Fatma avait soixante-trois ans, elle était petite et (fausse) blonde, avec une forte poitrine et une chatte bien entretenue. Hechmi avait soixante-cinq ans, il n’était pas très grand, avait les cheveux gris et un sexe de taille raisonnable entouré d’une toison grise. Ils habitaient une ancienne ferme dans le nord-ouest de Tunisie. Leur isolement était un choix qui leur permettait de vivre nus tout le temps et partout sur leur grand terrain. Ils avaient, pour surveiller leur domaine, un boxer nommé Jerby (le djerbien en tunisien). C’était un chien de quatre ans très affectueux, mais suffisamment massif pour éloigner les indésirables éventuels. Comme prévu, Fehmi gara sa voiture à midi dans la cour de ferme et ils furent accueillis par Fatma et Hechmi qui avaient guetté leur arrivée. Après les embrassades, Fehmi, Meriem et Fares portèrent leurs bagages dans les chambres et se déshabillèrent. Ils retrouvèrent les grands-parents au salon pour prendre l’apéritif. Le garçon, content de retrouver son Papi, se mit sur ses genoux et l’embrassa tendrement sur les lèvres. Ce baiser très chaste eut pour le Papi une saveur toute particulière. Il lui revint à l’esprit toutes les vidéos envoyées par Meriem dans lesquelles Fares se donnait un plaisir solitaire avec son gode ou en donnait à son père. Il se mit à bander contre la cuisse de son petit-fils, qui en fut tout ému également. Naturellement, le garçon embrassa de nouveau son grand-père, mais il écarta les lèvres et plongea sa langue dans celle de Hechmi. Le grand-père fut surpris par ce baiser beaucoup moins sage que le précédent, mais il y répondit avec passion. Il se mit alors à caresser le dos de son petit-fils qui prit sa verge dans sa main. — J’ai envie de te sucer, Papi... Tu veux bien ? Hechmi regarda sa femme avant de répondre. Fatma lui sourit et déclara que le repas attendrait bien quelques minutes de plus. — Suce-moi, si tu veux, mon Chaton ; je crois que ça va beaucoup me plaire.— Merci, Papi... Fares descendit des genoux de son grand-père et s’accroupit entre ses cuisses écartées. Il prit en main la base de sa longue verge épaisse et l’embrassa du gland aux couilles et des couilles au gland avant de la prendre en bouche. Il commença par en sucer le bout tout en branlant la verge puis, après quelque temps, il chercha à l’avaler le plus loin possible. Hechmi se mit à gémir et encouragea Fares avec des mots tendres. Le jeune homme se montra gourmand et très motivé. Il branla ainsi la bite de son grand-père avec sa main et sa bouche pendant plusieurs minutes avant d’obtenir sa récompense. Hechmi posa ses deux mains sur ses cheveux et annonça qu’il jouissait. Il inonda la bouche et la gorge de son petit-fils avec quatre ou cinq jets de foutre bien épais. Fares avala tout et suça encore un peu le bout avant de l’abandonner. Il se releva et embrassa son grand-père avec fougue. — Ton zizi a bon goût, Papi, et tu as beaucoup de jus ; c’était super !— Pour moi aussi, c’était super ; tu suces vraiment très bien.— J’avoue que c’était un beau spectacle, déclara Fatma amusée, mais maintenant on va passer à table. Désolée pour ton érection, Fehmi, mais elle va devoir attendre.— Ce n’est pas grave, ça va passer...— T’aurais pu m’enculer quand je suçais Papi, dit Fares à son père, avec un petit sourire au coin des lèvres.— Peut-être, mais tu ne me l’as pas demandé.— Tu m’enculeras après manger alors ?— Si tu veux, Chaton.— Ben oui, j’en ai envie, moi !
