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Ma famille à la campagne

Chapitre 1

Hétéro
J’ai eu la chance de grandir dans une petite famille, en effet je suis enfant unique, et mes grands-parents paternels n’ont eu que deux enfants, mon père et sa sœur.Ma tante Claire est la cadette de mon père d’une douzaine d’années.
Mon père étant très occupé toute l’année par son travail notre rituel familial était de passer le mois d’août en vacances dans la maison de campagne de mes grands-parents. Mes grands-parents possèdent en effet une très belle maison de campagne dans l’arrière pays niçois. C’est une ancienne demeure que mes grands-parents ont remis au goût du confort actuel. La maison est isolée du reste du village, ce qui permet de profiter pleinement de la piscine.Cette année, après avoir passé mon BAC, il a été décidé que je partirais en avance par le train et que mes parents me rejoindraient une semaine plus tard.
Après un long voyage en train j’arrive enfin à la gare du village. Là, ma grand-mère et ma tante devaient m’attendre. Fidèles au rendez-vous, par cette très belle journée d’été. Ma tante, est une femme de trente quatre ans, elle a toujours été célibataire. C’est une belle blonde, avec de petits seins, et une croupe à rendre un impuissant, acteur porno. Ce jour elle portait un mini short et un débardeur, le tout sans soutif, elles n’en a pas besoin avec sa menu poitrine. Ma grand-mère quant à elle, est une femme approchant les soixante dix ans mais encore très bien conservée pour son âge, mais le plus frappant chez elle c’est la taille de sa poitrine, je dirais « énorme », c’est à se demander de qui tient ma tante.
Claire me saute au cou et me demande :— Tu as fait bon voyage ?— Oui merci. Lui répondis-je avec un début d’érection provoqué par le frottement de ses tétons sur ma poitrine.— Bonjour mamie, tu vas bien ?— Oui mon grand.Nous avons pris place tous les trois dans la Deux Chevaux de ma grand-mère. Tout le long du voyage, mon regard n’arrêtait pas de faire la va-et-vient entre les cuisses de Claire et la poitrine de ma grand-mère qui rebondissait au rythme des suspension de la voiture. Une fois arrivé à la maison de campagne et un rapide bonjour à mon grand-père, j’ai monté les marches, qui me séparaient de ma chambre, quatre à quatre, dans un seul but : me MASTURBER. Je jette mes affaires dans un coin et m’affale sur le lit, moins de deux seconde après j’agitais mon sexe en repensant à la petite poitrine de Claire. Mais mon plaisir est de courte durée :— Jul t’es là ? toque Claire à ma porte.— Oui.— Tu viens, te baigner ?— J’enfile un maillot et j’arrive.— Ok je t’attends à la piscine.En arrivant sur le bord de la piscine je vois Claire arriver avec les serviettes de bains, elle porte un petit bikini blanc, je devrais plutôt dire un string et deux petits triangles de tissu qui n’arrivent pas à tenir sur sa petite poitrine. Mon short à beau être très large, il ne peut contenir mon érection. Je décide donc de plonger à l’eau. La fraîcheur de l’eau de la piscine ne calme pas mon érection, Claire vient me rejoindre en un plongeon, au moment où Claire ressort de l’eau, son haut s’était déplacé pour ne plus recouvrir ses seins :— Désolée, il ne tient pas en place, après tout on est de la famille, je peux l’enlever complètement. Tu ne crois pas ?— Heuh…. Si, si !— Tu te souviens quand tu étais plus jeune tu essayais de me couler tout le temps.— Heuh. Je devrais y arriver aujourd’hui !Après une bonne heure de jeux, Claire décida de sortir bronzer un peu. Moi je suis resté faire quelques longueurs pour calmer mon entrejambe (une heure de froti frota avec un fessier de rêve et de petits seins, ça m’a mis dans un état de trique perpétuelle).
