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Ma famille, mes amours

Chapitre 3

Inceste
Chapitre III
Il est presque dix heures quand j’ouvre les yeux. A mes côtés, Michel est toujours endormi et doit certainement faire un joli rêve car son visage est radieux. Je me redresse sur un coude et admire le jeune corps de mon fils. Une bouffée de chaleur me monte aux joues quand mon regard se pose à l’endroit de sa verge. Sous le drap une grosseur s’érige, je pose doucement ma tête sur son ventre, soulève légèrement le drap et dépose délicatement un baiser sur le gland turgescent. Une envie naît au milieu de mon ventre, descend vers mon sexe et dilate mon clitoris. Je ne me reconnais plus, comment en deux jours ai-je pu changer à ce point, moi qui avais banni le sexe de ma vie, je devenais au fil des jours une accro du sexe. En plus, les fantasmes les plus fous occupaient mon esprit et dans chacun de ceux-ci je retrouvais mes fils chéris.
Faisant un effort de volonté, je me lève et me dirige vers la salle de bain dont je referme la porte pour ne pas réveiller mon petit ange. Sous la douche, je commence à me frotter avec du gel, fait mousser celui-ci et passe ma main sur ma poitrine. Au contact de mes tétons, une décharge électrique parcours mon corps, je ressens une envie indescriptible d’être pénétrée, ma main descend vers mon sexe, écarte mes lèvres afin de libérer mon clito. Le fait de passer mon doigt sur mon bouton n’est pas suffisant pour me calmer. Le flacon de gel, que je tiens toujours dans l’autre main, me paraît convenir parfaitement pour calmer mon excitation. Lentement, je le descend à l’entrée de mon vagin dégoulinant de cyprine, et sans aucun effort, l’enfonce au plus profond de moi. Une envie de jouir de plus en plus forte me fait faire des va et vient à ce gode improvisé. Mon autre main placée entre mes fesses caresse mon anus. Au bord de l’orgasme, j’enfonce un doigt dans mon cul et simultanément je m’empale sur le flacon. Je ne peux retenir complètement le cri que je pousse lorsque je jouis des deux côtés à la fois.
Hébétée par tant de jouissance, je reste quelques instants sans bouger, puis je termine ma toilette, me coiffe, me maquille très légèrement et passe dans la chambre pour m’habiller.Michel, n’a rien entendu, il dort toujours à poings fermés. Malgré le fait que j’aie pu me satisfaire, la vue de son corps à demi nu m’émoustille encore. J’ouvre la porte de mon armoire pour y prendre une culotte, mais je me ravise en pensant à ce que mon fils avait dit la veille à propos de mes sous vêtements.
J’enfile donc un long Tshirt qui me descend à mi cuisses, et quitte la chambre pour aller prendre mon petit déjeuner.
Arrivée dans la cuisine, je vois sur la table un panier avec des croissants, une bouteille thermos et un petit mot :
« Bon appétit Maman, Simon et moi sommes partis faire une petite randonnée en vélo. Serons rentrés pour midi. T’embrassons tendrement. Pierre, Simon ».
Ce sont des amours, la cuisine est bien rangée, les restes du barbecue ont disparu, de jolies fleurs garnissent un vase posé au milieu de la table. Je m’installe, me sers une tasse de café, prends un croissant et étend mes jambes sous la table. Je suis bien, heureuse, sexuellement satisfaite depuis bien longtemps mais comment finira cette histoire, demain pour moi, c’est le boulot, Pierre et Michel reprendront le chemin de l’université et Simon le chemin du lycée. Pourrons-nous encore nous regarder de la même façon, vivre de la même façon ? Je me secoue et tente de chasser ses tristes pensées. Je dois vivre au jour le jour et prendre la vie comme elle vient sans remords et sans tristesse.
Mon déjeuner fini, je vaque au tâches ménagères, prépare le repas pour ce soir et attends le retour des sportifs et le réveil de Michel.
Toute l’après-midi, nous nous amusons autour de la piscine, le soir venu nous dînons puis regardons un très bon film à la TV. Vers 21h00, on sonne à la porte d’entrée, c’est un copain de fac qui passe par la maison pour demander à Pierre et à Michel s’ils ne rentrent pas avec lui à l’internat de l’université dès ce soir. Trop heureux de pouvoir rentrer en voiture et ne pas devoir se lever demain à 6 heures, ils acceptent avec joie et vont préparer leurs bagages.
