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Famille au bord du divorce

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Julien, j’ai 35 ans, je suis marié depuis huit ans et père de deux adorables bambins, une fille et un garçon. C’était l’été, une semaine particulièrement chaude. Ma femme, Laura, était partie chez sa mère en Bretagne avec nos deux enfants. Elle allait passer une semaine là-bas, puis les laisserait jusqu’à la fin des vacances scolaires. Ma mère, Catherine, était venue passer quelques jours chez moi, en route pour partager une location de vacances avec ma sœur, Aurélie, et sa famille. Elle était arrivée dans la matinée.Après un repas léger, nous avions plongé dans la piscine. L’eau était chaude, au moins 27°. Nous bavardions, passant d’un sujet à un autre, tout en profitant de la très relative fraicheur de l’eau par rapport à l’air qui dépassait allègrement les 35°.― C’est vraiment très agréable, me fit remarquer ma mère.― Oui. Dès que je me lève, la première chose que je fais est de piquer une tête dans l’eau. C’est un des meilleurs moments de la journée.― Tu te lèves, une petite douche, tu enfiles le maillot et Hop ! Dans l’eau ?― Non. Je me lève et Hop ! Dans l’eau. Pas de douche, pas de maillot. C’est beaucoup plus agréable de se baigner tout nu.― C’est vrai ?― Oui, les sensations ne sont pas du tout les mêmes. On pourrait penser qu’il n’y a pas grande différence, un maillot, ce n’est pas bien grand, mais en fait ça n’a rien à voir.― Ce que tu dis me donne envie. D’autant que le mien, lui, n’est pas très petit.C’était un maillot une pièce au décolleté sage, qui ne laissait guère à nu que les jambes et les bras.― Si tu veux, je retourne dans la maison. Je te laisse essayer.― Oh non ! Tu restes avec moi ! Allez, je me lance.Elle fit passer les bretelles par-dessus chaque bras, découvrant une poitrine généreuse et blanchâtre, puis retira le tout vers le bas en essayant de ne pas boire la tasse. J’enlevai à mon tour mon slip de bain. Elle ne semblait pas savoir quoi faire du morceau de tissu désormais inutile. Je lui tendis la main.― Donne-le moi, je vais les déposer sur le bord.Libérée de toute contrainte, elle fit quelques brasses.― Alors, comment tu trouves ?― C’est génial. Je me sens légère, libre ! Tu as raison, les sensations ne sont pas du tout les mêmes qu’avec quelque chose sur la peau. Elle fit une nouvelle longueur puis reprit :― C’est ma semaine de vraies vacances ! Ce ne sera pas la même histoire la semaine prochaine.― Tu appréhendes ?― Non, ce n’est pas le mot. Mais tu connais ta sœur. Toujours très organisée, très… active. On est tout le temps en train de faire quelque chose. Piscine, puis musée, puis les courses, puis on prépare le repas, puis on mange, tout ça dans la même après-midi, ça finit par être éreintant. Et puis dans un camping, pas question de se baigner toute nue.― Non, c’est sûr. Alors profite.Nous continuâmes à bavarder ainsi et à nous déplacer dans l’eau dans le plus simple appareil pendant plus d’une demi-heure. ― Tu sais, en parlant de cadences infernales, je ferai bien une petite sieste, minauda ma mère.― Moi aussi.
