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Famille au bord du divorce

Chapitre 4

Inceste
Je demandai à Aurélie de m’envoyer sur mon portable les photos qu’elle avait prises de son mari en train de baiser sa stagiaire. Il ne pouvait y avoir aucun doute sur ce qu’ils faisaient. A un moment, Alexandre s’était tourné et l’appareil avait immortalisé son visage. Il était parfaitement reconnaissable. Ainsi que son apprentie, du coup, pour ceux qui la connaissaient, naturellement. Moi, je ne l’avais jamais vue.En analysant ces photos, une stratégie prit peu à peu corps dans mon esprit. Nous avions peut-être le moyen de nous en sortir.Je finis par obtenir Laura au bout du fil au milieu de la matinée.― Qu’est-ce que tu me veux ? Aboya-t-elle.Ce n’était pas gagné.― Te parler. Ce que tu as vu… Ce n’est pas ce que tu crois.― A ouais ? Parce que moi je t’ai clairement vu baiser avec ta sœur. D’ailleurs, j’en ai parlé à Alexandre qui m’a dit ne pas être surpris plus que ça.― Ben voyons ! C’est sûr que ça l’arrangerait sacrément !― Qu’est-ce que tu veux dire ?― Laura, je vais t’envoyer trois photos. Regarde-les. Je te rappelle dans cinq minutes.Et je raccrochai. Peut-être vous direz-vous que c’était risqué de lui raccrocher au nez près avoir eu autant de mal à l’avoir en ligne. Mais en faisant cela, je la forçai à se poser des questions.Je mis en route la minuterie de mon smartphone et la rappelait lorsque le timer attira mon attention.― Les photos que tu as vues ont été prises par Aurélie il y a moins de 48 heures, à son domicile. Elle était en vacances avec Maman, et a voulu faire un aller-retour à Poitiers pour récupérer des dossiers qu’elle avait oublié. Et elle a surpris son mari en train de baiser une stagiaire dans le lit conjugal. Elle s’est réfugiée chez nous, complètement anéantie. « Tu m’étonnes qu’Alexandre ait sauté sur l’occasion de se refaire une virginité, si j’ose dire, quand tu lui a raconté que tu nous avais surpris, Aurélie et moi, dans le même lit. Une vraie aubaine pour lui.« C’est vrai que j’ai passé la nuit dans le même lit qu’elle. Je lui ai fait un massage, ce qui explique sa tenue. Moi, j’étais en slip. Et franchement, lorsque tu surprends ton mari au plumard avec une autre, ce que d’ailleurs tu as cru faire hier, est-ce que ta première préoccupation est d’aller baiser avec un autre ?« Voilà ce qui s’est réellement passé. La victime, ce n’est pas toi, et encore moins Alexandre, c’est Aurélie. Et je suis prêt à passer au détecteur de mensonge pour te prouver que je ne mens pas.Et je me tus. Elle ne dit rien. Je l’imaginais, plus que troublée par ce que je venais de lui révéler. Je la connaissais bien. Je savais qu’elle n’allait pas me sauter dans les bras instantanément. Il allait lui falloir un peu de temps. Mais son point de vue avait commencé à changer.― Je ne sais plus quoi dire, avoua-t-elle.― Je comprends. Prends ton temps. Tu me connais, tu connais Aurélie. Et Alexandre aussi. On en a assez parlé. Et si tu as encore des doutes sur ma sincérité, je te répète que je suis prêt à passer devant un détecteur de mensonge. Rappelle-moi quand tu y verras plus clair.Et je raccrochai. Je retrouvai Aurélie allongée sur un transat au bord de la piscine. Elle n’avait toujours pas enfilé de maillot. Je m’approchai d’elle par derrière, lui déposai un baiser dans le cou, tandis que mes mains jouaient avec ses seins.― Je viens d’avoir Laura au téléphone. Enfin !Et je lui résumai notre échange. Elle tiqua sur ma proposition de passer au détecteur de mensonge.― Mais tu es malade ! Le détecteur va te retoquer. Car je te signale que depuis hier matin, on n’a pour ainsi dire pas arrêté de baiser !
