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La famille de ma meilleure amie

Chapitre 2

Inceste
Ma meilleure amie avait des relations incestueuses avec son père ! Vous imaginez le choc d’apprendre ça ?! J’avais passé la journée du samedi à essayer de me comporter normalement avec elle quand elle me parlait, mais je fuis très vite vers ma chambre me réfugier sur mon ordi. Au repas du midi, son père se comportait comme d’habitude lui aussi, ce qui me fit me demander depuis combien de temps cela durait-il ?Je réussis quand même à rire à ses blagues et à le regarder en face.
Je notais aussi les gestes qu’ils avaient eus pendant la journée. Léa lui murmurait parfois des choses à l’oreille et il esquissait souvent un sourire quand elle le faisait.Tandis qu’ils faisaient la vaisselle et que Valérie et moi installions les chaises pour le repas de ce soir, je réussis à m’écarter sans que la mère me remarque pour jeter un petit coup d’œil à la cuisine. Il faisait juste la vaisselle. Ouf. Mais au moment où je m’apprêtais à partir, je vis son père lui claquer les fesses. Elle rit de bon cœur sans arrêter de travailler. Je rejoignis alors Valérie pour finir l’installation. Tout ceci était inimaginable.
Puis enfin vint le repas de famille. Parmi les invités, on comptait : les grands-parents de Léa du côté de son père, la tante de son père et son cousin, la femme du cousin et leurs deux enfants qui devaient avoir entre 11 et 13 ans. Tout le monde passa à table pour l’apéro et je remarquai des petits échanges de regards entre Léa et Rick. Ils allaient vraiment le faire. Valérie mit de la musique sur l’ordinateur qui fut diffusée par les enceintes, et la pièce fut vite remplie de bruit en quelques minutes. Les gens discutaient, résumaient leurs vies au reste de la famille, évoquaient le bon vieux temps, les souvenirs d’enfance, ils parlèrent aussi de sport à un moment. Léa m’avait invitée pour ne pas s’ennuyer, mais elle ne venait même pas me parler. Elle restait proche de son père. Au bout d’une vingtaine de minutes, je les vis s’éclipser discrètement vers la cuisine. Je me levai brusquement du canapé, sous le choc et la surprise. Putain, ils allaient vraiment le faire !
Je jetai un coup d’œil aux invités et je vis que personne n’avait rien remarqué.
Pas même Valérie qui était en pleine discussion avec son beau-frère. Je me rendis donc à mon tour dans la cuisine. Ils n’étaient pas là, en revanche, je découvris la porte qui donnait sur le jardin. Ils étaient forcément passés par là. Je sortis donc dans le jardin. La nuit était tiède, la pleine lune était haute dans le ciel et m’éclairait suffisamment pour que je n’ai pas besoin de sortir mon téléphone pour m’éclairer. Je fis à peine deux pas sur la pelouse que je les entendis. Léa ne gémissait plus, c’était de vrais cris de plaisir qu’elle poussait. Elle criait si fort que les voisins risquaient de l’entendre. Je me baissais et me rapprochais du son. Je les découvris au fond du jardin où se trouvait l’attroupement de chaise et de table dont ils se servaient pour manger dehors en été. Rick prenait sauvagement sa fille par derrière, qui s’accrochait à l’une des tables présentes. Les coups de boutoir de son père étaient si puissants qu’ils en faisaient trembler la table avec elle.
— Aaaah ! Aaahn ! Oh oui ! Oui !jouissait Léa.
Rick passa une main sur ses seins, et de l’autre, lui claqua le cul. Ce dernier n’avait visiblement fait qu’ouvrir sa braguette tandis que Léa avait quant à elle enlevé tous ces vêtements qui gisaient en pile sur le sol. Je me sentis redevenir dur devant cette scène. Les cris de Léa étaient comme un chant envoutant à mes oreilles. Son père ahanait, mais continuait à pilonner sa fille. Il continua à jouer avec ses seins quelques secondes, avant de placer ses mains sur ses hanches pour reprendre toute la puissance qu’il avait au début. Au bout de quelques minutes (je n’ai pas compté) Léa poussa un cri plus fort que les autres et tout son corps se tendit. Je compris qu’elle venait de jouir. Mais son père ne changea aucunement sa cadence à tel point que pendant son orgasme, elle manqua de s’étrangler quand elle reprit ses cris de plaisir. Rick déposa des baisers sur son dos, son épaule et dans son cou avant de lui marmonner à l’oreille :
— Je viens ma chérie...— En moi ! Aaah ! Crache tout en moi ! Ouiiii !
Je le vis soudainement se braquer, ses muscles se tendre et il poussa un soupir de soulagement. Léa se laissa tomber sur la table, épuisée et rassasiée.
— Oh comme c’était bon, dit Rick. T’en veux encore ?
Léa se redressa.
— Non ça ira. Ils vont se demander où on est passé.

