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Fall in love

Chapitre 5

Un jeu de trop

Erotique
Depuis quelques semaines j’ai repris les cours. La dernière ligne droite avant mon diplôme. Mais ce soir je rentre à la maison. Maman doit déjà s’impatienter depuis ce matin. Allan lui me téléphone chaque soir. Nous nous sommes revus très souvent depuis l’épisode auquel ma mère a participé activement. Depuis, il n’a jamais renouvelé une telle demande. Il n’a pas non plus remis sur le tapis cette expérience débile où nous avons fait à tour de rôle l’amour avec lui. Pourtant, même si je trouve cela absolument abject, il m’arrive certains soirs, dans le lit de ma chambre d’étudiante, de me caresser en y resongeant.
Alors cet après-midi et tout ce début de soirée que je passe sur la route pour réintégrer le domicile familial, j’ai envie de sexe. Oui ! Je dis bien de sexe. J’aimerais le voir, le toucher, le sentir naviguer en moi. Et le téléphone en « Bluetooth » dans la voiture, qui nous met en relation Allan et moi me permet de l’inviter à la maison. Il me donne bien entendu un accord de principe, me demande cependant ce que ma mère va en penser.
— Est-ce que ta maman est au courant de ma venue ? — Ben… pas encore ! Mais pourquoi voudrais-tu qu’elle me refuse le plaisir de te voir ?— C’est que… enfin, je me sens un peu dans mes petits souliers de reparaitre devant elle depuis…— Oh ! Elle est passée à autre chose. Nous en avons reparlé et je crois qu’elle est contente de ce qui s’est passé, sans pour cela vouloir que ça recommence…— Dommage alors !— Pourquoi dommage ? Ça te plairait à toi ? Tu es un vrai vicieux, ma parole.
J’éclate de rire en lui racontant cela. Gêné il en fait autant, bien que curieusement, je ressente que ça sonne faux. Nous nous quittons alors que notre rendez-vous est prévu pour vingt heures devant chez nous, il ne tient pas à croiser ma mère. Et il est déjà dix-huit heures trente. J’ai juste le temps de rentrer à la maison, de faire une bise à celle qui m’attend, que je file m’apprêter. Me voyant aussi speed, elle me questionne.
— Tu es donc si pressée de quitter la maison ? Tu viens tout juste de rentrer et déjà tu repars ?— Maman, j’ai rendez-vous avec Allan ! Il me prend à vingt heures, devant chez nous !— Ah, tu sors donc ? Pourquoi ne passez-vous pas une soirée en ma compagnie ?— Je crois qu’il se sent comment te dire… un peu embarrassé depuis… ?— C’est bien des mecs ça ! Ils nous prennent et ne se soucient plus de notre bien-être.— Je ne pense pas que ce soit ce genre d’argument qui le perturbe. Non ! Il a surtout la trouille que tu le vois comme un saligaud après… ce qui est arrivé.— Oui ? Et bien tu diras à ton petit bonhomme qu’il se trompe et voilà tout !— Tu veux dire que ça ne te dérangerait pas qu’il passe de nouveau à la maison ? Tu sais bien qu’il en pince un peu pour toi ! Tu sais ce que ça veut dire !— Bien entendu. Mais si je veux te garder un peu plus proche de moi… — Eh ! Je n’ai pas dit quoi que ce soit qui puisse te faire penser que…— Je sais bien ! Mais… si je t’avouais que j’ai désormais d’étranges pensées et les envies qui s’y rattachent. Ça te surprendrait ?— Ben… je peux lui conseiller de passer te voir si tu veux.
— Pas toute seule. Seulement lorsque tu es là ! De la sorte, il n’y aura pas de problème entre nous ! Pas d’ambiguïté si tu vois… ce que je veux dire !— Bon ! Je lui ferai part de ton attachement à sa venue… ça te va ?— Oui ! Merci ma chérie.— En fait… si je saisis bien, il s’agirait presque d’un ménage à trois ! Pourquoi ne le recevrais-tu pas lorsque je suis en classe ? Au moins je serais sûre qu’il n’irait pas voir ailleurs ou mieux, ça me rassurerait plutôt de connaitre la femme avec qui il se trouve.— … tu es sérieuse là ?— Je ne l’ai jamais été autant maman.
