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La Famille, fin de stage

Chapitre 1

Divers
Mon avion m’a déposé à Rome. Mon père m’attend il a l’air ravi. Il m’embrasse et me glisse à l’oreille des ‘ bien, bien mon fils ‘.
Une lourde Mercedes nous attend et le chauffeur conduit plein sud, vers Naples. Je dors comme un bébé. A Naples réunions sur réunions avec des ‘ cousins ‘ de grandes entreprises. Deux trois virées en ville dans des bouges puis notre chauffeur nous laisse à l’aéroport pour le retour vers Milan.
A Milan je retrouve maman et mes deux sœurs. Gino s’en va pour Singapour … Doit y avoir du business là bas?!
Je ne vous ai pas dit?
Mama est une véritable italienne, brune, une paire de seins énorme, elle est aussi large que haute, se promène à la maison avec des savates et une blouse en nylon. Elle se consacre à sa famille, la cuisine et le ménage ou elle ne cesse de houspiller la bonne qui ne fout rien.
Maria a Soixante neuf ans.
Le soir, j’ai droit à la totale, tagliatelle aux truffes, funghy porchini ( les cèpes de Toscane ), une côte de bœuf avec une plâtrée d’épinards frais sautés … Mes frangines ne mouftent pas, maman annonce: ‘ Demain, les filles vous partez chez les cousins qui demeurent à Paris, vous pourrez faire du shopping. ‘.
Je vais, vite, après dîner, me coucher, je suis naze.
Au petit matin, maman est là avec un café serré comme j’aime et quelques biscuits. Elle est assise sur le lit. Ses grosses cuisses distendent le bas de sa blouse et un bouton au niveau des seins n’est pas fermé. Elle ne porte pas de soutien gorge.
‘ Tes sœurs sont dans l’avion Paolo, tu vas être l’homme de la maison. ‘. Je suis encore dans les vappes, c’est sans doute pour ça que ma main s’est posée sur la grosse cuisse maternelle. Elle ne dit rien, me regarde … Puis d’un coup : ‘ tu es beau mon fils ! ‘.
‘ Maman tu es très belle aussi. ‘ Elle rigole m’informe qu’il me faudrait des lunettes pour voir comment elle est grosse et moche. A preuve, mon père ne la touche plus du tout. Ah, il y a des femmes de la famille qui ont de la chance.
‘ Qu’est-ce que tu racontes Maman? ‘.
‘ Rien, je pensais à Lydia ou à Jane. ‘.