Une fois partis, comme à chaque fois, je sens un grand vide dans la maison, Simon, fatigué par sa randonnée de ce matin se lève, vient m’embrasser pour me dire bonne nuit.
« A demain maman, j’suis crevé, j’vais me coucher ».
« Bonne nuit mon chéri, fais de beaux rêves ».
« Je vais m’endormir en pensant à toi petite maman chérie et se sera crois moi un très joli rêve ».
« Tu es gentil chéri, bonne nuit ».
Dix heures viennent de sonner, je suis seule, je sors sur la terrasse, me promène autour de la piscine. Je me revois étendue sur une serviette de bain, offerte à mon Pierre, bon sang, il vient de partir et comme il me manque déjà.
Les semaines qui vont suivre sont d’un monotone, les deux grands ne reviendront pas avant un mois et Simon est parti quinze jours en Angleterre avec son école pour un stage d’immersion afin de préparer son examen d’anglais.
Je suis de plus en plus seule, un matin en déjeunant, je m’effondre en larme, le stress du boulot n’y est pas non plus étranger, Martine notre petite bonne, s’inquiète,
« Vous n’êtes pas bien Madame ? »
« Oh ce n’est rien Martine, un peu de vague à l’âme, je me sens si seule avec mes trois grands partis ».
« Vous ne devez pas rester comme cela, voulez vous que nous allions voir un bon film et manger un bout ce soir après votre travail »
« Merci Martine mais je ne voudrais pas vous déranger, vous devez avoir un petit copain qui vous attend ».
« Vous ne me dérangez pas du tout, je n’ai personne dans ma vie et moi aussi parfois je me sens seule ».
« Dans ce cas, c’est d’accord, je rentrerais vers 17h00 et je passerais vous prendre à 18h30 ok ? ».
« Très bien Madame, je serais prête ».
« Assez de madame, appelle moi Laurence et cesse de me vouvoyer ».
« Bien Mad.. heu Laurence - Merci »
Cette petite conversation et le fait d’avoir une occupation pour ce soir me stimule et chasse mes tristes pensées.
Ma journée au boulot passe très vite, j’ai rencontré plusieurs personnes pour des contrats d’embauche et l’heure de rentrer arrive même trop vite par rapport au travail qu’il me reste.
Je souris et en fermant mes dossiers, je pense qu’à chaque jour suffit sa peine.
Arrivée chez moi, je prends une douche vite fait, je me coiffe, me maquille et m’habille d’un chemisier crème et d’une jupe droite moulante qui m’arrive dix centimètres au dessus du genou. Je chausse des escarpins qui affinent mes jambes, je me regarde dans le miroir et suis satisfaite de l’image qu’il me renvoie.
Il est l’heure, je prends place dans ma voiture et me dirige vers le domicile de Martine qui habite dans un HLM un peu à l’écart de la ville. Arrivée devant son immeuble, je me gare, regarde une dernière fois l’adresse qu’elle m’a donné pour être sûre de l’étage, descends de la voiture, entre dans l’ascenseur, monte au 8ème, cherche sa porte et sonne.
Au travers de la porte j’entends un
« Oui, j’arrive »
La porte s’entrouvre.
« Ah oui Laurence, je viens ».
« Nous avons encore le temps Martine, puis-je entrer ».
Gênée et rougissante, Martine s’efface pour me laisser entrer et là, quelle surprise, pas de meuble, un simple matelas posé sur le sol lui sert de lit, trois caisses en bois lui servent d’armoire de rangement et sa cuisine ne comporte qu’une armoire avec évier et un vieux réchaud. Je me rends alors compte de son dénuement et très lentement, je lui demande ce qui se passe.
La malheureuse me raconte qu’à la mort de ses parents, elle habitait une petite maison dans le bourg et qu’après son licenciement pour compression de personnel, elle s’est retrouvée avec le minimum vital. Elle avait dû abandonner cette petite maison et avait dû se contenter de ce deux-pièces minable qu’elle pouvait garder grâce au travail pour lequel je la rémunérais.
« Tu n’as vraiment plus personne pour t’aider »
« Non, je suis toute seule »
« Bien, voilà le programme, pas de cinéma aujourd’hui, rassemble tes affaires, à partir de maintenant tu as une amie qui va s’occuper de toi ».
