Stéphanie était impatiente. Elle se trouvait sur le seuil de la maison de sa fille en compagnie de son mari Victor. Aujourd’hui, leur petit-fils Tim fêtait ses 19 ans. Stéphanie était une belle femme de 64ans ; de beaux cheveux blancs tombaient en cascades sur ses épaules ; une belle poitrine 95 D ; un cul gros comme il faut ; et elle mesurait 1m78. Son mari Victor avait le crâne rasé, plutôt costaud encore pour ses 67ans et mesurait 1m85. Leur fille adorée vint enfin leur ouvrir la porte d’entrée. Bonjour ! s’exclama-t-elle en les voyant, toute souriante. Bonjour Émilie ! répondit son père en la prenant dans ses bras. Entrez, je vous en prie. Ils entrèrent et déposèrent leurs affaires près du portemanteau ; il était convenu qu’il dorme ici ce soir, aussi, Emilie les accompagna à l’étage jusqu’à la chambre d’amis pour qu’ils puissent y poser leurs valises. Une fois cela effectué, Stéphanie et son mari se rendirent jusqu’à la chambre de leur unique petit-fils, située juste à côté de la leur et en face de celle des parents. Ils toquèrent, et c’est un ado brun, mince et mesurant dans les 1m72 qui leur ouvrit. Papi ! Mamie ! Ils s’enlacèrent chacun. Comme tu as grandi mon beau, fit Stéphanie. Tu es presque un homme maintenant ! Oui bientôt 20 ans. Oh bien sûr ! Mais dix-neuf ans, c’est pas mal déjà ! Ne grandis pas trop vite ! Tim eut un petit rire timide. A table ! appela sa mère en bas. Allons-y, je meurs de faim, dit son grand-père. Ils descendirent donc tous. Ils mangèrent sur une table ronde, un bon buf et des pommes de terre. Ils discutèrent de tout et de rien : des études de Tim, de ses projets d’avenir, de comment sa mère vivait sans hommes. Il est vrai que depuis le père de Tim qui les avait laissé tomber quand il avait six ans, sa mère n’avait pas eu d’autre relation sérieuse. Stéphanie remarqua pendant le repas que lorsque la question des "aventures" de sa mère fut soulevée, Tim baissa les yeux. Mais pas par gêne. Plus comme s’il voulait éviter le sujet à cause de quelque chose... Une fois le repas fini, Stéphanie et son mari montèrent dans leurs chambres et s’installèrent dans leur lit pour regarder la télé. Tandis que le temps passait, Victor commençait à s’endormir. Stéphanie décida d’aller prendre sa douche pour ensuite aller se coucher à son tour. Elle descendit donc, traversa le salon et la cuisine. Il y avait ensuite un couloir avec deux portes à droite, les toilettes et la salle de bain. Elle se rendit donc à la salle de bain, sa robe de chambre dans les bras. Elle ouvrit la porte immédiatement et découvrit donc la salle de bain allumée et Tim entièrement nu qui s’apprêtait visiblement à rentrer dans la douche. En l’entendant rentrer, il se retourna et se couvrit le pénis de ses deux mains.
Mamie ! se plaignit-il. Oh, pardon mon chou ! répondit-elle, amusée. J’ignorais que tu étais là. Il s’écoula ensuite quelques secondes gênantes où Tim vit clairement sa mamie l’observer. Très gêné au début, il le fut un peu moins quand elle retira brusquement son haut, dévoilant deux gros seins dans un soutien-gorge noir. Elle le retira également sous le regard fasciné de son petit-fils qui finit par se libérer de cette scène hypnotique : Mamie, qu’est-ce que tu... Il s’arrêta de parler quand le soutif tomba au sol. Ses seins étaient vraiment beaux... Toujours avec un petit sourire coquin, elle commença à déboutonner son pantalon. Dis-moi Tim... Tu es puceau ? demanda-t-elle. Euh... Oui, répondit l’autre timidement. Hmmm... Parfait. C’est le genre de chose qui m’excite énormément. Quoi ?! Stéphanie retira son pantalon en jean et enleva ensuite sa culotte rouge. Elle était entièrement nue comme son petit-fils. Elle s’approcha de lui. Tim était subjugué. Il avait une petite idée sur ce qu’il allait se passer maintenant, mais... Même si c’était mal, sa grand-mère était encore