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La famille de Max

Chapitre 3

La petite soeur d'un autre point de vue

Zoophilie
Salut, je suis Jade.J’ai dix-huit ans.Je suis une petite brune aux cheveux longs, je suis assez timide en général, mais je sais être aussi délurée quand il le faut. Je suis une femme avec des formes, je ne suis pas mince, mais je ne suis pas obèse non plus. J’aime les choses simples de la vie, sortir avec mes ami(e)s, me promener dans la nature et j’aime beaucoup les animaux. Enfin, j’adore surtout mon chien ! C’est un Labrador de trois ans qui se prénomme Max, je suis très fusionnel avec lui et je passe beaucoup de temps avec mon Maxou. Je m’en vais d’ailleurs vous raconter une anecdote qui s’est passée avec lui.C’était un soir d’automne, j’avais passé ma journée chez ma meilleure amie, une journée très... intense en émotion on va dire. Après un dîner vite expédié, je filai dans ma chambre pour textoter avec elle.
— J’ai adoré cette journée passée avec toi mon Agnès, on refait ça quand tu veux.— Moi aussi, ma Jade, j’ai adoré. Il me tarde de recommencer.— Oui carrément, surtout avec ta surprise, ça m’a rendue folle, rien que d’y repenser, je suis de nouveau dans tous mes états.— Oui moi aussi ça m’a chamboulée, je pense que je vais devoir me prendre en main pour m’endormir. Bisou ma belle, fais de beaux rêves.— Fais de beaux rêves, moi je file à la douche à demain. Bisou !
Je posai mon téléphone sur la table de chevet et je commençai à me déshabiller. Tout en enlevant mon tee-shirt, je repensais à cette journée passée avec Agnès, à sa peau si douce et son sourire ravageur. Mes tétons commençaient à se durcir tandis que machinalement, ma main droite venait caresser mon sein droit. Je fis glisser mon mini-short et mon string le long de mes cuisses. Ce dernier était trempé par ma folle journée passée avec Agnès et mon excitation du soir. Pressée d’aller sous la douche, je laissai la porte de ma chambre et celle de ma salle de bain entrouverte.
Enfin, j’étais sous ma douche, je m’étais assise pour pouvoir mieux profiter, j’allais pouvoir soulager cette envie de me caresser que j’avais depuis que j’étais revenue de chez Agnès. L’eau chaude caressait ma peau, je jouais avec le pommeau sur mon corps, il fallait que j’éteigne l’incendie qui s’était déclenché dans mon bas-ventre. D’une main, je parcourrais mon corps avec le jet de la douche, ce qui faisait monter mon excitation, de l’autre, mes doigts me caressaient les endroits les plus sensibles. Je triturais mes mamelons en repensant aux caresses qu’ils avaient eu aujourd’hui avec Agnès. Puis ma main descendit rejoindre le pommeau de douche entre mes cuisses bien ouvertes. J’ouvris mes grandes lèvres pour que le puissant jet d’eau vienne bien caresser mon clito bien dressé.
— Humm Agnès, que c’était bon, j’ai encore envie de ta langue...
Mon index vint faire des petits cercles sur mon clito, ce qui commença à faire monter encore plus mon excitation. J’écartai encore plus mes cuisses pour que rien ne gêne l’accès à mon minou en feu, je venais coller le pommeau contre ma vulve laissant juste l’accès à mes doigts pour titiller mon petit clitoris bien tendu.
— Ouiii Agnès, rentre bien ta langue en moi, aspire mon bouton d’amour Hummmm !!!!
J’introduisis alors deux doigts au fond de mon puits d’amour et commençai des va-et-vient effrénés.
— Oui continue, encore je vais jouir, je viens, ouiiiiiiii......... iiiiiii.
