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Je fais la salope au sex-shop

Chapitre 1

Travesti / Trans
Cela fait un moment que les milieux back room des sex-shops m’excitent et m’attirent. Ce sont ces cabines de visionnage, en général en sous-sol, sombres où il n’y a que des gens qui sont là pour le sexe en regarder ou en pratiquer suivant les opportunités. Et c’est à l’occasion d’un déplacement sur Boulogne que je décide de franchir le pas.J’ai donc pris soin de faire réserver par la secrétaire un hôtel juste à côté d’un sex-shop, sans lui en parler bien sûr !Le jour venu, je regroupe mes rendez-vous pour être libre dès 16h. Une fois de mon dernier rendez-vous terminé, je rentre à mon hôtel. Je prends une douche et prends soin de me faire un lavement (on ne sait jamais) même si mon souhait n’est pas de faire des rencontres. Je prends mon sac avec quelques accessoires que j’ai préparé pour l’occasion. Je me rends ensuite au sex-shop qui n’est qu’à quelques centaines de mètres de mon hôtel. Une fois à l’intérieur, je fais un petit tour pour me donner une certaine contenance mais je sais déjà où je veux aller. Je choisis dans le rayon DVD un film sur les dominatrices à godes ceintures : j’ai déjà pratiqué avec mon épouse et cela m’excite particulièrement. Je descends dans les couloirs sombres, je repère ma cabine sur la gauche, mais je prends soin de visiter les lieux. Il y a une salle commune, où trois hommes sont assis et regardent un porno, comme si de rien n’était. Plus loin il y a d’autres cabines individuelles. Toutes sont propres, un carrelage blanc sur les murs et une banquette rouge en sky. Je vois que toutes les cabines communiquent deux par deux grâce à une trappe avec un carreau en plexi.Au fond du couloir, il y a une porte après quelques marches je m’approche et je vois inscrit dessus « espace gay ». Je serais bien allé voir, mais je ne m’y sens pas prêt.Je retourne donc dans ma cabine et je m’y enferme. Je prends soin également de fermer la petite trappe, pour être seul et caché.Le film est déjà en route, je me débraguette et m’assois confortablement. Rapidement je bande, l’excitation, elle, est présente depuis plusieurs jours...Il fait chaud et je décide de me mettre à l’aise. Je me mets entièrement nu. Et je m’installe sur le bord de la banquette, les cuisses très largement ouvertes. Dans cette position, je peux me masturber et me caresser l’anus. Mon trou de cul est lisse, et s’ouvre facilement suite à la séance de lavement que je me suis prodigué.A l’écran, deux femmes très sexy, portent de gros godes ceintures couleurs chair. Elles martyrisent un homme qui semble apprécier. Elles l’obligent à sucer leurs queues factices et le giflent avec. Puis elles le font mettre à quatre pattes et le sodomisent à tour de rôle, avec férocité, chaque râle qu’il laisse échapper paraît être une victoire pour elle. Je bande très fort, je ne suis pas sûr de tout apprécier mais j’aimerais être à sa place...Je sors de mon sac un vibromasseur. Il est tout lisse et fait à peu près la taille de mon sexe. Je me caresse l’anus avec pendant quelques minutes, puis je l’enduis de gel lubrifiant. Je parviens à le faire entrer sur quasiment toute la longueur en une fois. Je m’assois dessus pour que mon cul avale les derniers centimètres et qu’il y reste bien planté. Je me branle avec vigueur, je suis sur le point de jouir... Je stoppe tout cela va trop vite.Je sors le vibro de là où il est planté. Je sens que mon cul est ouvert et j’en veux plus.Dans mon sac à dos j’ai pris plein de petites choses et je décide que c’est le moment. Je sors une paire de bas et porte-jarretelles blanc, ainsi qu’un petit haut qui appartient à ma femme dans lequel je rentre avec un peu de difficulté.Je prends quelques photos de moi ainsi. Je me sens très salope !Je sors un gros gode noir à ventouse monté sur une ceinture. Je le suce.Je me mets à genoux au sol, j’enfonce de nouveau le vibro dans mon cul de cochonne, et je le maintiens enfoncé en m’appuyant les fesses sur la banquette. Je fixe le gode ventouse sur la faïence du mur en face de moi à hauteur de mon visage.Je suce cette grosse queue noire et je fais de petits allers-retours sur le vibro. J’ai l’impression d’être le mec de la vidéo coincé entre ses deux tortionnaires.Je suis très excité mais je ne bande plus. Soudain, on tape à ma porte... cela me stoppe net. J’écoute je vois les ombres de pieds sous la porte... Je suis enfermé en sécurité. Je reprends donc mon petit manège... J’ai envie de plus.Le gode noir. Il est gros et long de 24 centimètres, avec un gland brun très marqué et des veines en relief. Je le veux dans mon cul.Je retire le petit vibro, et je défixe le gode du mur pour le poser sur la banquette. Je fais face à la grande glace sur la porte qui me permet de bien voir la progression de cette grosse queue dans mon cul de salope. Et je m’assois dessus ne laissant presque rien à l’extérieur.J’ai l’impression que dans cette tenue, plus aucune limite n’existe... je veux encore plus... J’ouvre la trappe, et je me retrouve nez à nez avec une belle blonde, je dirais, la cinquantaine. Elle suce un homme, pendant qu’un autre debout derrière elle la besogne. Elle est secouée comme un pruneau. Je referme la trappe, j’attrape le gode ceinture et le fixe sur le mur à hauteur de la trappe. Je pose mon téléphone en face pour me filmer et je m’empale littéralement sur cette grosse bite noire. Sur l’écran c’est d’ailleurs maintenant une belle black aux formes généreuses qui encule un jeune homme, à l’aide d’un gode ceinture qui ressemble au mien. Puis, après avoir coupé l’enregistrement, j’ouvre la trappe. Et je baise avec le gode. Je l’enfonce si loin que je sens le froid de la faïence sur mon cul. Je fais de longs va-et-vient pour montrer aux gens en face comme je suis une salope !Mais la trappe se ferme de l’autre côté. Je suis vexé et déçu aussi. Je m’installe confortablement sur la banquette et recommence à me goder. Je sors entièrement le gode puis le replonge, je suis complètement ouvert.On frappe de nouveau à ma porte, mais cette fois plutôt que de m’arrêter je gémis bruyamment. J’ai envie d’exciter les gens ici-bas... Cela frappe de nouveau avec insistance... Je sors le gode, je le mets dans mon sac et j’ouvre le loquet sans ouvrir.
