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Famille Chaaben

Chapitre 1

Inceste
Cette histoire est purement imaginaire.
Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n’est qu’une coïncidence.
Chapitre 1:
La famille Chaaben vit dans une maison luxueuse de banlieue nord de la ville de Tunis, avec un grand jardin avec piscine. La mère, Meriem, est opticienne. Elle a trente-huit ans, est brune, pas très grande 1m66 et, petit détail coquin, est intégralement épilée. Le père, Fehmi, est architecte indépendant. Il a quarante-deux ans, est brun, assez grand et doté d’un sexe imposant qui fait le bonheur de sa femme. Ils se sont mariés juste après la réussite de Meriem au Bac, il y a de cela 20 ans.
Ils ont un fils, unique, Fares, tout juste âgé de 18 ans. Il a les cheveux noirs et est plutôt petit de taille pour son âge. Quand il a entamé sa puberté, son corps n’avait pas suivi le "changement" hormonal et avait gardé toutes les caractéristiques de l’enfance.
Chez les Chaaben, il n’y avait pas vraiment de tabou. Durant ses études, Meriem avait parcouru les chapitres sur le corps humain, sur la sexualité des hommes et des femmes en long, en large et en travers. Elle en faisait profiter son mari et ses explications devenaient de plus en plus vicieuses.
Ils se sont penchés et ont fini par approfondir leurs connaissances sur le monde "des jeux sexuels", après avoir brisé les tabous que leur société arabo-musulmane avait érigés. Durant leur exploration, ils ont opté pour vivre comme les parents de Meriem, dans un milieu totalement dénudé de tabous, de vêtements et d’interdits.
Bien que cela était très dur à installer dans la vie de tous les jours, ils ont quand même réussi à bâtir un modèle de vie qui correspond à leurs philosophies du bonheur.
Ils étaient naturistes, et grâce à leur emploi fort bien rémunéré, chaque été la famille passait une grande partie des vacances au cap d’Agde et une fois de retour à la maison, la nudité faisait toujours partie du mode de vie dans la maison.
Il fallait, bien entendu, la mise en place de règles strictes pour éviter l’incompréhension de la société dans laquelle ils vivaient. Comme il fallait que n’importe quelle invitation d’ami (e)s (aussi bien pour les parents, que pour le fils) soit validée par tous les membres de la famille, interdiction aux ami (e)s de coucher, séjourner dans leurs maisons sauf cas de force majeure...
Cela n’était pas si simple à mettre en place, mais en fin de compte, le but était atteint.
Une fois dans la maison, interdiction de porter un quelconque tissu sur le corps... Seule exception faite à Meriem, qui portait parfois des culottes quand elle avait ses règles. Et le mode de vie adopté a fait qu’ils étaient tous très câlins les uns avec les autres, et Fares était très attaché à son père (plus qu’à la mère) sur les genoux desquels il aimait s’installer pour chercher de la tendresse.
Depuis quatre ans, Meriem et Fehmi fantasmaient sur des histoires d’incestes qu’ils ont découvertes sur des sites d’histoires X. Leurs préférées mettaient généralement en scène de jeunes garçons avec leurs pères.

Du coup, ils en lisaient régulièrement pour s’exciter et faire ensuite l’amour de façon débridée.
Meriem rêvait d’un passage à l’acte avec Fares. Mais pour Fehmi, cela ne devait pas dépasser le fantasme. Néanmoins, il était fréquent que Fehmi se mette à bander quand Fares lui faisait un câlin et le jeune homme avait aussi tendance à exhiber de jolies érections dans ces moments d’intimité.
Le fiston aimait sentir contre sa cuisse le sexe dur de son père et se collait encore plus fort contre lui. Pendant leurs câlins, ils se caressaient mutuellement et s’embrassaient chastement sur la bouche. Les mains de Fares s’attardaient sur la poitrine de son père tandis que celles de Fehmi parcouraient le dos et les fesses de son fils.