« Où vas-tu me conduire ? »
« A partir de maintenant, tu es locataire de la chambre d’ami chez moi, celle qui se trouve en face de la mienne, avec le cabinet de toilette. Tu devras le partager avec Michel quand il sera à la maison, vous vous arrangerez ».
« Oh, je ne sais comment te remercier »
« Pas de ça entre nous, dépêche toi, on fout le camp et on passe manger un bout avant de rentrer ».
Une demie heure plus tard, je sortais de chez elle avec arme et bagage.
Il est 19h15, nous passons au resto, commandons, mangeons et à 20h30, nous rentrons à la maison.
Martine a l’air heureuse, je l’aide à transporter ses maigres bagages dans sa chambre, l’aide à ranger ses affaires dans l’armoire et constate une fois de plus son dénuement.
« Demain, je rentrerais vers midi, tu m’accompagneras car je dois faire quelques courses ».
« Bien Madame, oh pardon, ok Laurence ».
Je m’approche d’elle, la prend dans mes bras et l’embrasse sur la joue.
« Au fait, quel âge as-tu ».
« Je vais sur mes 22 ans ».
« Bien, je te laisse t’installer, tu es ici chez toi, la maison est à ta disposition, je ne vais pas t’indiquer où les choses se trouvent, tu en connais sûrement plus que moi. Si tu n’es pas fatiguée et que tu as envie de papoter, met toi à l’aise, comme il fait superbe ce soir, je suis sur la terrasse ».
Assise sur la terrasse, un rosé bien frais devant moi, j’entends Martine qui descends, traverse le living et arrive sur la terrasse. Elle est revêtue d’une robe de nuit que ma grand-mère n’aurait même pas mise. Je la sens embarrassée mais je ne dis rien et pense seulement à la journée du lendemain.
Après deux heures de bavardages comme deux femmes peuvent le faire, nous nous souhaitons bonne nuit et allons nous coucher.
Le lendemain m’étant arrangée avec un collègue, je rentre à la maison où m’attend Martine.Après une petite collation, nous partons vers la ville pour faire les magasins. Dans le premier, je lui fait essayer quelques minijupes et quelques shorts moulant qui lui vont à ravir et qui mettent en valeur ses longues jambes brunes et musclées, quelques Tshirt qui font ressortir ses formes harmonieuses et mettent en valeurs ses petits seins bien fermes.
« Tout cela te plaît ? »
« Oh oui mais je n’ai pas les moyens de m’offrir tout cela, en plus, ne trouves-tu pas les jupes un peu courtes ? »
« Voyons Martine, tu es jeune, tu es belle, profites en et pour ce qui est de l’argent, ce n’est pas ton problème».
La vendeuse emballe nos achats, je paie et tends le sac à Martine qui confuse, me remercie et m’embrasse sur la joue.
« Maintenant, passons aux sous-vêtements »
Soutiens gorge, strings, culottes sont achetés. Je suis heureuse de voir la joie qui illumine sa jolie frimousse. Nous passons par la lingerie de nuit, un pyjama se soie, quelques nuisettes avec le string assorti complètent nos achats. Juste avant de reprendre la voiture, je tombe en arrêt devant une vitrine où une robe de cocktail me tends les bras, elle est noire, décolletée en pointe jusque sous les seins, le dos nu, elle descend jusqu’aux pieds et est fendue jusqu’au milieu de la cuisse gauche. Je rentre dans le magasin, demande l’article à la vendeuse, passe en cabine et l’enfile. J’ouvre la tenture, et joue à la vamp sous l’oil amusé de Martine.
« Comment me trouves-tu ? ».
« Oh, elle te va à ravir ».
« Nous avons la même en blanc », me dit la vendeuse qui s’empresse d’aller la quérir dans le rayon.
Je la prends en main, la tends à Martine et lui dit « essaye la ».
Je rentre avec elle dans la cabine, tiens la robe pendant qu’elle enlève la sienne. Elle enfile la robe sur un soutien gorge du 3ème âge et une culotte qui n’est pas loin de ressembler à une couche pour bébé XXL.
Je l’invite à se retourner, dégrafe son soutien gorge et l’enlève. Je sors de la cabine, fouille dans un de nos sacs, trouve un string blanc et revient dans la cabine.