Merde ! Il fallait que je me tire moi. Je vis Rick se retirer de sa fille et fut bloqué pendant quelques secondes à la vue de ce braquemart qui ramollissait à vue d’œil. Il était sacrément bien monté ! Il fallait aussi que je calme ma terrible érection qui menaçait de me trouer le jean.Je m’éloignai discrètement tandis qu’ils se rhabillaient (enfin surtout Léa) et rejoignis la maison. Je repris ma place sur le canapé sans qu’on m’interpelle ou me pose de questions, mais je vis clairement le regard de Valérie et son sourire en coin quand je me tournai vers elle. Les deux amants incestueux nous rejoignirent très peu de temps après sous les interrogations de la famille, et Rick blagua pour détendre l’atmosphère, et tout redevint normal. Léa vint me rejoindre sur le canapé.
— Désolé, on devait aller vérifier le gâteau, m’expliqua-t-elle.
Mensonge. Mais je suivis le mouvement :
— Pas de soucis, répondis-je en essayant de paraître le plus détendu possible. Et sinon, je me demandais, j’ai pas eu de nouvelles de toi et Alan. Vous êtes encore ensemble ?
Elle eut l’air surprise. Pas par la question selon moi, mais parce que cela lui était sorti de la tête.
— Euh... Non. On a rompu.— Ooooh... fis-je avec un faux-air triste. Qu’est-ce qui s’est passé ?
Tu lui as préféré ton père et son énorme... Rien que d’y penser, mon esprit était bouleversé par un mélange improbable de dégoût, de fascination et d’amusement. Oui oui d’amusement. Je trouvais la situation comique parfois, tellement c’était n’importe quoi et improbable.
— Je sais pas. Je suis peut-être une connasse, mais... Je me lasse rapidement. J’ai toujours l’impression de me forcer à chaque fois. Je voudrai quelqu’un avec qui je pourrais être moi-même. Tu vois ?— Je comprends parfaitement, répondis-je avec un sourire attentionné.
Eh oui ! Je suis trop gentil. C’est un de mes plus grands défauts.
— Je suis contente que tu sois là. On avait pas fait ça depuis longtemps.— Quoi donc ?— Passer un week-end chez l’autre. On le faisait très souvent au collège.— Ouais c’est vrai. Mais qu’est-ce que tu veux ? Le lycée, ça bouffe pas mal de temps.
Elle hocha la tête.
— Au fait, ça me fait penser, on t’a raconté ce qu’avait fait Margot ?
Je ris.
— Non quoi donc ?— T’imagines même pas ce que cette connasse a fait...
Et la discussion continua normalement. Nous avons parlé comme nous l’avions toujours fait. La soirée passa, je fis connaissance avec tout le monde au repas, et découvris que le frère de Rick partageait son sens de l’humour. Le gâteau fut excellent. Et tandis que la soirée se terminait, je me rendis dans ma chambre pour aller me coucher. Léa y avait été depuis un bout de temps, mais je voulais encore parler avec le frère de Rick. La fatigue m’emporta et je sombrais dans le sommeil vers 2h30.Je fus réveillé vers trois heures par du bruit. Beaucoup de bruit. Rick et... Valérie cette fois-ci. Je reconnus sa voix tandis qu’elle hurlait son plaisir sans retenue.
— Ooooh OUI ! rugit-elle.
Mon érection revint et je pus cette fois l’assouvir en me branlant. J’imaginais Valérie prise par son mari qui la culbutait avec la même force que sa fille quelques heures plus tôt, alors que j’entendais le lit se faire secouer. Je revis son énorme pénis et l’imaginais limer la chatte de la mère de Léa et caresser ses gros seins qui m’avaient souvent fait de l’œil quand elle mettait ses décolletés.Cela dura presque une heure. Apparemment, la discrétion n’était plus de mise en ma présence. Valérie avait-elle raconté ce qu’elle savait ? Savaient-ils que je savais ? En tout cas, Rick avait de l’énergie. Il avait dû jouir trois fois aujourd’hui et tenait plutôt longtemps à chaque fois. Je refermais les yeux après m’être essuyé la bite, prêt à me rendormir...
— Aaaah !
Léa. Elle était là elle aussi ? Rick allait donc se faire sa fille juste après sa mère ? Est-ce que cela voulait dire que Léa avait patienté bien sagement en regardant ?Je n’avais entendu sa voix à aucun moment avant ça.
— Aaaah oui ! s’exclama-t-elle. Je t’aime papa ! Encore !
Mon érection revint au bout de quelques minutes même alors que je venais de jouir. J’étais trop excité. Je jouis donc une deuxième fois ce soir-là tandis que j’entendais la famille qui m’hébergeait s’envoyer en l’air dans l’extase et la joie pure...
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