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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 22

Maman devient la reine des putes...

Divers
Immédiatement, je sentis ma queue commencer à se raidir. Cette petite salope était vraiment trop bandante. Je ne l’avais jamais vraiment remarquée avant toute cette histoire. À son mariage, je l’avais trouvée jolie, mais sans plus. Mais depuis sa confession... depuis que je sais le genre de salope qu’elle est... Putain, la chienne !
Je fis quelques acrobaties pour cacher la bosse qui se formait sur le devant de ma soutane et je m’approchai des deux familles réunies devant le cercueil de Pierre. Je me dirigeai vers Marie qui m’avait vu arriver.
Je devais absolument la toucher, n’importe où, n’importe comment. Je mis ma main sur son épaule en signe de compassion et je sentis un courant électrique traverser tout mon corps. Elle se rapprocha de moi et me fit un sourire las. Son parfum était exquis et me fit chavirer. Ma bouche s’assécha et je ne pus que bredouiller un « je suis désolé » (pour la mort de son mari) pas très convaincant.
Je quittai le groupe, soulagé, car mon érection se formait de plus en plus, et m’installai sur une chaise au fond de la petite salle qui serait bientôt encombrée de gens venus soutenir la jeune veuve et les familles endeuillées.
Je choisis un emplacement d’où je pouvais voir Marie en tout temps. Elle était magnifiquement sexy. Ses grands yeux, ses lèvres charnues, sa poitrine généreuse et le galbe de ses jambes... du moins la partie visible et elle semblait porter un joli cul bien rond.
Plus je la regardais, plus je m’imaginais en train de la défoncer et plus ma queue durcissait. Porter une soutane à ses avantages. Comme je n’avais pas mis de slip, je pus fourrer mon énorme bite en liberté entre mes cuisses pour l’empêcher de se mettre au garde à vous et me rendre mal à l’aise. Ce n’était pas très confortable d’être presque assis sur ma queue, mais comme on dit : il faut ce qu’il faut !
Puis, les gens commencèrent à arriver. Marie pleura beaucoup en recevant les condoléances. Je n’avais qu’une envie : la serrer dans mes bras, non pas pour la consoler, mais bien pour sentir ses gros nichons s’écraser sur mon corps. On aurait dit que je n’avais plus de sentiments à part l’envie presque irrésistible de la toucher et profiter de son corps pour finalement baiser cette petite pute.
Je la fixais, regardant cette bouche qui avait sucé la queue de son frère et qui, peut-être un jour, sucerait la mienne et qui avait sûrement avalé des litres de sperme. Je me l’imaginais en train de se faire enculer en levrette, ses gros nichons se balançant pour finalement être recouverts de semence. Je la voyais se faire claquer son petit cul pendant qu’elle se faisait fourrer comme une chienne et recevoir une dose de foutre sur son joli visage de salope.
STOP ! Je vais jouir sous ma soutane sans me toucher ! J’allai prendre une marche à l’extérieur pour tenter de me changer les idées, mais rien n’y fit. Je ne voyais que cette petite garce se faire limer le trou. Mon cœur battait la chamade, je n’entendais et ne voyais plus rien, je marchais comme un robot, j’avais la bouche et la gorge sèches et en surplus, je ne débandais pas.
Je retournai au salon funéraire qui fermerait ses portes dans une quinzaine de minutes et ensuite, je rentrerais au presbytère prendre une douche glacée. À mon grand désarroi ou à ma grande joie, Marie me fit signe de m’approcher. Mon cœur s’arrêta presque. Je me rendis près d’elle en essayant d’avoir l’air normal le plus possible. Elle mit la main sur mon épaule pour me faire pencher, car je mesure 1,90m. Nouvelle décharge électrique...
Elle me dit à l’oreille qu’elle aimerait que je reste après le départ de tout le monde, qu’elle avait besoin de parler à quelqu’un qui serait susceptible d’avoir « des réponses », et qui serait apte à la guider pour les semaines pénibles qui s’annonçaient. J’eus presque une attaque... Moi, seul avec elle ? J’allais sûrement m’évanouir...