« Tiens, enfile ceci»
Intimidée, elle se contorsionne pour enlever sa culotte la fait glisser le long de ses cuisses jusqu’aux pieds et la range dans son sac à main.Pour enfiler le string, une fois passé les pieds, la longueur et l’étroitesse de la robe la gène. Voyant le problème, je m’agenouille devant elle, m’empare du string et le remonte jusqu’aux fesses. En touchant ses fesses de mes mains, je ressens un frisson remonter le long de ma colonne vertébrale. Levant la tête, je croise son regard qui ne peut cacher une lueur de plaisir.
Nous sortons de la cabine, et nous nous admirons dans les glaces placées à cet effet.Je me trouve belle pour mon âge, épanouie, sûre de moi. Martine aussi est très jolie, elle possède la jeunesse en plus mais son manque d’assurance la désavantage un peu.
Enchantée, j’achète les deux robes et offre la blanche à Martine.
Nous rentrons à la maison et allons prendre le frais directement sur la terrasse.
« Laurence, tu veux que je te serve quelque chose ? »
« Oui, prends la bouteille de rosé dans le frigo et deux verres, nous allons fêter nos achats ».
Après deux verres de cet excellent rosé, je me tourne vers Martine et lui dit :
« Déshabille toi et essaye tes nouvelles tenues »
« Ici ? »
« Ben oui, nous sommes entre femmes ».
Martine se lève, ôte sa robe, enlève son soutien gorge et se retrouve avec le string qu’elle avait enfilé au magasin. A la vue de ce corps pratiquement nu, je perçois à nouveau le même frisson que celui que j’avais ressenti dans la cabine d’essayage quand j’avais touché ses fesses.
Je me lève, m’approche d’elle et pose un baiser sur ses lèvres. Martine me regarde surprise, s’avance vers moi et me rend mon baiser, j’ouvre les lèvres, passe ma langue et l’insère lentement dans sa bouche.
Ma main se pose sur un sein, le caresse, mes doigts emprisonnent son téton, l’excite, le tire.A ce contact, Martine gémit, ses bouts s’allongent, durcissent, son ventre vient se plaquer contre moi, je m’agenouille, enlève son string, écarte ses jambes et passe ma langue sur son sexe entièrement épilé. Au contact de ma langue, elle se met à mouiller, je recueille son jus, remonte vers son clitoris que je prends entre mes lèvres et que je suce et mordille avec entrain.
« Oh ouiiiiii, encore, fais moi jouir oui, oui, ouiiiiiiiiiii je jouiiiiiiiis ».
Martine se cabre, elle est sous l’emprise d’un orgasme profond qui la fait trembler de la tête aux pieds, un nouveau cri et elle décharge de longs jets de mouille dans ma bouche, sur ma figure, mes cheveux. Mon chemisier en est rempli, ainsi que ma jupe, Je connaissais l’expression de femme fontaine, mais c’est la première fois que j’en voyais une.
« Oh excuse moi »
« Ne t’excuse pas ma chérie c’était merveilleux de te voir jouir ».
Martine me sourit, s’approche de moi et se met à me lécher la figure, entre sa langue dans ma bouche, déboutonne mon chemisier, l’enlève puis défait la fermeture de ma jupe qui tombe à mes pieds.
Comme je n’ai pas mis de soutien gorge ni de culotte, c’est entièrement nue que je m’offre aux jeux de sa langue et de ses mains. Bien que maladroite, elle parvient à me faire jouir, nous nous nous retrouvons sur une sortie de bain en position de 69, et Martine m’inonde à nouveau de son liquide vaginal.
Un peu plus tard, après avoir récupéré, nous nous dirigeons vers la piscine, entièrement nue toutes les deux. Après quelques brasses, nous sortons, nous nous séchons mutuellement et la prenant par la main, je l’emmène dans ma chambre.
Après avoir récupéré une alèse qui date de l’époque où mes enfants étaient bébé, j’en garni mon lit et la couvre d’un grand drap de bain éponge.
« Viens t’étendre ici ».
Martine se couche, j’écarte ses cuisses et viens placer mon minou contre le sien, nos clitoris se touchent, je me frotte à son sexe de plus en plus vite, elle se pince les tétons les tirent vers l’avant et se met à crier « ouiiiii, vas-y, plus fort aaahhhhh je vais jouir, ouiiiiiii je jouiiiiiii »
Son jus bien chaud qui inonde ma vulve, mon anus et mes cuisses déclenche mon orgasme et moi aussi j’hurle ma jouissance avant de m’écrouler à ses côtés sans plus aucune force, les jambes coupées, ma respiration se fait haletante. Nous sombrons toutes les deux languissantes dans un demi sommeil.