Bien entendu, l’érotisme de ses câlins n’était pas fait pour apaiser les érections du père et entretenait ses fantasmes interdits.
Quand il n’avait encore que sept ans, Fares avait demandé à son père pourquoi son « zizi » était tout dur et Fahmi avait répondu que c’était parce qu’il l’aimait très fort. Pour le garçon, cette explication avait été suffisante et, depuis, il estimait que leurs érections n’étaient que l’expression naturelle de leur amour.
Après les séances câlins, Fehmi avait un besoin urgent de se soulager et il allait généralement se masturber dans la salle de bain. Là, il laissait son esprit fantasmer sur des actions inavouables et interdites. Il rêvait de caresses intimes avec son fils, voyait l’enfant prendre en bouche son sexe imposant et même lui offrir son cul. Chaque fois qu’il se masturbait ainsi, il éjaculait abondamment et en éprouvait ensuite une certaine gêne.
— Tu t’es bien branlé, mon Cochon ? Lui demandait alors Meriem quand il reparaissait.— Oui, je suis désolé et j’en ai honte.— Il ne faut pas ; vous êtes très beaux tous les deux avec vos bites bien raides. Il ne faudrait pas grand-chose pour que vous passiez à la vitesse supérieure.— T’aimerais ça, ma Chérie ? Tu voudrais quoi ? Qu’on se branle ?— Ce serait déjà un début... Tu pourrais lui apprendre à te donner du plaisir comme ça. Ça ne te plairait pas d’avoir une deuxième petite femme ?— Je n’ai qu’une femme et c’est toi, ma Chérie. Fares est un garçon... mon petit garçon !— Eh bien, tu pourrais avoir une femme et un garçon pour satisfaire toutes tes pulsions sexuelles. Avoue que ce serait le paradis. Tu ne serais plus obligé de te masturber en cachette et moi j’aurais de bonnes raisons pour le faire en vous regardant.— C’est une chose de fantasmer sur des histoires d’inceste entre père et fils ou mère et fils et c’est une autre chose de passer à l’acte... Rien ne dit que ça te plairait vraiment de nous voir baiser !??— Bien sûr que si ; je n’attends que ça depuis que j’ai commencé à lire des textes sur des histoires d’inceste. J’en ai la chatte en feu rien que d’y penser... Arrête de résister, mon Chéri, tu en as autant envie que moi.— Tu es vraiment terrible...
La récurrence de ce genre de propos avait fini par ébranler les dernières barrières de Fehmi. Ayant tenu tête aux fantasmes de son épouse qui ne ratait aucune occasion pour insister pour qu’il aille plus loin que de simples caresses et quelques bisous très sages sur la bouche. Elle voulait voir son mari embrasser leur fils avec la langue. Elle voulait voir Fares branler et sucer la verge de son père et, enfin, elle voulait voir Fehmi pénétrer l’anus du fils. Et elle se voyait en train de se branler devant le couple incestueux et prendre des photos et des vidéos d’amours interdits. Tout cela l’excitait terriblement.
Finalement, il arriva un jour où Fehmi capitula et décida d’aller au-delà de simples caresses et de chastes bisous sur les lèvres. Cela se produisit un vendredi lors du câlin du soir et ce fut une remarque de Fares qui déclencha tout.
— Papa, tu sais quoi ? J’ai peut-être 19 ans maintenant, mais depuis bien longtemps déjà, cela me faisait un drôle de truc... Quelque chose d’indescriptible quand on est comme ça avec le zizi tout dur - avoua Fares, en baissant les yeux, après un bisou - Je... Je... J’aime ça !!— Moi aussi, j’aime bien ça... Tu permets que je touche ton zob pour voir comme il est dur ?— Oui, je veux bien... Répondit Fares sans hésiter.— Tu peux aussi toucher le mien si tu as envie... On n’est plus à ça près !!