Elle me fixe comme si l’énormité que je viens de lui assener lui paraissait être une vérité. Puis alors que je file me doucher, je vois dans ses prunelles claires, une sorte d’éclat inconnu. Je passe sous l’eau rapidement et alors que je me sèche, elle vient me faire un bisou. Nous échangeons un nouveau sourire, chargé en émotions. Puis dans ce silence seulement perturbé par le bruit de l’éponge qui se frotte sur ma peau, elle me jette dans un murmure.
— Tu peux lui dire que je suis d’accord, mon cœur.— … ? D’accord pourquoi, maman ?— Eh bien, pour ta gentille proposition.— Tu veux dire pour qu’il vienne te voir lorsque tu seras seule ? — Euh… c’est bien ce que tu m’as dit non ?— Oui ! Oui ! Maman… je lui dirai ! Après, je ne sais pas s’il sera d’accord, tu comprends ?— Oui… je vous souhaite une bonne soirée donc.— Merci… Bon, je me magne parce que je suis encore un peu à la bourre, comme d’habitude.
Elle comprend que sa présence là, dans la douche ne me facilite pas la tâche. Et c’est d’un pas rapide, mais avec une sorte de soupir de soulagement que je la vois tirer sur elle la porte en sortant. Je finis mon séchage, et attaque un savant maquillage. Cette fois, il ne s’en faut que d’une minute ou deux pour que je sois dans les temps. Je viens de prendre ma pochette que déjà un coup de klaxon me donne un creux à l’estomac. Il est l’heure de mon rencard.
— xxXXxx —

Un bisou sur le bout du nez alors qu’elle sort sur le perron, que je m’apprête à rejoindre la voiture, me voici prête à quitter le nid. Allan derrière son volant ne peut pas ne pas nous voir, ne peut nous rater. Il se sent alors obligé de sortir de l’habitacle pour venir à notre rencontre, saluer ma mère. C’est elle qui avance son museau pour un smack. Et le garçon qui me regarde avec de grands phares allumés. Qu’espère-t-il que je dise ? Que je fasse quoi ? Je suis impuissante face à son attente incertaine. Il me surprend pourtant par une démarche inattendue et spontanée.
— Bonsoir Madame Louise !— Bonsoir Allan ! Je vous la confie.— Si j’osais…— Vous aviez une requête à formuler ?— Si j’osais… peut-être voudriez-vous vous joindre à nous ?— Comment ça ? Julie ne m’a pas parlé de ce genre de sortie !— Oh ! Elle n’est pas au courant. Mais plutôt que de rester seule, une dinette à trois au restaurant ? Non, vous n’êtes pas tentée ?
Voyant la situation m’échapper, je me décide alors à abonder dans le sens de mon mec.
— Ben oui ! C’est une sacrée bonne idée, maman ! Passe une jolie tenue et on t’embarque avec nous ! — Une jolie tenue ? Mais…— Allons madame, ne me faites pas croire que vous n’avez pas une petite robe ou jupe sexy et puis… nous allons au restaurant, pas dans une soirée mondaine… ne dites pas non ! S’il vous plait.— Oh ! Oui maman, vient, vient, à trois ce sera sympa.— Vous êtes vraiment certains ? Vous n’avez pas des trucs d’amoureux à vous raconter… pas mieux à faire qu’à vous encombrer d’une vieille folle telle que moi ?— Maman !— Julie a raison, Louise. Venez… vous n’avez rien d’une personne âgée et… je peux me permettre encore une petite remarque ?— Ben, dites toujours…— À l’oreille et rien qu’à vous ! Je peux, Julie, parler à ta maman ?— … des cachotteries ?
Je me mets à rigoler, mais lui se penche déjà vers cette esgourde que sa coupe de tifs camoufle plus ou moins. Il lui chuchote deux ou trois mots que je ne peux bien entendu pas entendre. Et elle a un drôle de regard. Mais elle se tourne vers moi avec un sourire amusé.
— Bon et bien Julie… tu viens nous servir un apéritif ? On va le prendre ici et j’aurai ainsi le temps de me pomponner un peu. D’accord ?— Pourquoi pas ? Après tout nous ne sommes pas pressés.
