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Je fais de ma femme une salope

Chapitre 3

LE CHALLENGE DEBUTE

Avec plusieurs hommes
Pour l’instant, la soirée se passait comme je me l’étais imaginée, et le regard que Q. avait posé sur les cuisses dénudées de ma femme me laissait présager que celui-ci ferait tout afin de gagner son challenge. Lorsque vint 20h, Q. ralluma la caméra de ses lunettes de soleil, maintenant posée sur le haut de sa tête, avec la mini-caméra dirigée vers le bas. Je pus constater que celui-ci était accoudé au comptoir de l’hôtel et avait commandé une bière. Cinq minutes plus tard, je vis ma chérie entrer à son tour dans le restaurant et se diriger vers lui. Une bouffée de rage me gagna lorsque je vis à ma grande surprise ma femme encore avec les cheveux humides de la douche qu’elle venait de prendre, maquillée comme pour une sortie avec moi, mais surtout vêtue d’un petit chemisier blanc laissant deviner les jolis dessous qu’elle portait en haut et d’une mini-jupe bleue très légère qui lui arrivait à mi cuisses. Pourquoi, une femme mariée, amoureuse, et devant juste diner avec un gamin qui pourrait être son fils s’habillait de telle manière ? Q. ne put s’empêcher de regarder les jambes de celle-ci qui fit mine de ne pas s’en apercevoir. Il lui avança le tabouret situé en face du siens, tout en la complimentant sur son physique et la comparant positivement aux filles de 20 ans qu’il côtoyait. Ce genre de compliments allait forcément plaire à ma femme qui ne manqua pas de dévoiler un peu plus ses cuisses en s’installant sur le tabouret et commandant sans plus attendre une vodka/orange. L’apéritif dura environ 45 minutes pendant lesquelles ils échangèrent bon nombres de banalités sur leurs vies respectives tout en prenant plusieurs apéritifs qui commençaient à rendre ma femme de plus en plus détendue avec son cavalier. Celui-ci regardait d’ailleurs régulièrement ses cuisses et le haut de son chemisier qui laissait apercevoir une partie de son soutien-gorge sans que cela ne semble la gêner. Lorsque Q. évoqua tristement sa relation avec sa mère, ma femme ne put s’empêcher de poser une main sur la sienne... ce premier contact physique serait-il le prélude à d’autres ??
Ils décidèrent de continuer leur conversation à table. C’est à ce moment-là qu’elle prétexta de sortir afin d’appeler notre fille, je pouvais voir ma femme s’éloigner vers la porte ou la lumière entrante faisait clairement deviner le string qu’elle avait mis. Mon téléphone retentit alors...
— bonjour ma chérie, tu vas bien ?— ça va et toi ?— très fatiguée, je viens de manger et il me tarde déjà de regagner mon lit— tu ne t’ennuie pas toute seule ? tu n’as pas trop chaud ?— tu me connais, j’ai mangée vite fait en pensant à toi et il me tarde d’enlever le jeans que je porte depuis ce matin car c’est vrai qu’il fait chaud.
...........
— bonne nuit ma chérie, fais de beaux rêves.— toi aussi mon amour, bisous.
Quelle colère ! Me dire tout cela alors qu’elle était en train d’aimer se faire reluquer par un gamin avec sa petite jupe d’allumeuse.Je la vis rejoindre la table de Q. et s’installer en face de lui. Le repas fut copieusement arrosé de vin, et la conversation devint ainsi assez frivole. Le JH lui racontant les succès qu’il avait avec les filles et allant jusqu’à évoquer de manière détaillée une nuit passée dans un club échangiste avec sa copine. Je pouvais voir dans les yeux de ma femme combien ce genre de récit provoquait chez elle excitation et envie, elle n’hésitait plus à lui demander plus de détails. Lorsque Q. se pencha lentement pour ramasser sa serviette tombée par terre, je pus voir avec dégout et excitation ma