Fares alla dans sa chambre chercher son P. C et son gode puis il redescendit au salon. Il consulta son ordinateur pendant une bonne heure puis il posa sa console et prit son gode en main. Il le lécha et le suça comme il l’aurait fait avec une vraie bite. De sa main libre, il retira son plug qu’il posa près de lui et il s’enfonça le gode dans le trou du cul. Il le fit aller et venir dans son rectum en fermant les yeux et en se pinçant les tétons avec sa main libre. Ça ne valait pas une bonne sodomie naturelle, mais il se donna quand même du plaisir. Loin de l’avoir calmé, cette masturbation anale lui donna l’envie d’être encore enculé. Il laissa ses « jouets » au salon et partit à la recherche de son Papi ou de son Papa. Il les trouva tous les deux dans l’atelier où Hechmi montrait à Fehmi ses derniers bricolages. — Papa, Papi, j’ai besoin de vous.— Tu as besoin de nous ou tu as besoin de nos bites ? demanda Fehmi amusé.— Ben j’ai envie d’être enculé alors j’ai besoin des deux...— Il va falloir que tu nous suces si tu veux qu’on puisse t’enculer, fit remarquer Hechmi très sérieusement. Retournons à la maison, nous y serons mieux qu’ici.
Les deux hommes et le garçon retournèrent dans la maison pour se mettre au salon. En les voyant passer, Meriem et Fatma comprirent tout de suite ce qui allait se passer. Elles suivirent donc les hommes pour jouer les voyeuses. Fares s’assit sur le canapé et son père et son grand-père lui présentèrent leurs bites à sucer et à masturber. Il prit la tâche à cœur et suça alternativement les deux queues. Quand il en avait une en bouche, il branlait l’autre et, en cinq minutes, il se retrouva avec deux bites bien raides devant les yeux. Quelques instants plus tard, il se retrouva à quatre pattes sur le canapé. Hechmi lui lécha le trou du cul et l’encula dans la foulée tandis que Fehmi lui donna sa queue à sucer. Fares goba la bite de son père tandis que celle de son grand-père s’enfonça en lui. Les coups de reins de Hechmi le propulsèrent sur la bite de son père qui s’enfonça à chaque fois dans sa gorge. Meriem, assise dans un fauteuil, se masturba sans vergogne et Fatma s’absenta deux minutes pour revenir équipée d’un gode ceinture. — Il m’excite trop et toi aussi, dit Fatma à sa fille. Au point où on en est... Est-ce que tu veux que je te prenne ?— Mmm... Maman, quelle belle bite, répondit-elle, amusée,... Je veux bien que tu me la mettes, mais toi ?— Moi ? J’ai l’équivalent dans la chatte et je prendrai mon pied. Mets-toi à quatre pattes sur le tapis, je vais te prendre en levrette.
Meriem fit ce que sa mère lui demandait et sans quitter des yeux son fils, elle se fit prendre par le gode ceinture. Hechmi et Fehmi échangèrent leur place et Fares se retrouva avec la bite de son grand-père dans la bouche tandis que son père l’encula. Les deux hommes s’étaient mis d’accord et ils baisèrent ainsi le garçon en tournante. Toutes les cinq minutes, ils passèrent ainsi du cul à la bouche ou de la bouche au cul. A côté, Fatma et Meriem gémissaient de plaisir. Hechmi annonça qu’il n’était plus loin de l’orgasme et Fehmi avoua être lui aussi au bord de l’éjaculation. Fares se retrouva à genoux par terre et son père et son grand-père se masturbèrent au-dessus de sa bouche ouverte. Ils éjaculèrent en même temps et Fares en eut autant dans la bouche que sur le visage. Il avala et s’essuya la figure avec les doigts qu’il lécha avec gourmandise. En voyant leurs maris éjaculer, Meriem et Fatma avaient joui et elles reprirent leurs esprits tandis que Fares suçait et léchait les deux bites qui l’avaient fait jouir. Il les abandonna quand elles devinrent molles et il se tourna vers sa mère et sa Mamie.
— Hi hi, tu as une fausse bite, Mamie. Elle est grosse...— Oui, celle-ci est assez imposante ; elle te plaît ?— Oui, je l’aime bien, surtout avec ses fausses couilles. Je peux le toucher ?— Si tu veux, Chaton...— Elle est douce ; on dirait presque une vraie...