C’est Allan qui vient de répliquer et elle nous plante là sur le perron. Je reviens à la charge, dès qu’elle a le dos tourné.
— Qu’est-ce que tu lui as baragouiné pour qu’elle soit aussi souriante ?— Un grand secret ma chérie ! Tu es trop curieuse, ma foi !— Oh ! Je vois. Elle compte plus que moi, j’aurais dû m’en douter !
Il m’attrape par le bras. Et en me tirant vers lui, il me plaque contre son torse.
— Tu n’as rien oublié par hasard ? — Non…
Je n’ai pas le temps d’en dire plus que ses lèvres écrasent les miennes. Nous nous roulons une pelle pleine de promesses. Et je me pelotonne contre la poitrine solide du gaillard qui ne me laisse pas indifférente. À mon avis, lui non plus n’est pas en reste, parce qu’il me semble que sous la ceinture de son pantalon, un endroit de lui est d’un coup à l’étroit. Et sa patte qui glisse sur mes reins, sur le tissu, lissant ma croupe avec une dévotion enfiévrée. L’envie est communicative. Nous renouvelons plusieurs fois nos embrassades amoureuses et pour finir, nous revenons à l’intérieur de la maison.
Je sers donc ces trois fameux verres d’apéritif qui vont laisser du temps à maman pour se mettre sur son trente-et-un. Le temps mort n’est pas perdu pour tout le monde. La femme qui rapplique de la salle de bain, après un passage dans son dressing, doit rendre bien terne la gamine que je suis. Sa jupe de bonne coupe, qui lui dévoile juste ce qu’il faut de ses genoux, son pull qui moule sa poitrine, je ne parviens pas à décrocher mes chailles de sa silhouette élégante. Et si j’en juge par la stupeur que je peux lire sur les traits d’Allan, lui se retient également pour ne pas pousser un cri de surprise.
C’est donc après avoir trinqué à cette sortie imprévue que nous filons vers un restaurant que mon loulou semble bien connaitre. Elle reste bien silencieuse tout le long du court trajet. Quant à mon petit ami, il jette de fréquents coups d’œil sur le rétroviseur intérieur de sa berline. Pour la conduite ou pour observer sa passagère ? Enfin nous arrivons devant une sorte de longue chaumière illuminée. Une nouveauté pour maman et moi, que cet endroit insolite ! Et nous voici donc dans un établissement sympathique. Bien que n’ayant aucune réservation, nous sommes dirigés vers une table circulaire de quatre personnes
Le jeune homme qui nous place dans la salle nous apporte ensuite la carte. Maman s’est installée à la gauche de Allan. Il ne me reste donc plus qu’à faire de même, mais à sa droite bien sûr. Je remarque qu’elle a une étrange manière de s’assoir. En effet, elle relève simplement le bas de sa jupe à l’arrière, comme si elle voulait juste poser ses fesses sur… la paille qui recouvre nos sièges. Et d’un geste, alors que je suis déjà presque assise, mon amoureux avance son visage vers moi. Il veut me parler à voix basse ?
Je tends donc la joue. Et…
— Tu n’as pas oublié que tu ne dois rien porter sous tes vêtements ? Pas de culotte ni de soutien-gorge… comme ta mère !— …
Je suis surprise par cette remarque. Pas pour l’abandon de sous-vêtements que j’ai parfaitement intégré, mais par le fait que maman soit elle aussi nue sous sa jupe. Comment a-t-elle pu deviner ? Je réfléchis une seconde, à demi penchée pour m’assoir. Puis je revois le moment où ils ont fait des messes basses. C’était donc ce qu’il lui demandait ? Il se penche de nouveau vers mon cou.
— Si toi aussi tu relevais le bas de ta jupe pour t’assoir à cru sur le siège ! Ça me ferait bien plaisir.— … ? Tu…— Oui je veux ! Je vous veux toutes les deux de cette façon !— …
Sans trop songer que des autres tables, il est possible de me voir faire, je passe ma main dans mon dos, attrape l’ourlet de ma jupe et mes fesses prennent contact avec la paille. Inutile de dire que l’effleurement au bout de quelques minutes est assez éprouvant. Il s’agit bien d’un matériau naturel et ça pique vraiment. Du coin de l’œil je vois maman aussi qui se trémousse également, preuve qu’elle ne porte absolument rien sur son derrière. Et lui qui gentiment bavarde avec le serveur revenu pour prendre nos commandes. J’imagine que ça l’amuse de nous savoir le croupion irrité par l’assise de nos sièges.