Ils passèrent à table sur ces paroles et le repas s’éternisa un peu. Néanmoins, le désir de faire l’amour à son fils ne quitta pas l’esprit de Fehmi qui n’en débanda pas. Fares, après avoir mangé son dessert, se leva et alla se coller contre son père. — Tu vas m’enculer maintenant, Papa ?— Je prends d’abord mon café, si tu le permets et après on aide Mamie pour débarrasser.— Mais j’ai envie et toi aussi puisque tu n’as pas arrêté de bander depuis le début du repas !— Oui, Mathis, j’en ai très envie, mais je suis capable d’attendre encore deux minutes.— Bois ton café et va l’enculer, Chéri, dit alors Fatma. On se débrouillera sans vous pour débarrasser. Fehmi but alors son café puis il se leva. Il poussa son fils vers le salon où ils se mirent sur le canapé. Fares se mit à quatre pattes sur l’assise et son père lui retira son plug avant de lui lécher l’anus. Puis il se redressa et pénétra son fils en levrette. Fares se mit à gémir et Fatma, Hechmi et Meriem vinrent pour regarder. — Il a le cul si souple, constata Hechmi admiratif, Fehmi rentre entièrement...— Ça t’excite, mon Cochon, lui dit alors Fatma, mais rassure-toi ; je suis sûre que Fares te réclamera rapidement le même traitement. Il a vraiment l’air d’aimer ça.— Je confirme qu’il adore se faire enculer... À la maison, son père l’encule quatre fois par jour, mais ce n’est pas assez pour mon fils ! Fehmi, pendant ce temps-là, ramona le cul de son fils de toutes ses forces pendant un long moment puis il resta planté bien au fond du rectum. — Aaah... Ah oui, je jouis ! Ah ! Ah, encore ! Oh oui... J’te remplis l’cul, Chaton.— Aaaaah... Ah oui, Papaaaah... C’est trop bon... Fehmi se retira en douceur et Fares se jeta sur sa queue pour la lécher avec gourmandise. Hechmi et Fatma en furent surpris et trouvèrent ça très excitant. La grand-mère avoua mouiller comme une « salope » et le grand-père bandait comme un taureau. Après avoir léché la verge de son père, il lui roula une pelle puis il se tourna vers son Papi. Il vit son érection et lui proposa de l’enculer tout de suite. Hechmi s’approcha de son petit-fils et l’allongea sur le dos pour le prendre de face. Il commença par rouler une pelle au jeune homme puis il embrassa ses tétons, son ventre, son zizi puis il lui lécha le trou du cul. Il lui prit ensuite les jambes au niveau des chevilles pour les relever et les écarter et il pointa sa verge vers le petit trou prêt à l’accueillir. La pénétration se fit d’une traite très lentement puis Hechmi cala les pieds de son petit-fils sur ses épaules. Il attrapa Fares par les hanches et remua du bassin pour faire aller et venir sa longue bite dans l’étroit conduit de Fares. Le garçon se mit à gémir et s’attrapa lui-même les tétons pour les pincer et les étirer. Il se procura une légère douleur qui décupla son plaisir. — Aaaaah... Ah oui, Papi... Aaaaah... Encule-moi fort...— Ah oui, Chaton... Oh punaise ! Je t’encule, Chaton...— Aaaaah... Plus fort, Papi... Prends-moi comme une p’tite salope... Cette demande échauffa Hechmi qui accéléra son rythme. Il baisa Fares sans retenue pendant de longues minutes en soufflant de plus en plus fort, puis il exclama son plaisir en annonçant son éjaculation. Il jouit longuement dans le rectum de son petit-fils puis ressortit sa verge encore raide et palpitante. Fares se redressa et se jeta sur la bite de son grand-père qu’il prit en bouche pour la lécher sous toutes ses coutures. — Oui, c’est bon... Déclara Hechmi amusé. Ça c’est une bonne petite salope...— Oui, il adore faire ça, précisa Fehmi, et c’est très agréable. Fares n’abandonna pas la bite de son grand-père que quand elle fut totalement molle et il embrassa alors Hechmi sur la bouche avec passion. — Tu veux bien me remettre mon plug, Papi ?— Tu le portes tout le temps ?— Oui, si je peux... Maintenant, je suis bien habitué et ça me manque quand je l’ai pas dans les fesses. Il prit le plug en main et Fares lui présenta son cul en l’écartant. Le grand-père appuya le bout de l’objet sur la rosette qui s’ouvrit pour le laisser rentrer. L’anus s’écarta avec une facilité déconcertante et, bientôt, le plug anal était enfoncé complètement. Hechmi en fut réellement fasciné et il se dit qu’il avait un petit-fils bien particulier. Ils s’embrassèrent encore une fois puis se séparèrent pour d’autres occupations.
