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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 23

Maman défoncée par le curé

Trash
Oui, une putain de salope ! Voilà ce que j’étais... et ça me plaisait de plus en plus !Je continuais de faire valser mon cul sur l’énorme bosse que je sentais sous la soutane du curé. Après un court moment, il se recula un peu.
— Tu vas me faire jouir, petite pute !— Vous aimez mes gros nichons, mon père ?— Putain, oui ! Tu aimes ma queue ?— Oui, mon père. On vous l’a déjà sucée, votre grosse bite ?
Je l’entendais respirer très fort dans mon oreille.
— Non, jamais... Tu aimes sucer des grosses queues, hein petite pute ?— Mmmmmm... Ça m’excite quand vous me traitez de petite pute... Oui, j’adore sucer...
Il recolla sa bite sur mon cul et maintenant, c’est lui qui faisait un mouvement avec son bassin. Je doigtais toujours ma chatte de plus en plus vite. J’y enfonçai trois doigts en faisant rouler ma main dont la paume frottait mon clitoris. On entendait clairement le clapotis caractéristique de la chatte inondée qui se fait malmener.Il maniait mes nichons avec rudesse et pinçait mes tétons très fort, ce qui me faisait pousser de petits cris de douleur entrecoupés de longs soupirs de plaisir.
— Vous voulez me fourrer, mon père ? Vous aimeriez défoncer ma petite chatte avec votre grosse bite ? Elle est bien lubrifiée maintenant, ma petite fente... Putain, c’est bon cette queue sur mon cul... — Putain, oui ! Petite chienne, je vais te déchirer !
J’étais très près de jouir et de demander à un prêtre de me bourrer la moule, m’excitais au plus haut point et ça me fit jouir.
— Nom de Dieu mon père... je vais... jouir..... Aaaaahhhhhhh !!!! Putain !!!!
En extase, je remontai ma main mouillée de cyprine et la léchai avec délectation.
— T’es une vraie salope toi...— Oh oui, mon père, une vraie de vraie salope !
Il laissa mes nichons, non sans leur avoir d’abord donné quelques bonnes claques, et se leva debout derrière moi.
— Continue de te branler et caresse tes nichons, salope.
Je l’entendais gronder derrière moi.
— C’est bien... t’es une bonne petite pute.
Toujours en me doigtant, j’approchai un de mes tétons de ma bouche pour le lécher et le sucer. J’en mordillai le bout en gémissant.
— Oui, continue. Ne t’arrête pas... Ça m’excite de te voir faire la pute...
Tout à coup, je sentis une masse sur mon épaule droite. Je tentai de tourner mon visage quelque peu, mais il colla sa bite dans mon cou et de sa main sur ma joue gauche, poussa ma tête pour serrer sa queue entre ma joue droite et mon épaule et ainsi créer un compartiment qui enserra sa matraque. Il fit un mouvement de va-et-vient comme s’il « fourrait » mon cou. Ma langue sortie tenta de lécher le gland, que je devinai, mais ne vit pas, à chaque passage. C’était un peu maladroit comme procédé, mais pardonnable pour quelqu’un qui n’avait jamais été avec une femme. Je le laissai aller quelques instants et sentant qu’il ne savait trop quoi faire, je pris le contrôle.
— Laissez-moi faire, mon père.
Toujours à genoux sur le prie-Dieu, j’en descendis et m’agenouillai par terre devant lui, toujours en caressant ma chatte. C’est là que je vis, sortie d’entre les deux pans de la soutane ouverte jusqu’au nombril du prêtre qui allait me défoncer, la plus gigantesque queue qui m’ait été donnée de voir ! À vue de nez, elle devait mesurer environ 30 centimètres de longueur et entre 6 et 7 centimètres de largeur, peut-être plus.La "chose " parfaitement rectiligne se tenait bien fièrement, un peu plus haut que l’horizontale, le gland bien reluisant et le manche bien veineux. Entre les cuisses pendait un sac de peau d’environ une quinzaine de centimètres de long, contenant, il me semblait, des couilles de la grosseur d’œufs de poule. Et le tout, imberbe. Pas un poil à l’horizon !Je bavais littéralement, comme une chienne de Pavlov entendant la cloche du repas. Tout ce que je pus dire c’est :
— Mon père... Putain de nom de Dieu ! Oh, mon père... Oh, mon père ! — Je savais que tu aimerais, petite pute... Maintenant, fais ce que tu sais faire de mieux: la salope...