― Oui, mais au moment où elle nous a surpris, il ne s’était rien passé. C’est à cette question que je répondrai.― A ouais ? Et si la question qui te sera posée est « avez-vous couché avec votre sœur », sans référence à une date, comment réagiras-tu ?Le principe d’un détecteur de mensonge, c’est d’enregistrer les émotions générées par une question et la réponse qu’on lui fait. Ce sont nos réactions qui déterminent le verdict de la machine. J’étais persuadé que je saurai me conditionner pour entendre la question « avez-vous couché avec votre sœur au moment où votre femme est entrée dans la chambre ? », et que je saurai chasser de mon esprit les heures qui ont suivi son incursion. Oui, j’étais sûr de moi. Enfin, relativement…― De toute façon, je suis sûr qu’elle n’ira pas jusque-là. Ce n’est pas son genre. C’est trop compliqué de contacter une boîte qui fait ça, de monter un rendez-vous, d’étaler ses soupçons à un parfait étranger, peut-être pour rien. Là, elle doute. Elle n’est plus très sûre de ce qu’elle a vu. Le seul élément objectif qu’elle possède, ce sont les photos que tu as prises de ton mari en train de se farcir la jeunette.Aurélie était prête à me croire, mais c’était encore un peu trop tôt. De toute façon, elle ne pouvait plus rien y faire. Seulement espérer que Laura se laisserait convaincre.― Bon, qu’est-ce que tu veux faire aujourd’hui ? Lui demandai-je.Je ne m’étais pas rhabillé non plus. Elle fixait une partie de mon anatomie qui était à peu près à la hauteur de ses yeux.― Je ne sais pas moi… La même chose qu’hier…Elle me fit signe d’approcher, ce que je fis. Et elle enfourna ma verge dans sa bouche. La bouche pleine, elle grommela une phrase incompréhensible que j’interprétai assez librement comme : « je n’avais pas encore eu l’occasion d’y gouter ! ». La matinée se passa comme vous pouvez l’imaginer. Nous remîmes ça en début d’après-midi. A ce moment-là, il me semblait que nous jouions avec le feu. Je le lui dis.― Je pense que Laura va accepter mon explication. Et qu’elle va débarquer ici sans prévenir. Je parie que ce sera demain, mais elle est capable d’arriver plus tôt. Alors, à partir de maintenant, nous nous comportons en frère et sœur exemplaires.Elle râla un peu. Je crois qu’elle avait pris goût à nos galipettes. Mais lorsque je lui rappelai qu’elle jouait la garde de ses enfants, elle se rangea à mon raisonnement. Nous nous baignâmes, fîmes un scrabble, préparâmes le repas. Laura n’était toujours pas apparue lorsque nous nous couchâmes chacun dans notre chambre.Je faisais encore la grasse matinée lorsque je fus réveillée par le poids d’un corps qui se vautrait sur moi.Je faillis chasser l’intruse d’une remarque acerbe, du genre :― Aurélie, je t’ai déjà dit que ce n’était pas le moment de flirter. Laura pourrait arriver d’un instant à l’autre !Ce en quoi je me trompais, puisqu’elle venait justement de débarquer dans notre chambre. Heureusement que je n’avais pas eu le temps d’ouvrir la bouche avant d’apercevoir des habits. Si ç’avait été Aurélie, j’étais persuadé qu’elle aurait été nue.Je remarquai le côté enthousiaste de son salut matinal. Je lui pris le visage à deux mains et l’embrassai fougueusement sur la bouche. Elle me rendit volontiers mes marques d’affection.― Il est donc si tard ? Lui demandai-je.― Non. Simplement, je suis partie très tôt. ― Alors, tu as peut-être envie de te reposer un peu, ajoutai-je en tapotant l’oreiller qui était habituellement le sien.