Mon corps se contracta alors et ma jouissance fut grandiose. Après m’être remise de mes émotions, je finis ma douche normalement et sortis pour me sécher.La douche m’avait fait du bien, je me sentais de nouveau fraîche, mais j’avais toujours la tête dans les nuages à rêvasser de mes bons moments avec Agnès. J’avais mis ma petite nuisette en dentelle, celle qui est très échancrée et avec laquelle les hommes adorent me voir. Je finissais de me brosser les dents, je sentis que de nouveau, un incendie se déclenchait dans mon ventre, ma cyprine commençait à humidifier mes lèvres et la chaleur de mon sexe augmentait très vite, quand tout à coup, une fraicheur vint se coller à ma vulve en feu. Je tournai la tête et je vis Max, mon chien, sa tête entre mes jambes, qui venait renifler ma chatte.
— Aaaaahhh, Max tu m’as fait peur !— Qu’est-ce qu’il te prend de venir mettre ton nez là ?!
J’étais tellement surprise que mon premier réflexe fut de le repousser. Mais mon Maxou ne l’entendait pas de cette oreille apparemment, il insista et revint mettre son museau entre mes cuisses. J’essayais de lutter en repoussant sa tête quand soudain, je sentis une langue venir se coller sur mon fruit bien mûr. Cette sensation m’a électrisée, cette langue si différente venait de me lécher et de me procurer un si grand plaisir en un seul coup.
— Aaaaaahhhh, Max, arrête, ce n’est pas bien de faire ça...
Je le disais, mais sans conviction aucune, hormis cette barrière morale qui me disait que ce n’était pas bien. Cette langue m’avait apporté une telle sensation de plaisir intense en une seule fois que j’en voulais encore. Mon Max, lui continuait ses coups de langue si agréables et si providentiels, à croire qu’il avait senti que j’étais en chaleur.
— Maaaaaxxxxxxxx arrête... oooh punaise ça fait du biiieennnn......
Je me détendis, j’écartai un peu plus mes jambes et me laissai aller. Je m’aperçus alors que la porte de la chambre était ouverte, je m’empressai vite d’aller la fermer et revins m’assoir sur le bord de la baignoire.
— Allez viens Max, viens faire du bien à ta maîtresse !
J’écartai bien mes jambes pour qu’il ait un accès aisé, il s’approcha et recommença à me lécher, c’était délicieux, sa langue était meilleure que celle d’Agnès, elle se faufilait partout, mon abricot était trempé par sa salive et aussi par ma mouille qui dégoulinait de ma vulve le long de mes cuisses. Je resserrai mes jambes comme pour lui bloquer sa tête et la caresser pour le remercier du plaisir qu’il me donnait.
— Bon chien Max, bon chien. Ta langue est si bonne, tu vas me rendre folle !
J’appréciais chaque coup de langue qu’il me donnait, il la faisait glisser sur ma vulve, la rentrait à l’intérieur, chaque coup me donnait comme une petite décharge électrique dans mon bas-ventre. J’étais sur un nuage, je me trémoussais sur le bord de ma baignoire et gémissais de plus en plus. Je sentais sa langue venir aussi lubrifier ma petite rondelle, j’adore ça. Je me cambrai soudain et me laissai submerger par une vague de plaisir immense.
— Oh ouiiiiiii mon Max, tu me fais jouir !!!!
Ma jouissance remplissait la gueule de Max qui continuait à me lécher et ne laissait rien s’échapper, ça faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort.
— Oh punaise ! Qu’est-ce que j’ai fait ?! Mais qu’est-ce que c’était bon !— Tu vas venir me surprendre plus souvent dans ma salle de bain, Max.
Excitée par cette expérience inoubliable, j’embrassai mon Maxou sur la truffe et lui la léchai.
— J’ai donc ce goût-là, humm plutôt bon.
J’allais ensuite me coucher, la tête pleine d’étoiles et l’incendie de mon minou éteint. Max lui vint se coucher sur le bord du lit comme souvent.Ma nuit fut courte, je ne trouvais pas le sommeil, je repensais à ma journée avec Agnès et à cette soirée avec Max. Le brasier de mon entrejambe avait repris de plus belle. Plein d’idées trottaient dans ma tête, j’avais envie de sexe, j’avais envie d’une bite, tout de suite, j’avais envie de sucer une verge et de me faire baiser comme une chienne. J’avais le feu au cul comme on dit vulgairement. Je regardais mon Maxou dormir paisiblement, une idée me traversa l’esprit, et si je suçais Max ? Après tout, il m’a bien léchée. Et puis sa queue doit être bonne...