Nous dinons et j’admets que c’est succulent. Chaque plat est un raffinement, un enchantement pour nos palais. Le vin aussi est d’exception. Le serveur a assuré le premier verre et Allan nous ressert dès que nous trempons nos lèvres dans le divin breuvage. Maman se laisse emporter par l’euphorie du moment et elle déguste mets et vin joyeusement. Nos trémoussements sont désormais largement atténués par l’absorption trop massive de ce cru divin. Et bien entendu lui profite de ce que Louise a la langue qui se délie sous les effets de l’alcool.
De mon côté, si je la sens trop détendue, grise aussi, je ne lui fais aucune remarque déplacée. Et de fil en aiguille, je laisse mon amoureux jouer de séduction avec cette maman qui perd le fil de ses idées. De plus, à quelques reprises, je me rends compte que la patte de Allan se coule sous la table. Comme c’est celle à l’opposé de mon siège, j’extrapole de suite, imaginant la balade des doigts de mon mec à des endroits indécents, sur ma mère. Mais curieusement, je ne réagis que mollement à ces visions démentes de mon esprit enfiévré.
Puis, de temps à autre, c’est la patte qui a accès à ma cuisse qui dérive sur celle-ci. Alors elle chasse mes idées trop convenues par des caresses qui m’enflamment. Je suis finalement aussi ivre que cette mère qui maintenant fait ouvertement les yeux doux à mon chéri. Ce qui au début du repas m’énervait m’amuse à présent. Et c’est tout juste si je n’encourage pas les œillades incendiaires de celle qui n’est plus qu’une femme en chasse. Un jeu dangereux s’instaure entre elle et moi. De mère la voici rivale et nos tentatives de séductions font monter d’un cran, la chaleur diffuse de notre tablée.
— Ça vous dirait une petite balade digestive ? Quand nous en aurons terminé de ce délicieux diner bien sûr ?— Une balade digestive ? Tu peux préciser, Allan ?
Maman pose la question, et dans sa voix, je ressens une difficulté d’élocution. J’en éprouve une toute identique pour m’exprimer et je renonce à surenchérir. Allan sourit, sans trop tenter de justifier sa proposition, sans non plus nous mettre sur le chemin de ce à quoi il songe. Après tout, nous sommes assez imbibées par le bon vin pour n’avoir plus tout à fait la lumière à tous les étages. Et puis, j’ai des papillons dans le ventre. Une envie de faire l’amour qui est venue crescendo, sans trop que j’y prenne garde. Une fraction de seconde, la possibilité que maman elle aussi, soit dans un état pareil m’effleure le cerveau.
Une autre pensée, plus pernicieuse, plus insidieuse tente de se frayer un passage dans le désordre de ma compréhension. Nous avons bien bu, mais de là à être complètement bourrées, il y a un large pas que je ne parviens pas à franchir. Et une question farfelue me taraude. Mon Allan n’aurait-il pas collé un truc dans nos verres ? Puis le vocable « balade » fait ressurgir en moi cette visite entravée d’un genre très particulier où il m’a embarqué, au tout début de notre relation. Au tréfonds de mon crane, je vois les images de maman elle aussi embringuée dans un scénario identique. Pourquoi cette vision fugace ne me déplait pas vraiment ?
Nous quittons ensemble le restaurant et il m’empêche de monter dans la voiture. Après que maman soit installée à l’arrière, mon petit ami m’embrasse. Cette langue dans ma bouche pâteuse, me tourne le ciboulot encore plus. Et avant de m’ouvrir la portière, il fait monter ses doigts entre mes lèvres. Je réalise qu’ils sentent le sexe et comme il n’a pas vraiment caressé le mien… cette main, c’est celle qui a tripoté ma mère tout au long du repas ! Alors pourquoi est-ce que je la lèche sans me rebeller ? C’est à croire que je deviens aussi perverse que mon homme.