― Avec toi à mes côtés, c’est ça ? Je ne suis pas sûre de vraiment me reposer…― Si ! Je ne sais pas quand, mais à un moment donné, tu t’assoupiras.Elle s’allongea, et j’entrepris de la dévêtir. Elle coopéra, si bien qu’elle ne tarda pas à se retrouver dans la même tenue que moi. Je lui mordillai les seins puis lui léchai la vulve. Quelques minutes plus tard, je la pénétrai. Je craignais que les presque 48 heures précédentes au cours desquelles j’avais baisé Aurélie sans retenue ne laisse des traces. Que Laura s’aperçoive que j’étais moins fringant que d’habitude, et que cette constatation ne ravive ses soupçons. Moi qui d’habitude prends soin de retarder mon plaisir pour le synchroniser avec celui de ma partenaire, menais nos ébats avec la délicatesse d’une charge de cosaques.― Tu m’as manqué, lui murmurai-je. Pourquoi n’es-tu pas revenue plus tôt ?Je sentais que cette fougue un peu inhabituelle lui faisait de l’effet. Elle poussait de petits gémissements, cambrant son bassin pour mieux m’accueillir.― Je ne peux plus me retenir…Elle poussa un cri, signe qu’elle avait eu un orgasme à peu près au même moment que moi. Je la serrai dans mes bras. Et nous nous endormîmes.Il n’était pas loin de midi lorsque nous émergeâmes. Je me levais le premier, pris une douche et gagnai la cuisine pour me faire un café, ce qui était ma première priorité. J’y trouvai Aurélie, vêtue de la même robe que lors de son arrivée.― Laura a débarqué, lui dis-je.― Je sais. J’ai vu sa voiture, me répondit sobrement ma sœur.Ce qui expliquait sans doute qu’elle se soit habillée et n’ai pas tenté de me rejoindre dans notre chambre. ― Je vais vous laisser tous les deux.― Hein ? Pas question ! On ne va pas te laisser tomber comme ça. Tu peux rester chez nous autant que tu voudras, le temps que ça se décante.― C’est un séjour longue-durée que tu me proposes, alors ! Parce que, crois mon expérience d’avocat, ça prendra un sacré temps avant que notre divorce ne se règle. Plusieurs mois. Peut-être plus d’un an.― Bon on en reparlera lors de la rentrée scolaire, mais d’ici-là, tu restes ici. Sauf… qu’il te faudrait peut-être d’autres habits…― Pourquoi ? Je sens mauvais ?J’ajoutais à voix très basse.― On ne peut pas dire que tu les aies beaucoup portés ces deux derniers jours. Mais ça va changer. Tu veux aller faire un saut à Poitiers ?― Quasiment tous mes habits d’été sont dans le camping en Vendée. Je demanderai à Maman de me les ramener lorsqu’Alexandre la chassera, ce qui ne devrait plus trop tarder.

* * *

En effet, dès le lendemain, Catherine m’appela pour me relater son échange avec son futur-ex-gendre.― Il m’a prise de haut. Du genre « après ce que vos enfants ont fait ensemble… ». Je lui ai répondu assez sèchement : « je ne sais d’où vous tenez ces allégations, mais elle sont complètement farfelues. Ce qui est prouvé, par contre, c’est que vous vous envoyez en l’air avec votre collaboratrice. Croyez-moi, on vous reconnait parfaitement sur les photos qu’Aurélie a prises. Et votre copine aussi. Dites-moi… Vous êtes sûr qu’elle est majeure ? »Je lui passai Aurélie qui lui demanda de refaire sa valise et de la lui rapporter. Alexandre refusa qu’elle ne passe son téléphone aux enfants pour qu’ils puissent parler à leur mère. La guerre était déclarée, et les combats venaient de commencer, avec leur fille et leur fils en otage.Catherine passa la journée avec nous avant de regagner son domicile. Elle se proposa pour héberger Aurélie. Ça me semblait prématuré. Je pensais que ma sœur supporterait mieux la situation avec Laura et moi, que seule avec notre mère. Un retour chez maman aurait eu un petit quelque chose d’une défaite, suivi d’un retour en arrière. Je la poussai à démarcher d’autres cabinets d’avocats sur Bordeaux. Tout le monde n’était pas en vacances, et elle eut plusieurs touches intéressantes, bientôt suivies de rendez-vous physiques. Ces retours accueillants firent le plus grand bien à son moral. Elle s’intéressa aussi au marché de l’immobilier.Elle prit rendez-vous avec son patron actuel. Il était en vacances à Arcachon, et ils se virent au bar d’un hôtel de luxe. En guise d’introduction, elle lui montra les photos où il ne pouvait pas ne pas reconnaître un des associés avec sa jeune stagiaire.