Fehmi prit entre ses doigts le zob bien raide de Fares et de son index parcourra le gland circoncit. Il en admira l’érection et se mit à le masturber doucement. Le jeune homme répondit en touchant sa verge turgescente. Imitant son père, il la serra entre ses doigts pour la masturber.
— Elle est grosse... Reconnut Fares fasciné.— C’est pour toi, mon Chaton... Parce que je t’aime très fort. Tu aimes ce que je te fais ?— C’est bizarre... On ne me l’a jamais fait, mais j’aime bien. Et toi tu aimes ce que je fais ?— J’adore ça et si tu continues, tu vas me donner beaucoup de plaisir. Tu vas me faire éjaculer !— Jamais je n’ai senti un autre sexe que le mien entre mes doigts... C’est agréable ! Je ne regrette pas cette découverte !! Pourquoi avons-nous attendu si longtemps ?— Car je... ne... voulais... pas... sauter... les... étapes... Cela devait venir de toi !— Ohh... Oui... Je t’aime Papa, embrasse-moi comme tu embrasses Maman !
Ce fut ainsi qu’ils ont connu leur premier échange baveux entre hommes. Fehmi trouva ça tout de suite très agréable et différent des baisers qu’il échangeait avec son épouse. Alors qu’ils s’embrassèrent ainsi, les dernières frontières paternelles se brisèrent et les mains du père s’activèrent.
Fehmi envoya sa main gauche sur les fesses de son fils et son majeur chercha son anus. Il le trouva et le massa jusqu’à le pénétrer. Fares se mit à gémir de plaisir entre deux baisers langoureux et sa masturbation devint plus vive. Fehmi, transporté dans un monde qu’il était en train de découvrir, ferma les yeux et activa lui aussi la masturbation de son fils. Fares se raidit et poussa un cri. Il venait de jouir à sec et réclama à son père de laisser son « zizi » tout irrité. Remis de ses émotions, il reprit la masturbation active de la verge de son père qui lui doigtait toujours le cul. Fehmi finit par fermer les yeux, aussi, et poussa un râle de plaisir en éjaculant. Fares en eut plein les doigts. Il trouva ça plutôt impressionnant.
— Je peux goûter ? demanda Fares.— Si tel est ton désir ?— Humm... C’est un peu plus... Sucré que le mien !— Tu as goûté au tien ?— Il y a de cela quelques années ! Cela faisait partie de ma découverte de mon corps.— Pour savoir lequel est le plus sucré... Il faudra demander l’avis d’une experte... Ta mère adore ça !— C’est vrai, Maman ? demanda le fiston en se tournant vers sa mère.— Oui, Chaton, c’est mon péché mignon... La prochaine fois, je goûterai et je vous ferai un rapport détaillé !
Timidement, Fares se lécha jusqu’à faire disparaître tout le sperme qui lui engluait les doigts. Puis, satisfait, il embrassa son père avec amour.
Meriem qui avait joui en regardant ce câlin particulier, ne savait plus de qui elle devait être le plus fier : de son mari pour avoir enfin dépassé ses scrupules ou de son fils pour avoir fait jouir son père avec tant de facilité. Elle se leva de son fauteuil pour aller embrasser Fehmi avec amour et Fares avec tendresse sur la bouche.
Le soir, les quelques histoires d’inceste qu’ils lurent, au lit, eurent une autre saveur et "fellations et sodomies" devinrent des rêves plus réels.
— Tu vas lui apprendre à te sucer ?— Ça t’excite ? Tu veux que Fares me suce ?— Oui, Chéri, et je veux que tu l’encules ; on va en faire une petite salope...— Ah, Meriem, tu m’excites... Je suis un mauvais père, mais j’en ai envie. Tu vas m’aider à le former ?— Oh oui, je vais lui montrer comment te sucer... Je serai son professeur.— Donne-moi ton cul, Vilaine. Je vais te baiser comme j’ai envie de LE baiser !