Ce n’est que bien plus tard, que nous émergeons pour constater que nous sommes trempées de liqueur vaginale qui poisse nos entre jambes, nos sexe et notre ventre.
Après une petite douche que nous prenons ensemble, j’enlève l’alèse et le drap de bain trempé, je m’étends sur le lit, attire Martine contre moi, l’embrasse tendrement et la prend dans mes bras. Après quelques minutes de cajoleries, nous tombons toutes deux dans un profond sommeil.
Le lendemain matin, en sortant de ma chambre, une agréable odeur de café vient me chatouillez les narines.
J’entre dans la cuisine et remarque les croissants et le service à petit déjeuner sur la table.Martine se tient debout devant l’évier, elle porte agréablement une minijupe en jean qui lui descend à mi cuisses et un petit dessus qui laisse apparaître le dessus de sa poitrine et qui montre son petit ventre plat.
J’admire sa silhouette, je m’approche, lui dit bonjour et dépose un petit baiser sur ses lèvres.
« Comment vas-tu ma chérie, as-tu bien dormi ? ».
« Oh oui Laurence, j’ai certainement dormi dans tes bras toute la nuit, car ce matin j’y étais toujours ».
Une envie soudaine de caresser ce jeune corps s’empare de moi, je m’approche, pose mes lèvres sur sa bouche qui s’entrouvre et dans laquelle ma langue se met à danser avec la sienne un ballet endiablé. Emportée par nos sens, nous nous léchons la bouche, les joues, le nez, le menton, les oreilles, le cou. Plus nous nous léchons, plus nous sommes excitées, nos mains s’activent sur les seins et le sexe l’une de l’autre et nos doigts pénètrent dans nos sexes en feu. Nos clitoris se dressent comme des petites bites et nous les masturbons. Je regarde Martine dans les yeux et lui dit :
« Oui maintenant »
Ces simples mots nous font hurler, nous partons toutes deux dans un orgasme ravageur qui nous fait vaciller et tomber enlacée sur le sol.
« Martine mon amour, je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi puissant, j’ai aimé, et toi »
« J’ai aimé et je t’aime, je crois que je ne veux plus te quitter, je veux encore et encore jouir avec toi »
« Moi aussi ma chérie mais cela ne sera pas simple car mes fils seront là ce week-end, et ... ».
« Et quoi ? »
« Assieds-toi, je dois te parler ».
« Voilà, tu sais que mes enfants m’adorent, et qu’ils sont ce que j’aime le plus au monde.Eh bien, cet amour est bien plus fort et plus important que tu ne le pense, car ils sont mes amants, tous les trois et même si la morale le réprouve, je n’ai plus maintenant aucun remord pour les rapports sexuels que nous entretenons ».
« Et tu vas leur parler de moi ? ».
« Je crois que oui, qu’en penses-tu ? »
« Je pense que je veux faire partie de toi, de ta famille, épouser vos idées et partager vos plaisirs ».
« Quand ils rentreront fin de semaine j’en parlerai, hou la la, j’ai déjà une de ses angoisse, enfin on verra ».
Les trois jours qui me séparaient de mes fils passèrent plus rapidement que le ne l’aurais cru, mes rapports étroits avec Martine n’y étaient pas étrangers. Martine avait pris un peu plus d’assurance, osait des gestes avec moi qui me ravissaient et me tenaient dans un certain état d’excitation. Mon sexe depuis quelques temps était plus souvent trempé que sec, au bureau il m’arrivait souvent que la pensée de mes fils prenant mon corps ou les mains de Martine pénétrant mon vagin m’obligeait à me rendre aux toilettes où assise sur le wc, ma jupe relevée au dessus de mes fesses, je me masturbais jusqu’à l’orgasme.J’étais restée plusieurs années sans ressentir de besoins sexuels, mais depuis que ces trois petits salauds, mes petits amours, m’avaient réveillée au plaisir des sens, je pensais de plus en plus souvent au sexe, j’en était même arrivée à avoir des fantasmes et cela au lieu de me faire honte, m’émoustillait au plus haut point.Bref, mon corps se vengeait de tant d’années de frustration et mettait les bouchées doubles.
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