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Falco & la suite

Chapitre 1

Zoophilie
Falco, le labrador que je gardais occasionnellement me comblait sexuellement. Mais lorsqu’il n’était pas là, le manque de sexe se faisait sentir. Mais le hasard faisait bien les choses, des amis du propriétaire de Falco me contactaient pour que je garde également leur chien, ils partaient souvent en voyage et avaient été déçus des services d’un chenil. Je ne donnais pas ma réponse de suite, je me renseignais avant sur la race du chien, je ne voulais pas d’un petit chien quelconque ou d’une femelle, il me fallait un chien de bonne taille et surtout un mâle. Là il s’agissait d’un boxer, un bel animal, bien musclé et apparemment bien équipé. Après un premier contact en compagnie des propriétaires, le chien me plaisait beaucoup et le chien nouait avec moi un bon contact. Quelques jours plus tard le chien arrivait chez moi, il se prénommait Lasco, un boxer de deux ans à la robe marron et blanc. Après une première journée ensemble je sentais le chien prêt pour une première tentative.
Le lendemain après la promenade matinale je me mettais nu. Lasco me suivait partout dans la maison. Je le laissais s’approcher et fourrer son museau entre mes fesses afin de l’exciter et cela fonctionnait, son sexe pointait hors de son fourreau. Je jouais avec lui comme le ferait une femelle dans le but de me faire désirer. Je faisais durer ce moment pour que son excitation soit au maximum. J’avais pris la précaution de protéger ses pattes avant avec de vieilles chaussettes car Lasco était fougueux et musclé, je ne voulais pas avoir le dos labouré par ses griffes. Je m’étais mis à quatre pattes, le chien comprenait la situation et se positionnait derrière moi. Son sexe butait contre mon anus, et d’un coup rapide et précis il me pénétrait sans ménagement. J’étais surpris par la taille de ce chibre qui prenait possession de mon ventre.
Ses pattes m’agrippaient fortement permettant ainsi à Falco de me bourrer énergiquement. Mon anus se dilatait sous la pression et son nœud forçait l’entrée de mon anus. Lasco s’arrêtait, il me verrouillait comme une chienne. Sa boule énorme écartait mes chairs, les jets de semence chaude me remplissaient le ventre. Tout comme le chien je ne bougeais plus, je subissais cette étreinte ou plutôt devrais-je dire cette saillie. J’étais une chienne possédée par son mâle. Nous sommes restés verrouillés 15 bonnes minutes durant lesquelles mon amant canin n’a cessé de me remplir de son jus. Mon ventre gonflait sous l’énorme quantité de foutre, je bandais et l’envie d’éjaculer était très forte mais je ne me contrôlais plus et sous la pression de ce sexe je jouissais. Mon sperme sortait lentement et coulait le long de ma queue et sur mes testicules durs. Incroyable, je venais de jouir sans me toucher le sexe, un amant formidable et c’était un chien, un vrai mâle puissant et dominateur.
Je sentais en moi que le sexe diminuait de volume et dans un bruit bizarre s’éjectait de mon intimité anale, laissant couler un flot important de sperme. Le chien restait figé derrière moi sur ses quatre pattes avant de me lécher l’anus provoquant en moi une nouvelle excitation. Après avoir fait ma toilette intime le chien se couchait à mes côtés. Durant un long moment je caressais Lasco, pour lui montrer ma reconnaissance et peut-être ma soumission. Son sexe s’était rétracté dans son fourreau. Je me suis couché près de lui et je crois bien m’être assoupi. Je fus réveillé par Lasco qui me léchait le visage ou plutôt la bouche. Je le laissais faire, entrouvrant légèrement mes lèvres, il m’embrassait, sa langue envahissait ma bouche. Il m’excitait le coquin, mon sexe se redressait mais je n’étais pas le seul celui de Lasco pointait hors de son fourreau. Je me repositionnais en levrette, Lasco préparait mon orifice anal par un léchage aussi efficace qu’excitant.
Je le sentais très excité et déterminé à me sauter une nouvelle fois. Je laissais au chien toute l’initiative de cette saillie, je me soumettais totalement. Mon érection était à nouveau forte, mon anus dilaté attendait le monstrueux envahisseur. M’estimant suffisamment préparé, Lasco me grimpait dessus. Son sexe butait contre mes fesses et aspergeait de mouille. Je n’aidais pas le chien, je laissais faire la nature. Il me tenait fortement par la taille et après plusieurs tentatives il m’enfonçait son membre tout entier. Comme la première fois j’étais surpris par la grosseur et la fermeté de ce sexe. Il me secouait énergiquement et le plaisir parcourait mon corps. Il ralentissait le rythme et appuyait son sexe contre mon anus jusqu’à ce que sa boule glisse à l’intérieur.
Je me retrouvais verrouillé pour la seconde fois, Lasco m’injectait son sperme chaud, il remplissait mon ventre de chienne en chaleur. Les sensations étaient aussi fortes que la première saillie, mon sexe dressé et dur laissait couler du liquide séminal. Nous restions verrouillés plus longtemps, environ 20 longues minutes et sur la fin cela n’était pas facile de rester immobile. Lorsque le moment de la libération arrivait, j’éjectais avec force hors de mon ventre tout l’appareil génital de mon amant canin. Une énorme quantité de sperme coulait le long de ma cuisse, c’était impressionnant ce que Lasco m’avait envoyé pour une seconde fois. Je m’affalais sur le sol complètement vidé mais ô combien satisfait d’avoir subi une deuxième saillie. Lasco nettoyait ma chatte anale et terminait en se nettoyant le sexe. Je m’allongeais sur la couverture disposée sur le sol, rejoint par le chien qui se couchait presque sur moi. Nous sommes ainsi restés un long moment, il me fallait récupérer après ces deux saillies intensives.
Je somnolais lorsque je sentis quelque chose d’humide me chatouiller l’anus. Lasco était de nouveau en forme et au vu de son insistance je comprenais qu’il voulait à nouveau me prendre. Son museau m’écartait la raie fessière et sa langue très efficace investissait mon orifice anal et me procurait de merveilleuses sensations. Je ne tardais pas à être excité et l’envie de me faire saillir une troisième fois me motivait. Aussitôt en position le chien me grimpait dessus pour me ceinturer avec ses pattes avant. Je le sentais plus déterminé à me saillir, il m’aspergeait abondamment de mouille, son sexe pointu butait maladroitement contre ma rondelle. Après plusieurs coups infructueux Lasco parvenait à ses fins et je sentais sa tige glisser tout entière dans mon ventre encore chaud. Il me pilonnait très énergiquement, le ressenti de cette saillie était plus fort que les précédentes, le plaisir semblait multiplié par deux voire trois. Au bout de quelques minutes le chien s’immobilisait le sexe bien planté dans mon anus et malgré les deux autres saillies je ressentais tout aussi fort la pression de son knot.
A nouveau je me retrouvais collé et je me faisais remplir de semence par mon amant canin. Le verrouillage dura moins longtemps mais la quantité de liquide séminal était toute aussi importante. Lasco se retirait et me nettoyait l’orifice anal. Chaque coup de langue m’apportait de merveilleuses sensations. Après cette toilette je m’allongeais un court instant avant de me diriger vers la salle de bain pour une bonne douche suivie d’un repos bien mérité.....
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