Cet événement s’est passé récemment et je tiens à vous faire part de mon avis sur un sujet que certains n’approuvent peut-être pas mais qui semble concerner bien plus de personnes que l’on ne croit : LA ZOOPHILIE. J’avoue avoir eu dans ma jeunesse quelques contacts avec le chien que nous avions à l’époque un berger allemand. Des caresses, des séances de léchage mais jamais je n’ai osé aller plus loin. A l’époque internet n’existait pas, ce n’était pas facile de se documenter et je n’habitais pas à la campagne où je pense que ces pratiques devaient être courantes.J’ai 60 ans, je suis à la retraite et il arrive assez souvent que l’on me demande quelques petits services, dont celui de garder un chien lorsque ses maîtres s’absentent pour voyager. Ce chien est très gentil et calme en apparence. C’est un labrador noir âgé de trois ans répondant au nom de Falco. C’est un chien calme et gentil, il s’est habitué à moi très facilement. Nous allons souvent faire de longues promenades dans la nature où je pouvais le laisser courir en toute liberté. Lorsque nous rentrons, Falco s’allonge sur son tapis installé près du canapé. La propriété à l’abri des regards me permet de pratiquer le nudisme. Cette après-midi-là je m’étais assoupi, un peu fatigué de notre longue balade lorsque je fus réveillé par une sensation étrange sur mon sexe, en ouvrant les yeux j’apercevais Falco en train de me lécher mes parties génitales. Cela avait réveillé en moi d’anciens souvenirs, de très bons souvenirs. Je le laissais faire en m’installant plus confortablement les jambes bien écartées. Sa langue râpeuse s’activait sur mes couilles et remontait jusqu’au gland qui grossissait rapidement. Je fermais les yeux pour savourer ce moment, cette langue était efficace et magique. Le chien commençait lui aussi à s’exciter, un bout rouge sortait de son fourreau. Je caressais son poitrail et je remontais jusqu’à son sexe. Il était dur, des jets de mouille m’aspergeaient la main et Falco donnait de légers coups de reins. Je serrais doucement son sexe pour le masturber lorsqu’il sortit complètement. Il était impressionnant de par sa taille, il était rouge violacé et luisant de mouille. Je cessais toute action sur ce membre pour ne pas lui faire mal car après m’être renseigné je sais que le sexe d’un chien est fragile et sensible. J’avais les doigts maculés de son jus, instinctivement je les portais à mes lèvres, le goût n’était pas désagréable, à vrai dire il me plaisait. Falco se retournait vers moi et semblait tout penaud ou peut-être triste que je cessasse de lui caresser le sexe, qui s’était rétracté dans son fourreau. Je lui représentais mon sexe pour qu’il le lèche. Les coups de langue me procuraient un plaisir que jamais une fellation ne m’avait donné. Ma queue devenait très dure, quant au chien le bout rouge ressortait de son fourreau. Sa langue essayait d’atteindre ma raie, je me positionnais appuyé sur le canapé pour lui offrir ce qu’il convoitait. Après quelques coups de langue précis, Falco posait ses pattes sur mon dos pour me prendre. Un peu surpris, je me redressais pour éviter cet accouplement. Je m’installais dans le canapé les jambes écartées et relevées pour qu’il me caresse avec sa langue râpeuse qui me dilatait l’anus, elle glissait à l’intérieur et me fouillait plus habillement qu’un doigt. Après quelques minutes de ce léchage intense l’envie de me faire prendre trottait dans ma tête, je vidais de mon esprit tous les tabous et les interdits, l’envie de me faire prendre était plus forte. J’installais une couverture sur le sol pour me mettre à quatre pattes et m’offrir à Falco. Il me tournait autour très excité et impatient. Il se positionnait derrière moi, posait ses pattes sur mon dos pour vouloir me prendre. Son bout rouge et pointu butait contre ma rondelle en m’aspergeant de mouille. Je ressentais les assauts répétés sur mon anus un peu ouvert, lorsque d’un coup rapide et précis Falco enfonçait son sexe tout entier dans mon orifice. Bien accroché à ma taille il me besognait énergiquement comme il l’aurait fait avec une femelle. Je sentais ses jets de mouille dans mon ventre, il allait très vite lorsque je sentis son nœud