Je dois avoir l’air outré ‘ Maman? ‘
Elle me raconte comment elle a été choisie par mon père entre plusieurs dont Lydia et Jane. Comment elle fut la seule mariée. Comment mon père a toujours refusé de coucher avec ces marraines qui feraient l’éducation de son petit Paolo.
Rien de déplacé dans tout ça. Une atmosphère étrange.
Je colle mon oreille sur ses seins.
Elle ma câline. Elle défait le haut de sa blouse et me fait téter un de ses seins. Je bande comme un fou. Elle se dégage en me disant que ce n’est pas bien de bander pour sa mère.
Puis, contre toute attente, elle sonne la bonne. La bonne a l’âge de maman. Ma mère se lève, se met nue, se vautre dans un fauteuil et écarte les cuisse pour y glisser ses doigts. La bonne qui est du même gabarit de maman en un rien plus vieille, est aux ordres. Ma mère lui dit ‘ Fais jouir mon fils! ‘.
La vieille femme se dénude, elle suinte de sueur, ses chairs sont flasques, le ventre lui couvre le pubis, les cuisses se touchent, elle est velue de partout, même au bout des seins. Elle s’écroule sur le lit, découvre mon sexe et entreprend de me sucer. Je regarde ma maman qui se masturbe en regardant.
Je veux bouger, mais bouger les 120 kilos de la bonne est impossible. Je gémis en disant que je veux l’enculer. Ma mère a levé les cuisse encore plus haut et s’est glissée un doigt dans l’anus.
Vas savoir ce qui m’a pris?
‘ Mama? C’est de toi que j’ai envie! ‘.
Ce n’est plus une mais deux femmes qui sont après moi et je ne sais même pas dans la bouche de laquelle j’ai éjaculé la première fois.
Je suis couvert de baisers, caressé, j’entend des mots de mon enfance et les deux femmes commencent à chanter ce qui a bercé ma vie de bébé.
Je n’ai même pas fait attention que mon sexe se dressait à nouveau.
La bonne a repris sa fellation pendant que maman me faisait téter.
Et puis, d’un coup, ma mère s’est mise à califourchon sur moi et s’est empalée. J’ai cru que j’allais mourir … baiser ma mère? Ma propre mère?
Très vite elle m’a inondé le ventre, les couilles, le haut des cuisses.
‘ Maman? Il tuo culo!
Elle s’est mise à quatre pattes et j’ai enculé ma maman à moi. La bonne me massait les couilles, j’étais au top. ‘ Maman, je viens! ‘. ‘ Laisse toi aller mon fils, donnes moi et parles moi, traites moi de vieille salope, de truie … So’ la tua troia ! ‘.Je me déverse dans ma Maman, ma petite maman … Dès la fin de ma jouissance je plonge mon nez dans son entrejambe et la suce, la tète, la lèche tandis que la bonne me nettoie la queue. Maman se prend un nouvel orgasme et l’odeur est au rendez-vous.
Puis ma mère s’écroule avec bruit sur mon lit, je me dégage de la bouche de la bonne.
Ma mère suggère que Gino n’en sache rien. Voilà une bonne idée.
La chambre sent la sueur, l’amour, l’homme et la femme.
J’ai faim, je vais à la cuisine et me prépare un petit dej très américain puis vais me laver.
Lorsque je reviens dans la chambre, la bonne et ma mère sont en une espèce d’improbable 69. Les doigts sont plongés dans les masses de chairs, les bruits de sucions envahissent l’espace et le temps. Le cul de la bonne est le plus proche, j’y glisse mon nez pour sentir l’odeur forte mélangée de cul et de sexe et me faire inonder de mouille. Je me redresse , tente de voir Maman qui me donne son approbation à l’instant ou je plante ma queue dans le cul de la bonne.
Trois fois c’est chaud, il me faudra du temps … Je prends le temps de bourrer ce cul énorme et flasque qui ballotte. A plusieurs reprises je sors de l’anus entraînant l’expulsion d’excréments et je re-pénètre, bourre en pétrissant l’inénarrable fessier. Ma mère m’apostrophe ‘ Et moi? ‘. Je sors de la bonne, son cul est un chantier, c’est grâve marron dans toute sa raie et ça pue. Elle s’écarte, ma mère est les jambes en l’air et s’écarte ce qui peut-être écarté – ‘ Baise moi mon fils! ‘. J’encule le cul maternelle à la hussarde poussant un peu de merde de la bonne bien au fond et je sors, re-rentre créant le même chantier dans le cul de Maman que dans celui de la bonne. Je juterais bien mais j’ai une autre idée, je m’adresse à la bonne ‘ Nettoie tout ça, ça fait désordre! ‘. Elle lèche suce aspire le cul maternel puis mon sexe. Maman se tape orgasme sur orgasme et manque d’étouffer l’autre grosse en serrant ses grosses cuisses.
Moi j’en peux plus, j’annonce que je vais cracher quant les deux bouches viennent pour recevoir ma semence.
Je balance comme pas permis et je suis littéralement vidé.
J’ai dormi longtemps.
J’ai fait l’amour avec ma mère?
Le soir même nous sommes tous les deux avec la bonne. Maman me demande d’oublier ce qui s’est passé tout en me disant que la bonne, Nicole, est à mon service pour me soulager lorsque j’en ai envie, elle ajoute que Nicole a beaucoup aimé notre délire et qu’elle m’est acquise.
Je suis encore fatigué et je retrouve mon lit, bien fait par Nicole, pour y dormir tout à loisir.
Le lendemain Marraine et Tonton viennent me chercher. J’ai, selon eux, droit à une récompense. Dans une grande bâtisse éloignée du centre ville, ils me présentent de très jolies jeunes femmes bronzant autour d’une piscine. Un majordome est là et il semble disposé à amener tout ce que je souhaite.
Je ne souhaite rien. Je flirte avec les filles, bois un peu, me délasse dans la piscine et profite du déjeuner.
Vers cinq heures la fête est finie.
Dans un salon richement décoré proche de la Scala je suis intronisé successeur du Padrino. Il faudra attendre sa retraite officielle mais je n’ai pas besoin de chercher du boulot, je suis un parrain en devenir.
Je suis retourné à la fac pour buller et comme je n’en ai rien à foutre je passe mes partielles les doigts dans le nez.
C’est curieux la vie, j’avais une famille, je deviens LA FAMILLE.
./
Marc 0 Paulo
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