Je sortis de l’eau en premier, ramassai les deux maillots et les accrochai sur un cintre à l’extérieur. Il ne faudrait sans doute pas dix minutes avant qu’ils ne soient parfaitement secs. Soudain, ma mère s’arrêta :― Zut, je n’ai pas fait le lit ce matin, et là, je n’ai vraiment pas envie.― Allez viens, je t’invite, lui dis-je en la prenant par la taille, l’incitant à avancer devant moi. Nous n’avions pas échangé sur cette question, mais il nous semblait naturel de rester nus. Nous nous allongeâmes côte à côte sur les draps blancs. Je jetais un coup d’œil appréciateur à ses seins.― Tu as vraiment une belle poitrine, lui dis-je. ― Merci ! Ça fait longtemps qu’un homme ne m’a pas fait de compliment sur mon physique.Je me tournais vers elle pour mieux l’examiner, la joue posée sur ma main, le coude sur le lit.― Dis-moi, est-ce que je tétais au sein lorsque j’étais bébé ?― Tu ne t’en souviens pas ? Ironisa-t-elle. Allons, fait un effort !― Je ne me souviens plus. Tu penses que ça me reviendrait si je te tétais à nouveau ?Elle partit d’un petit rire et répondit :― Tu comptes sur une espèce de réminiscence ? Je ne sais pas si ça va marcher.Elle avait employé le futur, pas le conditionnel. Sa réponse était une forme d’invitation. Je me penchais sur elle, pris son sein à deux mains et engloutis franchement sa mamelle en la pressant avec mes lèvres comme pour en faire sortir du lait. Elle souriait toujours.― Vorace, le garnement. Alors, ça te reviens ?― Attends ! Je commence à peine. Ça dure combien de temps, une tétée ?― Entre un quart d’heure et une demi-heure.― Alors laisse-moi faire et sois patiente.Je tentais de faire entrer la totalité de son sein dans ma bouche sans y parvenir tant il était de belle taille. Je le ressortis en laissant traîner mes dents qui raclaient sa chair jusqu’à son téton que je mordillais doucement, avant de le coincer entre mes lèvres. Il était devenu très dur.― C’est agréable de sucer les seins de sa mère, lui dis-je. Dommage qu’habituellement, un fils n’y ait droit que quand il est tout petit et qu’il ne se forge pas encore de souvenirs.Ma main droite s’empara de son autre appendice mammaire que je portais à son tour à ma bouche, m’attardant sur son extrémité qui durcit aussitôt. J’aspirai chacune de ses pointes qui dépassaient désormais largement le centimètre.― Alors, tu parviens à sortir du lait ?― Ce n’est pas ce que je cherche, lui répondis-je. J’essaye simplement de me souvenir. Tu as de très beaux seins, mais aussi de jolis petits tétons.― Heureux qu’ils te plaisent, mais ça va un peu ensemble, tu sais ? En fait, ils étaient livrés avec. Tu es le premier homme qui fasse ainsi une différence entre mes seins et mes tétons.Un petit silence se fit, au cours duquel je continuais à téter goulument son opulente poitrine. La situation était inédite et inattendue. Je n’avais jusqu’à présent jamais vu ma mère nue, et voilà que sans que rien ne l’ait annoncé, nous étions tous deux allongés sur mon lit dans le plus simple appareil, et que je mordais à belles dents dans ses mamelles. Elle reprit :― Alors, tu arrives à te faire une opinion ?― Tu t’impatientes ?― Non, pas du tout. En réalité, cette… recherche n’a rien de désagréable. Tu peux continuer autant que ça te chante. Je suis curieuse, c’est tout.― Bon alors je me lance. Je dirai que oui, je les ai tétés.― Hum… Quelques jours seulement, mais je n’avais pas assez de lait, alors on est passé au biberon.― Ah, tu vois ? Triomphais-je. Je le savais. En reprenant tes seins dans ma bouche ça m’est revenu.― Si tu le dis, s’amusa-t-elle.― Je n’en ai bénéficié que quelques jours alors que normalement la période de tétée dure plusieurs mois, non ? J’en déduis que nous avons un retard à rattraper.― Ben voyons. Et si je t’avais dit que ça avait duré six mois, qu’est-ce que tu aurais inventé ?― J’aurais dit qu’on ne peut pas me sevrer d’un seul coup ! Dans tous les cas, comme tu m’y as invité, je souhaite vivement continuer à explorer ta magnifique poitrine avec ma bouche.― On n’avait pas dit qu’on allait faire une petite sieste ?Je pris à nouveau la pointe de son sein entre mes lèvres, puis je redevins sérieux :― Je t’embête ? Tu trouves ça déplaisant ?