Je l’assurai de ma présence et que je ferais tout mon possible pour l’aider, tout en essayant de cacher le trouble que sa requête m’avait causé.
Je me rendis, presque en chancelant, à la petite cuisine pour prendre un verre d’eau et pour tenter de me calmer. Ma main tremblait... ou plutôt, je tremblais des pieds à la tête.Je me forçai à me maîtriser et retournai dans la salle en demandant à tout le monde de se réunir près du cercueil. Je récitai d’une voix monocorde, et sans entendre un mot de ce que je dis, une dernière prière destinée au défunt.
Après la prière, les gens allèrent saluer Marie en l’embrassant et plusieurs vinrent me serrer la main avant de quitter. Son frère quitta le dernier après avoir serré très fort sa sœur dans ses bras. Puis, me prenant à part :
— Prenez bien soin d’elle. — N’ayez crainte. Allez en paix mon fils. — Prenez soin d’elle...
Était-ce à double sens ? Avait-il lu dans mes pensées ? Avait-il vu dans mes yeux que je ne désirais qu’une chose : éclater les trous de sa petite putain de sœur ?
— Allez en paix mon fils...
Avais-je, sans le vouloir, indiqué clairement à Jacques : T’en fais pas, je vais la défoncer comme elle le mérite ta petite chienne !
Allons Émile ! Tu divagues, tu es en train de perdre la raison ! Ton imagination te joue des tours. Va-t’en au plus vite ! Quitte cet endroit !Ma décision était prise : j’écouterais Marie quelques instants, lui donnerait quelques conseils et je filerais, prétextant quelques occupations urgentes.Je me retournai et je vis Marie agenouillée sur le prie-Dieu à côté du cercueil, touchant les mains de son jeune mari en pleurant doucement. Dès que je vis son cul, ma décision de partir s’envola.
Je m’agenouillai à sa droite, mon corps frôlant le sien. Je mis ma main gauche sur son épaule droite que je serrai légèrement, lui laissant savoir par ce simple geste que je compatissais. Immédiatement, elle éclata en sanglot et nicha sa tête au creux de mon épaule. Mon cœur voulut sortir de ma poitrine. Espérant qu’elle ne remarquât rien, j’entourai ses épaules de mon bras gauche. Puis, cessant quelques secondes de pleurer :
— C’est trop injuste... Pourquoi ? Pourquoi ? Je l’aimais tellement... Pardonne-moi, Pierre... Et elle se remit à sangloter.
Comme je n’avais pas de réponse à lui offrir, je me mis à frotter son dos comme une maman qui veut consoler son enfant après un gros chagrin. Je frottai en descendant toujours un peu plus bas jusqu’à la naissance des fesses, puis je remontai aux épaules et à la nuque. Je descendis encore plus bas et cette fois, ma main toucha légèrement sa fesse gauche. Comme elle ne réagit pas, je recommençai. La nuque, les épaules, le dos... et le cul. Cette fois, j’y allai franchement, serrant ses fesses entre mes doigts, les palpant, les frottant. Elle se détacha de moi quelque peu.
— Mon père ! Mais qu’est-ce que vous faites ?
C’est à ce moment que le Diable s’empara de mon esprit, et dès cet instant, je ne fus plus jamais le même. Je me mis à dire des obscénités et je devins, en l’espace d’une fraction de seconde, l’être le plus vicieux, le plus décadent et le plus dépravé que je n’avais jamais rencontré. Je ne me reconnaissais plus et je me foutais de tout ce qui pourrait m’arriver.
— Tu es une petite salope toi, hein ?
Elle se retourna sa tête vers moi, surprise.
— Quoi ? Mon père ! De quoi parlez-vous ?
Elle tentait de se dégager, mais, il me semblait, sans trop de conviction.
— Oh oui, t’es une petite pute...
Je continuais de pétrir son cul bien ferme.
— Arrêtez ! Je vous défends...— Je sais bien que t’aimes te faire tripoter le cul. C’est toi qui me l’as dit en confesse, petite chienne.
