remplir ton cul de foutre... Je viens ! Putain !!!
Il s’enfonça plus avant dans mon cul et pendant qu’il jouit, il me claqua les fesses à tour de bras. Je sentis son foutre chaud remplir chaque interstice de mon rectum. Cinq ou six bons jets de sperme se mêlant aux restes des hosties broyées et réduites en pâte.
— Oh, ce que tu me remplis le cul !!! Tout ce foutre dans mon putain de cul !
Quand il eût fini de se vider dans sa poubelle à foutre, il se retira, mit sa main sous mon trou du cul et me commanda de me vider le rectum. Je sentis cette mixture composée de pâte et de foutre sortir de mon trou de balle fraîchement défoncé.Il me retourna vers lui en me tirant par les cheveux et présenta à ma bouche sa main pleine d’une substance blanchâtre.
— Tiens, le dîner de noce de ma petite pute...
J’avalai avec délice tout ce qu’il me présenta en me branlant à nouveau. Une fois fini, il me fourra sa bite souillée dans la bouche.
— Tiens petite chienne, nettoie bien ma queue. Elle sort de ton cul de salope ! Lèche tout, bien comme il faut !
Une fois que j’eus bien nettoyé sa bite, il me transporta sur une table et m’y déposa sur le dos. Il écarta mes cuisses au maximum et se mit à nettoyer ma chatte des restes d’hosties, sa langue fouillant tous les recoins. Il bouffa aussi mon cul souillé de pâte d’hosties et de foutre. Il nettoya de sa langue chaque centimètre carré de ma raie de fesses. Une fois son opération terminée, il remonta à mon visage et nous nous embrassâmes passionnément.
— Jacques, tu crois qu’on ira en enfer ?— Ça ne fait aucun doute !— Hahaha !! Tu m’enculeras pendant que je sucerai Satan ?— Je prendrai un plaisir féroce à t’enculer où que tu sois, garce !
Pendant quelques instants, nous reprîmes notre souffle, réajustâmes nos tenues, je refis mon maquillage et ma coiffure en vitesse et moins d’une minute plus tard, on venait nous annoncer que les invités commençaient à arriver et nos futurs époux étaient eux aussi arrivés. Il était moins une !Quarante-cinq minutes plus tard, nous étions mariés !
— Wow maman ! Vous êtes vraiment des dépravés !! — Je sais... et on adore ça ! Et tu n’as rien entendu, il y a eu encore bien plus immoral.— Tu rigoles ? Bon, tout cela est bien mignon et tout, mais ce que je veux savoir, c’est de quelle façon M. le curé est devenu mon père ?
M. le curé ou plutôt papa, qui branlait doucement sa queue presque complètement rebandée, prit la parole.
— Tout a commencé à l’enterrement de son mari...
Suite bientôt...
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