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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Famille d'enfer

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour, je me présente, je m’appelle Anaïs.J’ai 17 ans et je vis dans le sud de la France, près de Aix.Je vais vous raconter l’histoire de ma vie et de mes premières expériences sexuelles en tout genre.
Ce premier chapitre commence alors que j’avais encore 16 ans. J’étais au lycée, en première scientifique (bien que ça ne m’ait jamais intéressé).Nous étions en cours d’anglais lorsque mon voisin de derrière, Antoine, m’appela. Choisissant de l’ignorer, je me remis à l’écriture de mon expression écrite."Anaïs, tourne toi" chuchota t’il à plusieurs reprises.Excédé, je pivota sur ma chaise me retrouvant devant un ridicule dessin "érotique" me mettant en scène avec mon professeur."Anaïs, la salope!" ricana t’il doucement avec son voisin.
L’idiot, pensais-je. Non seulement j’étais vierge, mais encore fallait t’il voir mon prof.Celui devait avoir 50 ans. Ses cheveux étaient gris et ses tee-shirt trop petits laissaient s’échapper une bedaine. Je ne dis pas qu’il fut moche à 20 ans, mais là...Essayant de nouveaux de me concentrer sur mon devoir, je n’entendis pas Antoine prendre mon sac doucement."Hééé, pssit". Antoine recommençait son p’tit jeu. Je ne le supportait décidément pas. Dire que je fantasmais sur lui en début d’année. Si j’avais su qu’il était autant gamin.Alors que je me retournais pour lui dire de se taire,"ANAIS, TU VIENS A MON BUREAU. J’EN AI MARRE DE T’ENTENDRE!!" Hurla le prof d’anglais."Mais monsieur, ce n’est pas moi, c’est Antoine qui m’appelle depuis tout à l’heure.""Je m’en fiche, c’est toi que j’ai surpris. Et pourquoi ton sac est ouvert par terre?! Tu essaye de tricher?! Ramasse moi ça, tu resteras à la fin de l’heure."Inutile de protester avec lui. Je pris mon cahier et alla m’asseoir à son bureau. Quelques minutes plus tard, la sonneries retentit.
Les élèves sortaient, posant leurs feuilles sur le bureau. Moi, je me tenait debout devant mon prof."Non mais c’est quoi ce bordel que tu m’a fais aujourd’hui?""Mais monsieur, ce n’est pas moi.""Mais bien sur. De toute façon, ce n’est jamais votre faute. Vide moi ton sac, que je vérifie qu’il n’y a pas de pompe."Contente, car pouvant prouver mon innocence, j’allais le chercher à la place que j’occupais au début. Antoine, qui était encore là me le tendit refermé avec un grand sourire avant de partir rapidement.Je lui jetais un regard assassin."Voilà, monsieur."Alors qu’il vidait mon sac, je vis tomber un magasine porno. Une tension énorme emplie la pièce. Je ne comprenais pas comment une telle chose avait pu atterrir là. N’osant pas regarder le prof, je le vis prendre le magasine, le poser ouvert et commencer à le feuilleter. Il était assez vieux, et gribouillé de nombreux mots et phrases. Je voyais mon prof commencer à transpirer. Il posa sa main sur son entre jambe. Il respirait plus fort."C’est quoi, ça?" Me demanda t’il."Je... Je ne sais pas monsieur. Ce n’est pas à moi.""Ne te moque pas de moi. Comment a tu eu ça, tu est mineur et en infraction. Je devrai te balancer au directeur pour ça."Je me mis à pleurer."Non monsieur, pitié. Ce n’est pas à moi, je vous le jure, je ne veux pas être renvoyé. Ne prévenez pas mes parents. Ce n’est pas à moi."Le professeur a continué à le feuilleter lorsqu’il tomba sur un morceau de papier. Un dessin que j’avais vu quelques minutes avant, où j’étais représenté avec lui. Antoine venait de signer sa faute.Les yeux baissés, je vis une bosse déformer le pantalon de mon prof."He bien, je ne pensais pas avoir un sexe aussi gros" Dit-il désignant le dessin."Tu ne veux pas être renvoyé? Tu vas devoir imiter le dessin."Disant cela, il déboutonna lentement son pantalon, exhibant un sexe encore mou mais déjà de bonne taille. Peut-être 16cm.Je commençais à paniquer, faisant 3 pas en arrière."Eh bien, je pensais que tu aurais la sagesse de rester. C’est dur de trouver un nouveau lycée, tu sais." Dit-il commençant à faire des vas et viens sur son arme.Je me mis à pleurer de plus belle. Il m’attrapa la nuque de son énorme main et me plaqua la tête contre son ventre. Je me laissais faire."Dernière chance" dit il."D’a... d’accord." Répondis-je. Il se leva et ferma la porte à clé.S’approchant, il m’embrassa avec douceur. Je ne l’imaginais pas si doux. Tenant de nouveau ma tête, il l’approcha doucement de son sexe qui grandissait à vue d’œil. Je le pris avec mes mains. C’était très doux. Mes peurs s’évanouissaient à mesure que je commençais un mouvement d’abord calme puis plus violent. Puis de nouveau calme. J’accélérai avant de ralentir, exerçant des pressions à certains points. Ma seconde main vint malaxer les couilles. Soudain, je l’entendis gémir assez fort et quelques jets de spermes s’écrasèrent sur ma main et le sol."Whaow, je savais pas que tu avais autant expérience pour ton jeune âge. Ça confirme, ce magasine ne peut-être qu’à toi. Lèche tes doigts et part."Quel goût incroyable. Je ne me reconnaissais vraiment pas. Comment avais-je pu donner autant de plaisir à un homme, pour une première expérience?! Je me leva et l’embrassa. Il paru surpris et prolongea le baiser. Ré-ouvrant la porte, je sortis.
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