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Il fallait un début à tout...nous avons inauguré une vie sexuelle nouvelle

Chapitre 1

Des débuts inavoués mais avoués

Divers
Premières sensations d’autre chose Je me présente, Yann, ma charmante épouse Claire (prénoms remplacés pour raison de protection), je voudrais vous raconter comment, tous les deux, avons entrepris une révolution dans notre couple, après avoir détecté un changement sexuel de ma petite femme. J’avais deviné, après quelques années de mariage plus tard et deux enfants nés de notre union, qu’elle appréciait la séduction d’autres hommes et qu’elle devenait très accessible à leurs avances, que ce soit mes copains de travail ou des siens. Nous venions à peine d’avoir notre deuxième garçon en début de l’année. Ma femme, quelques semaines après son accouchement, était en effervescence, ses envies de sexe, de redevenir enfin femme, tout cela la transformait. A l’époque, j’étais militaire et dans ce milieu d’hommes machos, j’avais plein de collègues de mon corps de métier que je fréquentais quotidiennement, aussi bien dans notre atelier qu’en dehors de l’établissement, on se recevait comme dans une famille.
J’avais, en particulier, un copain Didier, bel homme originaire de la même région du sud-est que moi, marié, un enfant, un peu "m’as-tu-vu" et beau parleur, que nous recevions souvent chez nous, seul ou avec son épouse complètement soumise. Il était amateur de belles voitures qu’il remettait en état et, avec, il attirait ces dames dans sa toile. Didier, que je savais dragueur (il m’avait raconté certaines relations avec quelques femmes), avait plaisir à nous voir ou venir seul. Il s’est passé une longue période où, jusqu’à ce qu’il soit muté dans le sud, il me ramenait chez moi au lieu du bus, un moyen plus rapide. Par la suite, il lui arrivait parfois, d’être chez moi avant moi, soi-disant pour m’emprunter des outils ou me voir et il m’attendait que j’arrive pour boire un apéro. C’est arrivé souvent et je n’avais pas eu l’ombre d’un doute sur ses explications !
Quant à ma femme, elle paraissait très en beauté, je mettais cela sur l’après-accouchement, période où les femmes sont attirantes. Didier, pour éloigner tout soupçon éventuel que j’aurais pu avoir, faisait des pieds et des mains pour m’accompagner, m’aidait dans mes travaux d’aménagement des chambres. Pendant plus de deux mois, il nous manifestait une amitié débordante, je m’apercevais aussi qu’eux deux s’entendaient fort bien, moi qui craignais que les extravagances de mon collègue exacerbent mon épouse et la lassent.
La première alerte, un après-midi où je voulais rentrer plus tôt pour une course particulière, Didier avait pris sa journée, ma femme n’avait rien de particulier, elle travaillait la journée. Or, j’ai aperçu la voiture de mon collègue devant chez moi en début d’après-midi, ce qui m’a surpris au plus haut point. J’ai hésité à entrer chez moi, je ne sus pourquoi, mais un premier doute m’a pris puisqu’aucun ne devait être là, chez moi. Il ne m’était pas possible de penser que Claire me trompe, de plus est, avec mon ami, elle avait accouché depuis peu, ses règles n’étaient pas encore revenues et elle connaissait les risques possibles. En plein doute, je suis quand même revenu chez moi en fin d’après-midi, Didier était encore là. En arrivant, j’ai trouvé ma femme et lui, assis sur un fauteuil, un verre à la main, heureux de me voir, il m’a dit qu’il était dans le coin et passait voir si tout allait bien.