― Non mon chéri, je te l’ai dit, ce n’est pas désagréable du tout, au contraire. Si tu as envie de jouer avec mes seins, je te les prête bien volontiers. Je ne me fis pas prier et repris mes opérations de succion sur ses pis. Quelques minutes plus tard, elle décida que cela suffisait et se retourna sur le ventre. Je n’avais plus accès à son buste. Elle me lança un petit regard coquin par en dessous, l’air de dire : « Alors, te voilà bien embarrassé maintenant ? »J’avais pris goût à lécher ses seins. Je l’examinais en détail, ce que je n’avais pas encore fait, ni dans l’eau, ni depuis notre sortie, obnubilé par sa très généreuse poitrine. Sa taille était encore assez mince pour son âge : elle avait légèrement dépassé la soixantaine. Ses hanches s’évasaient sur un postérieur de toute beauté sur lequel j’avais désormais une vue imprenable. Je posai ma main sur ses fesses et commençai à les caresser, explorant chaque centimètre-carré ainsi exposé à ma vue. Puis je l’entourai de mes bras et déposais un baiser sur une de ses fesses. Elle ne disait rien et ne bougeait plus. Je multipliai alors les baisers, sur chaque fesse, sur sa raie. Je sentais qu’elle s’assoupissait. Son sillon s’élargissait. Je pouvais apercevoir désormais sa fente ainsi que sa rondelle.Je finis moi aussi par m’ensommeiller.Elle remua en reprenant conscience, ce qui me réveilla à mon tour. Ma tête était toujours posée sur son postérieur. Je repris mes baisers. J’avais adoré contempler et prendre ses seins dans ma bouche, mais j’avoue qu’explorer ainsi son fessier me faisait aussi beaucoup d’effet.― Alors, bien dormi ? Lui demandai-je.― Je n’ai pas vraiment dormi. Je me suis juste assoupie. Mais je me sens en pleine forme !― Pleines formes ! Le terme me parait des mieux choisi. J’aime beaucoup tes pleines formes.Elle éclata de rire.― Je vois ça. Elle se retourna sur le dos, exposant à nouveau sa très généreuse poitrine. Je posai une main sur son sein tandis que j’engloutissais à nouveau son autre appendice mammaire. Je jouai ainsi de longues minutes avec une pointe puis l’autre.― Dis donc, tu ne penses pas qu’il faudrait préparer à manger ? Il faut faire des courses ?― Non, j’ai prévu du melon et une salade, et j’ai tout ce qu’il faut. Pourquoi me demandes-tu cela ? Tu as faim ?― Non, pas encore, mais ça viendra. Evidemment, toi tu t’alimente directement à mes seins. Tu ne risques pas de mourir de faim. Mais moi, qui me nourrira ?― Je suis désolé, étant un homme, de ne rien avoir à te mettre sous la dent. Encore que… Non laisse tomber, réalisant que je m’apprêtais à aller sans doute un peu trop loin. Elle se rua dans la brèche.― Que veux-tu dire ? Qu’es-tu en train de me proposer ?― Rien, laisse tomber. Je n’ai rien dit.― Ne me prends pas pour une idiote, répliqua-t-elle. Je t’ai parfaitement compris. Cela ressemble d’ailleurs à une proposition malhonnête : je crains qu’il n’y ait pas grand-chose à se mettre dans le gosier.― Tu pourrais être surprise…― Ah oui ? J’adore les surprises. Son visage s’approcha de mon sexe qu’elle ne tarda pas à prendre en bouche. Elle y allait franchement et mon gland s’enfonça jusqu’au fond de sa gorge tandis que ses lèvres me suçaient goulûment.― Effectivement, c’est mieux que ce à quoi je m’attendais, concéda-t-elle au cours d’une petite pause, avant d’enfourner à nouveau mon membre viril.Le plus troublant était qu’elle me regardait fixement dans le blanc des yeux. Je lui caressai la chevelure, ses seins et ses fesses étant à ce moment hors de ma portée. Elle fit une nouvelle pause :― Tu vois, il n’y a pas que toi qui arrive à faire durcir un morceau de chair.Je souris, parce que sa remarque m’avait amusé et parce que j’étais divinement bien. Sans que nous ne l’ayons vu arriver, en quelques heures, toutes les barrières de la morale avaient sauté. J’étais marié, c’était ma mère et pourtant j’avais longuement joué avec ses seins, et maintenant c’était son tour de me prodiguer une sublime fellation. Je ne ressentais aucune gêne ni aucun remords, et je gage qu’elle non plus. Ses mains jouaient avec mes bourses. Elle marqua un temps d’arrêt :― Ça faisait longtemps que je n’avais pas pris une bite dans la bouche.― Si tu continues comme ça, je vais finir par jouir, l’avertis-je.― J’ai mal compris ou tu m’as proposé tout à l’heure de me nourrir ?Sa réplique ne contenait aucune ambiguïté. Elle voulait que je jouisse dans sa gorge. Je n’avais évidemment rien contre et je me laissai aller. Je sentis bientôt une vague me submerger.― Oh… Je viens… La préviens-je.― Mmmmh, fut sa seule réponse. Il n’était visiblement pas question pour elle de relâcher mon sexe à ce moment crucial. Et soudain j’éjaculai dans son palais. Elle s’efforçait d’avaler le sperme au fur et à mesure qu’il jaillissait, tandis que sa langue s’activait autour de mon gland. Puis le flot se calma et ma verge se ramollit. Ma mère finit par relâcher l’étreinte de ses lèvres et remonta son visage à la hauteur de mon torse.― Je crois que je vais sauter le repas de ce soir, plaisanta-telle. Puis elle rajouta, plus sérieuse : je n’avais jamais laissé un homme jouir dans ma bouche.J’entrepris de lui caresser les fesses.― C’était divin, tu sais ? Lui confiais-je.― Merci mon chéri, dit-elle en s’étendant sur moi. J’ai beaucoup aimé moi aussi.
A SUIVRE…
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