Elle commença à se calmer et cessa de tenter de se dégager, et je sentis, très légèrement, qu’elle se collait un peu plus sur moi.
— Mon père je...— Tu aimes te faire enculer, hein petite garce ?— Mon père...— Et la bite de ton frère, tu aimes la sucer, hein ?— Mon... Mmmm...— Et du foutre ? Tu en as avalé combien de litres, salope ?
J’étais terriblement excité. Je lui donnai une claque sur les fesses qui la fit réagir d’un petit gémissement. Les saloperies sortaient de ma bouche et ça me rendait vraiment cochon. De ma main droite, je me mis à masser ses gros nichons. Elle ne réagit pas... elle ne réagirait plus désormais. Ma main gauche lui tripotant toujours le cul, elle se mit à soupirer, doucement au début, puis de plus en plus fort jusqu’à un léger gémissement. Ma queue n’avait jamais été aussi dure. Je me mis à chuchoter à son oreille.
— Tu aimes ça hein ? Tu aimes faire la chienne... — Mmmmmh... mon père...— T’es qu’une sale pute, te laisser tripoter devant la dépouille de ton mari...— Mmmmmh... Oui... une pute...
Puis, me regardant avec des yeux que je n’avais jamais vus chez quiconque auparavant, des yeux tellement cochons que mon estomac se serra encore plus qu’il ne l’était, elle repoussa doucement ma main de ses nichons, défit les boutons de sa robe qu’elle ouvrit de chaque côté de sa poitrine, et exhiba un soutien-gorge de dentelle noire. Et toujours en me fixant de ce regard de pute en chaleur, elle le dégrafa par le devant, faisant ainsi apparaître deux obus, plus gros que je me les imaginais. Ses magnifiques mamelons brun pâle d’environ 5 centimètres de diamètre et parfaitement dessinés, regardaient droit devant eux et étaient dotés de tétons assez longs et bien durs.
Toujours agenouillée devant son défunt mari, elle se tourna légèrement pour se retrouver dos à moi. Elle prit mes deux mains, les monta sur ses nichons et renversa sa tête sur mon épaule.Ils étaient gros, chauds, doux et bien fermes. Je pinçai et étirai ses tétons d’environ 1 centimètre de longueur entre mes pouces et mes index, ce qui la fit gémir un peu plus fort. Je parlais dans son oreille.
— Si tu savais ce que te me fais, petite pute ! — C’est bon mon père, continuez... Mmmmh...— Tu aimes te toucher ? — Mmmmh... oui...
Sans se faire prier, elle descendit sa main gauche sous sa robe, et commença à caresser sa chatte. Sa respiration s’accéléra. Immédiatement, elle recula son cul, le colla sur ma bite et commença à valser des fesses.
— Oh, mon père ! Votre bite est grosse ? Vous aimez mon petit cul qui la frotte ?— Espèce de petite cochonne... Tu aimes le cul, hein ?— Oh oui, mon père, j’adore le cul... — Tu me montreras ? Je n’ai pas... je n’ai jamais...— Oh ! Je vais tout vous apprendre mon père... continuez... pincez mes tétons... plus fort... Mmmm...
J’obéis.
— Putain, ce que c’est bon, mon père ! Vous allez me faire jouir...
Elle était maintenant très excitée.
— Et tu me montreras comment te défoncer ?— Oh oui, mon père... vous me défoncerez comme la dernière des putes, comme j’aime...— Et je pourrai t’enculer ? — Oh oui ! Autant que vous voudrez. J’ouvrirai mon cul de salope pour votre grosse bite, mon père...
M. le curé massait mes gros nichons et ayant repoussé le devant de ma culotte sur le côté, je caressais ma chatte qui dégoulinait. Je n’avais pas baisé ou sucé depuis une semaine. J’étais en chaleur comme jamais auparavant !Je me faisais masser les nichons par le curé, je me caressais la chatte devant le cercueil contenant mon mari et j’étais près de l’orgasme... À cet instant, je venais de passer au stade supérieur des salopes.Suite bientôt...
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