— xxXXxx —

Après dix bonnes minutes à rouler en ville, nous sommes de nouveau à l’air libre. Maman et Allan me donnent la main. Nous avançons dans une sorte de parc boisé où quelques couples s’éclipsent furtivement à notre approche. Puis mon amoureux me lâche et vient se placer entre ma mère et moi. Sur le sentier de ce square, nous allons lentement, goutant le frais de la soirée. L’alcool ingurgité se dissipe doucement. Quand ai-je le sentiment qu’il vient de se passer un truc ? Je ne saurais le dire. Mais oui ! Il me semble que de drôles de choses se déroulent dans le dos de ma mère. En tournant la tête, je visualise que le bas de sa jupe est retroussé, comme retenue dans une position indécente.
Le sait-elle ? Sans doute que oui. Alors pourquoi ne cherche-t-elle pas à la rabattre sur ses fesses ? Et si moi je les devine, les gens que nous croisons ou qui se cachent dans les environs doivent bien profiter de la vue de ce derrière montré. D’un coup, je percute. Elle sait et elle aime ça ! Un peu d’adrénaline fait de nouveau monter ma propre température et il me prend l’envie loufoque que mon cul soit également dénudé. Je frotte ma joue sur celle de maman. Elle rit et notre accompagnateur nous fait stopper dans un endroit plutôt sombre.
Il se tourne vers Louise et en me fixant, il lui relève le menton, attire son visage vers le sien.
— Viens m’embrasser, jolie salope.
Elle ne dit pas un mot et se laisse faire. Moi ? J’ai un long frisson et ça accentue encore ce qui fait que mon corps est en ébullition. Mince alors ! La situation est plus qu’ambigüe. Il la tripatouille là, sans se gêner et elle roucoule alors que je me morfonds en leur jetant des regards furibards. Et ce salopard s’en aperçoit. Il arrête de bécoter la bouche maternelle pour, je le donne en mille, s’intéresser à mes lèvres. Et conne au possible, je ne fais rien pour repousser sa pelle. Sa louche sur mes reins… elle tire vers le haut ma jupe et d’un coup, nous sommes siamoises dans la présentation de nos derrières à la vue de tous.
De surcroit, il bloque le tissu dans la ceinture et je ne tente même pas de rechigner. Puis il nous pousse toutes les deux vers un bouquet d’arbres. Un banc impossible à déceler du sentier s’y trouve. Il doit donc avoir une certaine pratique des lieux pour connaitre celui-ci. Maman et moi nous nous retrouvons serrées l’une contre l’autre et ses deux avant-bras s’engagent sous nos nippes. Ils nous caressent ensemble. Je soupire et une sorte d’écho se fait entendre provenant de la bouche de ma mère. Comment dire cela ? Il faut le vivre pour savoir. Et enfin il parle.
— Mettez-vous à genoux !— …
Je plie sur mes articulations et maman de son côté en fait autant. Mais il me rattrape par le bras.
— Pas toi ma Julie… je veux juste que ce soit ta mère qui me suce la queue.—… mais… — Allons ne discute pas ! Et toi Louise, vas-y ! Fais ce que je te demande.
Elle est désormais le visage au niveau de la braguette de mon mec. Lui reprend la parole.
— Ouvre ma ceinture Julie ! Présente ma bite à ta mère. Je veux jouir de ce spectacle de la fille qui tend mon sexe à sa maman.
Curieusement, je m’exécute et il ne porte aucun slip non plus. Dans ma paume, la tringle dure et hyper tendue me transmet une chaleur indéfinissable. La queue que je branle par réflexe, toute proche du bec de cette femme qui à genoux attend son offrande. Je la tiens à l’horizontale avant de la voir s’enfoncer dans ce gouffre qu’elle ouvre. Lui râle d’un coup sous cette pipe qu’il apprécie. Et j’ai toujours un de ses doigts qui joue à l’orée de ma chatte. Je suis en transes et cette fois, il me pénètre de son mini pénis digital. Je suis trempée.