― Je vois, avait-il dit. Elle, son stage se terminera de manière prématurée dans la semaine.Et il s’était tu. Aurélie comprit tout de suite que sa carrière dans ce cabinet venait de prendre fin. Jamais son patron ne prendrait partie pour elle contre son mari, plus ancien qu’elle, et qui, lui, était un des associés du cabinet. ― Tout ce que je vous demande, c’est une rupture conventionnelle, à effet immédiat, avec une prime correspondant à trois mois de salaire, pour me laisser le temps de retrouver quelque chose. Il avait hoché la tête en signe d’assentiment. Aurélie s’était alors fait la remarque qu’elle aurait pu demander plus.― Et trois mois de plus parce que je vais déménager sur Bordeaux et que ça a un coût. Comme ça, je ne vous ferai pas concurrence. Je disparais de votre paysage.Il n’avait pas dit non, mais semblait nettement moins enthousiaste.― Et la possibilité d’emmener, s’ils le souhaitent, les clients que j’ai démarchés à titre personnel. ― C’est-à-dire ?Et ma sœur cita quatre noms, dont deux le firent tiquer.― C’est vous qui les avez amenés ?― J’étais une bonne collaboratrice, vous savez. Pas seulement l’épouse d’Alexandre. Dans une histoire comme celle-là, sordide à souhait, il y a toujours de la casse. Je ne vois pas pourquoi je serai seule à la payer. En acceptant de partir et en quittant la région, je vous facilite les choses. Il tint à rayer un des noms de la liste des clients qui pouvaient suivre ma sœur, et ramena l’indemnité de 6 à 5 mois. Aurélie accepta. Elle ne tarda pas à signer avec un cabinet réputé de Bordeaux, et nous l’accompagnâmes dans des visites de maisons et d’appartements à louer. Elle fixa son choix sur une petite villa récente, pas trop loin du tram qui lui permettrait de rejoindre facilement son travail, et près des écoles aussi.Je l’accompagnai à Poitiers. Elle souhaitait profiter que son mari était en Vendée pour emmener des affaires personnelles. ― Comme ça, je n’aurai plus à le revoir Sauf devant le juge en charge du divorce, bien sûr.Elle fit aussi main basse sur des objets qui auraient pu être revendiqués par les deux : des albums photos, des souvenirs auxquels elle tenait vraiment.Et elle lança la procédure de divorce. Bien qu’avocate, elle ne commit pas l’erreur de vouloir se représenter elle-même. Elle fit appel à une connaissance de la fac, spécialisée dans le droit de la famille. Comme elle n’avait pas encore son nouveau logement, elle l’invita à passer la voir un soir chez nous, et je fis ainsi sa connaissance. Elle m’impressionna. Je me dis qu’Aurélie avait fait le bon choix et me surpris à plaindre (juste un petit peu) Alexandre. Il n’avait aucune chance. Je la comparai à un pitt-bull, avant de me raviser : c’était désobligeant pour le représentant de la race canine, qui serait passé pour un animal de compagnie plutôt bonasse à côté d’elle.La virago insista auprès de la juge pour que la sentence soit prononcée avant la rentrée pour ne pas forcer les enfants à changer d’école en cours d’année scolaire. Aurélie réclama et obtint la garde exclusive de ses rejetons, Alexandre n’ayant un droit de visite seulement limité à un week-end sur deux et à la moitié des vacances scolaires. Vu son métier et ses habitudes de vie, c’était déjà plus qu’il ne pourrait assurer.Ma mère l’aida à s’installer et à trouver ses marques. Elle venait souvent le week-end chez nous, les gamins appréciant à la fois leurs cousins et la piscine.J’avais craint que ma sœur ne plonge dans la dépression, mais ce ne fut pas le cas. Elle se reconstruisit une vie équilibrée en très peu de temps.