Le piège s’est refermé sur moi quand je lui ai demandé s’il était là depuis longtemps, il me répondit quelques minutes seulement ! Visiblement, il mentait. Ma femme semblait en forme, mais son visage avait changé (j’ai compris pourquoi plus tard), elle m’a demandé ma journée et d’autres questions mineures... moi, j’étais en plein doute... mais pour la première fois de ma vie, je sentais naître un sentiment nouveau, j’avais la boule au ventre, je ne ressentais aucune jalousie, mais une sensation d’autre chose, d’excitation. Le soir, au lit, je m’en souviens, j’avais caressé délicatement les seins et la vulve de ma petite femme, j’avais bien noté une petite différence au niveau de son vagin, il était souple et bien lubrifié, alors que ma femme a toujours gardé un conduit serré et une lubrification obtenue après de longs préliminaires. Je ne lui ai pas proposé de faire l’amour, mais je l’avais caressée, elle avait vite joui, mettant ça sur le compte de sa reconstruction sexuelle.
Des mois ont passé, Didier venait de temps en temps à l’improviste, mes doutes s’estompaient. Didier a été muté dans le sud, j’ai eu un détachement en Afrique pendant six mois, nous avons tenu les premières semaines, mais, de mon côté, j’ai eu une aventure avec ma chef, officier de surcroît, c’est surtout elle qui avait jeté son dévolu sur moi et qui m’a entraîné dans une liaison journalière avec elle, pendant quelques semaines. Elle était très demandeuse, elle m’avait fait passer un séjour torride sur le plan sexe. Les déplacements en Afrique sont souvent des occasions où des aventures naissent sans trop de risque puisque loin de la métropole et de la famille. Didier partit, ma femme a été courtisée, pendant mon absence, par un commercial en maison individuelle que nous avions sollicité en raison d’un projet de construction d’une maison plus grande.
Même en étant en Afrique, il lui avait présenté des terrains, des plans de maisons et sa présence répétée a généré un certain plaisir de le recevoir qui, ensuite, était suivie d’une proposition de sortie avec dîner en ville, nos enfants étant chez leurs grands-parents. Ma femme m’en a parlé par courrier (à l’époque, le Net n’existait pas encore !), elle m’avait annoncé cela et, pour la première fois, je la laissais libre puisque, de mon côté, je lui avouais que je sortais avec mon capitaine féminin, je la laissais libre d’imaginer toutes les hypothèses pour la suite. Au fur et à mesure de nos correspondances, les esprits s’enflammaient jusqu’à reconnaître, chacun de notre côté, qu’une aventure sans lendemain s’était bien passée. Je comprenais aisément le manque de tout auquel ma petite femme, seule avec deux enfants, devait faire face et je lui pardonnais par courrier.
Mon séjour se terminait, je rentrais chez moi avec un bon pécule, des cadeaux féminins intéressants (bijoux, vêtements, etc.), effaçant toute réticence ou jalousie qui aurait pu être engendrée par nos petits écarts. Mais une nouvelle page se tournait, je savais que ma femme pouvait attirer des hommes, que je devais prendre note de ce changement, qu’elle ne resterait pas une petite femme travailleuse, mère de famille et dépendante de son mari sur les autres domaines, en particulier sexuel. Durant les longues nuits qui ont suivi mon retour, nous avons raconté nos petits écarts, cela nous émoustillait, nous nous confessions mutuellement. Après ma liaison avec ma capitaine racontée, c’était le tour de Claire qui lâchait un premier prénom...
Didier. Comme je pratique d’habitude, au cours de caresses intimes, je l’excitais pour avoir des détails sur cette période passée... et, ça marchait ! Elle m’avouait tout. Didier passait souvent chez moi, sans pour autant chercher, au début, à la draguer, mais avec le temps, je comprenais qu’il l’avait ferré. Ses multiples attentions, ses petits coups de main anodins, ses paroles rassurantes, ses gestes caressants, elle s’était laissée gagner par un sentiment de bien-être avec lui, et... il avait beaucoup d’expérience ! Un autre jour, il était passé, ma femme était seule à la maison. Il l’avait aidé dans une tâche ménagère, je ne me souviens plus laquelle et elle s’était laissée aller... une première étreinte, une caresse sur son visage, il y eut un premier baiser anodin qui a été le déclencheur irréversible d’une relation qui prenait davantage d’ampleur au fur et à mesure qu’il revenait. Je ne m’étais pas aperçu d’un quelconque changement dans l’attitude de Claire.