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Fares prit en bouche le sexe factice et le lécha. Puis il exprima le désir de l’avoir dans les fesses. Il se mit à quatre pattes et tendit son cul à sa grand-mère. Fatma lui prit les hanches et pointa son gode face à son trou du cul. Elle appuya en douceur et le gland de son gode disparut dans le fondement de son petit-fils. Elle poussa encore et ce fut tout le gode qui rentra dans le cul de Fares. Le garçon se mit à gémir alors qu’elle commença sa sodomie. Elle ramona le cul de son petit-fils et à chaque coup de reins le gode qu’elle avait dans la chatte lui procura du plaisir. Fares jouit plusieurs fois de cette sodomie particulière et il eut finalement envie qu’elle s’arrête, mais il tint bon jusqu’à ce que sa grand-mère en jouisse aussi. Au bout de vingt minutes, elle retira en douceur le gode et son petit-fils se tourna pour l’embrasser et le lécher comme il le faisait avec une vraie bite. Il embrassa ensuite sa grand-mère et la prit dans ses bras. — C’était bien, Mamie, on recommencera ?— Oui, Chaton, on recommencera sans doute... Mais peut-être que ta Maman aussi pourra l’utiliser pour t’enculer.— Ça me plairait bien d’essayer, je crois, avoua Meriem en rougissant.— Tu veux faire ça maintenant, Maman ?— Pourquoi pas ; tu en veux encore ?
Fatma retira son harnais et le gode qu’elle avait dans la chatte et donna le tout à sa fille. Elle s’équipa et Fares se mit à quatre pattes. Elle l’encula en douceur et se mit tout de suite à lui labourer le fondement. Hechmi et Fehmi trouvèrent la scène excitante et se remirent à bander. Fares gémit bruyamment durant toute sa sodomie et il afficha un sourire béat quand Meriem se retira. Hechmi ne laissa pas le trou se refermer et, sans lui demander son avis, il encula son petit-fils. Les gémissements de Fares reprirent de plus belle et le garçon encouragea son Papi en lui demandant de le prendre fort. Ils baisèrent un quart d’heure puis Hechmi éjacula dans le fondement de son petit-fils. Fares n’eut pas le temps de bouger que son père prit la place laissée libre. Fehmi encula son fils d’un coup jusqu’à la garde et le baisa fort tout de suite. Hechmi donna sa queue à sucer et lécher à son petit-fils qui fit de son mieux pour le satisfaire. La baise fut torride et le garçon gémit tout du long. Fehmi se mit à souffler puis il annonça sa jouissance en éjaculant au fond du rectum de son fils. Fares lui lécha ensuite la bite avec gourmandise puis il remit son plug. Il était comblé et momentanément repu de sexe. Il reprit son P. C en main et se remit à surfer.
Le soir après le dîner, Fares alla se coucher et s’endormit très vite, épuisé qu’il était par cette journée analement jouissive. Il se réveilla de bonne heure le lendemain et il décida de voir si ses grands-parents étaient réveillés. Hechmi et Fatma étaient déjà levés et il les retrouva dans la cuisine. Il les embrassa et se colla à son Papi. — Tu as bien dormi, Chaton ?— Oui, Papi... J’ai très bien dormi. Je peux me mettre sur tes genoux ?— Tu ne veux pas manger plutôt ?— Non, mais j’ai envie de ton zizi...— Oh... Et tu le veux où ?— Ben d’un côté j’aimerai bien dans les fesses, mais j’aimerais boire ton jus aussi.— On peut faire les deux, tu sais ? D’abord je t’encule et ensuite j’éjacule dans ta bouche.— Moi j’aimerai bien !— Allons au salon... On y sera mieux qu’ici !
Fares et son Papi se rendirent au salon et s’installèrent dans le canapé. Le garçon suça son grand-père pour bien faire durcir sa bite et, quand ce fut fait, il l’escalada pour s’empaler lui-même sur sa bite en lui tournant le dos. Il posa ses pieds au bord de l’assise et s’accroupit sur la colonne de chair. Le sexe de hechmi pénétra le cul de Fares qui en gémit d’aise. Le grand-père attrapa les tétons du garçon et les pinça. Il se mit à remuer du bassin pour faire aller et venir sa bite et Fares se mit à gémir. Ils baisèrent ainsi pendant un quart d’heure puis le Papi mit fin à la sodomie. — Lève-toi et suce-moi ; je vais bientôt jouir.