La poignée s’abaisse et la porte s’ouvre, un homme glisse sa tête par l’ouverture. Il me regarde de la tête aux pieds et me demande poliment s’il peut entrer. Sans dire un mot j’acquiesce et il pénètre dans ma cabine et referme derrière lui. Il doit avoir 20 ans de plus que moi au minimum. Il est chauve et paraît timide. Il porte des lunettes avec des verres épais, une silhouette classique. Il n’ose pas croiser mon regard et malgré le fait que ce soit la première fois que je me retrouve dans ce genre de situation, je sens que je vais devoir mener un peu l’entretien.Je me tourne pour qu’il puisse voir mon cul encadré dans la dentelle blanche, je me cambre et il en profite pour me saisir les fesses à pleines mains. Il me caresse comme je le ferais avec une femme.Je me sens femelle, salope, et désirée et c’est très agréable. J’écarte un peu les jambes et il me caresse l’intérieur des cuisses, il remonte jusqu’à mes couilles puis glisse un doigt entre mes fesses et constate que mon cul est lubrifié à mort...
— J’ai envie que tu me prennes !— Moi aussi, mais je ne bande pas.
Aussitôt je me tourne je le débraguette et sors sa queue de son slip. J’ai cette queue devant le visage. Je me suis enfilé plein d’objets, j’en ai sucé beaucoup mais depuis mes jeux d’adolescents entre copains je n’ai jamais sucé une bite. Mais la question ne se pose même pas, je l’engouffre. Je suis surpris par la douceur de sa peau.Je m’applique à bien aspirer cette pine molle d’une dizaine de centimètres. Je la sens gonfler et prendre du volume dans ma bouche. J’essaie de le sucer jusqu’à la base mais cela devient difficile avec le volume et la rigidité qu’elle prend. Le faire bander ainsi m’excite encore plus : je le veux dans mon cul !J’attrape dans mon sac une capote et je lui enfile, son érection est moins dure que la mienne mais il bande assez. Je me retourne et me mets à quatre pattes sur la banquette j’ai les cuisses très ouvertes et je suis cambré à mort pour faciliter la pénétration.Il pose son gland sur mon cul et je sens la chaleur de sa bite. C’est une chaleur bien plus agréable que tous les objets qui sont venus jusqu’ici contre mon cul. Il donne de grands coups de reins mais je ne le sens pas entrer en moi. Je pose ma joue contre le mur et de mes deux mains je tente d’ouvrir encore plus mon cul. Je sens sa queue fléchir contre mon cul et quand je me retourne je constate qu’elle a bien ramolli. Je m’assoie de nouveau face à lui et je reprends une bonne pipe. Il m’arrête en me tenant la tête,
— Excuse-moi, mais je viens de jouir. Il y a une femme dans la cabine à côté qui s’est fait baiser par tout le monde et je ne pourrais pas rebander tout de suite, j’aurai bien aimé pourtant crois-moi.
Il referme son pantalon avec la capote toujours sur sa queue et sort à la va-vite sans que je ne puisse réagir. Aussitôt un autre homme entre avant même qu’il ait pu refermer la porte. Il ne ferme pas derrière lui, et laisse même entre ouvert je tente de me redresser pour fermer mais il me pousse violemment en arrière sur la banquette.
— Bouge pas, salope !
Il me tient la tête et sort de son pantalon une queue, petite, toute petite : même pas la taille de mon pouce.Il m’attrape par la nuque et me plaque sa petite bite sur la joue et la frotte sur mon visage. Il porte déjà une capote.
— Tiens salope ! J’aime les pédales comme toi ! Je ne suis pas du genre à enfiler un pédé, mais toi habillé comme ça tu n’es même plus un pédé t’es juste à garage à bites !