Les venues répétées qui ont suivi, Didier savait s’y prendre pour la cajoler, il l’embrassait plus tendrement, il la serrait dans ses bras pour la rassurer de son soutien, il lui disait des mots qui l’excitaient de plus en plus. Un jour suivant, Claire m’a raconté qu’ils s’étaient embrassés comme des amoureux, avec la langue, ça avait duré longtemps, il l’avait caressée sur les fesses et les seins, elle n’avait pas osé lui refuser ses avances, toujours confiante, persuadée que ça n’irait pas plus loin... le piège se refermait. Il y eut ces jours qui ont suivi, Didier ne passait plus chez nous, Claire était devenue plus agressive avec moi, elle se disait fatiguée, j’ai compris quand elle m’a rapporté la suite...
Elle était certaine d’avoir fait quelque chose qui avait déplu à Didier, je comprenais qu’elle était « en manque » de lui, sa compagnie lui manquait, elle se sentait délaissée. Et il y eut ce jour fatal où il était revenu, sans frapper ni sonner à la porte, il s’était dirigé vers la cuisine, ma femme était devant l’évier de la cuisine en train de laver une vaisselle, il était arrivé derrière elle, il l’a encerclée dans ses bras en l’embrassant dans le cou. Elle était heureuse de le revoir, elle s’abandonnait dans un baiser fougueux et voluptueux. Les doigts de Didier ont déboutonné le haut de la robe, baissant les bretelles, il profitait qu’elle avait ses mains dans l’eau pour passer les siennes dans l’ouverture, à la découverte de ses seins qu’il a dénudés en relevant son soutien-gorge, il les a caressés très adroitement et il savait faire.
Claire reconnaissait qu’elle n’avait pas pu ni voulu se dégager, il l’avait immobilisée contre l’évier, dépassée par les événements... et puis ses baisers dans le cou, sa langue avec la sienne dans sa bouche, ses mains sur ses seins, il lui ôtait toute résistance. Profitant de la situation, Didier avait glissé ses mains le long de ses hanches, remontant sa robe qu’elle portait toujours courte, elles se sont infiltrées dessous, puis sur sa culotte. Claire m’a raconté avec détails, la progression de ses doigts. Elle était caressée debout, sans pouvoir se retourner, l’habileté de Didier ne pouvait qu’avoir le résultat escompté... il avait gagné. Ses doigts se sont infiltrés dans sa culotte, fourrageant dans sa fine toison, il découvrait son clitoris extrêmement réactif, puis son vagin sensible et humide. En quelques minutes de ce traitement, elle a joui dans ses bras sans aucune résistance.
Ma femme était dépassée par tant d’attention et de caresses qu’il lui portait, il lui redonnait l’envie de renouer avec le plaisir qu’elle n’avait pas ressenti depuis son accouchement, ni même avec moi. Son orgasme passé, Didier l’a autorisée à se retourner pour sceller leur liaison avec un baiser d’amant. Claire m’a ensuite raconté comment elle avait caressé Didier en saisissant son sexe dans une main, elle l’avait branlé pendant qu’ils s’embrassaient, il avait éjaculé dans sa main. Elle avait manifesté sa joie de lui avoir aussi donné du plaisir. Didier avait fini de la découvrir en ouvrant et en dégrafant sa robe qui tombait au sol sans que Claire ne la retienne. Il l’a regardée en détail, lui affirmant qu’elle était très jolie avec ses seins bien gonflés et, en abaissant sa fine culotte, il découvrait enfin ce pubis qu’il disait aussi joli qu’attirant.