terriblement bandante et bonne à baiser. C’était de l’inceste. C’était immoral, mais il avait la possibilité de perdre sa virginité avec une femme mature, sa mamie adorée qui plus est. En pensant à tout cela, sa bite devint dure. Stéphanie le remarqua et se colla à lui en l’enlaçant dans ses bras. Elle se frotta à lui. Tim n’en pouvait plus, c’était divin !Il cessa de cacher sa bite avec ses mains pour caresser le corps de sa mamie. Remarquant cela, cette dernière effectua de petits mouvements de bassins pour frotter le bas de son ventre à la verge gonflée du jeune homme. Elle le fit ensuite s’asseoir sur une serviette au sol avant de l’embrasser directement avec la langue. Cela dura au moins dix minutes où Tim sembla vivre au paradis tandis qu’il embrassait sa grand-mère tout en caressant ses deux énormes seins. Leur baiser se termina, mais Tim tripota les seins de sa mamie, encore 5 min, avant qu’elle ne le stoppe en rigolant : Doucement ! Ils ne vont pas partir, tu sais. Désolé. J’adore les seins. J’avais remarqué. Elle couvrit ensuite son torse de baiser tout en descendant vers sa bite. Elle était de taille correcte et même si Stéphanie en avait vu de plus grosses ou de plus longues, le simple fait de se taper un puceau qui plus est son petit-fils l’excitait déjà au plus haut point. Je vais te faire jouir. Oh oui ! Tu vas jouir encore et encore... Tim fut soudain inquiet, car Stéphanie avait dit cela avec une voix étrange, malsaine et perverse comme si elle était devenue quelqu’un d’autre que sa gentille mamie. Elle prit alors son pénis dans une main et commença à le masturber. Après tout cela, Tim était déjà au bord de l’explosion et jouit donc rapidement. Mamie, ça vient ! Il gicla puissamment, et une belle quantité qui plus est. Stéphanie nettoya sa belle queue avec sa bouche et utilisa sa langue pour lécher ce qui restait sur son bas-ventre. Elle fut heureuse de constater que Tim était encore dur. Elle avait peut-être trouvé un bon partenaire capable de la suivre en la personne de son petit-fils. Durant sa jeunesse, elle avait connu bien des hommes. Elle avait toujours été belle et elle en avait donc bien profité. Une fois, passés les cinquante ans, cela s’était calmé. Et puis, vinrent les soixante ans... Si son mari Victor était plutôt doué au lit, cela ne lui suffisait pas. Les hommes de son âge ne semblaient plus très intéressés par le sexe. Aussi, avait-elle trouvé une solution : des jeunes. S’il y avait bien une chose qu’elle n’avait jamais essayée, c’était de se taper des jeunes. Elle en avait essayé plein ! Des sûrs d’eux qui étaient fiers de se taper une femme mûre comme si c’était un exploit pour eux, et bien sûr ces préférés : les innocents. Elle prenait un malin plaisir à faire monter ses jeunes souvent peu expérimentés, au septième ciel. Elle adorait leurs visages quand il comprenait qu’elle menait la danse et qu’elle était la femme la plus "fatale" qu’il ne rencontrerait jamais. Alors, infliger cela à son petit-fils... Elle en mouillait déjà ! Allez, c’est loin d’être fini, dit-elle tandis que Tim avait repris ses seins pour les caresser. Elle écarta ses mains et prit la bite de son jeune avec ses seins. Elle entama une lente branlette espagnole. Oh mamie... Aaah. gémit Tim au comble du plaisir. C’est si bon... Oh, je sais. Ce n’est que le début. Elle accéléra la cadence tandis que Tim gémissait de plus en plus jusqu’à ce qu’il pousse un cri et qu’il jouisse entre les seins de Stéphanie. Oh oui... Bon garçon, continuait Stéphanie. Tim reprenait son souffle. Il ne bandait plus, sa bite molle retomba en arrière. Stéphanie alla chercher une serviette pour essuyer tout ce sperme sur ses seins. Elle revint vers Tim et la laissa tomber par terre avant de se repencher sur lui et plus particulièrement sur sa bite. Elle lui lécha les couilles tout en tripotant