De ma main gauche, j’empoignai comme je pus cette anomalie de la nature. Ma petite main était loin de pouvoir faire le tour de la tige. Je forçai pour tenter de faire se toucher le bout de mes doigts avec mon pouce, mais c’était peine perdue. Je m’y pris à deux mains et je commençai à branler cette impressionnante queue brûlante et très dure en regardant M. le curé avec des yeux pleins d’envie et reportai ensuite mon regard sur le "monstre".
— Oh oui... tu sais y faire, toi... Continue...
J’étais hypnotisée par cette bite que je caressais sur toute sa longueur et les gémissements de M. le curé m’excitaient. Je regardais avec appréhension cette massue qui allait me transpercer bientôt.Je crachai à deux ou trois reprises sur le gland pour ensuite récupérer la salive de mes deux petites mains pour mieux branler cette belle verge. Je commençai malgré moi à gémir, tellement j’étais excité par le morceau de viande que je manipulais.
— Putain, la belle bite... Nom de Dieu, mon père ! Vous croyez que vous pourrez me fourrer avec cette queue ?— J’y arriverai... j’y arriverai, petite pute... — Vous risquez de me déchirer...— Rien à foutre ! Tu seras défoncée comme une chienne...
Excitée, mais quand même un peu inquiète, je le branlai de plus en plus vite. Son esprit s’enflamma sous mes mains expertes. J’approchai doucement ma bouche du gland et me mis à le lécher sur toute sa surface.
— Ah petite pute... Langue de chienne... Ouvre ta bouche de salope...
J’ouvris le plus grand que je pus et il enfonça son gland le plus loin possible. Je continuai de branler la partie de sa bite qui n’était pas dans ma bouche, c’est-à-dire la majorité de l’engin. Seulement le gland était à l’intérieur et ma petite bouche était pleine ! Je tentai de pomper comme je pus.
Il prit ma tête à deux mains et poussa sa bite, mais elle ne pouvait aller plus loin que l’entrée de ma gorge. Comme je faisais des gorges profondes à mon frère depuis plusieurs années, je n’eus pas de haut-le-cœur, mais je me demandais ce qu’il se passerait s’il se mettait en tête de baiser ma gorge !
Finalement, après quelques essais, il renonça et retira sa queue de ma bouche. Je continuai néanmoins à la branler, mais seulement avec ma main gauche. Ma main droite descendit vers les énormes couilles. Je glissai la paume derrière le sac soyeux que je serrai depuis la base de la bite et la descendis jusqu’aux boules qui se retrouvèrent bien au fond de la poche, ce qui tendit la peau.
Je portai à ma bouche, telle une botte de radis, ces deux couilles démesurées et je les léchai goulûment toujours en branlant de mon autre main. Il se mit à grogner comme un porc. Je fis mon possible pour me mettre les couilles en bouche, mais n’y arrivai qu’à moitié. Je les mordillai et les tétai du mieux que je pus. Les mains du curé s’agrippèrent à mes cheveux.
— Putain de petite salope... On voit bien que tu suces depuis longtemps... Putain de Dieu que c’est bon !— Mmmmm... — Et maintenant, je vais défoncer ta petite fente... Tu veux que M. le curé t’agrandisse le trou devant ton mari, petite chienne ?
Excitée par tant de vulgarités et peut-être pour chasser la crainte que j’avais d’être embrochée vivante, je devins vulgaire à mon tour, tout en gémissant.
