Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 91 J'aime
  • 1 Commentaire

Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 24

Ce soir où j'ai été conçue par M. le curé

Trash
Mon énorme queue était complètement à l’intérieur de la salope et mon ventre bien collé sur son magnifique petit cul bien rond et tout rouge, résultat de la fessée que je venais de lui administrer.Elle poussa un long soupir et descendit sa main à sa chatte, se branla quelques secondes avant d’attraper mes grosses couilles qu’elle malaxa.
— Oh mon père… je suis pleine! Votre putain de queue est énorme… nom de Dieu… Aahhhhh… vos grosses couilles sont pleines de foutre pour moi?— Ta chatte est bien serrée et brûlante, ma petite pute… Je n’aurais jamais imaginé cette sensation… … Tu es excitée, salope? Quand je te laisserai aller, tu déborderas de foutre par tous les trous…— Oh oui, mon père… fourrez-moi maintenant… tout de suite! Mais qu’est-ce que vous attendez, merde! Allez-y!— Tu as bien tort de m’exciter comme ça, petite salope… Tu sais que je pourrais détruire ta chatte?— Rien à foutre! Faites ce que bon vous semble! Mon corps est à vous maintenant…
Et la petite chienne commença à pousser des fesses pour me décider à la défoncer. Sa respiration s’accéléra du fait qu’elle avait recommencé à jouer avec son clitoris et son cul poussait sur mon bassin avec plus d’insistance.J’avais l’impression que dès que je ressortirais ma queue pour commencer à la fourrer, j’allais jouir immédiatement. Si je voulais la défoncer comme elle le méritait sans l’inonder de foutre au bout de cinq secondes, j’allais devoir me concentrer. Je développai, sans le savoir à ce moment là, une force mentale et une retenue hors du commun qui allait faire ma renommée dans les milieux underground. Je me concentrai quelques secondes et sortis ma queue, sauf le gland, de la chatte brûlante que je m’apprêtais à limer. Je voyais sa jolie tête blonde devant moi se pencher vers l’avant, peut-être de soulagement.
— Tu es prête petite pute? Ça va être ta fête, ma jolie…— Mais qu’est-ce que vous foutez? Défoncez-moi… S’il-vous-pl…
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que, d’un très violent coup de bassin, je lui enfonçai mon pieu jusqu’aux couilles, que je sentis se balancer entre mes cuisses. Elle se détourna quelque peu pour me regarder, et je vis son visage tordu par la douleur. Elle avait les larmes aux yeux. Sa voix tremblottait. Je voyais qu’elle se retenait très fort pour ne pas pleurer. 
— Ohhhhh… putain!!! Mon père… Quelle massue… Aahhhh… — Tu as mal?— …— Tu as mal? Répond, sale pute!
Elle reprit le contrôle de sa voix et me regarda d’un air de défi.

— … Continuez… Fourrez votre chienne! Allez-y nom de Dieu! Défoncez-moi!
Elle avait crié. De savoir que ma bite lui causait des douleurs m’excita au plus haut point. J’étais devenu vraiment pervers et complètement insensible en l’espace de quelques minutes. Déterminé à la défoncer, je ressortis ma queue et lui fourrai encore un bon coup. Ma peau claqua sur con cul. Elle laissa échapper un autre cri et un léger sanglot qu’elle tenta de retenir. Elle me regardait toujours. 
— Aaaahhh…
Et encore.
— Aaaaaaaaaahhh!!
Et encore.
— Aaaaaahhhhhhhh… putain!!!
Je me mis à la pistonner avec force et régularité en la tenant bien fermement par la taille. Je voyais ses fesses faire des vagues tellement je lui donnais de durs coups de bassin.
— Tiens, petite pute!!! Tu aimes te faire défoncer par M. le curé? Putain de salope, je te lime ton putain de trou… Aaahhh, chienne!!— Ahhhh… oui…
Ses cris de douleur se transformèrent lentement en gémissements. La petite garce commençait à prendre du plaisir à se faire quasiment détruire la chatte.