* * *

Mes relations avec Laura étaient redevenues ce qu’elles avaient toujours été. J’avoue qu’il m’arrive de repenser à cet été si singulier, que rien n’avait annoncé, au cours duquel j’avais couché avec ma mère puis ma sœur. Les mois avaient passés, mais ces quelques jours restaient dans mon souvenir un moment très particulier, un peu hors du temps. Je ne regrettai rien, même si nous n’avions jamais remis ça, ni avec Catherine, ni avec Aurélie.Je n’en avais jamais reparlé, avec aucune des deux.Je ne voyais quasiment jamais ma mère seule. Nous ne cherchions pas à créer cette situation. Ma mère avait vu sa fille divorcer, et elle savait que ce n’était pas passé très loin pour moi. Elle ne voulait prendre aucun risque.J’étais passé souvent chez ma sœur, pour l’aider à s’installer, puis pour effectuer de petites réparations. La plupart du temps, mes neveux étaient là, mais pas toujours. Même lorsque nous étions seuls, nous n’eûmes aucun geste déplacé.Le printemps fut précoce cette année-là. Nous eûmes une mini vague de canicule dès le mois de mai. J’avais pris mon après-midi et était passé chez ma sœur pour abattre un arbre qui menaçait de s’effondrer, ce qui inquiétait la mère de mes neveux. Aurélie passait la tondeuse sur la pelouse. Nous nous croisions alors qu’elle arpentait son lopin vert et que j’évacuai les tronçons d’arbre que j’avais débités. Je finis un peu avant elle et la rejoignis. Elle était en sueur.― Tu veux un coup de main ?― Non, ça va. J’ai presque terminé. Tiens, débarrasse-moi de ça, dit-elle en faisant passer son débardeur par-dessus sa tête et en me l’envoyant. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Je restai un moment à la contempler. J’ai toujours trouvé une femme nue particulièrement érotique. Certains sont excités par les sous-vêtements. Moi, c’est par la peau nue. J’aime les corps féminins. Mais lorsque l’objet de mes attentions ne se préoccupe pas de qui la regarde, qu’elle vaque à une occupation quelconque comme si de rien n’était, je trouve cette vision dix fois plus excitante. Je bandais ferme en contemplant le corps de ma sœur, rendu luisant par la sueur. Elle ne portait qu’un short en jean, très court. Une fois sa tonte terminée, nous rangeâmes les outils. J’étais tout près d’elle.― Tu n’as jamais eu envie de tondre ta pelouse complètement à poil ? Lui demandai-je.― Pourquoi ? Le spectacle te plairait ? Je ne répondis pas, tellement la réponse me semblait évidente. Elle me sourit.― Regarde-moi ça. Je suis toute mouillée, j’ai la peau qui colle…Je ne pus m’empêcher de poser la paume de ma main entre ses seins luisants, et je constatai qu’effectivement, elle restait collée à son épiderme : je ne parvenais pas à m’en détacher.― Allez, à la douche ! S’écria-t-elle en se débarrassant de ses chaussures, puis de son mini-sort et de sa petite culotte. « Tu restes là ?Je réagis alors et me séparai à mon tour de mon short et de mon tee-shirt. Je la suivis dans la salle de bains, puis sous la douche, suffisamment grande pour accueillir deux personnes.Je ne m’étais pas promis de ne jamais renouveler le moment d’égarement qui m’avait conduit à coucher avec ma sœur. Simplement, l’occasion ne s’était plus représentée. Je n’avais d’ailleurs rien fait pour la provoquer. Mais là, pouvais-je ignorer son corps qu’elle exhibait sans aucune gêne, ses seins qui frôlaient ma peau ?Je ne tardai pas à la savonner, ce qu’elle accepta bien volontiers. Je glissai mes doigts entre ses fesses et dans sa vulve. Je bandais comme un taureau. Elle gémit doucement.― Ça fait longtemps qu’un homme ne s’est pas intéressé à moi…― Tu ne vois personne ?― Difficile avec les enfants. Ils ont été perturbés par le divorce, tu t’en doutes. Ils ont reporté tout l’amour qu’ils avaient pour leurs deux parents sur ma seule personne. Ils me font la gueule si je parle trop longtemps à un homme. C’est exigeant, à cet âge. Exclusif, même je dirai.