son engin mou d’une main. Tim était étendu sur le sol, épuisé. Mamie, attends... Chuuuut, fit-elle. Elle se délecta de ses couilles poilues encore quelques secondes avant de le tirer par les bras pour le redresser et d’enfouir sa tête entre ses seins. J’ai envie de toi... Je veux que tu me baises fort et que tu jouisses en moi, lui murmura-t-elle à l’oreille. En toi ? hésita-t-il. Au point où on en est, on est plus à ça près. Ainsi, tu profiteras à fond de ta grand-mère chérie, et moi je profiterais pleinement de ta bite. Ainsi, je t’appartiendrai. Au moins pour ce soir. Elle sentit l’engin de Tim se redresser. Elle en eut un petit rire. Elle prit la place de Tim sur la serviette posée au sol près de la douche, plaça ses mains autour de sa nuque et l’attira à elle. Je suis à toi. Fais-moi ce que tu veux, lui dit-elle. Tim saisit son membre tout dur et l’enfonça doucement dans la chatte de Stéphanie qui poussa un long gémissement de plaisir. Il commença les va-et-vient comme il avait vu faire dans divers films pornos et haleta sous le plaisir intense. Il accéléra jusqu’à pilonner sa mamie qui hurlait à présent son plaisir. Ils se fichaient tous deux d’être surpris. C’était trop bon pour arrêter. Au diable les autres et les règles ! Il saisit ses deux seins sans cesser de la défoncer pour les caresser à nouveau. Il suça ses tétons tandis qu’elle entourait ses hanches avec ses jambes. Oh ! Comme c’est bon mon chéri, vas-y ! cria-t-elle entre deux gémissements. Tim se sentait venir, mais résista pour donner plus de plaisir à sa mamie adorée qu’il aimait plus que jamais. Le sexe, c’était trop bon !Il l’embrassa à son tour. Il voulait se noyer dans ce plaisir. Il tint encore dix minutes avant de tout lâcher en elle en poussant un "Oooooh". Il sentait ses forces l’abandonner. Mais Stéphanie n’en avait pas fini. Ne voulant pas attendre plus longtemps qu’il débande, toujours avec sa bite en elle, elle le retourna sur le côté pour se placer au-dessus de lui et commença à le chevaucher sans prévenir. Tim cria presque de douleur : Mamie, je viens de jouir ! C’est trop... Aaah ! Aah... Ce n’est pas... Aaah... Finis ! répondit Stéphanie, en train de prendre son pied. C’était ce genre de moment qu’elle adorait. Cela pouvait presque s’apparenter à un viol. Mais elle adorait cela. Les faire jouir une deuxième fois sans pause avec la première lui donnait un sentiment de supériorité par rapport aux autres femmes. Ses mouvements de hanches étaient gracieux et sensuels, et si Tim souffrait au début il se prit vite au jeu attrapant le gros cul de sa mamie qu’il avait délaissé jusque-là. Stéphanie remarquant cela était fière de son petit-fils. Elle accéléra le mouvement pendant quelques minutes avant de, finalement, terminer par des montées et des descentes sur la bite de Tim. Ce dernier jouit grâce à cela au bout de sept minutes très exactement. Stéphanie toujours sadique continua son mouvement tandis qu’il crachait son sperme en elle et qu’elle jouissait fort. Et encore trois minutes après, sous les cris de Tim. Elle se retira pour s’allonger à côté de lui. Tu as bien tenu. Je suis fier de toi mon chéri. Mamie... haleta-t-il. Tu es vraiment une malade. Cela la fit rire. En tout cas, ça n’a pas l’air de t’avoir déplu. Non... J’ai même adoré. C’est bizarre ? fit-il en se tournant vers elle. Non mon beau. Tu es juste aussi pervers que moi. On n’a pas fini de s’amuser toi et moi... Demain tu as cours non ? Son visage s’assombrit. Oui... D’ailleurs, ne sois pas étonnée que maman trouve une excuse pour partir... Pourquoi dis-tu cela mon beau ? l’interrogea Stéphanie. Tu avais une drôle d’attitude au repas quand on a parlé de ce que faisait ta mère pour supporter la vie célibataire. Qu’est-ce que tu sais ? Il resta silencieux un moment. Puis : J’ai surpris maman, avec un garçon de ma classe...