Je sortis de dessous ma couette, enlevai ma nuisette et me rapprochai de Max. Je lui caressai le ventre et descendis ma main vers mon objectif, son fourreau. J’écartai mes cuisses pour me caresser en même temps, mon minou avait déjà tout trempé mes cuisses, j’étais une vraie fontaine. Sa queue ne tarda pas à pointer le bout de son nez. Je regardais Max qui venait de se réveiller, sûrement par mes caresses.
— Oh mon Max, ta queue est superbe, elle est d’un rouge flamboyant ! Humm.
J’étais obnubilée par cette queue, je la voulais, je voulais la goûter, la sentir. J’approchai ma tête de cette magnifique queue, un peu différente que celle que j’avais l’habitude d’avoir devant moi, mais qui était aussi sexy qu’aphrodisiaque. Je la goûtai du bout de la langue.
— Hum tu as un goût exquis mon chien ! Tu m’as fait jouir avec ta langue tout à l’heure, je vais essayer de te rendre la pareille.
Je lui gobai alors sa queue, presque tout entière. Elle déversait dans ma bouche un liquide un peu amer, mais pas désagréable. Je le masturbais pendant que je le suçais. J’adorais ça et enfin j’avais cette queue tellement désirée dans ma bouche. Mais Max n’avait pas l’air très à l’aise. Il se dégagea et vint se mettre derrière moi et me renifla les fesses.
— Tu veux me baiser mon chien ? Et pourquoi pas maintenant où j’en suis et que je suis déjà tout humide.
Je n’avais pas pensé que Maxou aurait voulu me baiser, mais l’idée m’était fortement agréable et très excitante. Je me mis alors à quatre pattes et aussitôt, Max me sauta sur le dos.
— Doucement, mon chien, tu n’es même pas encore dedans !
Je lui guidai la queue comme je pouvais vers ma grotte humide d’où une rivière de cyprine ruisselait. Sa queue rentra sans mal dans mon antre et déclencha une succession de spasmes dans ma chatte.
— Oooooohhhhh elle est dedans, tu me baises comme ta chienne mon Max ooooooohh ouiiiiii c’est bon, continue !
Après sa langue électrisante d’après ma douche et sa queue jouissive qui me remplissait l’abricot, j’étais aux anges, comblée dans tous les sens du terme.
— Oh c’est bon mon Max, tu me remplis bien, tu en as vraiment une grosse, ooooohhhhh.
Il me pilonnait l’arrière-train, je me sentais soumise, je me sentais chienne. Son jus de chien me remplissait toujours plus, je sentais sa queue gonflée en moi et dilater mon vagin. J’étais au bord de l’extase, ma jouissance arrivait à grands pas, je la sentais venir et je savais qu’elle allait être énorme. Puis Max arrêta de me saillir, sa queue avait fait un bouchon en moi. Je sentis son sperme couler encore plus abondamment en moi.
— Qu’est-ce que ?! Tu m’as bloquée, mon chien, je suis bloquée avec ta queue qui me remplit de ton sperme, je le sens couler en moi !
Ses jets de sperme dans mon vagin finirent par me faire jouir avec force, enfin je jouissais avec une queue dans ma chatte. Et quelle queue !
— Aaaahhhhhhh ouiiiiiii je vieeeeeeennnnnssssss !!!!!
Je ne sentais plus mon corps, j’étais en transe, j’adorais cette sensation de me faire remplir comme une chienne que j’étais devenue.Au bout de quelques minutes, je repris mes esprits. Max était retourné se coucher au pied du lit, il se nettoyait la bite avec sa langue, je sentais son sperme dégouliner le long de mes cuisses, je le regardais avec amour.
— Humm c’est trop bon mon chien, je sens que tu vas venir dormir avec moi très souvent.
Je me levai et allai me nettoyer à mon tour dans la salle de bain. Puis je revins me coucher et dormis jusqu’au petit matin.

Voilà pour cette petite anecdote sexy, je vous raconterais peut-être un jour ma journée passée avec ma meilleure amie Agnès.Gros bisou où vous voulez les coquinous.
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