— Mmmmm… mon père… comme vous me défoncez… merde!!! Continuez…— Elle est plus grosse que la queue de ton mari, hein? Tu aimes, sale cochonne?— Oh oui, mon père, bien plus grosse… J’adore! Continuez de me bourrer…
Maintenant, j’y allais à fond de train. Elle avait toujours  une main appuyée sur le cercueil de Pierre et de l’autre, elle se branlait.
— Putain, je n’aurais jamais cru que c’était si bon de te fourrer! Tu es aussi bonne à enculer, dis-moi?— Mmmmm… oui… vraiment bonne... Mmmmm... un joli petit cul chaud et serré...
La petite salope m’excitait au plus haut point. Je devais me concentrer très fort pour ne pas jouir tout de suite. Je l’attrapai par ses cheveux blonds que je formai en queue de cheval et je tirai, ce qui lui fit relever la tête.
— Tiens, salope… regarde ton mari… tu crois qu’il est fier de sa putain?— Mmmmm… sa putain…
Je la fourrais de toutes mes forces devant son mari embaumé. Toute cette mise en scène m’excitait énormément. Je la défonçais maintenant comme je l’avais imaginé. Qu’est-ce qu’elle se prenait, la petite salope! Je grognais comme un porc en entendant ma peau claquer son cul.
— Tiens, prends ça… et encore… nom de Dieu!— Oh putain… jamais je n’ai été défoncée de cette façon... même pas par mon frère… Merde! C’est bon… n’arrêtez pas… Défoulez-vous sur ma chatte…
Soudain, je la sentis se raidir, elle retint son souffle et se laissa aller dans un grand cri et un grand flot de mouille. Elle porta à sa bouche sa main couverte de cyprine, qu’elle lécha tout en me regardant comme une pute, pendant que je continuais de lui démonter la chatte.
— Ah, petite pute, tu vas me faire venir tellement tu es salope…— Donnez-moi du foutre, nom de Dieu!
Le salaud retira son énorme mandrin de ma chatte, ce qui me fit échapper un long râle. Je me sentis aussitôt un grand vide à l’intérieur du corps. Aussitôt, il me retourna face à lui et colla sa bouche sur ma gueule mouillée de cyprine, qu’il se mit à lécher avec délectation.Il me souleva par la taille et me déposa assise sur la partie fermée du cercueil. Je pris appui avec une main derrière moi, l’autre se rendit à mon clitoris, et il m’écarta les cuisses au maximum. Il monta debout sur le prie-Dieu et le bout de sa bite, bien luisante de ma mouille, se retrouva en ligne directe avec mon vagin toujours ouvert.
— Tu veux voir ma grosse queue écarteler ta petite chatte? Regarde bien, petite pute, tu vas adorer…
Sans les mains et d’un simple mouvement du bassin vers l’avant, je vis son énorme gland se frayer un chemin entre mes lèvres rougies d’avoir été malmenées et centimètre par centimètre, je vis sa queue disparaître dans mon corps et qui forma une bosse bien visible sur mon ventre. Je fixais ce monstre qui recommençait à me pilonner, ce qui m’excita encore plus. Il écarta mes jambes en tenant mes chevilles et se remit à me défoncer. Il fixait mes gros nichons qui se balançaient avec chaque coup administré. Il baissa sa tête et cracha sur ma chatte. Sa salive se trouva un chemin jusqu’à sa bite et il me limait maintenant avec toute la force dont il était capable.