― Oui, mais toi, tu as des besoins…― Ça c’est sûr ! Heureusement que j’ai mon petit frère ! répondit-elle en avançant son bassin vers moi, comme pour m’inciter à aller plus loin.J’avais déjà deux doigts dans son vagin. Elle attendait donc que j’y fourre autre chose. Mais je ne voyais pas de raison de me presser. Je continuai donc mes caresses auxquelles elle n’était visiblement pas insensible, si j’en croyais ses gémissements. Une main entre ses fesses, deux doigts dans sa grotte et les pointes de ses seins dans ma bouche, l’une puis l’autre, alternativement. De son côté, elle tenait fermement mon sexe dans sa main qui effectuait de vigoureux va-et-vient. ― Tu n’as plus baisé avec un homme depuis ton divorce ?― Non, tu as été le dernier.Largement plus de six mois, donc. Je comprenais qu’elle était en manque. ― On serait peut-être plus à l’aise sur le lit, lui suggérai-je. ― Enfin une proposition raisonnable !Elle coupa l’eau et entreprit de me tracter vers sa chambre, enserrant toujours mon dard tandis que j’essayai de conserver mes doigts entre ses chairs. Autant dire qu’on n’avançait pas. Je la chargeai sur mon épaule. Elle poussa un petit cri de surprise puis de dépit, qui se mua en soupir de contentement lorsque je réintroduisis une phalange dans son fondement.Je la fis basculer sur le lit, où elle se réceptionna sur le dos, écartant mécaniquement les jambes pour mieux m’accueillir. Je la pénétrai aussitôt et me mis à la pilonner.― Oh oui, vas-y ! Plus fort !Plus fort, je ne pouvais pas. Mais je m’efforçai à conserver le rythme. Je sentais que mon orgasme n’était plus très loin. Le sien non plus, et elle poussa un long hululement que n’aurait pas renié une louve tandis que je me répandais dans son vagin.Nous restâmes plusieurs minutes allongés, occupés à reprendre notre souffle. Nous étions tous deux à nouveau en sueur.― Merci Julien, me murmura-t-elle en m’embrassant sur la bouche. J’en avais tellement besoin… Je ne t’ai pas trop demandé ton avis…― T’inquiète, j’étais consentant. J’aime bien baiser ma grande sœur…Je remarquai qu’un peu de liquide blanchâtre s’échappait d’entre ses cuisses. Je rattrapai une goutte du bout du doigt et l’examinai.― Comme si tu ne savais pas ce que c’était… Ironisa-t-elle.Et elle me suça le doigt, tel un iguane capturant sa proie.― J’aime pas quand ça se perd.Je retournai fouiller dans son vagin, et elle avalait à chaque fois la semence que j’en retirai. Ce petit jeu dura un moment. Puis, jugeant que cela ne lui suffisait plus, elle enfourna ma bite dans sa bouche et entreprit de lui redonner un peu de vigueur.Elle était allongée, la bouche pleine, les jambes écartées, tandis que je lui malaxais les seins. Lorsqu’elle, jugea mon dard assez raide, elle me demanda de la pénétrer à nouveau, cette fois-ci en position de la levrette. Je prenais mon temps, excitant son clitoris de la main.J’aimais la vue de ce cul offert et de mon dard, en sortant presque complètement avant de replonger jusqu’à la garde. Elle finit par avoir un nouvel orgasme. Elle s’était effondrée à plat ventre, les cuisses refermées. Je restai en elle, sans bouger.― J’ai pas envie de sortir de là.― Il va falloir que tu rentres à la maison, non ? Laura va s’inquiéter…Elle avait raison. Nous reprîmes une douche, au cours de laquelle je promenai mes mains sur son corps sans aucune retenue. Puis nous nous rhabillâmes et nous fîmes nos adieux.― Julien… Tu reviendras, n’est-ce pas ?Je l’embrassai sur la bouche en lui caressant la poitrine, pour lui signifier que j’avais bien compris que nous ne parlions pas seulement de travaux au jardin.― Avec le plus grand plaisir.Je n’attendis pas huit mois pour honorer ma promesse. Je crois qu’on peut dire que ma sœur était devenue ma maîtresse régulière. Notre relation se poursuivit même lorsqu’elle commença à rencontrer d’autres hommes. Elle me parlait librement d’eux, de leurs qualités, de leurs défauts, de leurs prouesses sexuelles, même. J’étais son frère avant tout, avec qui elle pouvait tout dire et tout faire. Lorsqu’elle avait envie d’essayer une nouvelle pratique ou une nouvelle position, c’est avec moi qu’elle le faisait.Cette relation particulière avec ma sœur n’affectait pas ma vie de couple. Nous avions tous trouvé un équilibre, et étions bien décidés à le conserver le plus longtemps possible. 
FIN
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