Fehmi encula son épouse avec fougue en pensant qu’il pourrait faire de même à Fares bientôt. Ils jouirent ainsi tous les deux, rapidement en pensant au garçon.
Le lendemain, quand Fares se réveilla, il alla retrouver ses parents dans leur lit, comme ça lui arrivait encore souvent. Mais cette fois, il se colla contre son père et l’embrassa langoureusement. Tout de suite, les mains de Fehmi se dirigèrent vers ses petites fesses bien rebondies et celles du garçon allèrent trouver la bite déjà raide de son père.
Il commença par la caresser doucement et il la sentit durcir encore au bout de ses doigts. Puis, avec sa main droite, il l’enserra et se mit à la branler. Fehmi se laissa faire sans cesser de caresser le cul de son fils. Il poussa un doigt contre le petit anus et le pénétra. Meriem glissa ses mains entre ses cuisses pour se masturber elle aussi en voyant le drap et la couverture s’agiter au niveau du pénis de son mari.
— Branle bien ton Papa, Chaton... Fais-le jouir comme hier soir...— Oui, Maman, j’ai encore envie de lécher son sperme.— Ah... Tu pourrais le prendre en bouche. Tu veux que je te montre ?
Fehmi repoussa le drap et la couverture et Meriem prit son gland en bouche quelques instants pour montrer à son fils. Fares comprit tout de suite le principe et il remplaça sa mère. Il prit en bouche le gland de son père et se mit à le sucer instinctivement. Fehmi enfonça un peu plus, le doigt qu’il avait introduit dans le cul de son fils et caressa les cheveux de Fares avec l’autre main.
— Ah oui... Papa va juter dans ta bouche, Chaton... Annonça Fehmi après quelques minutes.— Oui, Chéri, remplis sa bouche de petite salope ! s’exclama Meriem en jouissant.— Aaah ! Ah oui... Ah, je jouis ! Ah, encore ! cria Fehmi en maintenant la tête de Fares sur sa verge.
Celui-ci se retrouva avec la bouche pleine de foutre et il avala tout avec plaisir. Il embrassa ensuite son père avec passion et ce dernier ressortit le doigt qu’il avait dans son cul. Ils s’embrassèrent pendant de longues minutes avant de se lever pour aller prendre leur petit-déjeuner.
Fares était heureux de donner du plaisir à son père, mais il se posait d’autres questions. Il hésita un peu et décida de s’en ouvrir à sa mère.
— Maman... Tu crois que Papa aurait envie de m’enculer ?—...— Allo... Il y a quelqu’un ?— Oh... Oui... Je crois que ton Papa adorerait t’enculer... Bon... Cela peut faire un peu mal la première fois, mais ce n’est pas obligé. Ton Papa est toujours très doux et il fera attention à ne pas faire mal. Tu voudrais que ton Papa t’encule ?— Je n’sais pas, mais j’aime bien quand il me met un doigt dans le trou du cul ; ça me fait des choses... Tu crois que c’est pareil si c’est son zob ?— C’est encore meilleur. Avoir le cul bien rempli procure du plaisir et on dit que c’est encore meilleur pour les hommes que pour les femmes.
Fares, un peu perplexe, abandonna la conversation, mais une petite graine avait germé dans son esprit. Néanmoins, pendant les jours qui suivirent, il se contenta de branler et sucer son père comme il avait appris à le faire. Pendant une semaine, il se régala du bon foutre de son père à l’occasion de chaque câlin. Fehmi ne chercha pas à aller plus loin, mais il continua de doigter son fils quand celui-ci le masturbait et le suçait. Et il aimait ce doigtage et la discussion qu’il avait eue avec sa mère le poussa à poser la question fatidique à son père.