Il m’ouvre la bouche en me pinçant les joues et glisse son asticot. Je le suçote faute de pouvoir faire mieux. Mais je n’ai pas envie de ça. Je tente de me reculer quand il choisit de m’envoyer une grande gifle ! C’en est trop je me lève, du haut de mon mètre 93 je lui rends au moins 30 centimètres. Et je le pousse dehors... la pine à l’air. La porte est grande ouverte et je vois plusieurs hommes passer devant, et me regarder de la tête aux pieds.J’ai l’impression d’être l’un de ces prostitués des éros center que l’on peut trouver en Allemagne. Je me penche à l’extérieur pour saisir la poignée et refermer et quand je tourne la tête je me retrouve nez à nez avec la blonde de toute à l’heure.
— Je peux entrer avec mon mari ?— Euh... oui
Il se glisse tous les deux contre moi, et je ferme la porte derrière eux. Elle sent bon. Elle est belle pour son âge et très sexy. Elle porte une jupe courte, des bottes et un haut transparent qui laisse deviner une poitrine généreuse un peu usée par les années.
— Tu viens souvent ici ?— Non c’est la première fois— Et tu trouves ton bonheur ?— Bof.— Tu avais envie de quoi ?— De sexe...— Oui comme tout le monde ici— J’ai un gode ceinture, j’aimerais bien que tu me prennes avec.— Non désolé mon chéri ce n’est pas mon truc, tu as une alliance ta femme ne te baise pas ?— Trop rarement— Jean Yves tu le baises avant de partir ?— Sûrement pas, ce n’est pas du tout mon délire les trav.— Il peut te sucer peut-être.— Oui ça OK, mais pas plus et avec une capote.— Cela te tente...
Comme seule réponse je donne un signe timide de la tête.Il sort sa queue. Elle est bien plus longue que la mienne mais fine, elle est belle.Il enfile une capote et je commence à le sucer.Sa femme m’encourage :
— Oui vas-y fais de grands allers-retours, il aime ça. Lèche-lui la bite sur toute sa longueur ! Suce-lui les couilles... Il suce comme une belle cochonne non ?— Oui et je vais jouir super vite...
Je prends ces mots comme un encouragement, je m’applique. Je sens sa main me caresser les fesses, elle effleure mon anus ouvert et gourmand.
— Elle m’excite la petite chérie...
Entendre parler de moi au féminin dans la bouche d’une femme fait monter mon excitation d’un cran encore. Je suis à genoux sur la banquette face à cette longue tige. J’aimerais l’avaler entièrement mais j’en suis bien incapable.D’un coup je sens un objet presser sur ma rondelle, je me cambre un peu et je sens mon gode, le gros noir, me pénétrer.
— Regarde ça comme elle accepte ce gode ! Ce n’est pas la première fois c’est sûr. Salope !
Elle me la plante profonde, une main caresse mon cul et mes cuisses gainées de nylon blanc. J’adore cette sensation de leur être offert. Elle me baise très fort. Puis s’arrête net. Je sens ses doigts jouer autour du gode. Puis dans une sensation de déchirement je sens des doigts s’introduire le long du gode.
— Ne bouge pas ma puce je vais chercher ton point G.
Ses doigts remuent, se tordent... Autant la gêne sur mon anus est grande autant la douceur de cette caresse interne est agréable. Je lâche la longue queue que je tète. Mais l’homme m’attrape par les cheveux, me gifle avec sa queue. Il me la présente et se met à me baiser la bouche comme il ferait avec un sexe de femme. Je sens sa bite taper sur ma glotte, je cherche à l’avaler plus mais impossible. Il s’arc-boute et tremble. Je perçois les soubresauts de son sexe et je sens très bien la capote se remplir et gonfler dans ma bouche. Je le pompe avec douceur, en tant qu’homme je sais que c’est le meilleur moment.Il se retire. Enlève la capote. Je regarde sa bite et j’ai envie de la nettoyer. Mais il le fait avec un mouchoir. Il se rhabille et me remercie.Sa femme retire ses doigts mais laisse le gode planté au fond de mon cul. Elle m’embrasse sur la bouche puis ils sortent. J’ai envie de me branler et de jouir mais mon sexe reste rabougri et mou. Je finis pour éjaculer une grande quantité de sperme mais comme si je pissais. J’en récupère sur mes doigts que je lèche. Je laisse les ondes disparaître doucement de mon ventre. Puis je retire le gode qui laisse mon trou du cul béant.Je ne me suis toujours pas fait enculer par une vraie queue mais je sais que j’y viendrai. Ce n’est qu’une question de temps et d’opportunité...
Le lendemain j’ai pris la route du retour comme si de rien n’était sauf que je me suis fait arrêter par la douane au péage. Ils ont fouillé mes affaires, sont tombés sur mes affaires (bas, porte-jarretelles, godes, lubrifiant, capotes) mais ne m’ont rien dit. Je me sentais quand même bien con, et un peu fier aussi de cette première expérience « travesti » en sex-shop...
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