femme écarter légèrement ses jambes, sachant très bien que Q. allait pouvoir ainsi profiter d’une brève vision sur ses cuisses et jusqu’au petit bout de tissu qui cachait sa chatte. Celui-ci se redressa comme s’il n’avait rien vu, ce qui l’espace d’un instant rendit ma cochonne de femme assez désagréable.Ils demandèrent les additions séparées tout en indiquant désirer boire un dernier verre sur la terrasse ou un musicien venait de commencer son spectacle.Ils s’installèrent côte à côte sur un canapé située dans la pénombre de la terrasse ou Q. sorti de sa poche une cigarette roulée qui était sans aucun doute agrémentée. Leur discussion se dirigea bien évidement sur cette pratique, et là encore, à ma grande surprise ma femme se mit à tirer sur la « cigarette » que lui tendait Q. Ma chérie semblait plus que détendue et ne bougea pas lorsque la main de Q. se posa juste au-dessus de son genou. Maintenant assis l’un contre l’autre, ma femme se plaignant avec un rire coquin de se sentir ivre et honteuse de son attitude, je voyais la main de Q. lui caresser la jambe du genou jusqu’à mi-cuisse, tout en lui chuchotant tout près de son visage à quel point elle semblait jeune de corps et d’esprit et combien il aimerait rencontrer dans 20 ans une femme comme elle. Ses compliments faisaient leurs effets, car les cuisses de ma femme s’étaient légèrement écartées comme pour l’inviter à remonter plus haut dans ses caresses. Je lisais dans son regard l’envie d’embrasser ce jeune homme, de faire des choses avec lui... Comme par peur d’elle-même, elle se leva brusquement pour aller danser, cela me rassura un peu, et j’admirai pendant un moment ma femme se déhancher sur la musique.
Mais Q. avait parfaitement cerné la personnalité de mon épouse, car il se mit à engager une conversation avec la serveuse en faisant mine d’ignorer ma belle sur la piste de danse. L’effet escompté ne tarda pas et ma femme se mit à danser de manière de plus en plus sensuelle, faisant courir ses mains sur son corps et remontant par ses gestes sa jupe au ras de ses belles fesses, et plus elle voyait Q. rigoler avec la serveuse plus sa danse devenait suggestive.
Q. posa ses lunettes caméra sur la table et parti à son tour sur la piste de danse. Le micro étant sur lui, je pus entendre leur conversation :
— elle te plait cette petite serveuse (ma femme d’un ton agacé)— disons qu’elle est pas mal et m’a proposé de prendre un verre avec elle après son travail.— et tu as accepté ?— franchement je n’ai pas envie de passer ma dernière nuit tout seul, et puis elle a l’air d’avoir juste envie de s’envoyer en l’air.— et ta copine, tu y penses ?— elle n’en saura rien, et puis on ne vit qu’une fois...— c’est sûr qu’elle est plus jeune et plus jolie que moi.— c’est surtout qu’elle a l’air très cochonne...— et alors, tu aimes les cochonnes ?— disons que je ne veux pas me prendre la tête, je veux pouvoir lui faire tout ce que je veux sans trop de discussions et puis d’ailleurs je ne vois pas en quoi cela vous concerne !
A moitié sous l’emprise de l’alcool et sans doute de son « pétard », je pu entendre ma femme lui dire :
— si tu veux moi aussi je peux être très cochonne...
Q. profita de l’occasion, il l’agrippa aussitôt par les hanches et vint se coller contre elle pour danser la LAMBADA la plus chaude qu’il m’ait été donné de voir. Leurs corps collés l’un à l’autre, ma femme semblait être devenue une marionnette. La jambe de Q. glissée entre les cuisses de ma femme devait à n’en pas douter frotter contre sa chatte car je la voyais rougir de plaisir. Avec ses mains, Q. malaxait les fesses de celle-ci à travers sa fine jupe.
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