— Papa ? Tu veux m’enculer ?— Euhhh !!! Dit-il tout surpris. C’est ce que tu veux ?— Je veux te faire plaisir, Papa... Et je veux bien que tu m’encules, mais j’ai peur d’avoir mal !— Je ferai de mon mieux pour ne pas te faire mal, Chaton. Tu m’as bien sucé et je vais te lécher le trou du cul. Tu verras, cela va rentrer comme dans du beurre ! Il nous faut un peu de lubrifiant... Ça aidera pour que je t’encule sans te faire mal.
Fares fut d’accord et son père lui demanda de se mettre à quatre pattes sur le canapé. À son retour de ma salle de bain, il écarta les fesses de son fils et apporta sa bouche en face de l’anus vierge du garçon. Il darda sa langue et lécha le trou du cul de Fares qui en frissonna de plaisir. Puis il y introduit un doigt et le garçon habitué ne le sentit qu’à peine. Il rajouta son index à côté de son majeur.
— Deux doigts pénètrent le cul de mon fils !
Bien que très excité, Fehmi prit son temps. Il travailla le cul de Fares avec beaucoup de douceur et de détermination. Le petit trou s’assouplit et il put introduire en plus l’index de sa main gauche.
Il écarta ses doigts en douceur et comme l’anus s’écarta bien, il décida d’y mettre sa bite. Il retira ses doigts, prit le tube qu’il avait ramené, déposa un noyau de gel et étala un peu cette crème puis dirigea sa verge tendue devant le petit trou encore vierge. Il appuya son gland au centre de la rosette et poussa fermement vers l’intérieur.
— Ouch ! fit Fares en sentant l’introduction du gland.— Tu as mal ? demanda Fehmi inquiet.— Ne... Non, mais c’est gros... Tu as tout mis ?— Non, mais maintenant ça va glisser tout seul !
Rassuré, il poussa plus avant sa verge imposante. Fares poussa en même temps un long gémissement, mais c’était plus de surprise que de douleur. Son père y était allé en douceur, mais avec détermination, et sa longue verge épaisse avait atteint le fond du rectum. Le cul profond du garçon l’avait prise dans son intégralité et les grosses couilles de Fehmi touchèrent le périnée de Fares. Le père laissa son fils s’habituer à la sensation d’être rempli et il se mit en mouvement. Il se retira de moitié et replongea en douceur. Il recommença ainsi avec de lents allers et retours et Fares se mit à gémir en continu.
— C’est bon, fiston ? Tu aimes ça ?— Aaaaaah... Ah oui... Aaaaah... Parvint-il à répondre.— Mmmm... Encule-le plus fort... Suggéra Meriem en se masturbant.
Fehmi ne répondit pas et continua à son rythme pour laisser encore Fares s’habituer. Cependant, après quelques minutes, il donna satisfaction à sa femme en accélérant ses va-et-vient. Fares y éprouva un plaisir accru et l’exprima bruyamment.
— Aaaaah ! Ah oui ! Aaaaaah !— Oh oui ! Aaaaah... ! Je te baise, Chaton ! Je t’encule... Verbalisa Fehmi en se déchaînant.
Les couilles du papa claquaient maintenant contre le périnée de Fares ; elles battaient la mesure. Le père soufflait comme un taureau et le fils criait de plaisir. Le garçon jouissait sous les coups de reins puissants de son géniteur.
Après quelques minutes, les mouvements de Fehmi devinrent plus désordonnés et, subitement, il se cala au fond du rectum et éjacula. Jamais il n’avait joui aussi fort et il resta enfoncé dans le cul sans bouger en attendant que sa bite se dégonfle un peu.
Il sortit en douceur et retourna son fils pour l’enlacer. Le garçon avait des larmes de bonheur dans les yeux et il enlaça son père en l’embrassant amoureusement. Meriem qui avait joui, elle aussi, vint s’asseoir près du couple incestueux et les embrassa avec tendresse. Elle était heureuse que le dépucelage de Fares se soit si bien passé.
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