Elle n’a eu aucune gêne en apparaissant nue à ses yeux, elle me racontait qu’elle se sentait en sécurité... il avait réussi à l’amadouer. L’heure de mon retour approchait, ils ont tous deux remis de l’ordre dans leurs vêtements, nettoyé les restes de semence que Didier avait projetée sur sa robe, il leur restait quelques minutes avant mon arrivée. Ils ont profité au maximum de ce laps de temps pour s’embrasser, se caresser superficiellement, Claire était sous son charme. J’étais arrivé dans les minutes qui suivaient, je les avais trouvés malgré tout, sereins, aussi heureux que je me joigne à eux. Il y a eu ensuite un après-midi où Didier était venu rejoindre ma femme chez moi, elle avait pris quelques heures aussi sans m’en parler. Leurs retrouvailles se sont faites plus rapidement, ma femme étant montée à l’étage pour autre chose, Didier l’a suivie et, dans notre chambre, il l’avait surprise, il l’avait embrassée longuement, sans opposition de Claire.
Elle s’était laissée dévêtir entièrement, jusqu’au dernier sous-vêtement, il l’a caressée très adroitement en la poussant sur notre lit conjugal. Ses baisers, ses caresses ciblées ont vite anéanti toute réticence de Claire, il l’excitait au plus haut point en s’occupant de ses seins sensibles qu’il a sucés, de sa chatte qu’il a embrassée, dégustée, pour terminer par son clitoris qui, deux secondes plus tard, l’a fait jouir sans le prévenir. Il s’était déshabillé à la hâte, il avait sollicité qu’elle le suce. C’était la première fois que ma femme suçait un autre homme que moi et, elle y aurait pris goût, Didier était très fortement membré. Claire a mis du cœur pour lui donner du plaisir, elle l’a sucé un long moment, du gland à la base de la colonne de chair, il parut très satisfait. Didier lui a demandé si elle accepterait d’être pénétrée, elle lui répondit qu’elle acceptait à condition d’avoir une capote ou de se retirer au moment de l’éjaculation.
Mais, de capote, il n’en avait pas, il leur restait la prudence, Claire savait que le risque de retomber enceinte était fort, si proche de son accouchement il y avait un mois à peine et elle n’avait toujours pas de règles. De toute manière, ils étaient tellement excités qu’ils voulaient faire l’amour à tout prix, ils verraient ensuite. Didier, grand gaillard costaud, a préparé Claire pour la garder sur lui, lui a demandé de venir sur lui. Elle s’est mise en position, s’est emparé de son sexe, avec beaucoup d’appréhension, elle l’a placé entre ses lèvres, son vagin s’est ouvert difficilement, ce fut douloureux au début. Didier a fait tout ce qu’il fallait pour la rassurer, il la guidait dans sa pénétration, lui demandant de laisser les choses se faire lentement. Il avait raison, Claire sentait la progression dans son vagin échauffé qui ne donnait aucun signe douloureux, elle s’est empalée sur son sexe immense (ce sont ses mots).
C’était la première fois qu’elle recevait un autre sexe que le mien. Il l’a accompagnée dans les premiers mouvements de bassin, elle se plantait difficilement sur son pénis qui lui dilatait son vagin. Passée la première appréhension, la suite a été une série de pénétrations actives et parfaitement lubrifiées, ma tendre épouse a chevauché son nouvel amant, sans détour, sans arrière-pensée sur cet adultère consommé qui s’installait dans notre couple. Claire était heureuse de sentir enfin à nouveau femme, se régalant des sensations retrouvées, ils ont profité longuement de cette première pénétration réussie. Elle a joui une première fois, puis une seconde, ses forces l’abandonnaient au fur et à mesure de ce combat sexuel qui durait, elle ne répondait plus de rien. Didier a prévenu Claire qui a eu toutes les peines à se retirer, il a éjaculé sur sa petite toison brune, à proximité de son vagin, entre ses lèvres.
Claire s’est sortie du lit pour se rendre dans la baignoire et nettoyer son sexe maculé de sperme, elle ne voulait prendre aucun risque. Son gynéco l’avait prévenue, aucune entorse au contrat n’était autorisée ! Une fois à nouveau ensemble, ils ont passé une bonne partie de l’après-midi à parler, s’embrasser, leurs sens étaient de nouveau aiguisés, Didier et Claire ont fait un 69 parfaitement orchestré et l’un comme l’autre ont désiré renouveler un accouplement aussi réussi que le précédent. Didier lui a demandé de se placer à quatre pattes, il l’a pénétrée en force, mais plus facilement, dans un vagin plus moelleux, mais encore fragile. Elle avait apprécié sa façon de faire l’amour, mélangeant douceur et puissance, tendresse et autorité, elle ronronnait de plaisir. Il lui avait promis de faire attention et de ne pas éjaculer dans son ventre, elle lui faisait une absolue confiance et se laissait aller à lui.