— Oh oui, mon père... Défoncez-moi... déchirez-moi s’il le faut !! Défoncez votre petite putain de salope !! Je suis votre petite chienne ! Nom de Dieu, fourrez-moi !
Excité comme un porc, il me releva par le cou et approcha mon visage du sien et me gifla. Il avait un regard fou.
— Je vais t’enfoncer ma grosse bite dans le corps, plus loin que ton nombril...
Il cracha sur ma bouche à deux reprises avant de planter sa langue dans ma poubelle à foutre. Il suça ma langue comme un enragé en maniant mon cul avec rudesse. Il claqua mes fesses à plusieurs reprises de ses grandes mains.
Puis me retournant sans douceur, il me fit monter debout sur le prie-Dieu et poussa entre mes omoplates et je pris appui sur le cercueil. J’étais bien penchée vers l’avant, son bassin se retrouva à la même hauteur que mon cul monté bien haut. Mon visage se retrouva à environ 30 centimètres de celui de mon défunt mari.
M. le curé releva ma robe, exposant ma culotte trempée qu’il arracha violemment, ce qui me fit pousser un gémissement. Mon joli cul se retrouva nu. Il recommença à le claquer, ce qui m’excita davantage. De deux coups de pied sur mes chevilles, il me fit écarter les cuisses.
De ses grandes mains, il caressa mes fesses et fit descendre un doigt dans ma raie jusqu’au trou du cul qu’il chatouilla, puis se rendit à ma chatte où il s’enfonça. Puis il se remit à claquer la peau douce de mes petites fesses.
— Quel beau cul tu as, petite pute... il sera encore plus joli quand il sera écarlate...
Il frappait à tour de bras. J’avais les fesses en feu et la chatte bien dégoulinante. Puis, me prenant par les hanches, il tenta de me pénétrer sans guider son dard, qui se perdit sur mes fesses ou entre mes cuisses. On aurait dit un verrat excité essayant d’accoupler sa truie. Je passai ma main entre mes jambes entrouvertes et empoignai sa queue pour la guider vers mon vagin. Dès qu’il sentit qu’il était au bon endroit, il poussa violemment, mais sa queue ne fit que glisser et se retrouva entre mes fesses. La fois suivante, elle passa entre mes cuisses et se plaqua sur mon ventre. Il commençait à perdre patience.
— Putain de merde de nom de Dieu !!— Allez-y doucement mon père et vous y arriverez... Laissez-moi faire.
Je pris son énorme bite, tout en me demandant comment il ferait pour me l’enfoncer où que ce soit, et avec le gland, je caressai mes lèvres bien mouillées. Je serrai les cuisses sur son membre et il commença à faire un va-et-vient. Toute la longueur de sa bite se frottait sur ma chatte et ma main qui gardait sa queue en contact avec mes lèvres. Il gémissait et moi aussi.Après quelques passes, je choisis le bon moment et je poussai sur le gland pour le faire entrer dans le trou qu’il désirait élargir. Il sentit ce qui se passait et poussa d’une façon régulière. Je sentis une douleur assez vive et me lamentai un peu, mais il continua à pousser.
— Ta gueule, salope ! Ferme là, petite pute, j’y suis presque !
Je retins mon souffle. Et il poussa... et il poussa... et poussa jusqu’à ce que son ventre soit collé sur mon cul. Je caressai mon clitoris pour tenter de chasser la douleur. Jamais je n’ai été remplie de cette façon. J’avais l’impression d’être une dinde bien farcie. Je me demandais où il avait bien pu trouver une niche pour toute cette barre de chair. J’avais mal, mais n’en dis mot de peur de déclencher sa Sainte colère et de toute façon, il s’en foutrait probablement.Ses deux mains qui faisaient presque le tour de ma taille resserrèrent leur emprise, il se mit à grogner et c’est là que je sus que j’allais payer cher le fait d’être une salope...
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