Fares se releva et se mit entre les cuisses de son grand-père pour prendre sa verge en bouche. Il la lécha, la suça et l’avala avec gourmandise et, en deux minutes, il reçut en bouche cinq rasades de foutre. Il avala tout sans en perdre une goutte et embrassa son Papi. — Merci Papi, c’était super !— C’est toi qui es super, Chaton.— Tu crois que Papa et Maman sont réveillés ?— Je ne sais pas, mais tu devrais les laisser dormir ; ils sont en vacances.— Je ne les réveillerai pas ; je vais juste voir...
Fares monta à l’étage et se rendit dans la chambre de ses parents. Il poussa la porte avec délicatesse pour voir si ça dormait encore. — Oh, un petit Chaton, dit sa mère.— Tu veux un câlin, Chaton ? Lui demanda son père.
Insatiable, Fares répondit par l’affirmative et se précipita dans le lit de ses parents. Il les embrassa tous les deux et se colla à son père. Il porta aussitôt sa main vers la verge de son géniteur pour la caresser et la masturber. N’étant point de marbre, Fehmi se mit à bander très vite et il embrassa son fils amoureusement en lui caressant les fesses. — Oh, tu n’as pas ton plug ?— Non, il est en bas. Je l’ai enlevé pour être enculé par Papi.— Mmm... Petit coquin et c’était bien ?— Oh oui ! Même que Papi, il a éjaculé dans ma bouche.— Oh... Tu préfères qu’on éjacule dans ta bouche ?— Ben oui, c’est le meilleur petit-déjeuner et je peux dire que c’est mieux que dans les fesses même si j’aime bien aussi.— Moi j’aime bien éjaculer dans ton cul, mais si tu veux, de temps en temps, je me retiendrai pour jouir dans ta bouche.— J’ai encore la dalle papounet !— Si tu veux, Chaton...
Fares, satisfait de l’érection de son père et motivé par cette promesse, escalada Fehmi et s’empala sur sa bite raide. Son père lui attrapa les tétons pour les pincer, les vriller et les étirer. Fares se mit à gémir tout en montant et descendant sur la longue verge épaisse de son père. Fehmi l’accompagna en bougeant du bassin et ils baisèrent ainsi pendant un petit quart d’heure. — Aaaah... Je vais bientôt jouir, annonça Fehmi en gémissant. Suce-moi la bite maintenant ! ordonna-t-il.
Fares se releva et s’agenouilla entre les cuisses écartées de son père. Puis il se pencha sur la verge palpitante et la prit en bouche. Tout en la masturbant, il en suça le gland et en moins de deux minutes, Fehmli se vida les couilles dans sa bouche. Il avala tout sans en perdre une goutte et s’allongea sur son père pour l’embrasser. Ensuite, ils se levèrent pour aller prendre leur petit-déjeuner.
Après avoir mangé, comme il faisait très beau, Fares se chaussa pour faire un tour dans le jardin. Aussitôt Jerby vint le voir pour chercher des caresses et un compagnon de jeu. Fares qui aimait bien le molosse décida de s’amuser avec lui. Il prit un vieux ballon crevé et shoota dedans pour l’envoyer le plus loin possible. Le chien courut après la balle et l’attrapa dans sa gueule pour la rapporter. Fares récupéra le ballon et le jeu recommença. Ils jouèrent ainsi pendant près d’une demi-heure puis le boxer s’allongea sur le dos pour avoir des caresses sur le ventre. Fares s’agenouilla auprès de Jerby et lui caressa énergiquement le ventre. Excité et heureux, le chien commença à bander. Le jeune homme rougit en voyant l’épaisse verge sortir de son fourreau et, sans se poser de question, il se pencha pour la prendre en bouche. Jerby, dans un mouvement rapide, se remit sur ses quatre pattes, mais Fares se pencha sous le ventre du chien pour reprendre en bouche son sucre d’orge. Néanmoins, le chien se déplaça et chercha à renifler le cul de son maître. Amusé, Fares le laissa faire et bientôt il sentit la grosse langue baveuse du chien lécher son anus. La sensation lui fut agréable et il ne chercha pas à se soustraire alors Jerby lui grimpa sur le dos. Le chien poussa son bassin vers l’avant et sa verge trouva l’anus de Fares. Il le pénétra avec des mouvements rapides et le jeune adulte poussa son cul vers l’arrière pour être bien rempli. Il sentit alors le nœud grossir dans son rectum et se mit à pousser des cris de surprise et de plaisir. Hechmi qui bêchait son jardin l’entendit alors, il se précipita pour voir ce qu’il se passait. La surprise passée, il constata que le chien était bien entré totalement et il décida de le retenir par le collier. Le chien arrêta de bouger et éjacula abondamment dans le rectum de Fares qui n’arrêta pas de gémir. Le nœud dans son rectum enfla encore un peu et il retrouva « collés » au chien Hechmi n’en revenait pas de voir ainsi son petit-fils si dépravé, si demandeur, si assoiffé de sexe, dut admettre que cette saillie l’excitait et il se caressa la bite doucement. — Tu jouis petite chienne ! Elle est bonne la queue de Jerby ?— Aaaah... Ah oui... Elle est grosse ! Aaaah...— Quelle petite salope ! Tu te fais remplir le cul...