En fin de journée ma grand-mère vient nous appeler pour manger :— Le repas est prêt, vous venez manger ? Claire, tu n’as pas honte de te montrer comme ça devant Jul ?— Non, il en a déjà vu d’autre, et en plus j’ai presque rien à montrer, pas comme toi !— Viens manger au lieu de dire des bêtises.Après un repas en famille bien calme je décide d’aller prendre une douche. Ce que j’aime dans cette maison, c’est la salle de bain, elle a une douche qui pourrait contenir trois à quatre personnes. En me rasant, dans la glace, j’aperçois dépassant du panier à linge des sous-vêtements, au vu de leurs tailles je pense que ce sont ceux de ma tante. Une idée folle me traverse l’esprit, je porte sa petite culotte à mon nez. Captivé dans mes songes je n’avais pas entendu que quelqu’un était rentré dans la salle de bain.— Alors elle est propre ?— Claire ! !! — Tu veux peut-être vérifier celle que je porte ?Sans plus attendre elle baisse son short et à ma grande surprise elle est nue en dessous :— Mince, j’ai pas de culotte, montre voir ton caleçon.Joignant le geste à la parole, elle attrape mon caleçon et tente de le baisser, mais son geste est stoppé par mon sexe gonflé. Elle plonge sa main dans mon caleçon pour attraper mon sexe, elle le sort de sa cachette.— On dirait que ça te fait de l’effet ?Elle entame alors une divine masturbation, puis accélère de plus en plus, je perds pied, je ne sais plus où je suis. C’est ce moment qu’elle choisit pour se mettre à genoux et lécher mon sexe sur toute sa longueur. Elle joue avec sa langue sur mon sexe, je me tiens plus, je sens mon plaisir monter, j’ai juste le réflexe de lui prendre la tête et enfoncer mon sexe au fond de la gorge, une fois bien à l’intérieur, je ne peux plus retenir ma semence, je lui remplis la bouche. Quand Claire a tout avalé, elle se relève, me dépose un bisou sur la joue, remonte son short et me laisse là, le sexe pendant !Après avoir repris mes esprits, j’ai pris ma douche, je suis allé rejoindre mes grands-parents et ma tante devant la télé, autant dire que j’ai rien vu du film, d’autant que plus ma tante m’arrêtait pas de me faire des clins d’œil et de passer sa langue sur les lèvres. J’ai eu l’impression que mes grands-parents avaient remarqué ce manège. Après deux heures de supplice, on décide d’aller tous se coucher. Je me suis allongé sur le lit, je n’arrive pas à trouver le sommeil au bout de une heure, je décide de me relever, je sors de ma chambre, la porte de la chambre de mes grands-parents est entrouverte et la lumière de la lune me permet de voir que papy est encore bien monté pour son âge, mais surtout que les seins de mamy sont encore plus gros et laiteux que je me l’imaginais. Après mettre servi un verre d’eau, je remonte, arrivé en haut des escaliers, je retrouve ma tante dans l’encadrement de sa porte de chambre.— Vous voulez entrer, Monsieur ? — Vous proposez quoi madame ?— Entre que l’on finisse ce que l’on a commencé tout à l’heurJe suis rentré et j’ai fermé la porte derrière moi, cette fois pas question de laisser passer ma chance, je me suis collé à Claire et je l’ai embrassée. Pendant notre baiser, j’en ai profité pour glisser ma main jusqu’à sa poitrine. J’aime vraiment ses petites cerises, à tel point que je n’ai pu m’empêcher de les sortir de la nuisette et de les embrasser. Prenant les choses en main, je décide de me baisser sous sa nuisette, quel beau spectacle, son pubis en parfaitement entretenu en ticket de métro :— Je savais bien que tu étais doué, continu c’est vraiment trooooooop bon……Après son premier orgasme je l’ai basculée sur le lit, j’ai guidé mon sexe à l’entrée de son con. Pour mon plaisir à moi, je l’ai pénétrée d’un coup sec, malgré ma préparation buccale, je lui ai arraché un cri à réveiller un mort ou plutôt mes grands-parents. Je dois avouer que quelques aller-retour on suffit à la remplir, j’ai explosé en elle. Après un peu de repos, j’ai sorti mon sexe, de son antre, elle m’a poussé sur le côté et a attrapé mon sexe pour me le nettoyer. J’ai encore une fois rempli sa bouche. Cette dernière éjaculation a raison de nous.Le soleil vient me réchauffer la peau, je regarde le réveil, il est dix heures, je suis encore dans la chambre de Claire. Je me retourne donc et vois cette déesse nue allongée sur le côté. Cette vision me redonne une érection instantanée. Je décide de reprendre là où l’on s’était arrêté hier soir. Je guide ma barre de fer entre ses fesses, je fais des mouvements dans sa douce raie, Claire se réveille enfin, elle tourne son visage vers moi et me dit :— Déjà réveillé ? et bien réveillé, je vois. — Toujours prêt madame !— Alors c’est dommage de laisser passer cette occasion. Voyons voir où tu en étais ? Sur ces mots, Claire se met à quatre pattes sur le lit.— Tu voulais faire une visite par là ?Ne tenant plus je dirige mon sexe vers son antre, une chose est sûre, je ne pas besoin de viser, je commence à pousser de plus en plus fort. Mon sexe ne veut pas rentrer.— Pousse plus fort !— Tu es sûre ?— Vas-y, je te veux au fond.Je pousse de toutes mes forces et son sphincter cède, je ne peux retenir mon élan et rentre à fond.— Salaud, …. Tu m’as déchirée, pour un premier passage, quel passage.— Ton premier passage ? Entend on va le mettre en état.Je me suis donc mis à limer Claire, étroite comme elle était, je n’ai pas mis longtemps à lui remplir les fesses. Dans la foulée Claire joui aussi dans un cris à déchirer les murs. Après un petit moment de récupération, je suis le premier à aller rejoindre mes grands-parents pour le petit déjeuner.
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