L’acte a duré plus longtemps, elle jouissait plusieurs fois et de plus en plus fort, elle perdait toutes notions de retenue. Ils étaient tellement heureux de profiter l’un de l’autre, lui, en plus, devait être satisfait d’accrocher une nouvelle conquête à son tableau de chasse, qu’ils se sont laissé aller à leur envie. Et l’accident, dans ces conditions, a été inévitable. Didier, malgré son expérience, devait beaucoup apprécier la prestation de ma femme, il en a oublié sa promesse et, à la fin de l’acte, tous deux ont rendu les armes simultanément. A l’évidence... il avait éjaculé de manière importante dans son vagin, sans se retirer ! Pendant la période de récupération qu’ils ont eue ensuite, ils se sont prélassés de longues minutes, ma femme, confiante, reprenait ses esprits. Lui, s’est aperçu beaucoup plus tard, de sa faute, mais pas elle. Elle était persuadée qu’il avait éjaculé sur elle ou sur le drap.
Ce n’est qu’après de longues minutes que Claire sentit un écoulement entre ses cuisses alors qu’ils devaient se préparer à mon arrivée quelques minutes plus tard, qu’elle s’est aperçue qu’elle était pleine de son sperme et elle s’est affolée en allant faire une toilette complète. Didier s’était excusé, mais elle comme lui se sentaient coupables de la situation. Claire a essayé de tout nettoyer, intérieur et extérieur de son vagin, mais elle savait que c’était peut-être trop tard...
Ils se sont préparés, je suis arrivé, je n’avais rien remarqué d’anormal, Didier me rapportait des outils de mécanique, il venait me saluer et repartait après un apéro. Ma femme semblait un peu fatiguée, je mettais ça sur le compte de son travail. Mais dans les jours qui ont suivi, je la sentais inquiète... pour sûr, quand j’ai su la vérité!
Elle a eu ses règles quatre mois après son accouchement alors que ce rapport sexuel non protégé (il y en a eu un autre, celui-là, volontairement !) était réalisé un mois et demi après. Une chance inespérée ! Pendant cette période d’attente, ma femme priait en silence pour ne pas être enceinte de Didier, ça aurait engendré une catastrophe dans chaque couple ! J’aurais pu penser que, déçue par sa prestation finale, elle aurait pu tout arrêter avec lui... c’était mal le connaître. Les deux fois suivantes, comme d’habitude, il l’a de nouveau séduite. Elle ignorait encore si elle n’était pas déjà enceinte de lui, il lui proposait une autre pratique. Claire était, pendant ces semaines-là, très demandeuse de sexe, de plus, j’étais absent pour mon service et cela s’est terminé sur le canapé, un soir, après de nombreuses caresses, baisers, succions en tout genre, il l’avait installée confortablement en levrette, la préparant pour une sodomie, chose qu’elle me refusait à cette époque.
Tous deux avaient une forte envie de faire l’amour, sans restriction, il expliquait que cela permettrait d’assouvir une jouissance totale et sans risque. Claire a cédé à son bon vouloir, il l’a sodomisée difficilement, lui arrachant des cris de douleur, il la rassurait en disant que cela allait passer... il eut raison...