forcer le passage et grossir à l’intérieur. Sa boule dilatait ma rondelle à l’extrême, je n’avais jamais connu une telle grosseur, quelque chose de nouveau moitié douleur et moitié excitation m’envahissait. Falco venait de me verrouiller, j’étais maintenant sa chienne. Il cessait de remuer et m’envoyait sa semence. Ma queue était dure et droite, j’étais sur le point de jouir. Falco jutait de manière continue, mon ventre se remplissait de sperme canin. Nous sommes restés collés un long moment, peut-être 10, 15 ou 20 minutes, je ne saurais dire exactement. . Sans que je puisse me contrôler je me suis mis à jouir sur le sol pendant que Falco me remplissait toujours de son jus. Je ne bougeais plus, je laissais cette saillie s’accomplir jusqu’à ce que la boule diminue et sort de mon ventre dans un bruit particulier, libérant l’énorme quantité de foutre qui coulait sur le sol et le long de mes cuisses. Comme il l’aurait fait avec une femelle, Falco me nettoyait, me procurant au passage quelques sensations. Ensuite il s’est couché pour se nettoyer le sexe, je me suis allongé près de lui pour lui sucer ce mandrin qui venait de me combler. Nous sommes restés couchés sur la couverture l’un contre l’autre pour reprendre des forces. C’est un moment merveilleux que je venais de vivre avec Falco et je ne regrettais absolument pas cette saillie. Après ce repos bien mérité, j’ouvrais les yeux et je voyais Falco se lécher le sexe. Après quelques caresses sur son poitrail je glissais doucement une main vers l’endroit qu’il léchait, je constatais qu’à l’intérieur de son fourreau c’était dur. Je glissais vers ses couilles pour les titiller un peu. Le résultat était immédiat son sexe sortit rapidement de son fourreau. Falco se laissait faire, son museau près de mon visage, il passait sa langue sur ma bouche comme s’il voulait m’embrasser. J’entrouvrais celle-ci, laissant la langue de mon amant canin me fouillait la bouche. Il m’excitait et j’avais de nouveau envie de lui. Je me mettais à quatre pattes pour exhiber ma croupe comme l’aurait fait une chienne. Falco se redressait, déposait ses pattes avant sur mon dos et commençait à me prendre. Il arrosait de son jus l’orifice que je lui offrais et au premier essai il me pénétrait. Sa queue glissait entièrement et prenait possession de mon ventre. Une sensation de bonheur me parcourait aussi fort que la première fois. Bien agrippé à ma taille il me limait énergiquement avant de m’introduire son nœud et me verrouiller. J’avais l’impression que sa boule était plus grosse car la douleur était plus intense mais le plaisir aussi. Falco s’immobilisait pour me remplir de sa semence et me féconder. Ce liquide chaud dans mon ventre enivrait mes sens. Sous la pression je bandais comme jamais et du sperme sortait de mon méat pour couler le long de ma tige. Falco remuait comme pour changer sa position. En glissant une des pattes arrière par-dessus mon dos nous nous sommes retrouvés cul à cul, exactement comme les chiens lorsqu’ils s’accouplent. Plus aucun doute Falco me considérait comme sa femelle, j’étais devenue sa chienne. La saillie a duré plus longtemps, vingt minutes précisément, vingt minutes de plaisir extrême. Je ne bougeais pas car cette position tirait plus sur mon anus et je ne voulais pas qu’il me déchire avec son knot énorme. Et durant tout ce temps sa semence coulait dans mon ventre par petits jets. Je jouissais tant la pression sur ma prostate était puissante. Lorsque Falco me libérait accompagné de ce bruit de bouchon, un torrent de sperme s’écoulait de mon anus. Comme lors de la première saillie Falco me nettoyait, je restais immobile pour apprécier ce cet instant magique. Puis à mon tour je m’occupais du sexe de Falco, ce sexe énorme et dégoulinant qui venait une fois de me faire grimper au septième ciel... Bien sûr nous n’en sommes pas restés là, Falco savait se faire comprendre lorsqu’il avait envie de me saillir, je savais que maintenant Falco me prenait pour sa femelle, il devenait autoritaire, il affichait son statut de mâle dominateur et moi j’étais sa femelle. Falco me donne beaucoup de plaisir et je n’en prive pas, je profite de ces instants magiques.....