— Aaahhhh… Je suis votre petite chienne, mon père… ça vous plaît?— Oui, tu es ma petite salope maintenant… et je te défoncerai quand ça ma plaira…— Oh oui… Continuez… fourrez-moi comme la dernière des putes!— Je vais te remplir de foutre… maintenant… Sale pute! Salope… chienne…
Les insultes pleuvaient. Il ramena ses mains au dessus de me cuisses et planta sa queue le plus loin possible et resta immobile pendant une seconde. Il ferma les yeux, son corps se raidit, sa respiration s’arrêta et débuta le déluge dans un long cri rauque.Je sentis un long jet de foutre se répandre dans mon vagin, qui aussitôt se remplit et se mit à déborder. Un autre très long jet partit et créa un genre de pression à l’intérieur de mon trou à foutre. M. le curé beuglait sa jouissance. Il retira de quelques centimètres sa bite, ce qui créa une « explosion » de sperme dû à la pression, qui éclaboussa le bas ventre de mon fouteur.Encore cinq ou six jets se déversèrent dans ma chatte déjà pleine de cette queue. Tout se foutre déborda de ma fente et forma une flaque sur le couvercle du cercueil et dégoulinait même plus bas, sur le cuir du prie-Dieu où j’étais agenouillée un peu avant. Je continuais de me maltraiter le clitoris. Je le claquais maintenant à pleine main.
— Ahhhh… tout ce foutre, mon père… tout ce putain de foutre pour moi…
À bout de souffle, M. le curé se remit à me fourrer comme s’il ne s’était rien passé. Sa queue ne débandait pas. Il lâcha une de mes chevilles et se mit à masser et à claquer mes nichons. Je le regardais, les yeux mi-clos, en jouissance presque permanente.Il monta sa main à mon cou qu’il serra et approcha son visage du mien. Il cracha sur ma bouche.
— Sale petite pute… maintenant, je vais m’occuper de ton joli cul.
Il donna trois ou quatre puissants coups de queue dans ma chatte, en poussant des cris, avant de se retirer.
— Aaahh! Salope...  Aaahh! salope... Aaahh! salope!— Ah, mon père… ce que vous me défoncez… ce que… oh putain de Dieu!
Puis, me tirant par les cheveux, il me fit descendre sans ménagement du cercueil, me tourna dos à lui et me tenant par la gorge, parla à mon oreille. Je sentais son énorme bite souillée de foutre qui était plaquée dans mon dos.
— Maintenant, petite pute, tu vas nettoyer tes dégâts.
Me reprenant par les cheveux, il colla mon visage dans la flaque de foutre qui gisait sur le couvercle du cercueil.
— Aspire toute la flaque et garde le foutre en bouche.
J’étais excitée comme jamais. Je me mis à aspirer et lécher le sperme qui était sorti de ma chatte, pendant qu’il me tripotait le cul.
— C’est bien, t’es une bonne chienne. N’avale rien surtout.
Une fois ma bouche bien pleine, il me fit mettre à genoux devant lui. Du foutre dégoulinait de mon menton.
— Regardez-moi cette salope avec la bouche pleine de foutre. T’es qu’une traînée!
Ce salaud m’échauffait la tête en me traitant de tous les noms. Ça m’excitait vraiment! Je me remis à me branler en gémissant. 
— Je ne crois pas que je trouverai une chienne plus salope que toi… jamais.
Et il me cracha encore au visage avant d’en approcher sa bite maculée de foutre. Il m’en asséna quelques bons coups sur la bouche et les joues. Puis, la tenant devant ma bouche il m’ordonna :
— Crache, maintenant. Crache tout ce foutre sur ma queue.
Je m’exécutai. Une bonne quantité de semence se retrouva sur sa bite. Comme il en sortait toujours un peu de ma chatte, j’y glissai ma main pour la récupérer, me la mettre en bouche et cracher à nouveau sur sa queue que je me mis à branler tout en doigtant ma chatte.
— Tu sais branler une bite toi… Maintenant qu’elle est bien lubrifiée, je vais m’occuper de ton cul de sale petite pute. Je vais t’enculer comme ça ne t’es encore jamais  arrivé.
Suite bientôt…
Diffuse en direct !
Regarder son live