Les premières douleurs passées, Claire a eu un orgasme puissant quand elle a senti que Didier lui remplissait ses entrailles. Elle a tellement apprécié ce genre de saillie qu’elle a elle-même redemandé de rééditer cette sodomie qui a été moins douloureuse et couronnée, comme la précédente, d’un succès total. Didier avait annoncé à sa femme qu’il était de service, moi, j’étais vraiment de permanence, ils ont pu profiter de cette nuit, les deux enfants étaient repartis avec leurs grands-parents pour le week-end. Une grande partie de la nuit s’est déroulée en ébats sexuels en tout genre, Didier a abusé de Claire, il était endurant, elle, pas encore ! Il y a eu, encore une fois, un léger dérapage, Didier a fait une erreur regrettable en éjaculant dans son vagin, il expliquait qu’il avait très envie de la pénétrer dans ce vagin si doux... elle a fait une colère monstre en le priant de rentrer chez lui...
Ils ne se sont plus revus jusqu’en juillet où Didier a reçu sa mutation pour le sud. Pourtant, peu de temps avant de quitter la région, il a eu le culot de revoir Claire, il lui offrait une petite bague (elle m’a dit ce jour avoir reçu ce bijou en cadeau de bienvenue chez La redoute !) pour s’excuser. Il a été tellement persuasif qu’elle acceptait à nouveau ses faveurs et se laissait charmer. Les deux enfants faisaient la sieste l’après-midi, à l’étage, ils se sont retrouvés dans la cuisine. Claire, assise sur L’îlot central, a été déshabillée entièrement, il l’a pénétrée toujours sans protection, sans se retirer quand il a senti son éjaculation, Claire avait accepté cette pratique, rassurée, depuis peu, qu’elle n’était pas enceinte. Ils ont donc fait leur affaire pour la dernière fois et Didier a abandonné ma femme, remplie de son sperme dans tous ses orifices, puisque, ensuite, il l’a sodomisée avec beaucoup de douceur, elle a beaucoup apprécié son initiative.
J’ai donc appris bien plus tard, à mon retour de mission, cette première incartade, mais je n’ai plus jamais eu de ses nouvelles, j’ai appris par l’intermédiaire d’amis communs qu’il avait divorcé.L’autre liaison durant mon séjour africain, Alain (même prénom), marié, commercial dans une boîte de construction de maisons, avait fini, après bien des rendez-vous pour présenter des terrains constructibles et visité des maisons, par habituer ma femme par sa présence, sa courtoisie, sa discrétion. Je l’avais déjà rencontré avant mon départ africain, je le trouvais timide, mais professionnel. Un soir d’été, après une invitation à dîner, il a probablement perçu ma femme déstabilisée, esseulée, trop fragile pour supporter notre séparation si longtemps, il l’a sûrement devinée disponible, pour la rassurer, il l’a embrassée une première fois, elle n’avait pas protesté, ils ont récidivé avec davantage d’entrain.
Elle lui avait proposé un dernier verre avant de partir, il s’était montré réconfortant, elle a accepté son approche qui s’est faite plus précise, il l’a caressée en découvrant ses trésors intimes et après être montés à l’étage supérieur, ils se sont retrouvés nus pour un corps à corps délicieux. Il ne s’attendait pas à cette issue, lui-même n’ayant jamais trompé sa femme, il n’était pas équipé de préservatif, ma femme lui a fait confiance, elle l’a autorisé à la prendre sans retenue, ils ont joui sans se désunir. Après des instants ponctués de dialogues et de câlins, Alain a eu envie d’elle et il l’a prise encore jusqu’à éjaculer une seconde fois dans son vagin.
Il n’y a pas eu d’autre rencontre, je revenais de mon séjour, j’ai revu Alain pour finaliser notre projet de construction, je ne savais pas que j’avais devant moi son amant d’un soir, ma femme m’avait ensuite tout avoué et, le sachant, je m’amusais à de petites allusions pertinentes sur sa façon de se conduire vis-à-vis de ma femme et cela les avait un peu perturbés. J’avais évité d’aborder ces instants, mais lui savait que je savais.
Cette première période fut le début d’une prise de conscience dans notre couple, ensuite, nous avons décidé d’inviter des hommes pour des trios, des couples pour des quatuors, le tout parsemé d’expériences croustillantes... mais ce sera pour la prochaine fois
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