Jerby s’agita un peu et chercha à se dégager, mais le nœud l’empêcha de sortir. Hechmi qui veillait au grain, laissa quand même le chien se retourner et Fares se retrouva cul à cul avec le boxer. Ils restèrent dans cette position pendant près d’un quart d’heure ou vingt minutes puis l’anus du garçon s’écarta pour laisser sortir le nœud et la verge du chien. Le trou du cul mit du temps à se refermer et un filet de sperme canin s’en échappa. — Ne bouge pas Chaton, je vais t’enculer si tu veux bien...— Oh oui, Papi ! Encule-moi fort...
Fehmi ayant perdu tous ses tabous et inhibition, le pénétra d’un coup et se défoula dans ses reins. Il le besogna avec fougue en levrette et le traita de tous les noms et en particulier de chienne et de salope. Leur coït dura dix minutes puis le grand-père ajouta son foutre à celui du chien. Fares lui suça et lui lécha la bite jusqu’à ce qu’elle soit molle. Puis comme il était bientôt l’heure de déjeuner, ils retournèrent dans la maison. Meriem et Fatma étaient en cuisine et Fehmi lisait au salon. Le garçon alla tout de suite embrasser son père et lui caresser la bite. Fehmi posa son livre et répondit aux attentions de son fils par des baisers et des caresses précises. Pervers, il se mit à bander et tout aussi pervers Fares l’escalada pour s’empaler sur sa queue en lui tournant le dos. Comme à son habitude, il lui attrapa les tétons et se mit à bouger du bassin. Fares, agrippé des hanches par son père, ferma les yeux et se mit à gémir. Il jouit du cul tout le temps de la pénétration avant que son père ne lui demande où il voulait qu’il jouisse. Gourmand, il réclama que ça se fasse dans sa bouche et, quelques secondes plus tard, il se retrouva à genoux entre les cuisses de son père. Il prit en bouche la verge qui sortait de son cul et la suça comme un affamé. Avec quelques efforts, il l’avala presque entièrement et quand il la retira de sa gorge, son père éjacula dans sa bouche. Fares avala tout le foutre qu’il reçut sans en perdre une goutte puis il lécha la verge qui lui avait donné tant de plaisir. Ils passèrent à table ensuite et Hechmi décida de raconter ce qu’avait fait son petit-fils avec le chien. — Ce garçon est définitivement une petite chienne, déclara Hechmi en souriant. Ce matin alors que je bêchai une plate-bande, je l’ai entendu crier et quand j’ai accouru pour m’assurer qu’il n’y avait pas de quoi s’inquiéter, j’ai eu la surprise de voir qu’il était à quatre pattes sous Jerby. Ce salaud de chien l’avait totalement embroché et ça lui plaisait !— Tu n’as pas fait ça ?! s’exclama Meriem.— Ben si, répondit Fares en souriant... C’était trop bien ! Et puis c’est vachement gros. C’est comme un plug mais en mieux.— Mais comment ça s’est passé ? demanda Fehmi intrigué. Tu l’as fait exprès ou Jerby t’a forcé ?— Non, Jerby voulait des caresses et puis il bandait alors je l’ai sucé un peu et puis il a voulu me renifler et me lécher le cul. C’était drôle alors je l’ai laissé faire et puis il m’a grimpé dessus. Il est un peu lourd, mais bon ça allait et il a essayé de m’enculer. Son zizi a trouvé mon petit trou et c’est rentré tout seul. Moi j’ai poussé en arrière pour que ça rentre bien et ça s’est mis à gonfler dans mon cul. C’était gros et très bon...— J’aurais aimé voir ça, avoua Fatma amusée. Pourquoi ne nous as-tu pas appelés, chéri ? Dit-elle en regardant son mari.— Surpris par cette découverte... Je n’y avais pas pensé ; j’ai surtout veillé à ce que tout se passe pour le mieux.
Tout le monde trouva ça très excitant, mais il fut quand même demandé à Fares de ne pas le refaire tout seul.