— C’est bien. Deux belles cochonnes et j’adore. Mon Dieu… c’est sublime cette complicité mère-fille, un vrai régal. Ça valait bien un diner.— …— Suce ma belle, et toi ma Julie… si tu veux bien, joue de tes mains avec mes couilles. Oui, vas-y ! Mmmm ! Vous êtes si complémentaires… Je vous jure que si dans le coin, il y a des types qui matent, ils vont se palucher en voyant ce spectacle que vous leur offrez. Julie… tu veux te placer aussi à genoux, mais derrière moi ? Viens me lécher les couilles de la pointe de ta langue.— …
Je suis surprise par cette demande, et pourtant, je fais exactement ce qu’il veut. Ma bouche et celle de maman sont à quelques centimètres l’une de l’autre. Elle astique le manche et moi, je me contente de lui câliner les bourses. Quand nos langues se sont-elles touchées pour la première fois près de ce banc ? Je n’en sais rien, ne tente même plus d’analyser la situation. Et les deux pattes de Allan nous rapprochent davantage. Dans la nuit, nous sommes deux à entendre son ordre édicté sans aucune violence.
— Embrassez-vous ! Roulez-vous une pelle, pour moi !
Il n’a pas besoin de nous dicter notre conduite pour un second échange labial. Toutes seules, comme des grandes, nous renouvelons le baiser, puis d’autres suivent, avec une certaine malice et un degré de perversité prononcé. Il est toujours entre nous, et ses doigts restent accrochés à nos chevelures. Je ne sais plus trop comment il se dégage pour nous laisser nous livrer à nos jeux féminins. Et c’est, elle assise sur le banc et moi à ses genoux que nous insistons dans des embrassades de plus en plus voraces.
C’est sa première grosse erreur. Nous ne sommes plus du tout sur sa longueur d’onde. Il a ouvert les vannes à ce qui se trame là dans ce parc. Mais à trop en avoir fait, il est de facto exclu de notre délicieux prélude à l’amour. Maman et moi venons de comprendre qu’il n’est que le détonateur et que sa présence n’est que facultative. Elle aussi prend une sorte de plaisir pervers à ces palots renouvelés et surtout renouvelables à l’infini. Lorsqu’il veut reprendre la main sur nous, il est trop tard.
— Vous ne vous occupez plus de moi ? Allez ! Un bon geste, j’ai encore besoin que vous me branliez, que vous me suciez.
Dans le noir, c’est d’une seule voix que nous répliquons avec une certaine impatience, pour ne pas dire violence.
— Tu as dépassé les bornes Allan ! C’est à nous de décider ce que nous voulons pour notre bien-être. Tu vas gentiment nous raccompagner à la maison. À trop vouloir en faire, tu te brules les ailes à ce feu que tu as allumé tout seul. Ramène-nous, Julie et moi, chez nous. — Déjà ? Mais nous venons à peine d’arriver ici.— Il y a trop de silences dans ces fourrés pour que ce soit honnête. Nous ne voulons plus rien te donner cette nuit, enfin je crois que ma fille est d’accord avec moi !— Oui ! Oui maman. Je veux aussi fuir ces yeux invisibles qui doivent nous épier dans tous les petits coins sombres de cet endroit.— Et moi alors ? Je ne compte plus ? Pour aucune des deux ?— Ben non ! Tu as laissé passer ta chance bien que je sois heureuse que tu m’aies ouvert les yeux. Il existe bien des manières de vivre des amours différentes. Et une fois les tabous ou les interdits transgressés… je crois que je peux tout surmonter. On s’en va ma chérie ?— Oui… oui maman ! Alors tu nous ramènes à la maison, sinon, je trouverai bien un de ces voyeurs anonymes pour le faire à ta place.— …
Sur notre trio, une chape de plomb vient de tomber. Puis nous refaisons le trajet de retour sans enthousiasme. Devant la maison, Allan nous quitte avec un simple « bonne nuit ». Pas de bises, pas de grandes effusions sentimentales. Maman et moi sommes désormais dans un face à face assez singulier. Presque gênées de ce qui s’est effectivement passé. Mais nous ne pouvons pas revenir en arrière. Et il nous reste des souvenirs encore bien vifs, malgré l’embarras qu’ils nous causent. Je file dans ma chambre avec un gout amer au fond de la gorge. Je suppose qu’il en est de même pour cette maman qui se fait discrète.
— xxXXxx —


À suivre…
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